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Temps de lecture estimé : 16 mn
22/10/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Le boss emmène Nicole et Eléanore pour prendre un verre dans un lieu cossu où la luxure règne en maître. Pour y être admises, les femmes doivent porter bas et porte-jarretelles sous leurs jupes.
Critères:  fh collègues caférestau fsoumise cérébral exhib lingerie
Auteur : P-hpassage            Envoi mini-message

Série : Porte-jarretelles day

Chapitre 06 / 07
Le lounge du porte-jarretelles

Résumé des épisodes précédents :


Un déjeuner perturbant

Nicole, DAF d’une entreprise, cadre un peu coincée, est choquée par la liberté d’esprit d’Eléanore, une jeune intérimaire qui – selon ses dires – aurait une relation avec son patron, fétichiste des bas et des porte-jarretelles. Au cours d’un déjeuner au restaurant, la cadre guindée est excitée à tel point par les confidences de la jeune femme qu’elle se réfugie dans les toilettes de l’établissement pour apaiser le désir qui l’enflamme.


Des achats qui changent tout

Eléanore réussit à convaincre Nicole de porter des vêtements plus sexy. Son boss est enchanté de l’audace de cette femme habituellement austère. Il le lui prouve en posant sa main sur sa cuisse…


Le jeu des boutons

Le lundi suivant ses achats, l’esprit perturbé et excitée, Nicole arrive dans l’entreprise en tenue classe et sexy. Son boss, admiratif et satisfait, entame avec elle un jeu de domination pervers.


Visite inattendue

Le patron de Nicole lui rend une visite impromptue à son domicile ; subjugué par sa transformation, il ne peut se contrôler… et la digne femme comprend enfin ce qu’est un orgasme.


Une étrange séance autour d’une tasse de thé

À la sortie de la messe du dimanche, une chanteuse de la chorale paroissiale invite Nicole à passer l’après-midi ensemble. Autour d’une tasse de thé, la grenouille de bénitier lui confie sa dépravation tout en se mettant nue.



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Le lounge du porte-jarretelles




Nicole lui sourit… « Oui, le lundi est "porte-jarretelles day", PJD comme clame le boss. »



Eléanore s’interrompt, prenant conscience qu’elle en a déjà trop dit.



Eléanore ignore la question, et poursuit :



Nicole éclate de rire.



Eléanore prend une chaise et contourne le bureau pour s’asseoir aux côtés de Nicole. Après quelques minutes de travail, n’y tenant plus, la jeune femme pose une main sur la cuisse de Nicole.



Et Eléanore plaque une bise sonore sur la joue de Nicole, bien près, trop près de la commissure des lèvres.



Les deux femmes travaillent d’arrache-pied pour clôturer ce dossier. Elles sont constamment dérangées par des collaborateurs qui viennent les voir pour des questions futiles. En fait, ils sont plus intéressés par le physique des deux femmes que par leurs compétences. Il a suffi qu’une des employées, à l’œil averti, remarque qu’elles portent toutes deux des bas pour que le bruit se soit répandu dans l’entreprise à une vitesse vertigineuse. Les deux femmes s’en amusent, bien que Nicole peste de ne pouvoir avancer aussi vite qu’elle le voudrait.


Et puis il y a Eléanore, qui ne manque pas une occasion de coller son sein gauche contre le bras de Nicole, de lui glisser des bisous humides dans le cou, de passer négligemment sa main sur le morceau de cuisse découverte, faisant crisser le tissu du bas, effleurant le morceau de peau nue. Nicole, troublée, sent l’excitation monter en elle au fil des heures qui passent. Parfois elle repousse la main, mais finit par se laisser faire. Elle aime bien cette petite avocate stagiaire, mignonne, futée et très coquine. Et puis, elle se l’avoue, Eléanore la trouble. Une complicité les unit, suite aux évènements vécus depuis seulement quelques jours, mais tellement intimes.


