n° 17167 | Fiche technique | 19793 caractères | 19793Temps de lecture estimé : 12 mn | 07/12/15 |
Résumé: Céline, visiblement le "chef" de la bande, me donne du plaisir devant ses amis. Ils m'entraînent avec eux en faisant une palissade pour me protéger. Après les avoir laissés, je décide de les rattraper... | ||||
Critères: fff jeunes fépilée jardin exhib init | ||||
Auteur : Anne Désir Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Sortie de route Chapitre 03 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode 1 : « La nuit, toutes les chattes sont grises »
Une promenade en ville un peu exhibitionniste prend une tournure inattendue. Suite à un contretemps, je me retrouve nue en pleine ville. Que faire ? Rentrer chez moi en traversant la ville dans le plus simple appareil ?
Résumé de l’épisode 2 : « Nouvelles expériences »
Je me réveille nue dans un parc, je réussis à tresser des feuilles de roseaux ensemble afin de confectionner un semblant de vêtement. Il me faut rentrer au plus vite. En cours de route, je ne peux m’empêcher de me donner du plaisir, c’est alors que je suis surprise.
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Personne ne me touche. Parmi les garçons, je compte trois filles, j’espère qu’elles vont m’aider. L’une d’elles s’approche de mon oreille et me dit :
Instantanément, tout mon sang vient d’arriver dans mes joues, mon visage est en feu. Ce n’est pas possible, elle ne peut pas m’avoir vue me masturber.
Son doigt montre une vitre de l’autre côté de la rue. Dans sa main elle tient un smartphone, le film qui défile montre sans ambiguïtés que je me donnais du plaisir. En plus, je suis parfaitement reconnaissable.
Une fois le film terminé, elle se baisse, ramasse mon pagne et tout en me décochant un large sourire, me le tend. Alors que je vais pour le saisir et sans que j’aie le temps de l’attraper, elle m’arrache mon soutien-gorge qui se déchire. Ce déshabillage forcé a failli me faire tomber. Péniblement je réussis à me stabiliser. Une main sur mon sexe et un bras barrant mes seins je suis figée par la peur et la honte.
Moi (implorant) :
Ils éclatent de rire. Je suis vexée, non seulement je suis complètement nue, mais en plus elle vient de faire allusion à ma taille, des jeunes tout justes majeurs se jouent de moi et je ne peux rien faire, je suis soumise à leur volonté, à la volonté d’une bande de gosses. Le cercle se resserre encore autour de moi pour m’empêcher de fuir, je ne distingue plus la rue. Mes modestes vêtements dans ses mains elle a entrepris de les détruire. Ça y est, je suis perdue, elle les a réduits en pièces, je n’ai plus rien pour me couvrir. L’impensable est arrivé, j’en ai les larmes aux yeux, mes forces m’abandonnent. L’un d’eux me dit qu’ils veulent juste s’amuser, qu’ils de ne me feront pas de mal et que si j’obéis, ils me donneront des vêtements.
Ils se présentent ensuite par leurs noms et prénoms et insistent pour me faire la bise, ils sont quatorze. Toujours protégée de mes mains, j’obtempère et les embrasse tour à tour. Les garçons me précisent qu’ils ne me toucheront pas, et que je n’ai rien à craindre. Ils présentent bien, ils sont tous étudiants en première année et de toute façon, à part leur obéir que puis-je faire, maintenant que je suis nue, mes modestes vêtements détruits ? D’abord ils me demandent de cesser cette fausse pudeur.
