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Temps de lecture estimé : 12 mn
07/10/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  A la sortie de la messe du dimanche, une chanteuse de la chorale invite Nicole à passer l'après-midi ensemble. Autour d'une tasse de thé, la chanteuse lui confie sa dépravation tout en se mettant nue.
Critères:  ff fsoumise fdomine cérébral exhib lingerie fmast cunnilingu fgode jouet confession
Auteur : P-hpassage            Envoi mini-message

Série : Porte-jarretelles day

Chapitre 05 / 07
Une étrange séance autour d'une tasse de thé

Résumé des épisodes précédents :


« Un déjeuner perturbant »

Nicole, DAF d’une entreprise, cadre un peu coincée, est choquée par la liberté d’esprit d’Eléanore, une jeune intérimaire qui – selon ses dires – aurait une relation avec son patron, fétichiste des bas et des porte-jarretelles. Au cours d’un déjeuner au restaurant, la cadre guindée est excitée à tel point par les confidences de la jeune femme qu’elle se réfugie dans les toilettes de l’établissement pour apaiser le désir qui l’enflamme.


« Des achats qui changent tout »

Eléanore réussit à convaincre Nicole de porter des vêtements plus sexy. Son boss est enchanté de l’audace de cette femme habituellement austère. Il le lui prouve en posant sa main sur sa cuisse…


« Le jeu des boutons »

Le lundi suivant ses achats, l’esprit perturbé et excitée, Nicole arrive dans l’entreprise en tenue classe et sexy. Son boss, admiratif et satisfait, entame avec elle un jeu de domination pervers.


« Visite inattendue »

Le patron de Nicole lui rend une visite impromptue à son domicile ; subjugué par sa transformation, il ne peut se contrôler… et la digne femme comprend enfin ce qu’est un orgasme.


__________________________



Une étrange séance autour d’une tasse de thé



Le lendemain matin, le boss est parti tôt. Nicole apprécie d’être seule ; elle fait le point sur les derniers événements qui, elle le réalise bien, ont bouleversé sa vie. Ce qui lui plaît, ce n’est pas seulement le plaisir physique, mais surtout le plaisir des sens, la situation que le boss lui fait vivre.


« Je suis cérébrale… C’est la manière dont il me traite qui me fait jouir. Et pas seulement le boss : Éléanore aussi, cette vicieuse qui la première m’a entraînée dans la luxure avec ses histoires et les achats qu’elle m’a fait faire. Elle me plaît bien, cette petite ; pour la première fois de ma vie une femme m’a embrassée. C’est vrai que son baiser était délicieux. J’ai aimé la façon dont elle s’est occupée de moi après que le boss m’a fait jouir. Ils ont tous les deux du savoir-vivre. Mais au fait… peut-être sont-ils complices… peut-être ont-ils décidé de faire de moi une… Et puis, je me suis exhibée… chez moi, et dans le bureau du boss ! Comment ai-je pu faire une chose pareille ? Le pire, c’est que j’ai aimé ça ! J’ai accepté avec veulerie tout ce qu’il m’a demandé de faire… Mon Dieu, rien qu’en y pensant je suis encore en train de mouiller ma culotte ! »


Dimanche matin, elle se prépare pour aller assister à l’office. « Comment m’habiller ? Et si… oui, je vais mettre des bas, et le porte-jarretelles : personne ne pourra le savoir. Ce sera délicieux, porter des dessous sexy pendant que le prêtre débitera ses bêtises… Mais comment puis-je penser une chose pareille ? Nicole, reprends-toi ! »


Une jupe s’arrêtant juste au-dessus des genoux, les bas de couleur taupe, les escarpins, le soutien-gorge, un pull léger, le manteau, un peu de rouge sur les lèvres. La culotte, fine et transparente ; elle en a plusieurs, maintenant, autant les utiliser…


En entrant dans l’église, impossible d’oublier ce qu’elle porte. Les talons claquent sur le carrelage usé ; elle imagine le regard des hommes braqué sur sa démarche, sur ses jambes. Assise, son esprit vagabonde ; elle repense à ce qui lui est arrivé depuis une dizaine de jours. « Il y a certainement des vicieux qui assistent à cette messe ; peut-être certains devinent-ils ce que je suis devenue ? »


Impossible de se concentrer sur le déroulement de l’office, son esprit n’est tourné que vers le sexe. Elle regarde le bas de ses jambes, aperçoit les petits plis que font les bas au niveau de la cheville. « Le boss aimerait me voir en ce moment… »


Elle s’imagine allongée sur l’autel, les cuisses ouvertes, offerte aux hommes, à ceux qui voudraient la lécher, boire le jus de la luxure s’écoulant de sa chatte. « Mon Dieu, ma culotte colle à mes fesses ! » réalise-t-elle en se levant au son de la clochette secouée par un enfant de chœur.


