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n° 17067Fiche technique20186 caractères20186
Temps de lecture estimé : 12 mn
13/10/15
Résumé:  Une partie de pêche en mer qui devient vite lascive...
Critères:  hh hbi grossexe bateau nudisme nopéné
Auteur : Bantou            Envoi mini-message

Série : Mundele

Chapitre 02 / 15
Sortie en mer

J’ai rencontré Alban il y a quelques jours dans un restaurant de Pointe-Noire, au Congo où je suis arrivé quelques semaines plus tôt (La Paillotte, Pointe-Noire, RPC). Discrètement, il m’a dragué. Cet homme m’a impressionné ; j’ai promis de lui téléphoner.


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Sortie en mer



J’ai retrouvé le numéro de téléphone d’Alban. Je voulais l’appeler ; plusieurs fois j’ai failli le faire, mais au dernier moment je reculais. Maintenant cela devenait une nécessité car j’avais vraiment envie de le revoir.

Entre-temps j’ai parlé avec Diane au téléphone mais ne lui évoquai pas ma rencontre avec Alban. Je ne voulais pas l’inquiéter ; par contre, elle s’inquiète pour moi car je travaille trop, dit-elle.

Je lui parlerai d’Alban plus tard si nécessaire.

C’est décidé, je l’appelle demain.



Je lui donne mon numéro à la case.


Le lendemain, je me presse de rentrer à la case, prends une douche en vitesse, et à l’heure dite je suis planté devant le téléphone dans l’attente de son appel.

Pourvu que les orages ne coupent pas les lignes (cela arrive souvent). Va-t-il sonner, ce foutu téléphone ? Il sonne enfin ; je tends le bras pour décrocher et m’aperçois que je n’ai pas mis ma chemise favorite pour traîner à la maison. Je suis nu et je vais parler à Alban ! Encore une sonnerie. Je décroche, la main peu assurée et la voix aussi.



Le ton de sa voix était devenu chaud ; il prononçait lentement les mots en les détachant bien, marquant une pose plus prolongée après « tout nu ». Il n’est pas féticheur mais était bel et bien en train de m’envoûter. Mon « frisson signal » lance l’alerte : mes tétons durcissent et une sensation chaude et agréable parcourt mon sexe frémissant dans sa liberté.



S’il pouvait voir l’effet réel, il en serait le premier surpris.



Il raccroche, et moi je me retrouve là, à poil, le combiné à la main, tout chamboulé par cette conversation aux parfums érotiques.

Je passe la soirée sans aucun vêtement, y compris sur la terrasse où je me caresse le sexe et les tétons, imaginant que ses yeux traînent par là.


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Le samedi arrive enfin.

Je retrouve Alban comme convenu à La Paillote et nous prenons la route du port non loin de là. J’avais pris un sac avec quelques effets : maillot de bain, serviette et chemise de rechange. Pendant le trajet, Al est silencieux mais tout souriant. Il jette souvent un œil sur moi, me détaillant progressivement. Je porte un short, et il regarde souvent mes jambes.



Notre conversation s’arrête car nous arrivons au bateau.

Le « patron » nous accueille :



Puis il s’adresse à Alban :



Jules est grand, fortement charpenté et musclé. Sa peau est d’un noir mat et profond. Il doit venir de la forêt et non du bord de mer il ; est peut-être Téké ou Mbosi.

Abdou est fin comme une canne à pêche, grand, les muscles saillants sous son tricot troué et trop serré, comme son short d’ailleurs ; son teint est semblable à celui d’Alban, comme lui il doit être Vili.

Léon est court, massif, le nez fortement épaté. Il doit aussi provenir de la forêt, mais plus au Nord : la Likouala ou le Pool Ouest, comme le montre son teint marron mat. Ses vêtements sont aussi troués que ceux d’Abdou ; son short est déchiré, laissant deviner qu’il ne s’encombre pas de sous-vêtements.

