n° 17198 | Fiche technique | 25696 caractères | 25696Temps de lecture estimé : 15 mn | 28/12/15 corrigé 07/06/21 |
Résumé: Après avoir eu deux expériences de sexe oral dans des lieux insolites, nous terminons notre balade parisienne en beauté ! | ||||
Critères: fh extracon sauna hotel caférestau douche amour fellation pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Pericles Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Rencontrons-nous ailleurs que dans une chambre ! Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents : « Les Jardins du Luxembourg » et « Au Bon Marché »
Mélanie, avec laquelle j’ai sympathisé sur un site de rencontres en ligne, m’a demandé de nous voir une nouvelle fois, avec pour challenge, de trouver un endroit insolite où, éventuellement, nous pourrions aller plus loin.
Je l’ai d’abord emmenée du côté de la fontaine Médicis, dans les jardins du Luxembourg où, sur un banc à l’abri des regards indiscrets, je l’ai, par mes caresses, amenée à un magnifique, mais discret orgasme, puis dans l’espace lingerie du Bon Marché où je lui ai offert de très jolis ensembles, mais aussi un body qu’elle a gardé sur elle, et où elle m’a gratifié d’une superbe fellation…
Il est temps maintenant de finir notre randonnée des endroits insolites de Paris !
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Avec notre joli sac du Bon Marché à la main, nous descendons l’escalator, bras dessus, bras dessous, pour rejoindre la sortie du Grand Magasin.
Je plane encore après cette magnifique fellation et je me dis que le monde est plus beau quand vous êtes accompagné d’une belle femme qui, de plus, partage votre vision sensuelle du monde.
Juste avant de passer la porte-tambour, Mélanie me demande :
Je l’emmène alors à la station de métro toute proche où nous prenons la ligne 10 jusqu’à Odéon. Nous avons de la chance, nous sommes assis l’un à côté de l’autre. Il y a trop de monde pour que j’ose quoi que ce soit, aussi restons-nous sagement côte à côte durant le bref laps de temps où nous empruntons cette rame.
À Odéon, nous changeons pour le métro 4. Il est bondé aussi restons-nous debout serrés l’un contre l’autre, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Là encore, je n’ose aucun geste « déplacé » même si ma main s’attarde brièvement sur ses fesses, assez pour sentir la couture du body à travers sa jupe.
Mélanie ne dit rien, mais elle me dévore des yeux, et je la sens toute frémissante contre moi.
Nous descendons de la rame à Strasbourg-Saint-Denis et retournons à l’air libre boulevard Saint-Denis.
Malgré le temps gris, les habituelles prostituées chinoises sont là, à guetter le client éventuel. Je suis trop bien accompagné pour leur accorder ne serait-ce qu’un regard, mais Mélanie qui ne connaît pas cette partie de Paris est surprise de leur présence en nombre.
Nous prenons la rue du Faubourg-Saint-Denis jusqu’à la Brasserie Julien. Si ce n’est pas mon restaurant préféré dans le quartier, je sais y trouver une petite table d’angle dans un recoin un peu discret, qui correspond parfaitement à mon envie de promener encore mes doigts sur sa peau si douce. En plus il y a un extraordinaire décor « Art nouveau » où le ciel se devine à travers trois magnifiques verrières zénithales.
Nous nous asseyons donc sur la banquette d’angle, Mélanie est à ma droite et nos genoux se touchent sous la table, protégés des regards par la grande nappe blanche.
Une fois choisis nos plats – filet de bar à la plancha pour Mélanie et Chateaubriand grillé pour moi –, nous attendons patiemment de les déguster, avec une coupe de champagne.
Si notre conversation est banale – le décor, la jolie serveuse, le quartier – les regards que nous échangeons démontrent une tension sensuelle clairement affirmée. Nos jambes se frôlent, nos genoux se touchent et je ne peux m’empêcher de sourire à l’idée de ce que ces frottements nous promettent pour la suite.
Je sens rapidement le pied de ma compagne s’immiscer sous le bas de mon pantalon : Mélanie a discrètement ôté son escarpin et elle fait lentement remonter son pied sur ma jambe. J’écarte plus largement mes genoux et je ne sais par quelle prouesse gymnastique Mélanie arrive à poser son pied sur mon entrecuisse.
Elle entreprend un agréable massage de ma virilité avec ses doigts de pied gainés par ses bas. Très rapidement, je suis à nouveau au garde-à-vous, très à l’étroit dans mon boxer.
Discrètement, je glisse ma main droite sous la nappe et, posant mes doigts sur la soie de ses bas, je les fais doucement glisser vers le haut. En fait, c’est le pied droit de Mélanie qui est venu me caresser ; elle a les jambes croisées, sa jambe droite posée sur sa jambe gauche.