À la sortie de la messe, sur le parvis de l’église, elle subit les éternelles discussions impossibles à éviter avec quelques paroissiens et paroissiennes… surtout les hommes. Quelques-uns ont senti le changement qui s’est opéré en elle : un tout petit rien dans la manière de se vêtir, de se maquiller, de confiance en soi, toutes ces choses qui font que par miracle une femme ne passe plus inaperçue.



Michelle, membre de la chorale, est veuve depuis quelques années. D’allure un peu austère, elle est malgré tout sympathique quoiqu’un peu trop curieuse.



Nicole la remercie, flattée de recevoir un tel compliment bien qu’elle aimerait pouvoir s’échapper.



Sur le chemin du retour, elle se demande pourquoi elle a accepté de prendre le thé avec cette Michelle, pieuse comme une grenouille de bénitier, enjouée bien sûr mais pas intéressante du tout. « Prendre le thé ! C’est ridicule, alors que j’aurais voulu passer la journée tranquille. Et cette culotte qui me colle aux fesses, j’aurais mieux fait de ne pas en mettre ! » se dit-elle en pestant.


Dix-sept heures : il est temps de rejoindre Michelle. Nicole ne s’est pas changée. Elle a gardé ses dessous sexy, sauf la culotte, trop inconfortable à force de coller à son entrejambe, qu’elle a dû remplacer. « Autant montrer à cette pimbêche que je peux être élégante… »


Elle rectifie son maquillage, relève sa jupe pour bien tirer les bas.


Une surprise l’attend lorsque Michelle lui ouvre la porte : la veuve a soigneusement coiffé ses cheveux, revêtu une jupe un peu courte ne couvrant que deux tiers des cuisses, s’est enduit les lèvres d’un rouge couleur sang, et les éternelles chaussures plates sont remplacées par des escarpins aux talons très hauts. La jupe est droite, couleur vert pastel ; trop serrée, elle lui moule exagérément le derrière. Un chemisier beige, un peu lâche, recouvre son torse. Elle ne fait plus austère du tout ; la chanteuse de la chorale s’est apprêtée avec soin pour recevoir Nicole.



Dans le salon au mobilier vieillot, deux portes-fenêtres à petits carreaux donnent sur le jardin. Assises sur des chaises de salon pas vraiment confortables, la conversation va bon train. Tout en devisant, tenant sa tasse de thé du pouce et l’index de la main droite, Michelle défait un bouton de son chemisier.



Nicole se raidit ; le rouge monte à ses joues.



Tout en parlant, Michelle dégrafe un autre bouton de sa main gauche, puis un autre, toujours tenant la tasse de thé à l’aide de deux doigts de son autre main, comme dans une conversation mondaine. Le dernier bouton saute ; le chemisier s’ouvre, libérant une poitrine petite mais aux pointes érigées.



Elle pose la tasse, retire le chemisier qu’elle jette sur le parquet.



Elle se lève, descend la fermeture Éclair de sa jupe qui tombe au sol, révélant des jambes couvertes de bas couleur chair et le porte-jarretelles beige. Elle baisse sa culotte, la retire et se rassoit, les genoux joints. Pour une femme dont l’âge se situe dans la quarantaine, elle est encore bien faite : des cuisses pleines, le ventre plus tout à fait plat, mais pas de signe de cellulite.


« Elle est folle, complètement folle ! Qu’est-ce que je fais ici ? »


Michelle reprend sa tasse de thé, regarde le sol et poursuit son aveu :



Nicole, maintenant intéressée par les confidences de Michelle, penche légèrement la tête de côté pour l’inciter à continuer.



Michelle avale une gorgée de thé puis, d’une voix devenue rauque, elle explique :



Michelle s’interrompt, desserre les genoux, et dans une totale impudeur ouvre largement les cuisses, face à Nicole.


Elle possède un entrecuisse glabre, dépourvu de poils. Ce n’est pas une simple fente qu’elle possède, mais une vulve avec de longues lèvres épaisses, et le bout rond d’un clitoris déjà érigé.

Une odeur de sexe et de sueur envahit le salon, recouvrant celle du parquet fraîchement ciré.



