n° 17151 | Fiche technique | 21073 caractères | 21073Temps de lecture estimé : 12 mn | 30/11/15 |
Résumé: Suite des aventures d'Olivier et Michelle avec leur jeune nièce Emeline et son copain Manu. Ils passent la journée dans une plage nudiste. | ||||
Critères: Couleurs Grossexe | ||||
Auteur : Cocu consentant |
Épisode précédent | Série : Souvenirs d'un cocu consentant Chapitre 03 | Fin provisoire |
Résumé des épisodes précédents : « Épisode 1 » et « Épisode 2 »
Olivier et Michelle, la quarantaine, partent en week-end avec Emeline, 19 ans, et son copain, Manu, un beau Black du même âge. La relation torride entre les deux jeunes les émoustille. Olivier raconte la découverte, avec sa femme, du porno et son fantasme d’être cocu. Les deux couples passent ensuite la journée dans une plage nudiste.
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C’était Michelle. J’ouvris les yeux. Emeline et Manu sortaient de l’eau, splendides de jeunesse. Mais le sifflement de Michelle, je savais vers où il allait. Moi aussi mes yeux ne pouvaient se détacher du membre qui balançait entre les cuisses de Manu. Long et égal, lisse comme un tube, terminé par un bout gonflé et recouvert d’un prépuce fin, son pénis atteignait sa mi-cuisse. Comme je l’avais déjà remarqué sous le boxer, ses testicules étaient lourds et bas, et très gros. Les bourses ballottaient sur le haut des cuisses musclées, roulant au gré de sa marche. Alternativement, la bite balançait vers la gauche lorsque la cuisse droite s’avançait, poussant le testicule droit vers l’avant, puis vers la droite lorsque la cuisse gauche s’avançait avec le testicule gauche.
Michelle salivait, littéralement. Quant à moi j’avais une demi-érection, mais mon pénis se ratatina quand Emeline approcha. Elle jeta un rapide coup d’œil à mon entrejambe puis tomba sur sa serviette. Manu s’assit à ses côtés. J’étais un peu gêné, et je me souvins des raquettes de bois dans le coffre.
Manu se souleva et me proposa de m’accompagner. On mit nos pantalons et laissâmes les filles quelques minutes.
De retour, Manu me proposa de jouer au tennis avec lui. Je me trouvai un peu ridicule de refuser alors que l’idée était de moi après tout. On se déshabilla, et je me maudis d’avoir pensé aux raquettes. Debout à ses côtés, j’étais franchement humilié : il me dépassait de deux têtes, ses muscles d’ébène contrastaient avec mes bras blafards et mon gros ventre. Le pire bien sûr était mon petit gland enfoui dans les poils à côté de son engin. Michelle savourait le spectacle, et je vis qu’Emeline aussi y prenait plaisir, fière de son homme. Je me dirigeais vers un coin de dune pour notre partie de tennis, mais Michelle, suivie par Emeline, insista pour qu’on joue devant elle.
Le comble, ce fut le début d’une érection. Je me figurais la scène que regardaient Michelle et Emeline : moi, mon gros ventre, ma raquette et un gland décalotté avançant de quelques centimètres à l’horizontale, et Manu roulant ses muscles, ses fesses rondes, et sa verge qui balayait l’air devant lui sur 180°, à chaque fois qu’il tapait la balle. Un couple qui marchait en bord de mer s’arrêta pour admirer Manu, et je vis la femme se mordre les lèvres avec un air d’ogresse inquiétant. Je me pris la balle dans la joue. Manu s’excusa, confus. Je riais et le rassurai, et proposai à Emeline de continuer. C’était mon tour de la regarder, me dis-je.
Le spectacle en valait la peine. C’était une splendeur de voir cette grande blonde, aux seins gros, mais fermes et pointant vers l’avant comme deux obus, aux longues jambes fuselées, jouer avec ce beau Black musclé, aux fesses parfaitement demi-rondes, au membre incroyablement épais et pendant, courbé devant lui, comme un étalon de compétition.
