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02/10/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  En 1974, Jacques s'éloigne de la communauté hippie pour affaires et finit par courir la prétentaine avec plusieurs compagnes.
Critères:  fh hplusag jeunes couple extracon alliance enceinte plage douche amour voir nudisme fellation fsodo confession -initfh -oncle
Auteur : Drulin            Envoi mini-message

Série : 1970

Chapitre 04 / 07
Jacques, loin des hippies

Résumé des épisodes précédents :


« Sous la pluie »

Les années 1970 étaient une époque sans SIDA. Cela ne veut pas dire qu’il n’y avait pas de MST, mais les antibiotiques rendaient guérissables la plupart de ces maladies, telle la syphilis. La menace était donc moindre.

C’est à Paris que Leïla a rencontré Jacques. Le jeune homme découvre avec elle – et à sa demande – une sexualité basée sur la fougue, la brutalité, une certaine dose de cruauté. Leïla, qui est en couple avec un jeune homme fortuné, le quitte avant qu’on ne lui mette la corde au cou par un mariage. Elle veut rejoindre une communauté hippie dans le sud de la France. Elle persuade Jacques de l’accompagner.


« La communauté »

Au sein de cette communauté, Jacques découvre une nouvelle façon de vivre et effectivement une possibilité d’expérimenter une sexualité libre, saine et décomplexée. Les membres sont, tout au long de la journée, totalement ou partiellement nus et les expériences sensuelles multiples.


« Larzac »

Jacques noue avec Emmanuelle une relation amoureuse fusionnelle. Pour autant, ils continuent à partager avec leurs compagnons les valeurs de paix et d’amour, la liberté sexuelle et la pluralité des partenaires. Ils ne vivent pas en dehors du monde réel, s’associant à des actions d’envergure, telle la lutte des paysans du Larzac.


___________________




4. Jacques, loin des hippies



En 1974, après plus de trois ans passés dans la communauté hippie de la Drôme, Jacques reçoit une lettre de sa mère qui lui intime l’ordre de venir pour les obsèques de son frère. Il ignore comment elle a retrouvé sa trace. Il se sent obligé de quitter la communauté, pensant revenir très vite.


Pourtant, une fois arrivé chez sa mère, il tombe sous sa coupe. Il a dit « oui » à toutes ses volontés, notamment celle de reprendre les commandes de l’entreprise familiale dont elle détient toujours 50 % du capital, le restant étant réparti entre lui pour 25 %, sa belle-sœur (la veuve de son frère) Mathilde et ses deux enfants.


Mathilde est une trop belle et jeune veuve qu’il tente de consoler comme il peut. Ils avaient flirté ensemble sans aller plus loin, échangeant quelques baisers et attouchements, avant qu’elle n’épouse son frère. Jacques n’a aucune intention de profiter de la situation. Pourtant, cette jeune femme, qui n’ose dire à personne qu’elle a un besoin irrépressible d’amour en ces tristes moments, voit en cet homme une aubaine. Elle se souvient avoir éprouvé de l’amour pour lui, et c’est presque naturellement qu’elle tombe dans ses bras. Une embrassade entraîne un réconfortant câlin, se poursuivant par un baiser consolant, puis prolongé. La main de Jacques s’égare sur la poitrine de Mathilde ; celle de la jeune femme s’approche de l’entrejambe de son beau-frère. Et dans la foulée, sans plus attendre, ils font l’amour. Jacques y met une tendresse infinie, celle dont elle a besoin. Elle y trouve un grand réconfort.


Cet amour entre beau-frère et belle-sœur reste secret à toute la famille :



Jacques éprouve plus de remords que Mathilde, bien qu’il ait appris parmi les hippies que le remords est une chimère, un murmure imbécile de l’âme. Il se rappelle les paroles entendues : « Il faut renouveler les actes qui semblent donner des remords, et ainsi ils s’étouffent d’eux-mêmes. Aux remords, il faut opposer la passion, et bientôt elle surpassera tout. Le remords ne prouve pas le crime : il dénote seulement une âme facile à subjuguer. Le remords est la vertu des faibles ; il ne doit pas nous atteindre. »


Il se laisse donc porter par ce discours philosophique qu’il accepte sans broncher puisqu’il va dans son intérêt. Il ressent beaucoup de plaisir à cajoler Mathilde, même si elle fait l’amour de façon très classique, voire conventionnelle, sans originalité, à la bourgeoise. Ce qu’elle apprécie le plus, c’est lorsqu’il lui caresse les seins qui sont très sensibles ; il sait y mettre énormément de douceur tant avec les mains qu’avec la bouche, sans précipitation, sans brusquerie. Elle aime aussi sentir le sexe de son amant entrer en elle, tout en n’acceptant que deux positions, le missionnaire et la levrette. Quant aux caresses buccales, elle les reçoit, non sans quelque honte et gêne, mais est trop timide pour en donner de véritablement agréables. Jacques s’en contente, acceptant cette fragilité dans laquelle il trouve une douceur particulièrement voluptueuse. Il se dit « Je fais l’amour à un fétu de paille perdu sur l’océan, faisant tout pour qu’il garde la tête hors de l’eau. »