La jeune femme attend avec impatience que les bureaux se vident. Elle ne pense qu’à une seule chose : faire l’amour avec Nicole. À 17 heures, elle prend comme prétexte une envie pressante pour parcourir les couloirs, vérifiant qui est encore sur place. Elles ont rendez-vous avec le boss à 18 heures ; pourvu que tout le monde soit parti…


De retour au bureau de Nicole, qui s’attache maintenant à expédier les affaires courantes, Eléanore se fait plus pressante… Elle passe derrière elle et presse son ventre contre le dossier du fauteuil. Passant les bras sous les aisselles, elle couvre le cou de sa complice de baisers mouillés ; les mains glissent vers la poitrine, englobent les seins.



Elle caresse les seins de Nicole, cherche à faire durcir les tétons à travers le tee-shirt de coton. Ce n’est pas vraiment difficile : le tissu du soutien-gorge de Nicole est tellement fin qu’Eléanore peut aisément saisir les pointes.



Eléanore se courbe et pose ses lèvres sur celles de Nicole, force la bouche à s’ouvrir. Les langues se cherchent, s’enroulent, Nicole gémit ; le baiser s’éternise… La jeune femme infiltre ses doigts dans le chemisier, les glisse sous le fin tissu du soutien-gorge et empaume les gros seins déjà durcis par l’excitation. Reprenant son souffle, Nicole fait pivoter son fauteuil pour être face à Eléanore, la regarde :



Alors Eléanore passe les mains sous sa jupe, baisse sa culotte, la retire et la pose sur le plateau du bureau.



Elle repasse la main sous sa jupe, glisse un doigt dans sa fente, le ressort et le colle contre les lèvres de Nicole.



Le baiser reprend, plus fougueux. Eléanore en profite pour remonter le tee-shirt de Nicole.



Eléanore comprend qu’elle va trop loin.



Nicole baisse la tête, abasourdie d’apprendre qu’Eléanore est au courant de la soirée de vendredi dernier. « J’espère qu’il ne lui a pas donné de détails… Les salauds ! Ils… ils… ils sont complices ! »


Il est maintenant 18 heures. Le travail terminé, Nicole s’étire, les bras tendus vers le plafond, le torse bombé. Sa pensée dérive vers la soirée qui se profile. « Qu’est-ce qui va m’arriver ? Bon, c’est vrai que je le provoque avec ces bas. Le pire, c’est que maintenant j’aime vraiment ça, l’exciter, lui montrer mes "gros nichons", ouvrir les cuisses devant lui, me faire lécher, qu’il me… »

Le boss leur a demandé de se libérer pour la soirée ; il veut les récompenser pour le travail effectué.



Et un nouveau baiser les unit, plein de tendresse et de fougue mélangées.



Dix minutes plus tard, le boss les appelle. Eléanore pénètre la première dans le bureau, tout sourire. Nicole la suit, un peu tendue ; elle sait ce qui va se produire ce soir. Elle sait qu’elle va se faire baiser. Le boss est avec Patrick, le consultant. Bien entendu, Eléanore est ravie, ne manquant pas de laisser sa jupe remonter bien haut en s’asseyant dans le fauteuil près de Patrick.



Le boss remarque immédiatement la tenue de Nicole : la veste de tailleur portée à même la peau, le soutien-gorge de dentelle largement apparent, le collier de perles s’arrêtant juste à la naissance des seins. Puis celle d’Eléanore, les cuisses croisées bien haut, exposant sans aucune vergogne la chair nue en haut des bas, les jarretelles, minaudant comme une jeune fille.



Tout en parlant, son regard va des jambes d’une femme à celles de l’autre. Un sourire satisfait détend sa mâchoire carrée, il est manifestement ravi. Patrick reste un peu en retrait, tentant de cacher son émotion à la vue des cuisses complaisamment exhibées d’Eléanore. Nicole frémit sous le regard inquisiteur de son directeur. Comme toujours en sa présence, elle se sent vulnérable. « Je suis indécente ; comment ai-je osé entrer ici dans cette tenue ? Pourvu qu’il ne fasse rien ici, pas devant le consultant… »


Eléanore, dans l’insouciance de sa jeunesse, continue son petit jeu de charme, décroisant et recroisant lentement les genoux. Mais les yeux du boss ne quittent pas le corps de Nicole. Alors elle se tourne légèrement vers Patrick, un sourire espiègle au coin des lèvres, satisfaite de l’effet qu’elle fait sur le consultant qui a enfin compris qu’elle le drague.