Tous trois me regardent comme un agneau qu’ils vont dévorer. Ils doivent penser « Il doit être bon à baiser, le mundele (petit Blanc) ! »


Jules intervient :



Les moteurs lancés, les aussières larguées, nous nous éloignons à faible vitesse vers la sortie du port, puis cap nord-nord-est vers le large de la Pointe Indienne. Après avoir franchi les bouées du port, le patron pousse les moteurs et nous prenons de la vitesse. Le vent relatif fait grand bien en ce début de saison des pluies.


Les deux matelots s’affairent à ranger les aussières et pare-battages. Je suis à l’arrière avec Alban, assis sur une banquette. Le vent fait claquer nos chemises à demi ouvertes, me caressant les tétons. Alban remarque leur proéminence ; il a maintenant son regard planté dans le mien.

Nous sommes tous deux silencieux. Il sait qu’il me trouble, et je sens qu’il me désire, chose dont je n’avais pas pris conscience avant. Il pose sa main fine et longue sur ma cuisse, à la lisière de mon short. Je sens la chaleur de ses doigts. Je passe mes bras en arrière sur le dossier et penche la tête en arrière en fermant les yeux. Je lui offre la vision de ma poitrine, tétons bandés. Sa main se fait plus douce sur ma cuisse et remonte imperceptiblement et assez pour sentir que je bande très fort.



Ces quelques mots et son souffle chaud me font ouvrir les yeux ; et, les plantant dans les siens, je lui dis :



Le temps semblait arrêté, mais le patron, du haut de sa passerelle, nous hèle :



Il nous matait depuis là-haut, et ses matelots n’avaient pas manqué la séance non plus.

Deux cannes à pêche sont mises en œuvre pour Alban et moi. Les appâts sont préparés et les lignes sont mises à l’eau. Abdou et Léon nous font une démonstration des gestes à accomplir si un poisson mord à l’hameçon.



Pour cette démonstration, Abdou est derrière Alban, et Léon derrière moi.

Ce dernier me colle, car pour m’initier à l’utilisation de la canne il avait passé ses deux bras autour de moi pour la saisir. Il me colle très fort, le bougre ! Je sens son haleine fétide et une forte odeur de mâle pas frais dans ma nuque.

Ce que je sens encore le plus, c’est sa canne à lui, et je peux dire que si c’est une canne à pêche, il est monté très fort ! Une canne ? Plutôt un gourdin qui pousse entre mes fesses. Pour me faire la démonstration complète, il simule la prise d’un gros poisson et force en tirant en sur la canne été en se basculant en arrière. Je suis le mouvement et me retrouve presque assis sur lui, et là je la sens bien, sa grosse bite !

Pas de gêne chez lui : il donne des coups de reins comme s’il forçait en tirant sur la canne. Le rouge m’est monté aux joues. Alban nous remarque, visiblement amusé par la situation : remarque la situation.



Léon rectifie la position, moi mon short qui avait été malmené. Un coup d’œil en arrière : je vois le sexe de Léon qui dépasse de son short déchiré. Bon sang, quelle matraque ! Heureusement qu’aucun poisson ne vient mordre à ma ligne car mon esprit surfe plutôt sur la vague de désir qu’il n’est concentré sur la pêche. Alban, qui avait remarqué mon trouble, me fait un grand sourire, les yeux dirigés vers mon cul. Il doit se dire à ce moment « Le petit Blanc, il est mûr pour une grosse bite d’Africain… », ce qui n’est pas loin de la vérité car depuis ce matin je suis sous forte pression érotique, et à un moment ou un autre la pression lâche !


La pêche continue, mais sans aucune prise. Le temps devient long. Alban me regarde de temps à autre pour un sourire, un clin d’œil et retourne à sa ligne.

Après une heure sans aucune touche – je ne parle pas de celle de Léon – le patron ralentit son bateau et vient nous voir.



Alban me regarde d’un air interrogateur.



Ouf ! Je commençais à m’ennuyer.


Les cannes sont rangées et on fait route vers la côte à belle allure, où nous arrivons quelques minutes plus tard. Le patron manœuvre pour mouiller la « pioche » (l’ancre, chez les marins).