Mathilde aussi aime faire l’amour avec son beau-frère. Malgré tout, ces rapports sexuels l’amènent à se poser beaucoup de questions. Elle ne les qualifie pas d’inappropriés mais plutôt de singuliers :



Un peu plus tard elle revient sur l’épisode que Jacques a évoqué, lorsqu’il a pour la première fois pu lui caresser les seins sans la barrière d’aucun tissu :



**********



Lorsque la mère de Jacques lui dit qu’il doit se marier pour faire des enfants, l’idée d’épouser Mathilde lui traverse l’esprit. Mais c’est exclu, car à cette époque le mariage entre un beau-frère et une belle-sœur est interdit pas la loi. Ce n’est qu’en 1975 que la loi autorisera une telle union. Il est bien obligé de couper court aux rapports charnels avec la belle et jeune veuve.



Jacques remarque une jolie blonde qui fait un stage dans l’entreprise qu’il dirige. Adeline a tout juste 20 ans, un visage doux et frais avec deux grands yeux bleus. Elle n’est pas très grande mais bien proportionnée, son corps ayant toutes les formes souhaitables. Elle a une taille fine surmontée d’une poitrine à la rondeur exquise, son fessier est légèrement rebondi, ses jambes et ses bras fins et déliés. Elle n’est pas insensible aux avances discrètes de son patron. Elle remarque que son regard se porte sur elle et sur ses formes. Ainsi, lorsqu’il est debout à côté d’elle, son regard se porte inévitablement vers son décolleté pour y découvrir des dentelles dans lesquelles sont lovés ses seins qu’il souhaiterait pouvoir admirer, tout comme ceux que Mathilde avait dévoilés sous ses yeux. De même, lorsqu’elle se baisse pour prendre un dossier placé sur une étagère basse, Jacques s’extasie sur le haut de la dentelle (identique à celle du décolleté) qui apparaît hors du pantalon.


Adeline est assez réservée, presque timide. C’est un caractère qui plaît beaucoup à Jacques. Il ne voudrait pas d’une fille trop primesautière qui lui saute dessus. C’est surtout qu’il n’est pas sûr de lui, de ce qu’il veut. Emmanuelle reste toujours très présente à son esprit. Il l’aime toujours tout en sachant que leurs chemins sont à présent trop éloignés. Il y a aussi Mathilde qui occupe ses pensées. Adeline est donc très attirante, et sans le savoir elle ne fait que provoquer un peu plus la confusion chez Jacques.



La jeune fille est ravie d’une telle promotion. Jusqu’à présent elle avait tapé quelques courriers sans importance, fait de la mise sous plis, classé quelques documents, transmis des appels téléphoniques, répondu à des fournisseurs en leur disant qu’ils seraient réglés « incessamment, sous peu ». Et là, elle est promue secrétaire de direction, voire bientôt bras droit du patron.


Jacques est satisfait ; il sait à présent qu’Adeline restera à ses côtés et qu’il n’est pas pressé par le temps. Leur entente professionnelle est parfaite. Il lui propose de l’accompagner à un salon international situé en Angleterre. A-t-il une idée derrière la tête ? Peut-être pas, mais il espère tout de même que les choses vont se décanter. « Je ne peux pas me présenter devant elle le sexe dressé pour lui indiquer que j’ai envie d’elle. Je ne suis plus avec les hippies qui voyaient dans l’érection un phénomène normal et l’expression d’un désir. Pourtant, c’est bien ce désir que j’ai pour Adeline. »


À l’hôtel où ils sont descendus, il lui demande de le rejoindre dans sa chambre pour une discussion professionnelle. Lorsqu’elle entre, elle est vêtue d’un débardeur échancré et près du corps qui met en valeur ses formes, une jupe légère s’arrêtant bien au-dessus du genou. Jacques, terriblement troublé, est incapable d’expliquer clairement ce qu’il attend d’elle. C’est alors elle qui prend l’initiative en lui disant :



Elle se met à genoux entre les jambes de Jacques qui n’ose faire un seul geste, et sans plus de manières elle ouvre son pantalon et en sort son sexe. Cette queue qu’elle prend franchement en main est déjà bien raide et ne tarde pas à grossir encore plus sous l’effet de son branle. Lorsque la consistance lui plaît, elle porte le gland à sa bouche et le lèche avec attention. Puis elle vient lui gober les testicules, l’un après l’autre, avant de revenir à la verge en complète érection qu’elle lèche de la base jusqu’au gland, qu’encore une fois elle agace du bout de la langue. Enfin, elle prend la tige en bouche faisant aller et venir ses lèvres sur la fine peau du pieu magistralement dressé tout en faisant tournoyer sa langue. Lorsque Jacques sent qu’il va éjaculer, il tente de se dégager, mais la jeune femme reste accrochée à la queue et reçoit des giclées de sperme au fond de la gorge.


