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Temps de lecture estimé : 14 mn
17/08/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Hervé doit faire face à l'arrivée de deux cousines par alliance.
Critères:  ffh alliance fellation pénétratio fsodo -initfh
Auteur : Bertrand d            Envoi mini-message

Série : La vie d'Hervé

Chapitre 02 / 03
Mes cousines jumelles

Dans le premier épisode : « Une charmante voisine »

Hervé vient de passer son bac. Sa voisine Emma qui a seize ans de plus que lui, l’a dépucelé et initié à l’amour. Pourtant elle l’a quitté sans le prévenir. Il la regrette, mais se console avec des filles de son âge.



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Les résultats du BTS viennent d’être affichés, Hervé a réussi. Mais surtout grâce à la pièce d’atelier qu’il a réalisé lors de cet examen. Il a même reçu des propositions d’embauche.

Mais pourquoi quitter son cocon actuel ? Il a l’usage de tout le premier étage de la maison, il est nourri, logé, son linge est lavé. Sabine, sa tante, est à ses petits soins, Serge l’apprécie pour son sérieux dans le boulot. Que demander de plus ? Quant aux aventures féminines, il peut les amener chez lui, il a une entrée indépendante. Son oncle et sa tante sont plutôt fiers de ses exploits amoureux.


Pourtant, cette année, il va devoir céder deux chambres. La sœur de son oncle a des jumelles qui vont entreprendre des études de droit. Elles aussi auront droit naturellement au même traitement qu’Hervé, elles aussi sont les nièces. Il les a déjà rencontrées, il y a deux ans. Elles étaient charmantes mais surtout se ressemblaient comme deux gouttes d’eau.


Le jour où Clémence et Florence viennent prendre possession de leur domaine, Hervé est très agréablement surpris. Elles sont encore plus belles que lors de leur dernière rencontre.

Retrouvailles, embrassades, tout est pour le mieux. On discute sur l’utilisation de la salle de bain. C’est cela qui le chagrine le plus. Quand il avait fait l’amour, il aimait bien se prélasser dans la baignoire, seul ou avec sa partenaire. Ce sera plus difficile désormais.

À mots couverts, il fait comprendre aux deux sœurs que parfois il invite des demoiselles la nuit. Elles éclatent de rire, pas de problème de ce côté-là. Elles aussi risquent peut-être un jour, de ramener des hommes à la maison.


Durant l’année, quelques nuits de week-ends sont agitées, il est difficile de dormir en paix. Un jour même, un inconnu croise une amie d’Hervé. Mais les filles restent relativement sages. Heureusement que Serge et Sabine habitent le rez-de-chaussée.


Un soir, Hervé est seul dans son lit et n’arrive pas à dormir. Tout à coup, un cri de colère d’une fille. Rapidement il se lève et va dans le couloir à proximité des portes des chambres de ses cousines. C’est Florence qui proteste avec force. Dans la série de jurons qu’elle émet, il entend « salaud ». Ils s’étaient juré de ne pas intervenir dans leurs séances intimes, mais là, il se sent obligé d’aller à la rescousse de sa cousine.

Ouvrant la porte, il voit dans le lit, Florence, à plat ventre et sur elle un garçon qui veut lui ravir sa dernière virginité. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas d’accord.



En effet, l’homme qui se lève est plus grand que lui, plus âgé et paraît habitué à la bagarre. Il a toujours la hampe dressée, redoutable par sa dimension. Sans lui laisser le temps d’attaquer, Hervé frappe du pied la base de ce mât. Un cri effroyable et l’homme tombe en avant, ses mains cherchant trop tard à protéger ses bijoux de famille. Fou de colère, Hervé le frappe sur tout le corps à grands coups de pieds. Ce n’est rapidement plus qu’un corps sans réaction. Le prenant sur son épaule, Hervé le descend, tout nu, et l’abandonne devant la porte, dans la rue, ses habits près de lui.