Pendant qu’ils jouaient, Michelle, qui était scotchée sur Manu, me raconta un peu des confidences que lui avait glissées Emeline pendant que Manu et moi jouions. Emeline avait toujours eu du mal avec les garçons de son âge. Elles les trouvaient peu endurants et la laissaient insatisfaite. Sa première vraie relation, ce fut, l’année après le bac, alors qu’elle était encore chez elle, dans les Vosges, multipliant les petits boulots, un cadre de banque. Un homme mûr, avec femme et enfants, mais coureur. Il était fier de sa bite épaisse, et il tenait la course. Il faisait crier Emeline de plaisir, et bien qu’elle ne l’aimait pas, le trouvant macho, avec ses airs de maquignon lui mettant la main aux fesses quand ils se promenaient dans la rue, l’exhibant comme une pouliche devant ses amis, elle resta avec lui plusieurs mois. Elle rompit quand elle sut qu’il l’a trompée avec une collègue caissière, en réalité il multipliait les aventures avec les petites employées, mais elle ne trouva pas chaussure à son pied, comme elle dit, et revint à lui. Puis elle se décida enfin à sortir de cette impasse et quitta sa ville pour Paris et son projet de BTS.
Elle resta sage toute la première partie de l’année. Sa relation avec son collègue ne fut en réalité qu’une escapade. Elle croyait que le trentenaire avait de l’endurance, mais il était en réalité éjaculateur précoce et avait une petite bite. « Pas aussi petite que celle d’Olivier, mais petite quand même. », tint-elle candidement à préciser à ma femme, qui se fit une gourmandise de me le rapporter. Elle avait entendu ses copines parler des Blacks, dans les Vosges déjà, mais n’avait jamais eu l’occasion d’une aventure avec l’un d’eux, avant Manu.
Dès le premier jour dans la salle de cours, elle s’était sentie attirée par ce gars, musculeux et calme. Au bout de deux semaines, elle s’était arrangée pour qu’ils deviennent meilleurs amis, elle apprit, soulagée, qu’il était célibataire, et malgré la timidité de Manu, elle lui fit comprendre qu’elle le désirait, « Mais on n’avait pas encore couché jusqu’à hier », avait-elle dit à Michelle. Il suffisait que Manu lui prenne un sein dans sa grande main pour qu’elle mouille son slip, immédiatement. Elle lui fit une fellation dans un cinéma, et découvrit, ravie, son sexe long et épais, ses lourdes couilles lisses, et surtout ses jets de sperme chaud et abondant. Elle trépignait d’impatience de se retrouver au lit avec lui, et notre proposition de nous accompagner à Béziers fut providentielle. Après la nuit passée, elle savait maintenant que c’est ce qu’il lui fallait, une queue qui aille au fond de son ventre et qui la remplisse, longuement, sinon elle restait insatisfaite, nerveuse.
Je regardais Emeline taper contre la balle pendant que Michelle me racontait cela. Emeline avait les gros seins et les hanches larges de sa mère et de sa tante, mais elle tenait de son père, un Lorrain, sa haute stature, sa belle carcasse de jument aux longues jambes, que ses cuisses et ses fesses pulpeuses n’alourdissaient pas.
En me retournant vers Michelle, je remarquais le même air qu’elle avait eu lors de notre première séance de porno. Elle était en transe, figée. La tête posée sur les genoux, ses bras entourant ses jambes, elle fixait Manu, et au-delà de Manu je ne sais quoi.
Sa serviette sous elle, et le sable devant étaient mouillés. Je me mis à bander et essayais de lui mettre discrètement sa main sur ma bite, mais elle arracha son bras violemment. Elle semblait fâchée, je ne l’avais jamais connue comme ça.
J’étais son homme, mais en ville, en quelque sorte, là par contre je compris qu’il fallait qu’elle se fasse saillir, dans les heures qui viennent, qu’elle souffrait. Regarder ne lui suffisait plus. Il me semblait peu probable qu’Emeline soit prêteuse. Comme beaucoup de filles de son âge, elle ne concevait pas qu’une femme approchant la quarantaine puisse attirer un jeune homme de vingt ans. Si Emeline se permettait d’être câline, de pousser Manu à s’exhiber, c’est qu’elle était convaincue que les gros seins un peu tombants de Michelle, ses fesses fournies, les lèvres de son vagin ne pouvaient concurrencer ses obus à elle, ses hanches fermes, sa chatte musclée et étroite. C’était risqué, parce que, bien que Manu soit resté indifférent, rien n’assurait qu’il ne cède pas, surtout si Michelle, dans l’état où elle se trouvait, se jetait sur sa queue.
Il fallait que je trouve une bite respectable, seize ou dix-sept centimètres au moins, avant ce soir. Autour de nous, la plage commençait à se vider. Il y avait encore quelques couples, je pouvais aller chercher un homme qui accepte, avec l’autorisation de sa femme, de bourrer Michelle. C’était peu probable, et ces corps bedonnants ne semblaient pas cacher des pénis prometteurs. Je me levai.
Michelle me regarda, comprit mon propos et se leva. Manu et Emeline revinrent, en sueur. Ils jetèrent les raquettes et coururent à l’eau.
