n° 17080 | Fiche technique | 44618 caractères | 44618Temps de lecture estimé : 26 mn | 20/10/15 corrigé 07/06/21 |
Résumé: Après une journée en mer, Alex est invité le soir même chez Alban. Il y découvre les amis d'Alban à la sexualité débridée et se donne à Alban pour devenir sa femelle : Alexandra. | ||||
Critères: hh hhh couleurs grossexe hépilé piscine fellation pénétratio hdanus hsodo | ||||
Auteur : Bantou Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
J’ai rencontré Alban il y a quelques jours dans un restaurant de Pointe-Noire, au Congo où je suis arrivé quelques semaines plus tôt ; cet homme m’impressionne et me plaît (La Paillotte, Pointe-Noire, RPC).
Alban m’a invité à une sortie en mer. J’ai découvert son corps sublime et sa belle queue. Il a envie de me prendre comme une femelle, et je n’attends que cela (Sortie en mer).
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Alban est parti. J’ai deux heures pour me préparer à cette soirée.
Il m’a demandé de me faire sexy. Pourquoi donc ? Pour lui plaire : je ne vois que cette explication. Je vais à la douche et me lave à fond l’extérieur et aussi l’intérieur. Mes anciennes habitudes avec Jean, qui était intransigeant avec l’hygiène, me reviennent.
Je me sèche et me pare d’un léger nuage d’eau de toilette aux parfums floraux.
Comment vais-je m’habiller sexy ? Je profite du temps qui me reste pour prendre un peu de repos sans oublier de mettre la sonnerie de mon réveil à sonner trente minutes avant que l’on vienne me prendre. Bien fait car je m’endors.
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La sonnerie retentit, me tirant d’un sommeil profond. En une fraction de seconde je me remets dans la réalité : la journée en mer, la soirée qui est prévue ce soir chez Alban et cette question non résolue : que vais-je mettre comme vêtements ?
Je passe devant la glace et me regarde quelques instants. Alban m’a dit tout à l’heure : « … comme la femelle que tu es ». « Tu t’épiles comme les femelles, tu as des gros tétons comme une femelle, tu as un cul de femelle et tu as envie de te faire baiser comme une femelle… » dis-je à voix basse en me regardant.
Une chemise fine et légère comme de la gaze et un pantalon aussi léger en lin, voilà ce que je choisis. Et en dessous du pantalon ? Je pense aux petites culottes en dentelle que Diane m’a offertes. Elle me demandait parfois de les porter, y compris au travail en France. Quelquefois elle me faisait aussi porter en public de ses culottes à elle. « Cela te rappellera qu’il y a une partie de toi qui est femelle. » disait-elle.
Dans le tiroir, l’une est jaune pâle, les autres bleu ciel, rouge et blanche. La blanche est de rigueur sous un pantalon blanc ; les autres seraient trop voyantes avec un pantalon peu opaque, d’autant qu’il n’a pas de poches à l’arrière. C’est une culotte genre tanga dont la dentelle souligne bien les fesses mais disparaît rapidement entre celles-ci. Cela devrait être assez discret.
Il me reste à peine dix minutes ; j’enfile ma petite culotte, ma chemise, le pantalon, mets mes sandales et attrape un pull. Un coup d’œil rapide dans la glace. Horreur ! Mes tétons se voient sous la chemise ainsi que la dentelle blanche sous le pantalon pas assez opaque.
Tant pis ! Il avait dit « sexy ». C’est fait.
J’entends une voiture entrer dans la cour de la case. Une portière claque, des pas crissent sur le gravier ; je vais à la porte et ouvre avant que mon visiteur ne toque.
Je le détaillais autant qu’il me scrutait. Ce Black est vraiment très beau et… très efféminé. Ses traits sont fins, sa peau lisse et luisante sous une chemise ouverte. Il a les cheveux ras et ne semble pas avoir de poils ni de barbe. Il porte un short genre latex, moulant au plus près sa queue qui se dessine en relief. Ses fesses sont rebondies comme les miennes et ses jambes sont fines et bien dessinées. C’est une belle créature.