Quand il remonte, Florence se jette à son cou et le remercie avec beaucoup de chaleur. La correction qu’il vient d’infliger à cet individu a calmé Hervé. Mais par contre, le corps nu de cette magnifique fille réveille de nouveaux sentiments en lui, aussi violents que les précédents, mais d’une toute autre nature. Elle lui prend la main, l’entraîne dans sa chambre et le fait chuter sur le lit. Elle lui saute dessus. Serviable, il la laisse opérer et se trouve bientôt nu comme un ver, le mât dressé.


Et pour la première fois il goûte à ce fruit encore un peu vert. Florence a une technique un peu sommaire, de débutante. Mais à la fin de la séance, elle a déjà fait de très sérieux progrès. Quand elle est endormie, il se lève, se douche, et regagne son logis. Cet incident l’a parfaitement détendu, il s’endort.

Il rêve. Il fait l’amour à Florence et elle prend des initiatives qu’il lui a enseignées. Il se sent aspiré par une bouche, on croirait y être. Il se laisse aller, puisque ce n’est qu’un rêve. Mais tout à coup, il réalise que c’est la réalité. La bouche encore baveuse, sa cousine vient l’embrasser.



Attirée par le bruit de la discussion, Clémence frappe doucement à la porte.



Je préfère me lever discrètement et aller prendre un bain, laissant les deux sœurs s’expliquer. La suite risque d’être délicate ! La porte s’ouvre alors que je suis dans mon bain et Florence me dit d’un ton qui veut paraître courroucé.



Je suis entièrement d’accord pour cette proposition. Savoir comment elle se placera, face à moi ou dessus. Non, c’est en face. Nos jambes s’entrelacent, ce qui n’est pas pour me déplaire. Mais elle a à portée de main mon point faible, pour l’instant. Parce qu’avec le traitement qu’elle lui inflige, ça devient un point dur.



Elle pivote, vient s’allonger de dos sur moi et en particulier sur le morceau qu’elle vient de réveiller. Ma queue entre ses fesses, c’est le supplice de Tantale. D’autant qu’elle bouge doucement de haut en bas, en un mot elle me branle.



Sa phrase me laisse envisager une suite délicieuse. Je me sèche et regagne mon logis tout nu. Dans le couloir, je croise Clémence qui me regarde, et en particulier un point précis avec un drôle d’air.

Au cours de la journée, la situation a changé. Beaucoup de liberté de la part Florence, mais une certaine gêne de sa sœur.

Le lendemain soir je me détends à l’ordinateur, on gratte à ma porte. Je vais ouvrir : les deux sœurs sont là, dans le couloir.



D’un air embarrassé, Florence lui dit qu’elle a fait part à sa sœur des relations qu’ils avaient eues cette nuit-là. Cela a vivement choqué Clémence, compte tenu de l’accord qu’ils avaient conclu. Mais Florence trouve cela normal pour des jeunes, majeurs, célibataires qui n’ont aucune relation de parenté entre eux. Par contre, sa sœur n’est pas d’accord. Elles en ont discuté longuement ensemble, chacune exposant ses arguments. Elles viennent prendre son avis.



Elles venaient me demander si je pouvais les baiser toutes les deux. Le paradis en somme ! Avoir à sa disposition, non pas une, mais deux filles aussi belles ! Il ne reste que certaines dispositions sur le rôle et la fréquence de nos rapports. Mais on devrait pouvoir les régler rapidement.



J’ai naturellement accepté le lieu choisi. Restait à fixer la date de la première séance et l’ordre du jour.



Et en quelques secondes j’ai sous les yeux le plus charmant des tableaux, en double exemplaire. Elles ne se ressemblent pas seulement de visage, mais de tout le corps. Simplement, Clémence a un joli grain de beauté sur le sein gauche. Cela m’évitera des erreurs.