Continuant à remonter, mes doigts se posent alors au-dessus de son genou gauche et atteignent la douce frontière entre le bas et la peau si douce de sa cuisse. Je caresse doucement la peau nue tout en observant ses yeux qui se mettent pétiller, et son sourire s’afficher, m’encourageant à continuer.
En me déhanchant un peu, j’arrive enfin à toucher du doigt le body qu’elle a enfilé dans la cabine d’essayage du Bon Marché.
À travers le fin tissu, je sens à nouveau cette moiteur que j’avais découverte ce matin. Je caresse doucement son mont de Vénus, descendant progressivement plus bas, sentant ses lèvres intimes s’écarter sous la pression de mes doigts.
Je sens Mélanie se tendre et la posture plus rigide de son corps me montre qu’elle anticipe une exploration plus approfondie de son intimité… Et elle a raison !
C’est là qu’est tout l’intérêt du body : il peut se dégrafer facilement, ce que je m’empresse de faire. Mélanie me facilite la tâche en avançant ses fesses vers la bordure de la banquette et en écartant les jambes.
De ce fait, son pied ne peut plus masser mon entrejambe, mais je n’en ai cure, concentré que je suis sur le mouvement des doigts de ma main droite, appliqués à dégrafer une à une les quatre attaches du body.
Ça y est ! La barrière est à présent ouverte et ma main peut se glisser sur son sexe brûlant.
L’intimité de ma compagne est déjà totalement lubrifiée et je peux sans aucun effort glisser deux doigts entre ses lèvres pour s’enfoncer doucement à l’exploration de sa grotte humide.
Très vite je ressors mes doigts de son vagin, les fais glisser sur son clitoris, ce qui occasionne une décharge, comme électrique, dans tout son corps. Je porte alors ma main à mes lèvres et doucement j’introduis les deux doigts luisants de sa cyprine dans ma bouche, savourant ce goût que j’avais déjà découvert sur le banc du jardin du Luxembourg.
Puis je les porte à ses lèvres pour qu’elle partage avec moi ce mélange entre sa mouille et ma salive. Anticipant mon mouvement, Mélanie a déjà ouvert la bouche et suce délicatement mes deux doigts.
Elle ferme les yeux, s’abandonnant au plaisir de l’instant, le visage offert, les jambes écartées, d’une parfaite et innocente impudeur. Je me penche alors vers elle, retire mes doigts de sa bouche pour les remplacer immédiatement par ma langue, sans qu’elle ait rouvert ses yeux. S’ensuit un baiser long, passionné, où nos langues s’emmêlent, nos dents mordillant les lèvres de l’autre. Je ferme aussi les yeux pour savourer ce moment hors du temps où nous abandonnons tous deux à notre félicité.
Un discret raclement de gorge nous fait réaliser que la serveuse est là, avec nos plats.
Confus, rouges de plaisir, nous nous écartons l’un de l’autre. La serveuse, Camille comme l’indique son badge, a un grand sourire aux lèvres. Elle est à la fois gênée de nous avoir dérangés, mais visiblement ravie de voir notre passion s’exprimer.
Elle pose les plats devant nous et s’éclipse rapidement. Discrètement, Mélanie reboutonne don body et nous dégustons notre repas, finissant nos coupes de champagne et conservant le plus souvent possible les yeux dans les yeux.
À la fin du repas, j’annonce à mon amie que pour finir en apothéose notre journée « découverte », j’ai réservé une chambre à l’hôtel « Les Théâtres », rue de Cléry, juste de l’autre côté du boulevard de Saint-Denis. Elle a l’air enchantée par l’idée, même si nous retrouver dans une chambre d’hôtel fait un peu moins « endroit insolite » que ce qu’elle avait souhaité… Mais pour ce qui est de l’insolite, nous avons déjà donné, et d’ailleurs, Mélanie ne va pas tarder à s’apercevoir que ce n’est pas fini.
Je paie le restaurant et en trois minutes, nous sommes à l’hôtel, et notre chambre, que j’ai réservée sur internet est prête pour nous accueillir. Nous y montons pour en prendre possession, mais sitôt nos manteaux et le sac de Mélanie déposés, je l’empêche de prendre possession plus avant des lieux.
Je lui avoue que si j’ai réservé dans cet hôtel en particulier, c’est bien sûr pour la chambre confortable dans laquelle nous venons d’entrer, mais aussi pour ce que nous allons découvrir ensemble au sous-sol…
Parce qu’aux Théâtres, il y a un hammam dont j’ai réservé l’usage exclusif pour une heure…
L’ascenseur nous ayant amenés sous terre, nous rentrons dans le vestiaire du hammam et je ferme la porte à clé. Je me retourne et Mélanie est là, attendant que je prenne l’initiative.