Jean-Gab est volubile et fait des grands gestes en conduisant. Il parle de l’amour, des hommes, du sexe… Nous roulons vers la Côte Sauvage à bonne allure ; Jean-Gab conduit vite, peut-être trop : on ne va pas échapper à un contrôle de police ou de la milice. Nous traversons des quartiers résidentiels, passons devant la résidence du président de la République. Les bords de mer sont très animés ce samedi soir, l’ambiance est à la fête. Pas de contrôle : tant mieux.
Nous arrivons dans un quartier résidentiel près de l’océan. Jean-Gab entre dans une propriété plantée de palmiers. La maison apparaît vaste et basse. C’est une construction moderne.
Nous descendons de la voiture et Jean-Gab me guide vers la terrasse de la villa faisant face à la piscine où Alban nous attend, entouré de ses invités.
Il me prend par la main droite et me fait avancer vers ses amis ; ils sont cinq. Ils sont tous blacks, sauf une des deux femmes qui est métisse.
Les autres me saluent aussi.
Alban a des amis étranges et pour le moins très différents les uns des autres.
Oscar, un homme mûr, visiblement très proche d’Alban, est calme. Il dégage une puissance naturelle. Il doit avoir une force mentale supérieure. Il est grand et très musclé. C’est une force de la nature.
Zoé – la métisse – est une grande femme d’une trentaine d’années, svelte, fine avec une belle poitrine justement proportionnée à sa taille. Ses fesses sont musclées et plus « européennes » que celles des « mamas » africaines. Ses jambes sont longues et fines. Elle est naturellement élégante. Son regard est pénétrant, presque froid. Elle porte une robe-fourreau assez courte d’un rouge profond.
Léa est une jeune et jolie Black un peu ronde d’un mètre soixante-dix environ. Elle est effacée ; d’ailleurs elle baisse les yeux quand je la regarde. Elle porte aussi une robe-fourreau, mais jaune, très courte, et largement décolletée. Elle ne porte pas de soutien-gorge, mais par contre – et cela m’étonne – elle porte un collier jaune muni d’un anneau comme les colliers pour les chiens ou pour les soumises et les esclaves sexuels. Une petite médaille pend à l’anneau.
Pourquoi un collier sans chaîne ? Un bref retour sur Zoé pour découvrir la chaîne équipée d’un mousqueton autour de sa taille en guise de ceinture. Elle est donc dominatrice, une Maîtresse.
Quant à Nestor, c’est un jeune Black d’à peine vingt ans. Il est beau comme un dieu. Pas très grand mais joliment proportionné, il semble aérien, léger comme une plume. Il est habillé très sobrement d’un pantalon noir ample et d’une chemise blanche ouverte sur une jeune poitrine dépourvue de poils. Ses chaussures noires sont d’un éclat exceptionnel. Il est réservé et ne semble pas connaître tout le monde.
Nestor porte aussi un collier, le même que celui de Léa mais noir avec des clous, muni lui aussi d’une médaille. Je suis curieux de savoir s’il y a une inscription sur la médaille. Appartient-il à Zoé, ou est-ce une coïncidence ?
Reste Jean-Gab, dont j’ai fait la connaissance avant les autres. Il fait vraiment homo et ne s’en cache pas. Il tortille des fesses et a des gestes précieux, mais au final il est très sympathique.
Il y a encore un personnage présent ce soir : c’est le boy à tout faire d’Alban. Je l’aurais vu en premier, j’aurais compris tout de suite le ton donné à la soirée. À ma grande surprise, je découvre qu’il porte un tablier blanc de soubrette et… c’est tout. Son nom est Bernard.
Il m’emmène à l’intérieur. Nous parcourons un long couloir et entrons dans le salon duquel on aperçoit la terrasse sur la droite et la piscine au fond du jardin. Les invités se sont servis à boire, quelqu’un met de la musique zaïro-congolaise.
Le tour est bref : Alban ferme la porte derrière nous, me prend les deux mains, me lève les deux bras en les écartant et en me plaquant contre la porte. De ses deux genoux il écarte les miens ; je m’ouvre. Je suis sur la pointe des pieds, écartelé et plaqué à la porte. Son attitude est dominatrice, mais ses gestes sont mesurés. Je me laisse aller à son long, très long baiser. Il m’envahit la bouche de sa langue inquisitrice, nos salives se mélangent : je m’abandonne à lui.