Elles me demandent d’abord mon accord pour avoir des relations sexuelles. Je dis oui, naturellement. Quant à la fréquence, je leur laisse le choix, je suis à leur disposition à condition d’avoir un temps de récupération. Oui, mais dans quel ordre ? À elles de voir.

Pourtant je leur indique que malgré le peu de relation que j’ai eue avec Florence, j’ai découvert qu’elle semble manquer un peu de technique. Je veux bien donner des cours mais pour ne pas avoir à me répéter pour Clémence, elles pourraient assister ensemble aux leçons.

Puisqu’elles sont en tenue de travail, pourquoi ne pas commencer de suite.


Elles possèdent en principe, le mode d’emploi, mais leur comportement est ceux d’amateurs, d’apprenties, mal exécutés. Ne serait-ce que le baiser, c’est celui de lycéennes. Je leur démontre l’une après l’autre, puis je leur suggère de répéter ensembles, cela fera gagner du temps. Ainsi ce soir après le baiser, les soins à apporter aux seins. Mais il est tard et je leur propose de cesser la séance et de continuer le lendemain. Simplement, bien que ne possédant pas encore la technique, je leur demande de me soulager.


Elles s’allongent l’une à côté de l’autre. C’est merveilleux ! J’attaque par Florence pendant que sa sœur regarde avec attention. Elle parvient à un orgasme, mais je n’ai rien perdu de ma vigueur. Je vais sur Clémence. Un peu apeurée, elle me laisse quand même opérer. Bientôt toute crainte a disparu, elle participe au mieux de ses connaissances et arrive aussi au bonheur. Mais je ne veux pas rester sur ma faim, je continue afin de prendre mon plaisir et l’amène à un nouvel orgasme.


Dispute des deux sœurs, l’une à moins eu que l’autre. Je les mets dehors, leur indiquant que je leur donnerai une autre leçon quand elles me le demanderont.

Et ainsi pendant une assez longue période, je prodigue mes cours. Les deux sœurs comprennent vite, mais manquent de dextérité et je dois leur demander de reprendre certains mouvements, ce qu’elles font d’ailleurs volontiers.


Pendant cette période, je n’ai reçu que peu de visites de mes amies, partenaires habituelles de mes nuits de folie. Quant aux filles, aucune visite masculine, je pense que je leur suffis amplement. D’ailleurs elles sont inséparables, toujours ensemble. Clémence, qui était un peu timide au début, se révèle particulièrement douée avec la bouche. Elle me mène au plaisir, quitte à en subir les conséquences, qu’elle absorbe sans difficulté. Florence par contre utilise son sexe avec une grande habileté et peut me masser le sexe avec ses muscles vaginaux, puis rester impassible un moment, et tout à coup se déchaîner.


Après cette période, interrompue à certains moments par des contraintes naturelles. Je n’ai alors ces jours-là qu’une seule partenaire. Mais celle qui subit l’indisposition assiste tout de même aux séances au côté de sa sœur. Elle m’aide souvent de la bouche ou des mains.


Un de ces soirs-là, où Florence était spectatrice, elle m’a demandé timidement comment opérer si un jour elle ne pouvait satisfaire son partenaire compte tenu de son indisposition. Je lui ai dit d’utiliser les autres moyens, bouche, mains, etc. Mais j’ai compris qu’elle voulait parler d’amours contre nature. Le premier jour, elle n’avait pas rejeté la possibilité, mais demandait un délai de réflexion.



Elle suit à la lettre les instructions que je lui ai données. Et bientôt la voilà à genoux, accroupie, prête au sacrifice. La seule crème qu’elle ait trouvée est une crème solaire, mais ça fera l’affaire. Par des baisers sur l’anus, l’introduction d’un puis deux doigts, je la prépare. Pendant ce temps, j’excite son clitoris, ne pouvant utiliser ce jour-là, la voie naturelle.

Vient le moment délicat. Elle écarte au maximum les fesses, je m’introduis doucement en elle et m’immobilise.