Dans l’ascenseur qui les mène au parking en sous-sol, le boss ne manque pas d’entourer la taille de Nicole, la main descendant lentement vers les fesses. Elle frémit, le laisse faire. « Ça y est, ça commence… »


Installés dans la voiture, le consultant et Eléanore sur la banquette arrière, Nicole ouvre légèrement les genoux. Le boss, tout en tenant le volant de la main gauche, vient de poser la droite sur sa cuisse, caressant lentement le nylon du bas, remontant le tissu de la jupe, juste un peu, s’arrêtant à la lisière du bas. « Il attaque tôt ! Et Patrick qui doit voir ce qui se passe… » Nicole ne bouge plus, les sens concentrés sur cette main qui progresse sur sa cuisse. Elle jette un coup d’œil vers la banquette arrière, découvre les deux jeunes s’embrassant. « Eh bien, la soirée démarre fort ; ils ne sont pas timides, ces deux là ! Mon Dieu, que c’est bon, sa main sur ma cuisse, ses doigts qui remontent… » La main du boss descend vers le genou, l’effleure, remonte, mais ne dépasse jamais le haut du bas. « Qu’est-ce qu’il attend pour monter plus haut ? Il sait bien que je le laisserai faire… Vas-y, touche ma culotte ! »


Soudain, un coup de frein brusque.



Elle rit, un peu bêtement. Au fond d’elle-même, elle ressent une certaine fierté de lui faire perdre ses moyens, de constater que le contrôle légendaire du boss est effrité par son charme.


Quinze minutes plus tard, la voiture s’arrête dans un quartier cossu, aux grands immeubles du dix-neuvième siècle.



Le boss les emmène face à une grande porte de bois massif, sans aucune enseigne ni plaque ; il y a juste un bouton de sonnette sur le pan de mur, sur lequel il appuie. Une femme blonde, au chignon impeccable, leur ouvre.



La femme les précède dans un vestibule, puis franchit une porte dans laquelle ils s’engouffrent. Une immense salle s’ouvre à eux : un lounge, tout en longueur, au décor résolument contemporain, aux lumières légèrement tamisées. Du côté gauche, des alcôves en demi-cercle – ou plutôt demi-ellipse – se succèdent tout au long de la pièce, sans autre séparation que le haut des banquettes de cuir noir. Sur le mur, quelques photos en noir et blanc, très belles, de jambes de femmes en porte-jarretelles et bas. Au centre de ces alcôves, des tables basses en verre sur lesquelles repose une vasque remplie de glaçons et d’une bouteille de champagne. Le mur de droite n’est qu’un long miroir couvrant la paroi en totalité. Entre cette paroi et les alcôves, un couloir de deux mètres de large parcouru par les convives et les serveuses. Le sol est fait d’un carrelage très sombre imitant du plancher.


Quelques couples sont déjà installés, sirotant un cocktail ou du champagne. Les hommes sont tous en costume-cravate. Nicole découvre que les femmes qui les accompagnent ont toutes les jambes croisées très haut, découvrant largement des bas tendus par des jarretelles. L’une d’elles, dans la cinquantaine semble-t-il, les genoux écartés et la jupe remontée à la taille, se laisse caresser la cuisse par l’homme qui l’accompagne. Une musique lancinante de lounge, accompagnée de la voix suave d’une chanteuse, rend l’atmosphère électrique. Le lieu est maintenant plein ; manifestement, l’alcôve qu’ils occupent leur était réservée.


Les femmes installées entre les deux hommes, le boss commande du champagne. Nicole, un peu inquiète, se demande dans quel endroit ils se trouvent.



Nicole trempe les lèvres dans la flûte puis fixe les bulles qui montent en éclatant à la surface du liquide. Pas vraiment à l’aise, elle décide de finir le verre d’un trait, lui rafraîchissant la gorge. Déjà l’alcool provoque en elle un léger étourdissement, lui donnant un effet de bien-être. Les cuisses sagement croisées, la jupe les couvrant presque entièrement, elle examine le décor puis, grâce à l’immense miroir qui lui fait face, les couples installés dans les autres banquettes.


L’intensité lumineuse du lounge vient de baisser légèrement. Le volume de la musique n’a pas changé, mais la voix de la chanteuse est de plus en plus suave. Bien que la décoration soit faite pour que les clients se sentent à l’aise, l’atmosphère est électrique : personne ne parle, mais chacun, chacune sait bien que quelque chose va se passer.