Je me dis que de toute façon, c’est comme si j’étais à la plage et puis au point où j’en suis ! Hésitante, je m’exécute. Ils commentent mon physique et visiblement, ils me trouvent belle. Quelques commentaires fusent sur mon sexe, mon visage doit être plus que cramoisi tant j’ai chaud ! Celle qui a détruit mes vêtements, (Céline) s’approche, pose une main sur mon ventre et m’embrasse tendrement dans le cou. Je n’ose bouger. Elle vient d’embrasser mon sein droit. Je la repousse. Sa main descend maintenant sur mon sexe, à nouveau je la repousse. Elle revient la charge ! Elle aspire maintenant mon sein gauche, tout en caressant le droit, vraiment elle sait s’y prendre. D’un éclair de lucidité, je me dégage, le répit n’est que de courte durée. Son regard, j’ai l’impression que je suis une proie ! À nouveau elle charge, son insistance a raison de moi. Je me surprends à la laisser faire. Mes seins pointent, mon esprit dit non, mais mon corps crie oui, je suis vaincue par tant de détermination…
Elle :
Céline pose ses lèvres sur mon ventre puis se mettant à genoux, sa bouche prend possession de mon sexe. Je ne résiste plus. D’autorité, elle écarte et lève très haut ma jambe dont le pied est nu. Je suis maintenant en équilibre sur un pied, pour ne pas tomber je prends appui avec les mains sur les garçons. Je sens mon sexe s’ouvrir et la laisse aspirer mes chairs. Une autre (Anaïs) prend possession de mes seins et les agace, je ressens des sensations entièrement nouvelles, c’est la première fois que des femmes me touchent. C’est très agréable et si elles continuent je vais prendre du plaisir. Céline aspire mon clitoris et le caresse de sa langue, elle passe sa main dans ma raie, je ferme les yeux, je suis partagée entre la peur, le plaisir et la honte. Mon plaisir est là, ma vulve est prise de contractions, un doigt, deux, trois peut-être, me pénètrent. Délaissant mon clitoris pour mon vagin je ne peux m’empêcher de contracter mes muscles sur ses doigts, les empêcher de sortir ! Je voudrais l’implorer de reprendre mon clitoris en bouche, mais non. Ouvrant les yeux je constate qu’elle me fixe. Elles s’arrêtent alors que je suis aux portes de l’orgasme. Tout en maintenant ma jambe levée, elle me murmure à l’oreille :
Elles me laissent frustrée au bord de l’orgasme, le sexe ouvert, enflé, mon intimité offerte aux caresses du vent. Je sens mon bouton continuer librement ses contractions. Je voudrais qu’elles « me finissent », j’en perds le peu de fierté qu’il me reste. Quelle honte de me laisser manipuler ainsi ! Céline recommence à m’embrasser les seins, dans le cou, de temps en temps elle caresse mon sexe. J’aperçois les garçons, les pantalons ont visiblement bien du mal à contenir leur sexe.
Et alors elle s’écarte et m’expose aux regards des garçons. De ma main droite je cherche à me protéger, mais aussitôt Anaïs s’en saisit ainsi que de la gauche et tout en maintenant mes mains rapprochées dans mon dos m’obligent à me cambrer. Les garçons fixent du regard mon sexe ouvert. Mon esprit crie pitié, n’ayant plus de petites lèvres, l’entrée de mon vagin est complètement exposée. Tant qu’elle tient ma jambe ainsi tendue, mon anatomie est offerte à leurs regards. Mortifiée, je ferme les yeux, je me concentre sur mes sensations, je sens mon plaisir monter. Je la sens passer dans mon dos, écarter encore ma jambe. Comme un maître de danse qui continue de me contraindre, elle me retient pour que je ne tombe pas et me dit :
Tout en me mordillant le lobe de l’oreille, elle me maintient ainsi, les contractions redoublent. De sa main libre elle saisit mon clitoris et le fait glisser entre ses doigts, puis elle caresse l’entrée de mon vagin. L’orgasme vient, il est là, la vague de plaisir me submerge, je ne peux retenir le cri de plaisir conséquence de l’orgasme qui me déchire au plus profond. Les doigts abandonnent mon nid, j’ouvre les yeux et sous les applaudissements observe mon auditoire.
Lentement elle libère ma jambe, je suis épuisée, mon ventre est comme cisaillé. Je suis obligée de m’accroupir pour remettre ma chaussure. J’en profite pour observer mon entrejambe, mon clitoris, mes lèvres, tous sont enflés, rouges, injectés de sang. Une fois relevée, je tente refermer mon sexe, mais Anaïs et Céline de chaque côté me prennent les mains. Nous nous mettons en marche. Ils disent qu’ils sont mes « bodyguards ». La palissade ainsi formée m’empêche de voir. Je demande à Céline :
Elle me répond :
Le stade est à vingt minutes, en sens opposé de mon appartement. Je réfléchis à l’itinéraire et horreur, on va traverser les rues commerçantes, la place de la mairie, tout le centre-ville. Je demande l’heure : 9 h 15. Que se passe-t-il à 9 h 15 le samedi ? Le marché, c’est le lundi et le jeudi et, mis à part l’énorme agitation qu’occasionnent les commerces l’après-midi, je me dis que de ce côté-là, je peux être tranquille. Je questionne un des garçons sur ce qu’ils veulent me faire, il me répond :
Je leur explique que je ne suis pas exhibitionniste et ce qui m’est arrivé. Ils en rigolent. Ils sont sûrs que j’en suis une, sinon jamais je ne serais avec eux à marcher nue dans la rue. J’aurais tenté de m’enfuir, je ne me serais pas laissé donner du plaisir devant eux et je ne leur parlerais pas aussi tranquillement. Il en vient à me demander si je suis excitée par la situation. Il m’est impensable d’avouer que je mouille abondamment, que mes seins me font mal tant ils sont durs, que j’ai à nouveau envie de prendre du plaisir. Je lui réponds que je ne suis nullement excitée et qu’il me tarde de m’habiller. En pointant du doigt mon sexe, il me dit que ce n’est pas ce que je donne à voir. D’un rapide coup d’œil, je constate que le feu qui embrase mon sexe ne s’est pas calmé, mon clitoris restant au garde-à-vous. Je suis trahie par mon corps !