Je me suis mis en marche, calmement, en lui taquinant le clitoris et l’autre main lui caressant le sein. Mais la sensation est trop forte et je ne peux pas résister longtemps. Je me soulage en elle.



Je n’avais dépucelé qu’une fois une fille, mais dans un contexte particulier. Même si ce n‘est pas aussi bon qu’avec une femme expérimentée, c’est quand même exceptionnel.


Mais le lendemain, il me faut remettre ça. Florence a convaincu sa sœur et celle-ci est prête pour le sacrifice. J’ai apporté une petite amélioration au processus de la veille. Florence accepte de lécher le bouton de sa sœur et je peux graisser ma queue dans le conduit naturel. Pour le reste, pas de problème, tout se déroule comme la veille et Clémence est enchantée. Il me semble même qu’elle y a pris un certain plaisir.


Je n’ai plus rien à leur apprendre, mais elles profitent de moi. Pourtant un soir, Clémence vient seule et un moment plus tard, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir. Sa sœur a un nouveau partenaire.

Clémence est là et me fait envie, et je crois que c’est réciproque. Elle se frotte contre moi et réveille ma libido. Après quelques hors d’œuvre, elle veut que nous nous unissions. Au bout d’un instant, elle se retourne et je la prends en levrette. À un moment, elle me saisit le sexe et le présente un peu plus haut. Je comprends son désir et vais le plus doucement possible afin de ne pas la blesser. Mais rapidement, je n’ai plus eu à bouger, c’est elle qui effectue le mouvement, à grands coups. Et je me déverse en elle.

Elle se dégage, retournée face à moi.



Le lendemain soir, je les ai vues revenir chez moi. Attitude différente pour le deux sœurs. Clémence rayonnante, elle se sait prête à affronter les hommes dans tous les domaines, même ceux interdits. Florence paraît légèrement déçue.



Bien, en voilà une qui a pris son envol. Mais tout de même j’aimerais bien que de temps en temps elle atterrisse dans mon lit. Clémence est heureuse, elle m’a à sa disposition. Même les jours soi-disant interdits, elle me prête son autre voie. Et souvent même, elle aime terminer notre union de cette manière-là.


Puis elle aussi a trouvé elle aussi un brave garçon. Mais, mêmes ennuis. Aucune expérience et c’est elle qui doit le former. Pourtant, soit il est doué, soit elle est une bonne enseignante, car quinze jours plus tard, elle me dit qu’il est au point. Il y a les jours interdits mais là, elle préfère venir chez moi.


En cette fin d’année scolaire, on fête le résultat des deux sœurs. Toutes deux ont eu leur licence. C’est une soirée sympa où sont conviés tous les membres de la famille, même leurs petits copains. Leurs relations paraissent sérieuses, les parents ont compris qu’elles avaient pris définitivement leur envol.

Pourtant, en fin de journée, elles se disent un peu fatiguées et demandent l’autorisation de se retirer. Tous les participants rentrent chez eux. Moi aussi je regagne ma chambre. Mais j’ai une heureuse surprise. Elles sont toutes les deux là, à m’attendre. Avant de s’en aller, elles m’offrent leur cadeau d’adieu.


C’est vers six heures du matin qu’elles me quittent. Je n’aurais jamais cru tenir si longtemps, mais elles avaient prévu le coup. Elles m’ont amené de nombreuses fois au bord de l’extase, mais se sont retirées à chaque fois me laissant sur ma faim. Ce n’est que sur le matin que je suis arrivé à maintenir Clémence empalée et me suis soulagée dans ses boyaux.


Elles sont parties et je dois avouer que j’étais un peu soulagé. Mais elles m’ont bien dit qu’elles restaient à ma disposition si j’avais besoin d’elles.

Je n’ai pas cru bon de les rappeler. J’ai retrouvé mes anciennes connaissances et nous avons repris nos habitudes.