Elle regagne sa chambre, laissant Jacques estomaqué, le pantalon et le slip sur les chevilles. Il est ahuri que cette fille, sa subalterne, ose lui prodiguer ainsi, au débotté, une telle caresse. En même temps, il est épaté par la jouissance qu’elle a su lui donner. « Et moi qui ai reçu sans rien lui offrir en échange si ce n’est mon foutre… J’étais incapable de réagir et j’ai laissé passer une belle occasion d’échanger de charmantes choses avec elle. Dire que depuis plusieurs mois je lorgne pour apercevoir ses nichons, je ne manque pas une occasion de mater son cul, et dès la première réelle occasion je ne suis pas fichu de tenter ma chance ! C’était pourtant à moi de dévoiler ses roberts et son pétard. Je suis vraiment trop con ! D’autant plus que maintenant qu’elle est retournée dans sa chambre, elle va jouer les saintes-nitouches et va faire comme s’il ne s’était rien passé entre nous. »


Ils dînent en compagnie d’autres exposants, et Adeline se comporte effectivement comme si rien ne s’était passé entre eux, telle une oie blanche. Jacques se désespère ; il est persuadé que la fellation n’aura aucune suite et qu’Adeline sera encore moins accessible après cet épisode. C’est sans compter l’entrain de la jeune fille qui, de retour à l’hôtel, pousse son patron dans sa chambre. Devant ses yeux émerveillés, elle fait glisser le long de son corps la robe qui vient tomber à ses pieds, elle détache ses bas retenus par un charmant porte-jarretelles, les roule le long de ses jambes. Faisant face à Jacques qui ne bouge pas, elle ôte son soutien-gorge, lui laissant admirer sa jolie poitrine, ses deux seins qu’il désire voir depuis si longtemps.



Adeline lui tourne le dos, et avec une lenteur toute calculée, comme une stripteaseuse, enlève sa culotte en la faisant glisser le long de ses jambes. Il peut alors admirer son postérieur potelé.



Les yeux de Jacques se portent sur les seins, descendent sur le ventre jusqu’à la naissance de la toison pubienne, laquelle est masquée par les mains de la jeune fille.



Jacques se déshabille rapidement devant la belle nymphe qui a écarté ses mains, laissant admirer son buisson de blondinette aux poils ténus. Elle ne se gêne pas pour le regarder ôter ses vêtements et apprécie qu’il le fasse avec assurance. Avec les deux amants qu’elle a eus précédemment, elle a pu remarquer la différence de comportement entre le premier qui avait presque honte d’être nu devant elle, qui cachait son sexe avec ses mains lorsqu’il se trouvait dans le plus simple appareil face à elle, et le second, Samuel, qui paradait à poil tant qu’il pouvait, exhibant fièrement son sexe. C’est d’ailleurs son phallus circoncis, dont il était particulièrement vaniteux, qu’il lui présenta dès l’instant où ils se trouvèrent dans un endroit discret. Elle avait bien mieux apprécié le second, fier de son corps, que le premier. « Mon patron a cette même aisance à se mettre nu ; il n’a aucune pudeur à se déshabiller devant moi, et cela me plaît bien. Il est bien foutu, avec un beau sexe, même s’il est moins gros que celui de Samuel, mais au moins je peux le prendre en bouche. »


Leurs corps nus se rejoignent, prêts à communier pour une cérémonie voluptueuse. Ils font l’amour en associant pleinement leurs chairs et en jouissant conjointement. Le chef d’entreprise et son employée sont ravis des ébats sexuels qu’ils partagent. Lui aime ses magnifiques seins qu’il se complaît à malaxer, caresser et baiser ; il adore sa petite chatte aux fins et rares poils blonds qui ne cachent rien de son sexe tendre, rose et luisant comme la rosée du printemps. Il dépose de doux baiser sur ses petites lèvres, nymphes de la nymphe, joue avec le clitoris excité, plonge la langue à l’entrée de son puits d’amour. Adeline apprécie ces doux hommages, semblant n’éprouver ni crainte, ni pudeur. Conjointement, elle voue un culte pour la tige dure et juteuse de son patron.


Elle prend garde à ce que ses caresses, ses lampées indiscrètes, ses aspirations profondes ne provoquent d’effets trop rapides et irrémédiables. Elle veut pouvoir goûter pleinement aux plaisirs que peut lui provoquer cette belle et vaillante queue. Elle apprécie cette félicité lorsque Jacques la pénètre à la fois avec douceur et vigueur. Une décharge électrique lui vrille le ventre. Ce plaisir ne fait qu’augmenter lorsque Jacques commence à se mouvoir en elle. Elle s’agrippe à lui comme pour le retenir. C’est ainsi qu’elle est emportée jusqu’aux confins de la jouissance. Son orgasme sonore libère la jouissance de Jacques qui lâche prise et déverse son sperme au fond du vagin comprimé sur sa verge.


Depuis ce voyage, les deux amants se retrouvent très souvent en dehors de l’entreprise. Ils aiment faire l’amour ensemble, la connexion étant parfaite, voulant les mêmes choses, éprouvant les mêmes jouissances. Adeline est très réceptive et très ouverte aux moindres sollicitations de Jacques. De plus, l’esprit de la belle est à la hauteur de son physique. Aussi Jacques finit-il par lui parler mariage.