Ses mains descendent le long de mes bras, passent sur mes épaules et s’arrêtent sur ma poitrine. Il a ouvert ma chemise. Mes bras tombent sur ses épaules et se nouent autour de son cou. Ses doigts s’emparent de mes tétons simultanément, il me les pince doucement en les faisant rouler. Je pousse un gémissement de plaisir, ma bouche fouillée dans les moindres recoins par sa langue.
Ses mains continuent à descendre, abandonnant à mon regret le travail de mes tétons si sensibles. Il relâche la pression de ses genoux et me prend les hanches. Sa bouche quitte la mienne et parcourt mon cou, mes épaules et mes lobes d’oreilles. Quel délice ! Je suis complètement abandonné à ce mâle viril.
Ses mains quittent mes hanches pour les contourner et se glisser dans mon pantalon qu’il a écarté et baissé. Alban devient moins dominateur car il sait que je n’offre pas de résistance. Il est doux maintenant. Il me caresse les fesses. Mon pantalon descend, ses mains sont sur ma petite culotte.
Ce qualificatif que je pourrais considérer à connotation raciste m’apparaît affectif et me séduit au plus haut point.
Je m’éloigne un peu de lui et tourne gauchement sur moi-même. Je n’ai pas l’habitude des défilés de mode pour sous-vêtements coquins.
J’obéis. Il place sa main gauche derrière ma tête et m’attire à lui vers ses lèvres, ses yeux rivés aux miens. Sa main droite descend vers mon sexe tendu comme un arc. Du dos de ses doigts il me caresse le bas-ventre, l’aine et le haut des cuisses. Mon bas-ventre est en feu, mon anus palpite. Je dois mouiller d’excitation.
Et il m’embrasse cette fois-ci avec une grande douceur, comme pour me récompenser.
J’obtempère malgré la terrasse proche et le risque que quelqu’un nous voie de l’extérieur. Le pantalon est enlevé.
Je glisse à genoux, pose mes mains sur ses hanches, caresse ses fesses dures et musclées et fais descendre son boxer lentement, pour profiter de chaque seconde qui dévoile ce superbe membre que je convoite depuis ce matin sur le bateau. Au diable le voyeur éventuel !
Il m’apparaît à quelques centimètres de mon visage, majestueux et beau, long et fort. Je pose mon visage dessus pour le sentir vibrer sur ma joue. Je suis aux anges.
Le sexe me manquait ces dernières semaines, mais j’étais loin de penser que je serais à quelques centimètres d’une grosse queue africaine, sans nul doute tout disposé à lui prodiguer toutes les caresses possibles et même à en inventer, avec le plus grand des plaisirs.
J’obéis et la caresse d’abord avec ma joue, puis avec mes mains. Cela fait une éternité que je n’ai pas pris en bouche une bite. Je réapprends. Je happe son gland ; il est épais, mais fin à son sommet. Je l’enfonce dans ma bouche puis dans ma gorge ; je le sens palpiter.
Je l’enfonce encore comme pour tester mes capacités. Je ne l’entrerai pas en entier, il doit bien faire six centimètres à la base. Je reviens sur son gland et je le pompe avec de lents mouvements de succion. Je le ressors de ma bouche, lui caresse le frein de la pointe de ma langue et le reprends en bouche pour me l’enfoncer aussi loin que je peux. Je fais un passage sur ses grosses couilles pendantes bien lisses, je les lèche et les suce, les prenant tour à tour dans ma bouche. J’essaie de prendre les deux mais elles sont trop grosses. Je reviens à son gland que je pompe plus rapidement.
Alban respire de plus en plus fort. Il a pris ma tête de ses deux mains et accompagne maintenant mon hochement de tête par des mouvements de bassin. Il a compris que je ne pourrai pas lui faire une gorge profonde comme il aime. Il accélère la cadence. Il me baise la bouche, il me travaille méthodiquement, mécaniquement. Ma bouche est une chatte gluante qu’il baise de plus en plus rapidement. Je suis attentif à son plaisir. Sa queue grossit et durcit de plus en plus dans ma bouche : peu d’espace reste disponible. Je bave, mes yeux pleurent, mais je reste concentré sur le plaisir de ce mâle que j’ai maintenant envie de boire.