Je m’approche d’elle, pose mes mains sur son chemisier, le déboutonnant lentement, puis descendant le zip de sa jupe. Debout sur ses escarpins, Mélanie n’est plus vêtue que du sublime body Simone-Pérèle qu’elle a enfilé au Bon Marché.
Ne voulant pas la laisser seule dans cette situation, j’ai vite fait de me retrouver en face d’elle, uniquement habillé de mon boxer noir. Je prends ses mains et les pose sur mes hanches. À elle de prendre l’initiative maintenant !
Délicatement, elle glisse ses doigts sous l’élastique du boxer et, s’agenouillant, elle le fait glisser jusqu’à mes pieds nus. Elle a maintenant le visage juste au niveau de mon sexe à demi bandé. Elle le caresse doucement, le prend quelques secondes en bouche, mais elle s’en détourne rapidement pour se relever.
Elle enlève alors très sensuellement son body et je peux alors à nouveau l’admirer, dans toute sa nudité, offerte devant moi. Gardant l’initiative, elle se saisit alors de deux grands draps de bain, puis me prenant par la main elle rentre dans le hammam où elle étend les serviettes sur les degrés de pierre qui font le tour des lieux.
Mélanie m’invite à m’asseoir sur le plus haut niveau et s’installe sur le niveau du dessous.
Elle se met alors à genoux devant moi et regarde ma queue qui a maintenant repris du poil de la bête et pointe à la verticale. Elle a l’air captivée par mon sexe dressé et, après un bref échange de regards, elle abaisse lentement son visage, approche ses lèvres de l’extrémité de ma virilité, et y dépose un baiser léger.
Mélanie se recule et regarde à nouveau mon érection et le filet brillant de sa salive qui est resté sur l’extrémité du gland.
Elle saisit à nouveau ma queue avec les deux mains et la plonge dans sa bouche. Elle la lèche et joue avec elle : elle l’embrasse, le mordille. Ses mains se sont posées sur mes fesses, attirant mon bassin vers elle.
Elle me suce alors plus profondément, alternant gorge profonde et léchage de mon gland tel un eskimo glacé. Je ne peux me retenir de gémir sous l’assaut, avec la volonté farouche de ne pas m’épancher dans sa bouche cette fois…
Tout en me suçant, elle me masturbe de bas en haut, flattant mes bourses au passage.
La chaleur est de plus en plus intense ! Non seulement celle inhérente au hammam, mais aussi celle de nos deux corps entraînés dans cette folle sarabande.
Quand je sens que je ne pourrai tenir plus longtemps sous cette délicieuse caresse, je retire tendrement son visage de mon giron, puis me lève pour sortir brièvement du hammam. Oh ! Je ne vais pas loin, je récupère juste dans la poche de mon pantalon un préservatif dont j’ai vite fait de déchirer l’emballage.
Retournant m’asseoir sur la serviette, je déploie rapidement le latex du préservatif sur ma verge. Mélanie a parfaitement compris mon message muet. Alors que je suis assis sur la serviette, le dos collé contre la marche supérieure, elle vient m’enjamber, abaisse son bassin au-dessus de mon érection et vient se frotter sur mon sexe dressé, se caresser sur moi, gémissant à chaque passage de ma queue sur son clitoris.
Je presse alors légèrement ses épaules et comprenant mon message muet, Mélanie vient positionner sa chatte juste au-dessus de mon sexe et, lentement, mais d’un seul et long mouvement, elle vient s’empaler sur ma virilité dressée, jusqu’à ce que ses fesses touchent mes cuisses.
La position ne permet pas une pénétration très profonde, mais lui permet d’aller et venir sur mon sexe, ses seins s’écrasant sur mon torse et sa langue venant jouer avec la mienne.
Mélanie ondule du bassin et je sens ma verge grossir encore à l’intérieur de son corps. Bien que nous soyons tous deux trempés par la sudation que nous cause la chaleur du hammam, je sens une autre source d’humidité de plus en plus présente autour de mon sexe.
La sensation est merveilleuse, j’ai rarement connu autant de plaisir.
La chatte de Mélanie est tellement lubrifiée que je coulisse sans aucun effort, comme un piston dans le cylindre qui l’accueille. Je tremble de désir, conscient qu’au moindre laisser-aller, ma jouissance serait immédiate.