Elle gobe le sexe qui commence déjà à frémir et entame une fellation avec plaisir, application et délectation. Lorsque le sexe a repris toute sa consistance, Jacques vient lécher la conque de celle qu’il veut pour épouse avant de la prendre avec fougue et empressement.


Après avoir joui sous les assauts du jeune homme, Adeline pose sa tête sur son ventre. Son visage est tourné vers sa queue à présent au repos. Elle joue avec en la soulevant du bout des doigts. Ce n’est pas un branle, juste une caresse. Cet effleurement est si imperceptible que s’il n’était porté sur un phallus, on l’aurait pris pour chaste. Jacques lui rend ses caresses en parcourant ses seins, allant de l’un à l’autre. Ayant repris son souffle, Adeline dit :



Avant de la présenter à sa mère pour un examen de passage obligatoire, il la met en garde :



Adeline joue parfaitement son rôle de jeune femme calme et réservée, à la politesse irréprochable et aux propos mesurés. Elle fait très bonne impression à la mère de Jacques, même si son extraction sociale ne la ravit pas vraiment. Le principal problème, c’est qu’elle exige que la fille qui épousera son fils soit vierge, ce qui n’est pas le cas. Jacques n’est même pas le premier visiteur de son puits d’amour, il ne l’a pas déflorée. Heureusement, le gynécologue qui examine Adeline est un copain d’enfance du jeune homme, et il n’hésite pas à faire – contre quelques libéralités financières – un faux certificat à la demande de son ami.


Adeline a un tempérament bien trempé qui n’est pas pour déplaire à Jacques. Il se dit qu’elle aurait certainement sa place dans une communauté hippie. « Il est probable qu’elle s’y trouverait bien. » Pour autant, l’idée de réintégrer un tel lieu avec ou sans elle n’est pas dans ses projets ; il n’y pense même pas, sa place étant maintenant à la tête de l’entreprise familiale.


Lorsque Jacques fait l’amour avec Adeline, c’est toujours un réel bonheur, car jamais il n’éprouve un quelconque train-train ennuyeux. Leurs étreintes sont toujours teintées d’inattendus, de ces instants qui font devenir éclatantes les moindres surprises. Adeline aime faire l’amour et est toujours partante pour échanger des caresses et des baisers sans s’effaroucher des plus téméraires ou indiscrètes. Elle baise dans la joie, et sa gaîté est communicative. Elle aime que Jacques la prenne dans les diverses positions du Kâma-Sûtra réalisables. Tantôt il la couvre de son corps, tantôt c’est elle qui chevauche le jeune homme, ou leurs corps sont sur le flanc, étroitement enlacés, imbriqués. Adeline accepte de se montrer impudique, souvent ne portant aucun vêtement dans l’appartement de Jacques. Elle quitte le lit puis baguenaude à poil de la chambre à la cuisine, de la cuisine au salon, du salon à la salle de bain. Bientôt, elle trouve un réel plaisir à être ainsi, d’autant plus que Jacques l’accompagne dans ces déplacements nudistes. Elle trouve amusant de voir sa queue au repos se dandinant au rythme de ses mouvements ou d’observer une érection matutinale et inconsciente au réveil.


Ils pratiquent ces « musardises » tout en les ponctuant de pauses sensuelles consenties et recherchées. Les tâches quotidiennes sont effectuées dans le plus simple appareil : la cuisine, la vaisselle, la prise des repas, le vélo d’appartement. Jacques tente de recréer en ces moments la nudité originelle qu’il a connue et adoptée durant les trois années passées dans la Drôme.


Dans toutes leurs pratiques amoureuses pleines de sensualité, il n’y a que la sodomie qu’Adeline n’accepte pas : elle a trop peur de la douleur. Ils font une tentative un jour, mais qui se solde par un fiasco total. Jacques n’enfonce que son gland dans l’anus de son épouse que celle-ci crie de douleur et gémit. Il interrompt la pénétration, ne souhaitant pas faire souffrir une femme, sa femme. Elle lui dit, ayant encore les larmes aux yeux après cette tentative :



Comme Adeline aime s’exhiber devant lui dans la tenue d’Ève, Jacques se dit qu’elle accepterait peut-être de se dévêtir devant d’autres personnes. C’est ce qu’il souhaite et prend de la documentation sur le naturisme en France lors d’une visite à la Foire de Paris. Il lui en parle et lui propose de tenter l’expérience. À sa grande surprise, sans poser la moindre question, elle lui dit :



Ainsi le premier été de leur vie commune se rendent-ils sur le bord de l’Atlantique, dans l’un des plus anciens centres naturistes de France, Montalivet. Lors de leur arrivée, Adeline ressent une boule au ventre en voyant ces hommes et ces femmes flânant totalement nus dans les allées du lieu. Elle se demande si elle n’a pas commis une grosse erreur. Et puis, le lendemain de leur arrivée, courageusement, elle va seule au bloc sanitaire avec sa trousse de toilette serrée contre sa poitrine et une serviette éponge nouée à la taille. Elle ne croise personne, mais une surprise l’attend lorsqu’elle arrive. Certaines personnes se douchent à l’extérieur du bloc, à la vue de tous, et à l’intérieur les douches sont mixtes, sans box individuels, et hommes et femmes font leurs ablutions dans une grande salle les uns devant les autres sans gêne ni pudeur. C’est le déclic pour Adeline.