Je sens son plaisir monter ; sa queue tressaute, et c’est l’explosion. Il me lâche cinq grosses giclées de sperme épais et brûlant en hurlant :
Son cri est fort et prolongé comme le cri du mâle qui vient de saillir sa femelle.
Les autres ont dû entendre.
Ma bouche est pleine de son foutre ; il est bon et légèrement salé : j’adore ! Je regarde le mâle dans les yeux en entrouvrant la bouche.
La bouche pleine, je ne peux pas lui répondre mais je n’ai aucune intention de perdre ce bon sperme. Je déglutis lentement par petites quantités, toujours mes yeux dans les siens. Je fais durer le plaisir d’un si bon nectar. Il me caresse doucement la tête.
Content de ce compliment, je suis heureux, fier de lui plaire et de lui donner du plaisir. Cet homme m’a comme envoûté.
Après cet intermède qui a duré une bonne heure, nous remettons nos vêtements et allons rejoindre les autres. Si l’ambiance était très « hot » dans le salon il y a quelques instants, ce qui me tombe sous les yeux en arrivant sur la terrasse est à agrémenter d’un coefficient dix !
Nestor est pris en sandwich entre Oscar derrière et Jean-Gab devant. Tous trois dansent un Tao Tao langoureux. Jean-Gab a pris la bouche de Nestor et lui roule une grosse gamelle baveuse. De sa main droite il branle la bite dressée de Nestor, et de la gauche il lui torture un téton.
Oscar les serre tous deux de ses bras puissants. Nestor et Jean-Gab ondulent ensemble, bercés par le rythme de la musique mais aussi par celui de la main de Jean-Gab sur la queue de Nestor. Oscar, lui, n’ondule pas mais a plutôt un lent mouvement alternatif d’avant en arrière comme s‘il était en train d’enculer le jeune Nestor. Le visage réjoui de Nestor le laisse penser fortement. Mais comment cela se peut-il ? Même si sa braguette est ouverte, Nestor porte bien un pantalon. L’énigme ne dure pas car Oscar se détache du couple, laissant apparaître une bite énorme et bandée qui se replante aussitôt et vivement dans le cul de Nestor qui, sans retenue, feule de plaisir.
Le petit Nestor se fait prendre le cul par son pantalon fendu ! C’est la seule explication. Sûrement une idée de Zoé !
Il ne faudra pas attendre longtemps pour que le rythme du trio dépasse celui de la musique et qu’Oscar explose dans le cul de Nestor dans un grand cri de rut. Jean-Gab, sérieux finisseur, se met à genoux et termine Nestor à la bouche. Le jeune enculé doit lui mettre une sacrée dose car Jean-Gab manque de s’étouffer. Elle ne doit pourtant pas être à sa première pipe, la lopette de service ! Consciencieux et très gourmand, il avale tout.
Alban et moi sommes là à contempler le tableau digne d’un bon porno. Il s’éloigne vers Oscar, qui a entre-temps rangé son outil à démonter le cul d’apprenti lopette. Ils discutent.
Je me suis servi à boire, non pas par soif mais pour me rincer la bouche que j’ai un peu pâteuse. Le foutre d’Aban est très « attachant » ; j’en ai encore entre les dents, et cela me procure un effet particulier de garder aussi longtemps le jus d’un mâle en bouche.
Alban a raison : je suis une femelle à bites.
Alban et Oscar parlent toujours ensemble ; Oscar, tourné vers moi, me regarde longuement. Alban est-il en train de lui raconter que je l’ai sucé à fond ?
Nestor, revenu de sa grosse enculade avec Oscar, se dirige vers Zoé la tête baissée. Léa est aux pieds de sa Maîtresse, les cuisses écartées, se masturbant le clito sur ordre de sa Maîtresse.
Ils ne sont pas loin et je m’assieds pour les écouter.