Céline en rajoute encore, elle me qualifie de « soumise ». Impossible, cela ne correspond pas à mon caractère. En revanche, pour l’exhibitionnisme ils n’ont pas tort. Je me laisse porter par mes pensées, je suis bien ! Je réalise pleinement ce qui se passe, je suis nue en pleine ville, en pleine journée. J’y avais déjà rêvé, juste en rêve ! L’émotion me submerge, je suis nue ! Je me le répète, je suis nue, oui je veux être vue, oui j’aime ça ! Ils ont promis de ne pas me toucher, malgré tout ils ne peuvent s’en empêcher, je sens les mains des garçons caresser mes fesses, mon dos, mes hanches, c’est tellement agréable que je les laisse faire. Les caresses arrêtées, je tourne la tête pour les encourager à continuer, ils ne sont plus là !
J’en fais part à Céline pour qui ce n’est pas grave, on ne me voit que de dos. Elle me rappelle qu’il y a peu, je me masturbais nue en pleine rue et juge donc ma remarque bien mal venue. Je ne peux lui avouer, mais je suis encore plus excitée ! Nous arrivons maintenant dans les rues piétonnes, des rues bordées de magasins de vêtements et de chaussures. J’ai mes habitudes dans de nombreux magasins et suis connue des commerçants. Très excitée, je continue à discuter avec Céline de sa prétendue « soumission ». Tout doucement elle me passe les mains dans le dos, je ne résiste pas, ainsi je me sens encore plus exposée. Tout en marchant, Céline recommence à me caresser, tout d’abord mon ventre puis mon sexe. Je lui demande de faire attention, mon clitoris étant extrêmement sensible. Un peu de salive et elle reprend ses caresses, je vais jouir en marchant. Elle s’arrête puis en souriant elle ordonne :
Soudain, la palissade qui me protège se disloque, mes bodyguards se dispersent me laissant exposée à la vue des passants et des commerçants. Je continue à avancer, face à moi des passants qui rigolent, les clients à la terrasse du café se lèvent et applaudissent. Mes jambes me portent à peine, mon cerveau va exploser, trop de pensées se bousculent à la fois. Nous passons devant la terrasse du café sous les applaudissements, puis devant ma pharmacie, aucune vulgarité ne vient troubler l’émotion qui me submerge. Après une centaine de mètres, la palissade se reforme, ils ont décidé de jouer à m’exhiber. Ils rigolent, je me laisse emporter et ris avec eux. Nous nous arrêtons à l’abri d’une petite rue, ils se tournent vers moi en me demandant si cette petite surprise m’a plu. Céline met sa main sur mon sexe, glisse un doigt entre mes lèvres, me caresse et répond :
Je suis très excitée, mais tout dans mon esprit s’embrouille, pourquoi ce sentiment de confiance envers mes gardes alors qu’ils se moquent de moi ? Ils me demandent ce que je veux faire, si je veux continuer avec eux ou rentrer chez moi. Si je veux rentrer, ils me donnent un tee-shirt pour, mais je leur donne mes chaussures. Le deal c’est donnant/donnant. Si j’accepte de les suivre, ils me raccompagneront en fin d’après-midi chez moi. Je ne sais que choisir, finalement ma conscience reprend le dessus et je choisis le tee-shirt. Un sac de sport s’ouvre, un vêtement apparaît. On me rappelle le deal, aussi j’abandonne mes chaussures. Le contact du sol sous mes pieds m’électrise, c’est très agréable. Je passe le tee-shirt, deux fines bretelles posent sur mes épaules, court il m’arrive au ras des fesses, trop large l’échancrure est tellement importante que mes seins menacent de s’échapper ! Devant mon étonnement la réponse fuse :
Étonnée, je l’observe et je comprends : c’est les chaussures ou le tee-shirt. Tant pis, c’est décidé, je rentre chez moi. Elle me demande mon adresse et mon téléphone (que je lui donne) pour ramener mes talons ce soir et aussitôt fait, sans un mot ils reprennent leur chemin, me laissant là.