Et lorsqu’elle revient à la tente qu’elle occupe avec Jacques, sa serviette éponge est nouée au-dessus de sa tête pour sécher ses cheveux, ses affaires de toilette sous ses aisselles, laissant son corps libre et exposé sans éprouver aucun malaise ni gêne.



Cela devint un plaisir personnel d’être nue et libre pour lui. Jacques est très fier de son épouse. Et, lorsqu’il la voit sur la plage se comporter aussi naturellement nue que si elle était habillée, il est même surpris de son aisance. Et lorsqu’elle engage une discussion avec d’autres couples, elle oublie qu’elle ne porte aucun vêtement et ne se dit même pas « Nous sommes nus. » Tout cela devient naturel pour elle. Jamais il n’aurait cru qu’elle puisse s’adapter aussi facilement à la nudité pratiquée en communauté.


Les nuits du couple, après une journée passée nus à la plage, sont de véritables feux d’artifice où ils se donnent mutuellement du plaisir et où Jacques, pour le bonheur d’Adeline, se montre particulièrement ardent et endurant. Adeline, elle aussi, est encore plus féline, sensuelle, envoûtante. Celle-ci, après le plaisir de son anatomie offerte au soleil, à l’eau, à l’air, en connaît un nouveau au plus profond de ses chairs. Et cela devient un besoin continu et diffus qui s’insinue en elle au fur et à mesure du temps. Elle a besoin que son corps exulte, que son sexe soit en action, que la fusion qui l’anime s’échappe d’elle. Le jeune homme, pas moins excité par la vue des beautés physiques qui s’offrent à lui, fait l’amour à la belle et l’emporte vers des jouissances communes et partagées.



Certes, Jacques aime sa femme. Mais il ne peut s’empêcher de penser à Emmanuelle. Il ne peut l’oublier et il ne se passe pas une journée sans que son visage n’apparaisse dans son esprit avec ces questions continuelles : « Que fait-elle à cette heure-ci sans moi ? M’a-t-elle totalement oublié ? A-t-elle trouvé un nouveau compagnon ? »


Une autre femme vient occuper son esprit aussi : Mathilde. Elle a accepté son mariage, mais pour autant elle aurait aimé qu’il reste son amant. Il n’a pas souhaité se prêter à ce jeu dangereux d’avoir sa belle-sœur pour maîtresse. D’autant plus qu’il doit reconnaître que les satisfactions sexuelles avec Adeline sont bien supérieures à celles connues avec la veuve de son frère.


**********



Un an après leur mariage, Adeline tombe enceinte. Pendant ces mois de grossesse, la jeune femme ressent encore plus impétueusement le besoin de faire l’amour. Sa jouissance dans les relations sexuelles quotidiennes, dont elle est le plus souvent à l’initiative, la porte à un degré qui effraie parfois son mari. Le ventre qui s’arrondit ne rebute pas Jacques ; au contraire, il trouve son épouse charmante dans cette maternité épanouie. Il répond aux demandes sexuelles de sa femme avec infiniment de plaisir et encore plus de douceur qu’à l’accoutumée.

Cependant, lorsqu’il lui parle de passer comme l’année précédente des vacances naturistes, elle refuse d’apparaître nue sur la plage avec son « gros bide ». Alors Jacques lui demande :



Jacques loue une propriété avec une piscine privée, ce qui permet de bronzer et de se baigner nu. Cependant, son épouse ne veut rien savoir et ne quitte ni son haut, ni sa culotte. Jacques a beau la persuader qu’elle est magnifique dans sa maternité, elle ne le croit pas. Il est donc seul à faire du naturisme, ce qui finit par exaspérer Adeline qui lui dit parfois :



Brutalement, au huitième mois de grossesse, Adeline se refuse totalement à lui. Certes, plus le ventre s’arrondit, plus les pénétrations doivent être adaptées ; mais ayant toujours été vigilant, Jacques ne comprend pas pourquoi elle ne veut plus faire l’amour si soudainement. Il prend son mal en patience et est persuadé qu’après la naissance elle changera d’attitude. D’ailleurs, il espère qu’elle allaitera leur enfant et que du même coup leur libido retrouvera tout son éclat.


Il est désappointé lorsqu’elle refuse. La frustration augmente d’un cran lorsqu’elle le contraint à de longues semaines à l’abstinence. Et lorsqu’enfin elle accepte de refaire l’amour, cela n’a plus rien à voir avec ce qu’elle lui avait offert précédemment. Elle reçoit les baisers et les caresses sans y répondre ; lorsqu’il la pénètre, elle subit sans manifester la moindre jouissance. Là encore, il pense que la libido de sa femme va revenir, que c’est un passage normal après une grossesse. Il compte sur les vacances d’été pour qu’elle redevienne l’amante et la partenaire sexuelle qu’il a tant appréciée. Pourtant, lorsqu’il lui propose de refaire du naturisme, elle est très réticente. Il arrive tout de même à la persuader. Elle le suit donc, mais avec beaucoup plus de réserve et moins d’enthousiasme.