Mais je m’empêche de m’abandonner à cette pulsion primale : je veux bien sûr jouir, mais je veux que cette jouissance soit simultanée avec celle de Mélanie.
Heureusement, le visage de ma compagne reflète une égale montée de plaisir. Ses coups de reins, jusque-là modèle de maîtrise et de concentration, sont maintenant plus sauvages et incontrôlables. Son visage est déformé par le plaisir et une sorte d’agonie. Ses seins superbes tressautent à chaque fois qu’elle enfonce ma queue plus avant dans son sexe.
Nos deux corps commencent à trembler, à frissonner. Mélanie gémit de plus en plus fort et je joins ma voix à la sienne m’abandonnant enfin à l’appel de mes sens, le cerveau définitivement déconnecté. Dans le même temps où je jouis à longues saccades, fusionnant irrémédiablement nos deux sexes, je sens Mélanie se raidir totalement. Elle crie au plaisir que je lui donne et nous atteignons ensemble la jouissance, gémissant, haletant, se serrant fortement l’un et l’autre. Enfin, Mélanie s’effondre sans force sur moi. Je ferais de même si mon dos n’était pas soutenu par le mur du hammam.
Nous restons longuement imbriqués l’un dans l’autre, sans un mot, cherchant, sans y arriver immédiatement, à reprendre nos esprits.
Après la petite mort de cet orgasme simultané, c’est comme si nous avions atteint le Nirvana, un état de semi-conscience ou nous ne faisons plus qu’un, étroitement serré en un corps hybride masculin-féminin.
Puis nous nous allongeons chacun sur une serviette, nos doigts restant enlacés.
Entre la chaleur du hammam et la redescente du paroxysme que nous avons atteint, nous nous abandonnons à une douce torpeur. Au bout d’une demi-heure, nous prenons une douche rapide et remettons nos vêtements pour rejoindre notre chambre.
Tendrement enlacés sur le lit douillet, nous nous caressons mutuellement, sans arrière-pensée sexuelle, juste pour le plaisir de sentir la peau de l’autre, pour l’envie de lui faire plaisir.
Mais si nos cerveaux sont encore en phase tendresse, nos corps, eux réagissent de manière un peu plus animale et je sens bientôt une belle érection faire sa place entre nos deux corps, pendant que durcissent les tétons de Mélanie et qu’un flot de cyprine croissant trahit son désir de profiter à nouveau de nos corps en fusion.
Si je reste bien dur, si je peux à nouveau pénétrer Mélanie dans différentes positions, en levrette, en missionnaire, en cuiller, je n’arrive pas à jouir une troisième fois. Et même quand ma compagne s’abandonne, elle, à un troisième orgasme, le visage plongé dans les oreillers alors que je la pilonne en levrette, je n’arrive pas à la rejoindre.
Je suis néanmoins ravi de voir que nos ébats lui offrent une telle jouissance. En fait, j’en suis plus heureux que si c’est moi qui avais joui, et qu’elle n’ait pas pu éprouver le même plaisir.
Nous restons allongés sur le lit, Mélanie la tête au creux de mon épaule, pendant que je lui caresse les cheveux.
Nous continuons gentiment à bavarder sur ce sujet jusqu’à ce qu’une envie pressante m’oblige à m’éclipser dans la salle de bain.
J’en profite pour me faire couler une douche, la salle de bain disposant d’un dispositif à l’italienne, avec douche de pluie.
La pièce se retrouve rapidement enveloppée de vapeur d’eau et les miroirs couverts de buée, pendant que je laisse l’eau chaude s’écouler sur mon corps, les yeux fermés. Lorsque je les rouvre, Mélanie est là, qui m’a rejoint sous la douche. Elle se rapproche de moi pour profiter elle aussi de l’eau chaude.
Nous sommes bien vite collés l’un à l’autre et nous embrassons langoureusement sous la pluie s’écoulant du pommeau de la douche.
Mélanie se serre contre moi, et je nous imagine collés ensemble sous une pluie tropicale.
Mes mains parcourent son dos, descendants jusqu’à ses fesses que je malaxe tendrement. Ma bouche cherche la sienne et nos langues viennent jouer l’une avec l’autre, nos lèvres soudées.
Je sens alors une violente envie d’elle me reprendre et ma verge en érection vient buter contre son pubis, montrant de manière impudique, mais passionnée qu’elle ne me laisse décidément pas insensible.
Mélanie interrompt notre baiser et se détache un peu de moi pour empoigner mon sexe de sa main. Elle fait aller et venir sa main le long de la hampe de chair, me branlant ainsi doucement.