Nicole, qui était mal à l’aise lorsque Michelle avait retiré son chemisier, exposant ses seins, réalise que l’excitation la gagne elle aussi. Le regard vissé sur la vulve de Michelle, elle croise les cuisses, enserrant sa chatte qui, elle le sent bien, la démange.



Pour imager son récit, Michelle, la tasse de thé reposée sur le guéridon, glisse un doigt entre les lèvres de son con engorgé de mouille. L’odeur devient plus forte, entêtante.



Excitée par le récit que lui fait Michelle avachie devant elle sur sa chaise, les jambes largement écartées, le doigt glissant le long de la vulve, Nicole réalise le pouvoir qu’elle a sur cette femme. Son autorité naturelle prend le dessus. Elle rétorque d’une voix ferme :



Pour l’encourager, Nicole croise les cuisses très haut, révélant le morceau de peau au-dessus de la lisière des bas. Michelle respire plus fort, puis reprend son récit :



Nicole se soulève, remonte sa jupe à la taille. Elle se rassoit confortablement, écarte elle aussi largement les cuisses.



Le corps raide, dos cambré, bouche ouverte, Michelle enfonce deux doigts au fond de sa chatte et jouit en poussant un long râle.


Le silence règne maintenant dans le salon, seulement couvert par la respiration saccadée des deux femmes. Michelle, les cuisses serrées enserrant la main qu’elle avait utilisée pour se masturber, récupère lentement, le dos appuyé contre le dossier de la chaise.

Reprenant ses esprits, elle continue la suite de son récit :



Michelle a repris sa masturbation, enfonçant deux doigts dans sa vulve.



Elle se penche, attrape son sac, en sort un objet de couleur violet : un gode, au superbe design.



Michelle quitte sa chaise, s’allonge sur le parquet face à Nicole, les cuisses bien ouvertes. Elle approche le gode de son entrecuisse, l’enfonce lentement dans sa vulve en gémissant. Le gode comporte une sorte d’opercule, presque pointu, qui vibre contre le clitoris lorsqu’elle le met en marche.



Nicole, les yeux écarquillés, regarde la femme prendre son plaisir. Le gode vibre, enfoncé dans la vulve ; Michelle tient fermement l’objet d’une main, se tordant le bout d’un de ses seins à l’aide des doigts de son autre main. Les cuisses toujours largement ouvertes, Nicole se caresse lentement la vulve, effleurant parfois le clitoris, lui causant des ondes électriques. Mais elle ne veut pas jouir devant cette femme qui se masturbe en poussant de petits cris, la cyprine engluant le gode en débordant de la vulve.


Le spectacle est surréaliste : Michelle nue en bas et porte-jarretelles, allongée sur le sol, un gode enfoncé dans la chatte, et Nicole presque entièrement habillée à part la culotte, la jupe entortillée à la taille, les deux femmes se masturbant l’une devant l’autre, le souffle rauque.



Nicole, grisée par l’ascendant qu’elle a sur Michelle, décide de montrer son pouvoir en humiliant, pense-t-elle, la femme en la forçant à lui lécher la chatte. Elle a transpiré ; elle sait que l’odeur qu’elle dégage est forte lorsqu’elle est excitée. Michelle se redresse, avance sur les genoux pour se positionner entre les jambes de Nicole. Elle approche la bouche des lèvres de la chatte odorante, pose les mains sur les cuisses…



Alors Michelle enfourne sa langue dans la vulve grasse de Nicole, saisit les petites lèvres entre les siennes en les suçant, fouille la chair dégorgeante de mouille blanche en émettant un son de clapotis, se délecte du goût qu’émet la chatte en feu qui lui est offerte.


Nicole, emportée par le pouvoir qu’elle exerce, pense lâcher un jet de pisse dans la bouche de la suceuse mais se ravise ; « Non, quand même pas ça… »



Michelle se calme, alterne entre caresses de la langue et fouille vorace de la bouche, remonte vers le clitoris qu’elle suce avec douceur. Nicole fait fonctionner son imagination ; elle aimerait que le boss et Éléanore soient là pour bien s’occuper d’elle, de ses seins, de sa chatte, de son cul… Les baisers d’Éléanore, les yeux du boss sur ses cuisses écartées, la bite du boss…


L’orgasme monte, lentement, du plus profond de son ventre, s’amplifie. Elle s’imagine à quatre pattes, le cul bien dressé, comme une femelle en chaleur excitant le mâle. Soudain l’orgasme finit par exploser en lâchant un jet de mouille qui éclabousse le visage de Michelle ; la femme frotte sa bouche contre la vulve, se barbouille le visage de la cyprine de Nicole, se délecte de son odeur forte de femme venant de jouir.