Durant la grossesse du second enfant, Jacques se voit interdire tout contact physique, et la naissance provoque la disparition totale de leur vie sexuelle de couple. Pendant dix mois, Adeline refuse de faire l’amour avec lui. Elle n’a pas envie de sexe et le repousse. Et lorsqu’enfin elle accepte que Jacques la prenne, elle reste totalement passive. Elle ne retrouve pas le goût de faire l’amour. Ils suivent quelques séances de thérapie en couple pour tenter de communiquer, mais le problème sexuel persiste. Quant au naturisme, il n’en est plus question.



Jacques a besoin d’être actif sexuellement. Il ne se voit pas prendre une maîtresse, cette liaison ne pouvant que décevoir les espérances de la femme choisie qui devrait toujours marcher dans l’ombre et être la seconde. Son boulot de chef d’entreprise l’entraîne à voyager et à descendre dans des hôtels. Il n’est pas rare d’obtenir une prostituée pour la nuit. Il suffit de demander au portier un contact, sans que celui-ci soit proxénète. Il lui arrive de faire appel à quelques-unes de ces filles qui vendent leur corps l’espace de deux ou trois heures. Mais il ne trouve pas dans ces étreintes sexuelles tarifées le contentement escompté.


Du coup, Jacques trouve le réconfort avec celle qui l’avait accueilli à son retour : sa belle-sœur, Mathilde, qui ne s’est pas remariée, même s’il lui arrive de vivre avec des hommes. Ces liaisons ne durent jamais très longtemps. Un jour, Jacques débarque chez elle ; ils parlent de choses et d’autres. Ils constatent rapidement qu’ils ont en commun une seule idée dans la tête : passer un délicieux moment ensemble. Ils sont en manque. Ils sont en manque de tendresse, de douceur, de sensualité, en manque d’une relation sexuelle libre et saine. Ils souhaitent échanger des émotions emplies de sensualité et de volupté.


Sans prononcer un seul mot, comme cela s’est passé quelques années auparavant, ils s’embrassent tout en se déshabillant fiévreusement. Mathilde se fait chatte, douce et entreprenante. Elle s’empare du vit de Jacques sans aucune hésitation et commence à en lécher le gland tout en malaxant délicatement les bibelots. L’homme, voulant goûter au sexe de sa partenaire, lui retire le dernier rempart à sa nudité en faisant descendre sur ses jambes la culotte de dentelle. Ils se retrouvent nus dans le lit, comme par le passé, et font l’amour avec passion. La seule différence, c’est que cette fois-ci c’est Mathilde qui console Jacques.


Après cette première visite, il passe de plus en plus de temps avec Mathilde, délaissant son domicile conjugal. Le plaisir de cette liaison est d’autant plus agréable que la veuve est devenue beaucoup moins réservée que par le passé ; elle ne refuse plus certaines positions qu’elle réprouvait.



Jamais Adeline ne lui reproche ses absences ; elle ne cherche même pas à savoir où il va et où il passe ses nuits et ses week-ends.


Lorsque Mathilde et Jacques se retrouvent nus l’un devant l’autre, ils aiment observer leurs corps dans leur nudité originelle. C’est sans pudeur et sans gêne que leurs regards courent sur les pleins et les déliés de leur peau, s’arrêtant pour examiner avec attention toutes les richesses d’un sein, d’un ventre, d’une toison, d’une cambrure, d’une verge, d’une fesse, d’un orifice s’ouvrant vers des voies secrètes. Cette caresse des yeux se transforme souvent en un contact tactile. Parfois ces jeux durent de longues minutes. Ce n’est qu’après que la fusion des chairs et des sexes se produit.


D’autres fois, au contraire, les étreintes sont directes, sans volupté, mais avec la recherche d’une jouissance rapide et immédiate. Par exemple cette fois où Mathilde prépare le repas et Jacques, arrivant derrière, déboutonne sa robe qui tombe au sol, descend son slip en dentelle et la pénètre sans préliminaires et sans qu’elle ne fasse un mouvement, comme totalement soumise.


Un jour que Mathilde observe le corps de Jacques, son visage descend du cou aux pieds et remonte en décochant moult baisers, jusqu’au niveau du pubis ; elle s’étonne que son corps bronzé ne laisse apparaître aucune marque de bronzage. Il lui répond :



Jacques n’insiste pas. Malgré tout il retrouve en présence de Mathilde un équilibre qu’il a cru perdre. Il vit quasiment exclusivement chez elle avec ses enfants, Myriam, 18 ans, et Simon, 20 ans. Ceux-ci le considèrent toujours comme leur oncle, même s’ils n’ignorent pas que c’est l’amant de leur mère. Il ne fait que des passages rapides chez lui, les confrontations avec son épouse étant de plus en plus conflictuelles.