Zoé attache Nestor comme un chien et le fait mettre à quatre pattes.
Le chien lèche le cul de la chienne qui suce la chatte de sa Maîtresse !
Alban et Oscar, toujours le regard dirigé vers moi, ne parlent plus et viennent à ma rencontre. Léa gémit, l’anus perforé par la langue énergique de Nestor qui, à quatre pattes, laisse voir sa fente, ou plutôt ses deux fentes dont l’une dégouline d’un liquide blanchâtre que je devine être le foutre d’Oscar.
Zoé, proche de la jouissance sous les caresse de sa soumise Léa, la repousse.
Alban m’a rejoint et lance :
Personne ne pose de question ; les trois s’en vont. Alban à une autorité certaine sur ces gens ; il semble être un homme de pouvoir.
Zoé a remis de l’ordre dans sa tenue.
On se sert un verre, nous grignotons quelques snacks en commentant les ébats de nos amis alors partis. Alban me pose la main sur une fesse en signe de possession.
Tout de go, Zoé me fait :
Je rougis, surpris par la question indiscrète.
Instinctivement, je passe ma langue tout autour de mes lèvres pour enlever toute trace.
De nouveau je rougis jusqu’aux oreilles, surpris qu’Alban confie indirectement à ses amis que je l’ai sucé et fait gicler dans ma bouche.
La nuit est claire, il fait chaud et humide. La saison des pluies est maintenant installée. Alban m’entraîne au fond du jardin vers la piscine.
Alban se déshabille entièrement. Je ne peux une fois de plus m’empêcher de regarder son sexe. Il est beau. Je me dénude aussi. Nous allons à l’eau ; quelques brasses, et Alban me prend dans ses bras pour m’embrasser fougueusement.
Nous remontons sur le bord de la piscine nous allonger sur les matelas ; Alban bande très fort. J’ai envie de son sexe.
A peine allongés, il se positionne en face moi sur le côté. Sa bite est à portée de main : je la prends et la masturbe doucement et délicatement. Elle est grosse, mais j’en ai envie. Comme ce matin sur le bateau, il pose sa main sur mes hanches puis mes fesses. Son index gauche vient naturellement chercher ma rondelle qui palpite déjà d’envie. Je mouille du cul. Il le sent bien ; son doigt, puis deux glissent dans mon anus sans difficulté. Je pousse pour m’ouvrir un peu plus. Il continue son massage à deux doigts un long moment. Mon anneau s’assouplit de plus en plus. Ma mouille facilite les choses. Un troisième doigt se faufile entre les deux autres. Je m’ouvre de plus en plus. Alban me murmure à l’oreille des propos salaces concernant mon cul, sa grosse bite…
Alban tend le bras et attrape une clochette qu’il agite. Le tintement fait rappliquer Bernard, le boy. La vue de mon cul pris par trois doigts de son patron le fait bander et soulever son petit tablier blanc.
Entre-temps, Alban m’a mis sur le ventre, écarté les genoux et glissé un coussin sous mon ventre. Il approche son visage, me plante sa grosse langue dans le cul et me caresse la rondelle, me tirant des gémissements.
Le boy revient en courant avec le gel et tend le pot à son patron. Sa bite est droite devant lui. Quel tableau ! Il repart, s’arrête derrière des arbustes et se planque pour mater sans doute et se branler le cocotier. Voilà un boy très particulier : il serait intéressant de connaître les détails de son embauche !
À mon grand regret, la langue d’Alban quitte mon anus. Il a ouvert le pot de gel, plonge les trois doigts dedans et les ressort enduits d’une épaisse couche de gel en direction de mon cul. Le massage reprend, visant à distendre ma rondelle pour que je puisse prendre son gros calibre sans me faire déchirer.
Cela fait plusieurs années que je ne me suis pas fait enculer par un homme. Diane m’a plusieurs fois doigté le cul et parfois branlé avec un gode, mais jamais je n’avais été en situation de connaître une si grosse bite. Jean était bien monté et me faisait jouir du cul, mais là, c’est la grande aventure ; la grosse aventure, devrais-je dire.
