n° 17170 | Fiche technique | 16710 caractères | 16710Temps de lecture estimé : 10 mn | 07/12/15 corrigé 07/06/21 |
Résumé: Elle m'avait demandé que nous nous rencontrions dans des lieux insolites... Dont acte ! | ||||
Critères: fh magasin essayage voiture lingerie fellation | ||||
Auteur : Pericles (Fluctuat nec mergitur - No pasaran) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Rencontrons-nous ailleurs que dans une chambre ! Chapitre 02 / 03 | Épisode suivant |
Résumé du premier épisode : « Les Jardins du Luxembourg »
Mélanie, avec laquelle j’ai sympathisé sur un site de rencontres en ligne m’a demandé de nous voir une nouvelle fois, avec pour challenge de trouver un endroit insolite où, éventuellement, nous pourrions aller plus loin.
Je l’ai alors emmenée du côté de la fontaine Médicis, dans les jardins du Luxembourg, et là, sur un banc à l’abri des regards indiscrets, je l’ai, par mes caresses, amenée à un magnifique, mais discret orgasme. Mais notre rencontre n’est pas terminée…
____________________________________________________
En partant de la fontaine, j’avais discrètement commandé un taxi Club Affaires Premium d’une célèbre marque de taxis parisiens et le temps que nous arrivions au croisement des rues de Médicis et de Vaugirard, une superbe Audi A8 noire nous attendait.
Je donnai l’adresse au chauffeur – 131, rue du Bac dans le 7ème –, mais en lui demandant de passer par l’île de la Cité, le Louvre et les Invalides… De quoi nous laisser vingt minutes de quiétude à l’arrière de la limousine.
Tranquillement lovée contre moi, Mélanie avait enlevé ses escarpins et allongé ses jambes sur la banquette.
Nous papotions tranquillement, du long voyage qu’elle allait faire en avion le lendemain pour rejoindre son mari de l’autre côté du globe, des différentes rencontres que nous avions tous deux faites grâce au site de rencontre… une conversation agréable, propice à éveiller nos sens…
De temps en temps, nos lèvres se rencontraient pour un baiser passionné, mais bref, pour ne pas amener notre chauffeur à trop regarder dans son rétroviseur. Par contre, comme il ne pouvait pas, sur ce miroir, apercevoir nos mains, j’en profitais pour palper à nouveau la magnifique poitrine de ma compagne, tandis que sa jolie menotte s’égarait vers le haut de mon pantalon…
Sentant ainsi grossir ma virilité, Mélanie dégrafa discrètement ma ceinture puis après avoir descendu le zip de ma braguette, glissa sa main dans mon boxer…
Elle se mit à me masturber doucement, amenant bien vite ma queue à des dimensions plus respectables.
Après un bref regard vers le rétroviseur, elle entrouvrit ses lèvres rouge carmin et se pencha pour happer mon sexe et le faire doucement coulisser dans sa bouche. Quel premier contact délicieux, chaud, doux, sa langue s’arrêtant sur le bout de mon gland ou déjà perlaient quelques gouttes de liquide pré-éjaculatoire.
Plantant son regard dans le mien, elle entreprit de faire tourner sa langue autour du gland, descendant et remontant alternativement le long de la hampe, comme si elle était en train de lécher un délicat eskimo glacé.
M’embouchant à nouveau, elle enfonça cette fois mon sexe un peu plus loin puis fit à nouveau glisser ses lèvres dans l’autre sens jusqu’à ne garder que le gland en bouche, le suçotant délicatement et titillant le méat avec la pointe de sa langue.
Je pensais alors qu’elle avait visiblement une grande expérience de la fellation. Naturellement, je gardais mes pensées pour moi : ce n’est pas le genre de remarques qu’on peut s’autoriser à faire lors d’une première rencontre…
Comme il nous restait encore un peu de temps avant d’arriver à notre destination, je me laissais aller, les yeux fermés, à cette douce caresse, à l’excitante moiteur de sa bouche, tout en retenant ma jouissance. Il n’était pas question que je me laisse aller à l’arrière de cette limousine, j’avais d’autres projets en tête.
Cependant, mû par un réflexe de mâle, hérité de millénaires de machisme, j’avais envie de lui prendre ma tête avec les deux mains pour accompagner cette fellation, mais à nouveau je restais prudemment dans l’expectative, me contentant de caresser doucement son dos à travers son chemisier.
Relevant alors la tête, Mélanie, tout en me tenant fermement d’une main, saisit mon sexe de l’autre et se mit à le branler doucement tout en me suçant le gland sans en omettre le moindre centimètre carré.
À nouveau sa langue se mit à palpiter le long de mon sexe, jusqu’aux testicules, les prenant entièrement en bouche, ma queue reposant sur son joli nez.
Malgré tous mes efforts, j’étais au bord de la rupture, mais fort heureusement notre limousine arrivait alors rue de Grenelle et je demandai doucement à ma compagne d’arrêter là ce divin supplice, afin que nous puissions remettre un peu d’ordre à nos tenues avant d’arriver à notre destination.