Un jour, après une joute amoureuse, Mathilde confie à Jacques quelques nouveaux secrets :



Mathilde est infirmière en milieu hospitalier, et certaines nuits elle est de garde. Un jour que Simon dort chez un copain, Jacques se retrouve seul avec sa nièce. Ils regardent ensemble un film à la télévision. En toute innocence, la jeune fille prend une position faisant remonter très haut sa jupe, et la fourche écartée de ses jambes se trouve dans l’axe de la vision de Jacques. Il est tout de suite hypnotisé par cette image : ses yeux courent sur les cuisses nues, vont jusqu’à la dentelle de sa culotte, une fine protection en guipure sous laquelle il peut voir se dessiner une touffe de poils. Elle ne fait aucun mouvement pour échapper au regard de son oncle, n’ayant pas notion de l’indécence de la situation.


Le soir même, il entend Myriam qui prend une douche. Il laisse la porte de sa chambre entrouverte et guette sa sortie de la salle de bain, dissimulé dans l’obscurité. Il a l’espoir malsain d’apercevoir sa nièce en petite tenue. Lorsqu’elle sort pour regagner sa chambre, la vision dépasse tous ses désirs car elle apparaît totalement nue. Elle est d’une magnifique beauté avec un corps svelte tout en ayant de magnifiques nichons, très volumineux pour une fille de son âge, en tout cas plus amples que ceux de sa mère, avec en plus le maintien dû à sa jeunesse ; ils se balancent de gauche à droite au rythme de ses pas dans le couloir, avec leurs pointes sombres qui dardent, comme des obus fendant l’air. Jacques pense « Ce sont véritablement des armes de destruction massive ! »


Il peut également voir en pleine lumière la touffe aperçue dans sa culotte : une foufoune faite d’un duvet de poils bruns qui forme un ovale dégageant les aisselles, à mi-chemin entre une chatte au naturel et une taille maillot. La toison dissimule discrètement une vulve qu’il devine entre les jambes. La beauté de cette jeune fille, qui n’est pas encore celle d’une femme, est rehaussée par un mélange d’innocence et de divine impudeur tout involontaire puisqu’elle ignore qu’elle est épiée. Échauffé par cette vision, Jacques se masturbe dans son lit en se repassant les images qu’il a vues et d’autres qu’il imagine. Le plaisir est si grand et la faute si minime qu’il n’arrive pas à avoir de remords. « Mathilde n’en saura rien, Myriam ne s’est aperçu de rien. Voilà tout, le chapitre est clos. »


La semaine suivante, Jacques va à la salle de bain pour prendre une douche. Lorsqu’il ouvre la porte, il voit Myriam dans la baignoire. Les pointes de ses seins sont hors de l’eau, et comme il y a très peu de mousse, le reste du corps est parfaitement visible en transparence.



Jacques s’approche de la baignoire et, contre sa volonté, il commence à bander. Comme il ne porte qu’un pantalon de pyjama de toile fine, son érection est tout de suite visible. Myriam, avec une effronterie inattendue, saisit la taille de son oncle et d’un mouvement preste baisse la culotte. Jacques reste pétrifié. Alors elle profite de cet instant de flottement pour détailler sans vergogne la verge qui présente une belle érection. Elle lui dit d’un air goguenard :



Jacques va rejoindre dans le bain cette fille qui n’est pas vraiment sa nièce. Il la prend dans ses bras et l’embrasse, il fait courir ses mains sur sa peau nue d’une douceur incomparable. Elle ne le repousse pas ; au contraire, elle l’enlace. Il s’empare de ses adorables seins. Ils sont lourds dans ses mains, la peau en est douce, la chair souple, le galbe parfait. Il sait qu’à cet instant il s’engage sur une voie dangereuse et sans retour. S’ensuit un jeu subaquatique où ils se masturbent le bas-ventre avec leurs pieds. Jacques parvient à faire pénétrer un orteil dans la moule de la jeune fille qui laisse échapper un feulement.


Ils sortent de l’eau, s’épongent l’un l’autre. Jacques entraîne Myriam vers sa chambre. Elle s’accroche à son cou, se jette contre lui et enserre sa taille de ses jambes. Elle ne touche plus le sol, alors il la mène, légère comme une plume, jusque sur sa couche. Il l’étend sur ce lit de jeune fille. Il fait l’amour à sa nièce, avec impatience, et pourtant avec beaucoup de douceur et de sensualité. Elle se pâme d’aise à la façon qu’il a de lui cajoler les seins, elle jouit lorsque sa main rencontre sa vulve dont les petites lèvres sont déjà sorties de leur cachette. Ils sont comme deux adolescents qui veulent découvrir leur corps, car la jeune fille ne fait pas que subir : elle partage, elle rend les baisers, les caresses, elle agrippe le corps de cet homme contre elle et sur elle et prend en mains, sans crainte, un phallus bandé au plus haut degré d’excitation. Elle a autant envie de se faire prendre par lui qu’il a envie de s’enfoncer dans cette jeune fille. La pulsion de Jacques est de posséder le corps de sa nièce ; celle de Myriam est d’avoir ce sexe dont profite sa mère à l’intérieur d’elle. Elle se dit « C’est injuste que maman puisse jouir avec lui ; moi aussi je veux être prise par un homme expérimenté. Je ne vois aucun mal à cela, puisqu’il n’est même pas mon oncle. »