Les doigts de mon perforateur de cul blanc coulissent maintenant aisément dans mon puits qui s’élargit. Un quatrième doigt volontaire pour descendre à la mine rejoint ses camarades de jeu. Je gémis de plus en plus.
Ce travail préparatoire achevé, je sens que le moment tant attendu mais aussi redouté arrive. Alban me met sur le dos, relève mes jambes et les pose sur ses épaules ; le coussin retrouve sa place sous mes fesses. J’ai la vue sur ma queue raide et douloureuse et sur celle d’Alban, énorme, dressée, dont le gland maintenant rouge dépasse largement son nombril.
Il lève la main, faisant un signe à Zoé et Oscar d’approcher. Ils sont là derrière moi, me surplombant, impudique, le cul ouvert et les jambes grandes écartées.
Leur présence m’indiffère presque : je suis sur mon nuage. Peut-être est-ce un rituel !
Alban positionne son gland sur mon anus dégoulinant de ma mouille et de lubrifiant. J’aime me sentir le cul ouvert et mouillé. Son gland entre de quelques millimètres dans mon fondement et s’y immobilise, comme pour attendre le signal d’entrée.
Je n’avais pas fini de répondre qu’il m’avait déjà enculé jusqu’aux couilles, soudainement, énergiquement, d’un mouvement ample et puissant. L’air me manque ; la bouche grande ouverte, les yeux exorbités plantés dans les siens, je suffoque presque, tellement l’assaut de son glaive ardent a été violent. J’héberge maintenant un gourdin brûlant de 27 cm dont la base de 6 cm de diamètre est en train de m’irradier l’anneau tellement il est distendu. La déferlante de douleur monte jusqu’à ma tête et déclenche une vague de tremblements d’une fièvre jusqu’alors inconnue. L’effet de surprise passé, je savoure ce moment, certes douloureux, mais qui me remplit de joie tellement j’ai désiré ce sexe en moi.
La bite énorme et tant attendue d’Alban est fichée dans mon corps et continue de raidir et grossir. Je sens ses grosses couilles pendantes entre mes fesses épilées. Il ne bouge pas, les yeux toujours rivés dans les miens. Zoé et Oscar sont toujours là ; ils m’ont vu me faire embrocher comme un poulet, ce qui taquine mon côté exhibitionniste.
Je me répète ce que je viens d’entendre : je suis sa femelle, et il m’appelle Alexandra.
Le passé où je faisais la petite fille, celui où j’avais servi de femme à Jean me revient comme une énorme évidence. Alban a bien décrypté mon code sexuel : je suis une femelle.
Je sentais depuis longtemps cette tendance. Aujourd’hui c’est fait. J’en suis une, et devant témoins je me suis donnée à cet homme que je désire tant.
Zoé me donne un baiser sur les lèvres, Oscar passe sa main sur ma joue.
Ils partent et nous restons seuls au bord de la piscine, intimement liés par le sceptre brûlant de mon mâle planté dans mon ventre de femelle aimante.
Alban s’allonge sur moi, attrape mes lèvres pour un long baiser, et pesant de tout son poids commence à me posséder d’un mouvement lent et puissant. Je sens coulisser grassement sa grosse queue dans mon anus dilaté ; serait-elle encore plus grosse que je me serais ouvert encore plus.
Il me besogne lentement, régulièrement et puissamment, attentif à mon plaisir et à mes réactions. Il me possède à fond de toute la longueur de son sexe, de son gland presque sorti de mon cul jusqu’au fond de mon ventre à claquer le sien contre mes fesses trempées pendant de longues, très longues minutes.
Je commence à ressentir le plaisir poindre. Je gémis. Alban augmente la cadence ; je gémis de plus en plus.
Il accélère ses va-et-vient. Il me bourre le cul depuis au moins vingt minutes. Je couine de plus en plus fort, mon cul me chauffe ardemment, le plaisir né au creux de mon ventre s’amplifie de plus en plus ; maintenant je crie :
Alban, à l’affût de mon extase proche, accélère encore le mouvement ; il transpire à grosses gouttes. Mes bras se nouent autour de son cou, je bois sa sueur, je le lèche, je l’embrasse.