3 – Retour
Bon, il me faut y aller, c’est alors que je réalise que je dois repasser devant le café ! Passant la main sur l’ourlet, je contrôle la longueur de mon habit, j’en parcours le bord de mes doigts, ce qui me déclenche une montée d’adrénaline. Il est vraiment trop court, mes doigts viennent d’effleurer mon clitoris toujours érigé tant je suis excitée ! Plusieurs fois, je fais le même contrôle, mon sexe et mes fesses sont à découvert. J’ai été trompée. Je tire sur l’ourlet, mais aussitôt mes seins s’échappent. Je contrôle et recontrôle, rien à faire.
Je panique, puis dans un éclair de lucidité je décide de les rattraper, il n’y a que ça à faire. Comme un coureur de cent mètres, je me mets à courir, le rue piétonne me saute au visage, le regard des passants me fait ralentir, mes seins se sont échappés ! Je les remets en place et privilégie une marche rapide. Tout le monde me dévisage. Passant devant la vitrine d’une boutique, je m’arrête et observe mon reflet. Mes lèvres sont visibles ! Mon cul est complètement découvert ! Le tee-shirt couvre à peine mes aréoles.
Au point où j’en suis, tant pis, je jette le peu de pudeur qu’il me reste et me remets à courir. Tous seins dehors, je sors des rues piétonnes, je ne les vois toujours pas ! Quelle idiote j’ai été de les laisser partir sans moi, je ressens encore les caresses de Céline et d’Anaïs. Plus je pense aux exhibitions qu’elles m’ont fait subir, plus je voudrais qu’elles reprennent immédiatement. Mon esprit totalement occupé par Céline m’isole de la réalité. Encore quelques dizaines de mètres, je débouche sur l’avenue et, aïe ! Une douleur fulgurante aux pieds m’arrête net. Je n’ai pas regardé, le trottoir est couvert de petits graviers bien douloureux sans chaussures. Je profite de cet arrêt pour couvrir mes seins et lentement reprends ma marche. Je calcule chacun de mes pas, mais au bout d’une trentaine de mètres, je dois m’asseoir sur une bordure de fenêtre dans un angle de mur afin d’examiner ma voûte plantaire.
Bien que visible de l’avenue je me sens en sécurité, protégée par les murs de l’immeuble. Les fesses sur le béton, je relève mes jambes pour me mettre en tailleur et constate que mes pieds n’ont rien. Céline, pourquoi n’es-tu pas là ! C’est alors que je ressens comme une décharge électrique dans mon bas-ventre, l’ourlet frotte sur mon clitoris et le vent s’engouffre entre mes lèvres ouvertes. La sensation est délicieuse, je ne peux m’empêcher de relever le tee-shirt sur mon ventre et d’admirer mon clitoris bandé. Lentement, je frotte l’index de ma main droite sur mes lèvres puis tout doucement récupère de la cyprine à l’entrée de mon vagin, remonte vers mon clitoris, avec beaucoup de douceur je le frotte puis de deux doigts je le pince et commence à le masser.
Si Céline était là, elle m’aurait déjà déshabillée, je l’imagine très bien à genoux à aspirer mon sexe dans sa bouche, faire rouler sa langue autour de mon clito. Je passe une main sous le tissu et commence à masser mes seins. La sensation est étrange, mon plaisir stagne, que ferait Céline ? Je dégage une bretelle, fais passer mon coude puis passe le tee-shirt par-dessus ma tête. Mon autre main abandonne mon clitoris pour laisser filer le tissu. J’en fais une boule, ça y est je suis nue. Encore une chose à faire : de toutes mes forces, je le lance, le tissu se déploie, tombe sur le toit d’une voiture et glisse côté rue, je ne le vois plus. Je ferme les yeux et, « imagine Céline tu n’es pas là, mais regarde, les plantes des pieds l’une contre l’autre, les mains sur les chevilles, je suis complètement exposée, alors viens me donner mon plaisir, je t’attends ! »