Pour elle, c’est l’extase lorsque, comme dans un rêve, il la pénètre. Il va-et-vient en elle ; elle s’accroche à lui de façon à ce qu’il ne relâche pas son étreinte. Elle est particulièrement chaude et ne fait qu’attiser la flamme de Jacques. Finalement, elle est emportée par une déferlante, un orgasme énorme, moment d’extase qui permet à Jacques de sortir du vagin inondé de mouille pour déverser son foutre sur le ventre de la jeune fille.


C’est seulement après cette jouissance partagée que Jacques remarque que la douce et effrontée jeune fille n’était pas vierge.



Jacques reste pensivement couché sur le dos. Myriam est couchée tout contre lui, le visage sur son torse, lui lançant des regards pleins de gratitude. Il sent les seins de la jeune fille pressés contre lui. Après un long silence, il dit :



Ils refont l’amour dès que cela leur est possible. Ce sont les nuits où Mathilde travaille et où le frère de Myriam est absent, ce qui est fréquent puisqu’il va de plus en plus souvent dormir chez sa copine. Jacques se laisse mener par le bout du nez pas cette petite femme, même s’il a beaucoup de scrupules. « Il ne faut pas ; je dois arrêter. La prochaine fois, je la repousserai. »


Car à présent, c’est elle qui attire son oncle. Elle sort de la salle de bain dans le plus simple appareil et vient se blottir sous les draps. Elle colle son corps chaud et vif contre celui de cet homme, son initiateur. Alors il est incapable de mettre en application sa volonté et cède aux caprices de la fille de sa maîtresse qu’il ne considère plus comme sa nièce, puisqu’elle ne l’est pas. Bien que paraissant sans connaissance des jeux de l’amour, elle se montre rapidement comme une amante exceptionnelle. Elle accepte toutes les caresses de Jacques qui se font de plus en plus pressantes ; elle lui donne ses seins avec bonheur, ouvre largement ses jambes pour lui présenter sa vulve juteuse et offre son popotin aux baisers, effleurements et claques plus sonnantes que douloureuses. Elle s’habitue à lui faire des fellations dignes des plus expérimentées suceuses. Après quelques hésitations, elle accepte de goûter au sperme, puis avale sans rechigner des éjaculations buccales.

Encore une fois, Jacques s’étonne des talents insoupçonnés de Myriam qu’il prenait pour une oie blanche :



Jacques constate que sa nièce est beaucoup plus libre sexuellement que sa mère et qu’elle ne connaît pas cette pudibonderie qui l’empêche de se mettre nue sur une plage. Pourtant, il ne se fait aucune illusion : il ne pourra jamais renouer avec le naturisme en compagnie de sa nièce. Déjà, la nudité de la jeune fille le trouble bien trop pour pouvoir s’afficher avec elle. Mais en plus, leur différence d’âge pourrait entraîner certains problèmes dans les centres qu’il visite.


Pour tenter de se dégager de l’emprise qu’a sur lui la jeune femme, il tente de la prendre plus énergiquement, de lui montrer un côté brutal de la sexualité, à la limite de la violence. Il se dit que s’il arrive à la dégoûter, elle lui criera grâce. Il va même jusqu’à la sodomiser sans grande précaution. C’est peine perdue, car contre toute attente la jeune fille ressent un plaisir encore plus fort dans ces joutes, même si souvent ses yeux s’inondent de larmes.



Cela devient délirant car Jacques baise alternativement avec la fille et avec la mère. Mathilde ne se doute de rien. Lorsqu’elle ne travaille pas, elle passe la nuit avec Jacques et ils font divinement l’amour, avec la lenteur, la passion et la douceur dans lesquelles cette femme trouve de grandes jouissances. En son absence, ce sont des joutes sexuelles d’un tout autre ordre qui se déroulent.


Un jour tout de même, les deux amants coupables passent à deux doigts de la catastrophe. Myriam, après avoir fait deux ou trois fois l’amour avec Jacques, regagne toujours sa chambre pour y finir la nuit. Exceptée cette fois où, après avoir joui, ils s’endorment ensemble. Ils sont réveillés par l’infirmière qui rentre le matin. Heureusement, Mathilde s’attardant dans la cuisine, Myriam quitte en catimini la chambre de Jacques et regagne la sienne. Quelques instants après, Mathilde vient réveiller Jacques, qui fait mine de dormir, de la plus agréable des manières en flattant son phallus avec une langue agile.


Jacques se dit que la seule manière de ne plus succomber à la tentation et à l’emprise qu’exerce sur lui Myriam, c’est de ne plus la voir. Cela signifie également ne plus voir Mathilde. En se privant de la tendresse et de l’amour de la seconde, il ne céderait plus à la beauté et à la jeunesse de la première.




[ à suivre ]