Mes jambes sont maintenant autour de ses reins, je ne sais plus où je suis. Ce type me rend fou ! Ma tête dodeline d’un côté à l’autre, je perds le contrôle de moi-même. Encore quelques coups de reins dans mon cul dégoulinant et j’explose. Le plaisir me fauche dans un formidable jaillissement d’étincelles m’envahissant la tête.
Je perds connaissance.
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Le baiser d’Alban me fait revenir à moi. Il ne dit rien mais me regarde intensément. Il doit être étonné que je puisse jouir du cul aussi fort. Je le suis aussi ; cela fait plusieurs années que je n’ai pas joui comme cela.
Alban est toujours en moi et n’a pas joui. Il sort sa belle queue de mon ventre et s’allonge à côté de moi.
Je prends sa belle bite toute gluante de ma mouille et la lui nettoie en lapant par petits coups de langue, principalement sur le gland. Il frémit. Je le prends en bouche et m’active à le sucer et le faisant pénétrer le plus loin possible dans ma gorge. Mes mains se sont saisies de ses couilles que je malaxe énergiquement. Il pousse un gémissement, il aime. J’enserre son paquet entre le pouce et l’index juste au-dessus des testicules et tire légèrement vers le bas. Il aime toujours.
Je continue à le pomper avec délice ; son souffle devient plus rapide. Il est au bord de l’explosion.
Il abandonne ma bouche, me retourne sur le ventre, écarte mes jambes, me met un coussin sous le ventre pour bien faire saillir mes fesses, et sans autre préparatif me plante sa queue jusqu’à la garde dans mon cul encore entrouvert.
Alban pense maintenant à son plaisir. Il me bourre énergiquement, presque violemment. J’aime ça.
Il me tire les hanches et me met à quatre pattes. Il me prend en levrette comme une chienne. La position me permet de voir à quelques mètres Bernard à peine dissimulé derrière un arbuste : il se branle en me fixant. Il largue sa purée qui s’écrase sur l’arbuste et dégouline sur les feuilles de branche en branche. Il a lâché une belle quantité, le salaud !
Ce langage n’est pas pour me déplaire et nous excite fortement.
Je sens la queue de mon mâle se raidir de plus en plus ; il va exploser dans mon cul.
Un dernier violent coup de reins et il me décharge quatre longues giclées de foutre dans le ventre et m’inonde le boyau. Il s’écroule sur moi de tout son poids. Il m’écrase, il me domine. Je suis comblé dans tous les sens du terme.
Nous rentrons, et Alban m’emmène à ma chambre, m’indique la douche qui est à côté et la clochette posée sur une table de nuit. Si j’ai besoin de quelque chose, je n’ai qu’à sonner et Bernard arrivera. Il a reçu consigne de me servir comme si c’était Alban.
Je fais le tour de la chambre très confortable. Quelque chose me manque : ce sont mes vêtements, je suis toujours nu.
Je prends une douche fraîche et me nettoie de fond en comble ; pour moi, ce soir ce sera plutôt le fond car mon cul dégouline encore. Je me couche et m’endors aussitôt, très fatigué mais heureux.
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Je dormais profondément quand Alban me rejoint dans mon lit. Il me réveille en m’embrassant dans le cou et en collant sa bite contre mes fesses. Il me caresse partout, surtout mes fesses et mes tétons. Je m’abandonne et repars vers la volupté.
Il se fait insistant, je sens qu’il veut me prendre. Sa queue glisse entre mes fesses, mon anneau s’ouvre, Alban le lubrifie avec sa salive puis avec du gel pris dans la table de nuit. Je suis sur le côté, lui aussi derrière moi ; il guide sa bite à l’entrée de mon trou, me prend par les épaules et me bascule sur le ventre en m’enfonçant son pieu dans ma chatte de femelle encore en chaleur.
Il m’a planté jusqu’à la garde et me défonce activement et virilement ; pas de fioritures : il me prend comme une femelle, un trou à bites. Il me le dit d’ailleurs.
Il me lime comme ça pendant près de trente minutes.