Je vais dans la cabine mettre mon maillot de bain et prendre une serviette. J’ouvre mon sac et m’exclame :



Je suis pantois d’indécision et d’admiration devant le corps nu d’Alban. Qu’il est beau ! Je ne peux m’empêcher de baisser les yeux vers son sexe. Magnifique ! Il est de belle taille, long et épais à la base, plus fin à l’extrémité où rayonne un gros gland, pointu et légèrement rosé. Ses testicules sont très gros et sans poils ; il en a très peu sur le corps d’ailleurs.



Je suis hésitant. Et puis zut, j’ai déjà fait du naturisme.



Je baisse mon short et mon string.



Nous sortons nus sur le pont pour piquer une tête dans la mer. Les deux matelots, les yeux exorbités, me lancent des regards qui me brûlent les fesses.



Ni une ni deux, ils se mettent à poil eux aussi et se préparent à plonger, exhibant leur grosse queue à moitié bandée car ils mataient dans la cabine depuis un moment, les sagouins !


Nous sautons à l’eau, et mes trois compagnons de baignade se regroupent autour de moi ; ils me chahutent en jouant. Abdou plonge devant moi, m’exhibant sa paire de couilles entre ses fesses lisses et musclées ; il refait surface derrière moi. Sa queue glisse entre mes jambes et vient se loger entre mes fesses comme la crosse d’appontage d’un avion qui vient se prendre dans le brin d’arrêt d’un porte-avions. Il m’attrape par les hanches ; il est très excité, le bougre, mais sous l’eau rien ne se voit.

Alban est devant moi et me colle aussi ; je sens un délicieux début de raideur contre mon ventre.


Alban et Abdou me manifestent leur intérêt de façon très significative : ils auraient envie de me baiser que cela ne m’étonnerait pas…

Alban attrape mes tétons, Abdou ma bite toute raide. Je suis pris en sandwich par ces deux mâles très attentionnés. Je me dégage en levant les bras et en me laissant couler, parcours quelques mètres et fais surface en direction de la côte. Alban me rejoint en quelques brasses ; il est bon nageur lui aussi.

Abdou est distancé, et Léon patauge non loin du bateau. Alban et moi nageons côte à côte ; il est visiblement heureux de ce moment. Je partage avec lui ce bonheur par un regard complice et déjà amoureux.


Un coup de sirène retentit : cela vient du bateau. Le patron nous fait signe de revenir rapidement à bord. Je vois Abdou et Léon rejoindre le bord en faisant beaucoup de bruit avec leurs mains, comme apeurés. Nous rejoignons nous aussi le bateau.



Il fait encore chaud ; je décide d’aller prendre le soleil sur la plage avant. En me dirigeant vers la cabine pour reprendre mon short, Alban me prend par la taille.



Et nous allons tous les deux à l’avant nous allonger côte à côte prendre les derniers rayons de soleil de la journée. Les matelots sont au casse-croûte ; manger n’est pas dans nos préoccupations du moment.

Mes yeux sont rivés dans les siens. Alban pose sa main sur mes cheveux et me les caresse avec douceur. Sa main descend et m’effleure le téton droit ; un profond frisson me parcourt tout le corps.



Sa main continue de descendre, contourne lentement ma hanche et vient s’arrêter sur mes fesses.



Sa longue queue a comblé la distance qui sépare nos corps et vient battre contre mon ventre. Ses doigts parcourent la raie de mon cul. Imperceptiblement j’écarte une jambe, m’ouvrant un peu plus. Son majeur est maintenant sur ma rondelle qu’il caresse délicatement. Il se fait de plus en plus pressant, entrant plus loin dans mon cul.



Je me rapproche d’Alban pour lui donner mes lèvres ; sa langue est délicieuse.



Nous partons tous les deux dans notre trip amoureux et en oublions la réalité. Celle-ci nous rejoint un peu brutalement ; le patron nous interpelle :



Encore un baiser enflammé et nous allons à l’arrière nous vêtir.

Il fait un peu frais soudainement… quand la fièvre retombe.


La nuit est là maintenant. De retour à ma case où Alban m’a ramené, il me prend par la main et approche son visage du mien.



Je lui fais un baiser furtif sur les lèvres (nous sommes dehors dans ma cour, et j’ai peur d’être aperçu par mes voisins).




[à suivre]