Au loin j’avais remarqué trois silhouettes jouant au volley. Ils ne semblaient pas faire partie des naturistes traditionnels. D’ailleurs la plage naturiste semblait s’arrêter quelques dizaines de mètres avant le lieu où ils jouaient. L’un d’eux avait gardé son short. Un autre son jean. C’étaient des jeunes hommes du coin, venant à la plage reluquer peut-être, ou juste par bravade.
On se dirigea vers leur direction. Le soleil bas émettait une belle lumière crépusculaire. Les derniers nudistes quittaient la plage. Michelle avait compris mon objectif, lorsque je m’éloignais en la tirant derrière moi du dernier carré de nudistes et me dirigeai vers les volleyeurs.
On fit semblant de se promener, un peu plus loin que la plage naturiste. Le sable avait graduellement cédé la place à un mélange de graviers, de sable et de buissons. On dut sautiller pour éviter de se faire mal. On s’approcha enfin des joueurs qui s’arrêtèrent et nous regardèrent, étonnés et même bizarrement intimidés.
C’était le gars avec son jean qui l’avait dit, un petit blond râblé, les autres pouffèrent de rire. Ils devaient avoir la vingtaine, tous les trois.
Michelle le regardait droit dans les yeux. Les deux autres rirent et acquiescèrent. Le petit trapu enleva son jean, sans attendra. Sa bite n’était pas très longue, mais épaisse, à son image.
Il était intimidé, malgré ses crâneries.
Je m’adressais au troisième garçon, un beau brun longiligne, qui se déshabilla aussi, révélant une longue et mince verge, que prolongeait encore le prépuce. Quant à celui à qui je m’étais adressé en premier, déjà nu, c’était un jeune homme robuste, sans doute faisait-il de la musculation. J’avais remarqué son sexe : sa bite était moyenne, même petite, mais son scrotum était gros, révélant des grosses couilles alléchantes, roses et poilues.
Le petit blond insolent me regardait droit dans les yeux, puis regarda les autres qui pouffèrent de rire. À leur grand étonnement, Michelle et moi rîmes aussi.
Je pris mon petit pénis dans la main et m’approchais des trois jeunes.
Michelle s’avança au milieu de nous quatre, s’agenouilla et commença à agripper les quatre bites, passant des unes aux autres. Le blond se pencha et lui saisit violemment un sein. Elle laissa faire et avala la bite du beau jeune homme musculeux, aux grosses couilles enveloppées de duvet clair. Il se mit à bander dans sa bouche, sa bite n’était pas très grande et Michelle l’avalait complètement puis la ressortait, en malaxant ses couilles. Le blond s’était accroupi à son tour et caressait les seins de ma femme, ou plutôt il les serrait violemment, les tirant vers le bas, comme s’il voulait la traire. Je me penchais à ses côtes et tirai sur les tétons de Michelle. Il me relaya, tirant et suçant les mamelons maintenant érigés. Je vis que son chibre était droit, le bout violacé d’excitation.
Quant au troisième jeune homme, le brun maigre, il était à côté, un peu intimidé, par contre sa longue verge formait une belle courbe montant presque vers son nombril. Je fis pencher les épaules de Michelle vers l’avant. Elle me comprit et offrit sa croupe, tout en suçant l’autre garçon. Je m’enhardis et saisis la longue verge en érection du garçon et la menai devant la raie des fesses. Il la pénétra violemment. Michelle haleta, lâchant l’autre bite de sa bouche. En moins de vingt secondes, il éjacula en elle, alors que celui qu’elle suçait se masturba et éjacula sur son visage.
Les deux jeunes hommes fiers et pantelants à la fois, se retirèrent de quelques pas, et le blond qui jusque-là lui tétait les seins se leva à son tour et la saillit avec son gros membre.
Il lui donnait des coups de reins violemment, et Michelle poussa un râle, mais lui aussi ne dura pas plus d’une demi-minute, le temps que j’éjacule moi-même en le regardant faire. Michelle se releva, à demi satisfaite, mais son énervement de tout à l’heure était passé. Les trois gars étaient comme dans un demi-songe, ne croyant pas ce qu’ils venaient de vivre. Ils se rhabillèrent. Michelle essuya du plat de la main le sperme sur son visage. Le blond se mit à dire des impertinences à Michelle et essaya de fourrer sa main entre ses fesses.
Michelle ne put réprimer un sourire, et se dégagea d’un coup du bassin. Mais le blond continua, il se colla à son dos et lui saisit un sein.