Pendant qu’elle fait doucement aller et venir ses doigts sur mon sexe, je me saisis du gel douche et j’en fais glisser au creux de mes mains. Puis je commence à parcourir son ventre, puis ses seins, tout en me serrant contre elle.
Je sens ses tétons durcir au bout de mes doigts et ne peut m’empêcher de les pincer doucement pour faire réagir Mélanie. Et en effet, elle se cambre et je sens ses fesses se plaquer contre ma queue qui a retrouvé toute sa vigueur. Une main sur un sein, je laisse glisser l’autre vers le bas de son ventre et commence à masser doucement, enfin, « laver » son pubis et l’intérieur de ses cuisses. Ma compagne écarte alors les jambes pour montrer qu’elle veut bien se laisser aller à mes caresses…
Je reprends ses deux seins en main et les malaxe doucement tout en prenant soin de passer les paumes de mes mains régulièrement sur ses tétons. Je l’embrasse au creux du cou, puis mordille une oreille, puis l’autre. Elle gémit un peu, mais par ailleurs reste parfaitement immobile contre moi.
La repoussant alors un peu, je me mets maintenant à lui savonner le dos. Je commence par les épaules, puis les omoplates, le milieu du dos, le bas du dos et, tout doucement, j’arrive à mes fins et me retrouve finalement à lui malaxer les fesses.
Mon majeur frôle le sillon entre les deux globes fermes et rebondis, de bas en haut et de haut en bas. Le savon aidant, je n’ai aucune peine à glisser mon doigt sur sa rosette et tout doucement d’y enfoncer une première phalange
Mélanie se penche légèrement en avant, ce qui me permet d’admirer les courbes sensuelles de son corps. Je sens mon sexe se tendre encore un peu plus à cette vue, mais décide de continuer le ballet de mes doigts. Mon majeur est maintenant totalement enfoncé dans l’anus de Mélanie et après quelques allers-retours, je peux sans aucune difficulté rajouter mon index pour peu à peu détendre le sphincter anal.
Le souffle de ma compagne se fait de plus en plus rauque, elle prend manifestement beaucoup de plaisir à ce traitement et bouge de manière de plus en plus désordonnée. L’eau mêlée de savon qui dégouline sur son corps a fini par la « lubrifier » entièrement.
Brusquement, j’arrête le ballet de mes doigts, et comme surprise, elle me regarde, elle comprend, à mon regard interrogatif ce que j’aimerais à présent faire.
À son acquiescement muet, je pose alors le bout de ma queue contre l’anus distendu dont je viens de retirer mes doigts. Comme je suis moi aussi couvert de savon, mon gland s’immisce très facilement dans son derrière et le reste de ma queue suit : j’entre profondément en elle et la possède jusqu’à la garde.
Elle gémit de plaisir et je sens immédiatement ses contractions autour de mon sexe. Profondément emmanché en elle, je la redresse contre mon torse pour caresser sa poitrine d’une main tandis que l’autre descend sur son sexe trempé lui aussi, mais pas que par l’eau… Je pince doucement son clitoris pendant que ma queue commence alors de profonds va-et-vient dans ses fesses si étroites et serrées.
Je sens en effet qu’elle va de nouveau partir sous l’action conjuguée de mes caresses et de sa sodomie. J’intensifie alors mes mouvements et Mélanie ne tarde pas à être prise de soubresauts de plus en plus violents et, pour finir, se penche en avant pour pouvoir lancer ses fesses sur ma queue et crier tout son plaisir.
N’y tenant plus, je m’enfonce de plus en plus furieusement entre les fesses de mon amante et je me mets à la pilonner sans retenue. Lorsqu’elle finit de jouir dans un dernier râle, j’arrive enfin à ce troisième orgasme qui me fuyait, et retirant rapidement mon sexe de son anus, je jouis à longues saccades sur son dos.
Nous restons un instant immobiles tous les deux, reprenant notre souffle tant bien que mal.
Puis j’entreprends d’enlever tout le sperme qui macule son dos. Je reprends un peu de savon, pour enlever toute trace sur son dos et entre ses fesses. J’égare un ou deux doigts dans son anus, c’est fou comme ils rentrent facilement à présent…
Puis je la retourne doucement et sous le flot continu de la douche, nous nous embrassons tendrement…
Nous nous lavons puis nous nous séchons mutuellement, mais cette fois-ci sagement.
Nous libérons ensuite la chambre juste à l’heure prévue.
Je crois que Mélanie a adoré sa journée « découverte de lieux insolites ».
En fait, je ne crois pas, je suis sûr… Nous nous sommes revus à de nombreuses reprises depuis…
Une vraie relation ami(e)/amant(e) !
Mais c’est une autre histoire.