Nicole rougit violemment, saisit machinalement sa flûte et la vide d’un trait. « M’exhiber ? Oui j’aime ça, j’aime beaucoup ça. Mais devant tous ces gens, quand même… » Grisée par l’alcool, une excitation sourde l’enveloppe. Tout se mélange dans son cerveau : le "jeu des boutons" du boss, son exhibition dans le bureau, chez elle, la séance avec Michelle la soi-disant "femme sage" de la chorale.


Le boss tend la main vers la veste de Nicole, défait le bouton qui ferme la veste et ouvre largement les pans du vêtement, exposant le soutien-gorge de dentelle englobant les deux seins. Subjuguée, la femme n’a pas réagi.



Eléanore prend la main de Nicole, se penche à son oreille et lui murmure :



La jeune femme se lève, puis faisant face à ses trois amis, s’assoit sur la table de verre, pose les bras tendus en arrière, et ouvre largement les cuisses. Depuis qu’elle a décidé – à la demande du boss – de ne plus s’épiler la chatte, une petite touffe de poils, pas très fournie, apparaît sous le triangle du slip transparent. Les poils noirs sont plutôt épais, encore un peu courts, collés au tissu de la culotte. Elle glisse les mains sur ses hanches, tire sur les bords de sa culotte, la retire et, tout en minaudant, la donne à Patrick, qui aussitôt la porte à ses narines.



Nicole est subjuguée. « Comment Eléanore peut-elle s’exhiber si facilement ? Peut-être a-t-elle l’habitude de… avec monsieur Picard. Je ne peux pas faire ça ; j’ai déjà les seins presque à l’air, je… Oh, mon Dieu ! J’en ai envie moi aussi. J’aimerais qu’il me touche un peu avant, et… »



Il la coupe :



Alors, désinhibée par l’alcool, encouragée par l’ambiance lubrique du lieu, de nouveau quelque chose craque en elle : gracieusement, elle sort un sein puis l’autre des bonnets de son soutien-gorge et retire sa veste, exposant les deux globes aux yeux de tous. Jetant un regard à droite, elle aperçoit un couple accoudé sur la séparation des alcôves qui l’observe. Le boss, Patrick, Eléanore, tous ont les yeux braqués sur elle. Elle n’aurait jamais cru que d’être regardée puisse avoir une si forte incidence sur la montée de l’excitation. Eléanore, qui a descendu une main entre ses cuisses, fait glisser ses doigts le long de sa fente.



« Il m’a appelé "sa femelle" ; il me traite vraiment comme une salope. C’est… c’est dégradant, et excitant ! »



À la vue du sexe bien dur de son boss, elle lui tend ses seins.



Englobant les deux seins, il les fait bouger, joue avec les bouts, caresse, pince légèrement les mamelons durcis. Elle gémit, cherche le désir qu’il éprouve d’elle en le fixant des yeux.



Alors elle se lève, et fixant le boss dans les yeux, elle baisse sa culotte, la lui tend.



Puis, comme l’a fait Eléanore, elle s’allonge entièrement sur la table de verre et ouvre largement ses cuisses, offrant son intimité aux yeux de tous. « Mon Dieu, je suis folle de faire ça… Je suis devenue une dépravée, comme eux tous ! Je voudrais qu’il me lèche, ce salaud… »


Eléanore la regarde, puis s’adressant au boss :



Il l’observe, sans bouger, la queue à l’air. Les secondes s’écoulent. Ouverte, impudique, aux yeux de tous, Nicole est dans un état d’excitation à la limite du délire. « Les salauds, les salauds… Ils voudraient tous me baiser… baiser la salope ! » Sous la pression des regards, elle a la sensation que sa chatte dégouline ; le liquide s’écoule, humidifiant la raie des fesses. Enfin il se courbe, agrippe les cuisses gainées de nylon, colle sa bouche sur la fente aux lèvres boursouflées et gorgées de mouille. Nicole gémit, caresse les cheveux de l’homme qui la lèche. Eléanore se penche vers elle et l’embrasse fougueusement.



Puis elle se redresse, fixe Patrick :