Comme Mélanie était visiblement déçue de s’arrêter si tôt, je lui dis qu’elle ne perdait rien pour attendre, que nous allions bientôt reprendre nos petits jeux coquins.
Forcément, vu la position de sa tête les dix dernières minutes, elle n’avait pas pu voir par la fenêtre que nous nous étions arrêtés devant le 131 de la rue du Bac, adresse qui n’est autre que l’entrée arrière de notre destination : le grand magasin « Le Bon Marché », dans le 7ème arrondissement.
Je tendis ma carte de crédit au chauffeur de la limousine et nous nous retrouvâmes sur le trottoir. Quelques pas plus loin, nous étions au carrefour de la rue du Bac et de la rue de Babylone, où le visage de Mélanie s’éclaira : en lettre art déco argentées, le nom de notre destination finale s’étalait au-dessus des trois marches qui donnent accès au magasin.
Je lui répondis :
Je la pris par le bras et nous nous dirigeâmes vers l’escalator central. Quelques volées de marches plus haut, quelques pas dans une allée entre les portiques, et nous voilà à notre deuxième endroit insolite de la journée : le magnifique nouvel espace lingerie du Bon Marché !
« L’espace Lingerie dévoile une atmosphère intimiste, contemporaine et luxueuse. Pensé comme un écrin précieux où écoute attentive, conseils personnalisés et confort sont les maîtres mots, la quintessence des marques dans un univers unique dédié à la séduction et à l’ultra féminité. »
Je complétai, montrant que j’avais étudié la question :
Comme nous en avions discuté sur le site Internet, et comme j’avais pu le voir plus tôt sur le banc de la Fontaine Médicis, Mélanie aimait porter de la belle lingerie. Et comme moi j’étais un quasi-fétichiste…
Nous déambulions donc bras dessus, bras dessous entre les présentoirs, admirant la beauté d’une dentelle, tâtant la qualité d’une soie…
Après une vingtaine de minutes, Mélanie avait sélectionné quatre ensembles distincts : une parure soutien-gorge et shorty, couleur bleu nuit modèle Bahia de chez Andres-Sarda et un modèle Ellie Leaping de chez Stella Mc-Cartney (soutien-gorge et string) qu’elle avait choisi, et sur mes conseils clairement orientés, deux ensembles de Simone-Pérèle, un modèle Amour de la dernière collection avec un soutien-gorge push-up et un shorty anthracite et surtout ma pièce favorite, un body Look noir magnifique.
Nous nous sommes ensuite dirigés vers le salon d’essayage, véritable havre de luxe et de paix, où les messieurs peuvent s’asseoir dans de profonds fauteuils pendant que les dames essaient les tissus arachnéens. De mes repérages précédents, je savais que les cabines 10 et 22, un peu isolées, étaient les plus propices à abriter nos prochains « rapprochements » !
J’invitai donc Mélanie à prendre place dans la cabine 22 et m’installai dans le fauteuil le plus proche.
Je lui laissai cinq minutes, le temps qu’elle s’effeuille tranquillement et revête la première parure. Puis je la rejoignis derrière le rideau pour admirer l’ensemble Bahia, dans laquelle elle était resplendissante, les seins magnifiquement mis en valeur par la superbe dentelle du modèle.
Je lui enjoignis de tourner sur elle-même, ce qu’elle fit très sensuellement. Le shorty moulait magnifiquement ses fesses et je ne pus m’empêcher de me rapprocher d’elle, de poser mes mains sur ces deux magnifiques globes charnus tout en glissant un délicat baiser dans son cou.
Avec un gémissement, Mélanie plaça alors ses deux mains derrière sa nuque pour soulever ses cheveux et ainsi m’offrir un accès facilité à sa nuque pour y déposer de doux baisers. J’en profitai pour lécher le creux derrière son oreille gauche puis lui mordiller le lobe. En réaction, sa poitrine s’était fièrement redressée, et je pouvais distinguer à travers le tissu du soutien-gorge ses deux tétons qui s’érigeaient crânement.
Sentant mon sexe retrouver un certain volume dans mon boxer, je me détachai avec regrets de Mélanie. Toutefois, je restai là, admiratif, ayant constaté combien le miroir en pied me permettait de l’admirer sous toutes les coutures :
Je notai avec plaisir que nous étions fort heureusement seuls dans cette partie du salon d’essayage. Cela me convenait parfaitement !
Mélanie ayant passé le modèle Stella Mc-Cartney, je retournai dans la cabine pour voir s’il était aussi seyant. Mais celui-là convenait moins, sans doute trop orienté « jeune fille en fleur ». Aussi je lui conseillai de le laisser et de passer à l’ensemble et au body Simone-Pérèle, en mettant celui-là en dernier.
Quelques secondes plus tard, la tête de ma compagne apparut entre le rideau et la paroi de la cabine pour m’inviter à la rejoindre.