Je couine de plus en plus fort. Je halète. Je gémis ; je crie, maintenant. Pour la seconde fois il est en train de me faire jouir du cul. Mon organisme, en phase avec mon enculeur au gros calibre, lâche de plus en plus de mouille pour lubrifier le gros piston qui coulisse dans ma turbine à chocolat.
Il m’emmène vers les sommets du plaisir ; l’orgasme est là : il envahit mon cul, mon ventre, ma tête. Je suis animé de tremblements, de soubresauts. Tout mon être est sous la domination du plaisir qui me submerge sans que rien ni personne ne puisse l’arrêter. Je tombe dans les pommes, rassasié de cette douce violence.
Alban, qui n’a pas joui, me secoue et me met sur le dos en travers du lit, la tête basculée en arrière en dehors du lit. Il fait le tour et me présente sa queue à sucer ; que dis-je : à avaler. Il rentre profond dans ma gorge puis se retire, puis revient souvent, en accélérant la cadence. Il est en train de me baiser la bouche, il se branle dans ma gorge. Je suffoque, je pleure, la bave dégouline. Il me pistonne sans prendre garde à mes souffrances et se vide de cinq grosses giclées de foutre qui viennent me poignarder la luette et au delà. Il vient de me posséder par mon deuxième trou.
Il me quitte ; je me remets en place sur le lit et m’écroule de sommeil, la bouche pleine de son foutre que je n’ai pas complètement ingurgité, comme pour profiter le plus longtemps possible de son goût, de sa texture et de son odeur.
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Le dimanche matin, Bernard vient me réveiller.
J’ai du mal à reprendre mes esprits et à me localiser. Les évènements de la veille repassent comme un film en accéléré. Alban, sa grosse queue et les deux enculades que je me suis prises.
Je commence à refaire surface pour voir que Bernard est nu : tout nu ! Sans un poil. Sa queue est à demi molle. Je me souviens que je l’ai vu se branler hier soir. Il ne manque pas de se rincer l’œil une fois de plus quand, à quatre pattes, je cherche mes sandales. Conscient de la situation et un peu exhibitionniste, j’écarte un peu les genoux et cambre les reins pour lancer ma main sous le lit.
Je me relève ; de « demi mou » il est passé à « gros dur ».
Je lui demande mes vêtements.
Une douche en vitesse pour ne pas faire attendre Alban. Bernard m’amène des serviettes, toujours au « garde-à-vous ». Voilà un garçon discipliné !
Que va t-il penser là !
Sitôt à l’eau, il me bloque contre le rebord de la piscine, prend mes lèvres, ma langue, et me roule une pelle d’enfer.
Il m’attrape par les hanches, et d’un coup me soulève et me pose assis sur le rebord de la piscine. Ma bite à hauteur de ses lèvres, la suite ne se fait pas attendre : il engloutit mon membre déjà fier et raide. Il me pompe le gland avec énergie et m’engloutit entièrement : son nez est plaqué sur mon pubis, sa langue me titille les couilles. Quel bonheur !
Je ne résiste pas et lui décharge dans la bouche en criant.
Cela fait longtemps que je ne me suis pas vidé les couilles ; je lui en donne une bonne dose. Il apprécie. Il me refait descendre à l’eau et happe au passage ma bouche pour un baiser « fouillu » où il me réinjecte mon sperme par le haut.
Nous prenons notre petit déjeuner. Alban me dit :
Cette nouvelle m’attriste. Il le voit.
Je suis ravi de cette nouvelle ; j’espère que ce week-end prochain sera aussi chaud que celui-ci.
Il est maintenant près de onze heures, ce dimanche matin.
Il se penche sur moi, m’embrasse une dernière fois et s’en va. Je récupère mes habits que Bernard me tend. J’enfile ma petite culotte (Bernard est toujours là à me reluquer : je prends mon temps pour l’allumer un max). Il est habillé, cette fois ; son short est déformé sur le devant. Je ne me demande pas pourquoi.
En voiture sur le chemin de ma case, Bernard me dit :
Nous arrivons à ma case ; il est à peine midi : je vais avoir le temps de récupérer pour reprendre le travail demain. Vivement le week-end prochain !
Demain, il faut que j’appelle Diane : elle va finir par croire que je me suis fait enlever !
[à suivre]