Mais il ne bandait plus, comme les deux autres. Michelle me prit par la main, on les salua et on partit, accompagnés par les insultes du blond, qui semblaient être une sorte d’hommage à nous deux :
Les deux autres riaient nerveusement.
Michelle me regarda, la lumière rasante du soleil couchant fit luire ses yeux, elle avait l’air serein. Elle était loin d’être repue, je le savais, mais plus son énervement était passé. On marcha ainsi, lentement. La plage était désormais presque déserte. On distinguait les silhouettes assises d’Emeline et Manu. Elle était lovée entre ses cuisses, ses bras à lui entourant ses épaules. Ils regardaient la mer.
Je ne savais comment aborder notre petite aventure. Je me lançais :
Elle riait.
On se rendit compte, tous les deux, que c’était la première fois qu’elle faisait l’amour avec quelqu’un d’autre que moi depuis bientôt treize ans. Et pour le coup, elle s’était pris trois queues. C’était pas mal. On sentait, tous les deux, que notre relation venait de prendre un nouvel essor, que désormais on allait être entraîné vers de nouveaux mondes, et on avait hâte de les découvrir.
On retrouva les deux amoureux. Manu se leva. À ses pieds, Emeline était encore agenouillée. Son beau visage, encadré par ses cheveux mouillés qui lui faisaient de petites anglaises, était surplombé par le pénis énorme de Manu, qui ballottait contre son front. Ses grosses couilles noires trônaient sur le haut de la tête de la blonde. La scène était d’un érotisme insoutenable. Je bandais comme un rat. La vue du chibre de Manu, de ses cuisses puissantes, dominant sa femelle accroupie entre ses jambes me fit défaillir.
C’était Emeline qui nous taquinait de sa belle voix cristalline.
Michelle sourit et m’agrippa le pénis, qui disparut dans sa paume.
Je regardais Michelle en écarquillant les yeux. La téméraire souhaitait voir une érection de la queue du Black. Emeline leva son bras et se saisit de la bite de son chéri. Ses longs doigts fins faisaient tout juste le tour du bout de la verge, comme si elle maniait le pommeau d’une longue manette.
Et elle releva la tête et le regarda de ses yeux amoureux. Mais un début d’excitation était perceptible : le gland de Manu, quand Emeline lâcha son emprise, dévoilait un gros bout violacé, qui perçait du tube noir. Dans l’obscurité grandissante, on ne distinguait pas grand-chose, mais je vis le pénis de Manu grossir. La verge ne s’allongeait pas encore, mais elle gonflait, comme si son tube se transformait en aubergine. Puis le gland perça complètement, plus clair que le reste. Sa bite se soulevait, et arrivait à l’horizontale, au-dessus de la tête d’Emeline toujours assise, le gland devint franchement rouge, d’un rouge carmin saisissant, qui contrastait avec le gros engin noir qu’il terminait.
Emeline se retourna, se saisit des deux mains de la bite de Manu et se mit à le sucer devant nous. Michelle s’accroupit et me mit dans sa bouche, tout en regardant Emeline et Manu. Ce dernier fléchit légèrement les jambes pour permettre à sa copine de le pomper tranquillement. Emeline branlait d’une main le long cylindre, sa bouche peinait à avaler le gland, l’autre main frétillait dans son entrejambe. Dans la nuit, on distinguait à peine Manu courbé, les fesses galbées vers l’arrière, et un gros tube sortant de ses cuisses et pilonnant la bouche d’Emeline accroupie, et dont les seins maintenant pointaient, les tétons durs et érigés.
J’avais éjaculé encore plus vite que d’habitude dans la bouche de Michelle, dès que Manu avait commencé un va-et-vient cadencé du bassin vers la bouche d’Emeline. Mais ma femme continuait de sucer mon pénis ramolli, en essayant de ne rien perdre du manège du jeune couple. Puis elle se leva et resta à mes côtés à les observer.
Emeline accéléra la cadence de ses frottements, des deux mains maintenant. Elle voulait que Manu éjacule. Ce dernier retira brusquement sa bite de sa bouche, la tint des deux mains et lança de longs jets blancs en poussant un cri rauque et puissant. Trois ou quatre poussées de lave blanche strièrent la nuit claire. Emeline levait le visage et se prenait les écoulements chauds sur le front, le nez, le cou. Le sperme lourd roulait ensuite lentement vers la pointe de ses seins.
Michelle et moi étions en transe. Michelle me prit la main et la mit entre ses cuisses qui ruisselaient d’un liquide chaud. Je vins derrière elle, l’enlaçai et lui frottai le clitoris pendant qu’elle se doigtait, les jambes flageolantes.
À suivre