« Wow ! » Je n’avais pas pu retenir ce cri d’appréciation. Mélanie, ayant enfilé l’ensemble gris anthracite avait remis ses escarpins. C’est fou comme ces quelques centimètres de talons la rendaient presque aussi grande que moi, mais surtout d’un érotisme tellement plus évident.
Le soutien-gorge, splendide mélange de dentelle et de soie satinée, moulait sa poitrine à la perfection. Et côté dentelles, le shorty était une véritable œuvre d’art qui, très échancré derrière, laissait admirer la splendeur de ses fesses.
Je m’approchai de ma compagne et posai mes lèvres sur les siennes, puis caressai doucement ses fesses, suivant leur galbe de mes doigts puis les agrippant fermement pour la serrer contre moi. Mélanie me rendit mon baiser, passionnément, mordillant ma lèvre inférieure avant de darder sa langue dans ma bouche, entamant une subtile danse avec ma langue.
En même temps, elle se pressait contre moi, écrasant ses seins contre mon torse et lovant au plus près son bassin contre le mien. Forcément, elle dut ressentir à quel point ma queue était tendue dans mon pantalon, frottant son pubis contre le mien, écrasant ma verge entre nos deux bassins. Doucement elle me repoussa en arrière jusqu’à ce que je bute contre la banquette, me forçant à m’y asseoir. Elle se mit alors à genoux sur la moquette de la cabine, ses mains défaisant prestement ma ceinture puis ma braguette, laissant apparaître sous mon boxer une magnifique érection.
Flattant cette raideur à travers l’ultime rempart de mon boxer, elle eut tôt fait, avec mon aide très intéressée, de le faire glisser vers le bas, pour contempler mon érection dans toute sa splendeur. À vrai dire, je bandais comme un cerf !
Son envie de retrouver les sensations qu’elle avait expérimentées dans la limousine revint bien vite. S’installant plus confortablement sur la moquette, elle prit délicatement mon gland entre ses lèvres, passant la langue sur cette partie merveilleusement lisse. Sa langue se mit à tourner autour en lui faisant des petits bisous ; elle lapait comme un petit chat. Puis, sans rien brusquer, elle fit pénétrer mon sexe de plus en plus profondément dans sa bouche.
Même si je n’ai pas un organe à la Rocco Siffredi, j’étais à ce moment au maximum de mes « possibilités » et la bouche de Mélanie était tout juste assez grande pour me prendre en bouche sans que je sente ses dents « rayer » le gland.
Elle me jeta un regard langoureux, que je lui rendis tout en caressant ses cheveux. C’est tellement excitant ce contact des regards dans une telle situation ! Elle entama un lent va-et-vient, caressant mes testicules de la main droite. Elle devait sentir ma tension qui montait régulièrement, car elle se mit à jouer avec mon désir montant, sortant de temps en temps mon sexe de sa bouche pour le lécher doucement, descendant jusqu’au bout de la hampe puis remontant pour me reprendre en bouche.
Je commençais à avoir du mal à me retenir. J’accompagnais ses mouvements en ondulant doucement du bassin. J’appréciai particulièrement qu’elle enfonce profondément ma queue dans sa bouche et qu’elle entortille sa langue autour de la hampe puis qu’elle revienne jouer à faire rentrer et sortir rapidement mon gland entre ses lèvres.
Pour seule réponse, elle avala intégralement toute mon érection, jusqu’à toucher de ses lèvres les poils de mon pubis. Je décidai de m’abandonner en toute confiance à mes sensations et à mon plaisir. Je me crispai puis, en retenant au maximum les grognements qui en général signalent ma jouissance, je laissai ma jouissance inonder la bouche de ma compagne de plusieurs longs jets puissants de sperme chaud.
Sans montrer aucun dégoût, Mélanie avala intégralement le fruit de mon éjaculation puis entreprit de lécher délicatement ma verge pour effacer toute trace de mon plaisir. Je la regardai faire, ému que cette femme si élégante, si raffinée, puisse me gratifier d’un aussi grand plaisir alors que nous ne connaissions à peine. En même temps, j’avais un peu de remords à m’être laissé aller à ma jouissance, sans considération pour son plaisir propre.
Mais apparemment, Mélanie ne m’en tenait pas rigueur.
Elle enleva donc l’ensemble qu’elle venait d’essayer et enfila le body ; comme celui-ci lui allait à merveille, elle acquiesça à ma demande et le garda sur elle, puis remit sa robe, ses escarpins et son manteau.
Je récupérai les ensembles Simone-Pérèle et Agnes-Sarda, de même que l’emballage du body, remis en rayon le Stella Mc-Cartney et j’allai à la caisse payer ces magnifiques ensembles. J’étais un peu soucieux qu’on ait repéré notre petit manège dans la cabine, mais apparemment nous avions été assez discrets.
C’est sur un grand sourire de l’employée du Bon Marché que nous quittâmes l’Espace Lingerie.