n° 17654 | Fiche technique | 14800 caractères | 14800Temps de lecture estimé : 9 mn | 14/11/16 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Après avoir comblé Marjorie, Dom va m'offrir des instants fabuleux. | ||||
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Auteur : Kristal Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Surprise Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé des deux épisodes précédents : « Surprise - 1 » et « Surprise - 2 »
Après notre découverte mutuelle dans la boutique de la mère de Marjorie, nous sommes retournées dans mon commerce où j’ai invité Dom, mon ancien amant, à venir nous retrouver. En sa compagnie, nous avons offert à Marjorie de nouveaux plaisirs qui l’ont laissée repue, comblée et heureuse… Quant à moi, j’ai offert mes lèvres à Dom, avec encore de folles envies…
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Glissant doucement entre mes lèvres, Dom a retrouvé rapidement toute sa superbe. C’est vraiment un phénomène, tant par la monstruosité de son sexe que par sa faculté à multiplier ses érections !
Marjorie a rouvert les yeux, retrouvé ses esprits et s’est redressée. D’une main, elle flatte mes seins toujours offerts dans l’ouverture de ma robe, de l’autre elle caresse mon visage, frôlant l’énorme tige que je ne peux engloutir totalement. Dom ondule doucement des reins, guidant nos caresses avec douceur.
Marjorie s’est relevée, passant dans mon dos tandis que Dom restait face à moi. Elle a commencé à picorer mon cou, ma nuque de petits baisers tout en laissant courir ses mains sur ma poitrine. Lentement, elle a fini de dégrafer ma robe, écartant les deux pans pour offrir à Dom la vision de mon corps dénudé, de ma poitrine durcie d’envie, de mon ventre frémissant, de mon pubis renflé. Les lèvres de Dom ont pris possession de mes seins tandis que d’une main curieuse et habile, il partait à la découverte de mon intimité déjà humide de désir inassouvi. Abandonnée à leurs caresses, j’ai laissé le plaisir monter doucement en moi, savourant ces instants sublimes.
Dom, amant subtil, pervers et vicieux n’en est pas moins un homme attentif et délicat. Sans parler, avec des gestes doux, sans brutalité, il fit allonger Marjorie sur la moquette, dos au sol puis me guida au-dessus d’elle, à genoux. Mes seins lourds oscillaient, frôlant ceux de ma jeune amante, nous arrachant de petits frémissements à chaque contact. Nous étions toutes deux les yeux dans les yeux, Marjorie caressait mon dos, mes hanches… Ses doigts rencontrèrent ceux de Dom qui venait de se glisser à genoux derrière moi et avait lui aussi posé ses larges mains sur moi.
Sans préliminaires (je n’en avais d’ailleurs pas besoin dans l’état d’excitation où je me trouvais !), il vint jouer du bout de sa virilité contre mes lèvres humides, agaçant mon clitoris en feu. Enfin, lentement, son énorme gland se fraya un chemin, écartant mes chairs avant de me pénétrer inexorablement, puissamment de toute sa longueur, m’arrachant un long gémissement de bonheur. La sensation d’être totalement comblée, pleine de ce monstre de chair et de sang ne m’était pas inconnue, mais ce fut à nouveau quasiment divin !
Abuté au plus profond de mon ventre en feu, il s’immobilisa. Je sentais palpiter sa virilité, grossir encore son gland si doux au creux de mes chairs et un orgasme fantastique monter doucement en moi. Marjorie, toujours les mains sur mes hanches, me repoussa doucement en arrière, m’empalant tendrement sur le membre fiché en moi. C’est elle qui amorça un voluptueux va-et-vient de mes hanches sur le pieu viril.
Débuta alors la folle montée du plaisir dans tout mon corps… La bouche de Marjorie s’empara d’un de mes seins, aspirant le téton avant de le mordiller puis, me sentant frémir sous sa caresse, elle releva la tête. Elle abandonna mes hanches, prit mon visage entre ses mains, m’offrit ses lèvres dans un long baiser avant de plonger son regard dans le mien.
Disant cela, elle glissa une main le long de mon ventre et vint dénicher du bout des doigts ma petite perle de chair qu’elle se mit à agacer tendrement, déclenchant cette fois une énorme explosion de plaisir dans tout mon corps. La tige monstrueuse de Dom ne cessait pas de buter au fond de moi, mon clitoris délicieusement martyrisé, j’ai poussé un long cri.
Dom s’est redressé, s’arrachant à mon corps encore frémissant. Marjorie m’a entraînée sous la douche. Le calme revenu, nos corps purifiés et rafraîchis, nous nous sommes à nouveau assises pendant que notre fabuleux amant se glissait à son tour sous l’eau. À son retour, nous avons pris un autre verre tout en riant de nos folies, de nos jeux. Marjorie était resplendissante, jeune femme enfin épanouie. C’est elle d’ailleurs qui parlait le plus, résumant son ressenti, ses impressions, son bonheur d’avoir découvert en si peu de temps des plaisirs qu’elle ne faisait que soupçonner, mais qui, désormais, lui donnaient envie d’aller encore plus loin dans ces jeux.
Une nouvelle fois, ma robe ne résista pas aux doigts habiles de la jeune fille et elle m’attira vers le canapé, à demi nue. C’est elle qui se laissa choir sur les coussins, m’entraînant dans son mouvement. Nous nous sommes retrouvées tête-bêche, les mains sur mes hanches, elle glissa son visage entre mes cuisses. Je me suis enflammée immédiatement au contact de sa langue qui découvrit rapidement mon bourgeon encore sensible. Ses lèvres, sa langue, ses doigts entamèrent une danse folle, de mon pubis jusqu’à ma corolle secrète. J’ondulais sous la caresse ! Deux doigts se faufilèrent entre mes lèvres tandis que son pouce agaçait mon clitoris en feu. Son autre main lissait mes fesses, un doigt vint frôler mon petit trou avant d’en forcer tendrement l’entrée. Prise ainsi, je sentais à nouveau le plaisir monter en moi. Sans cesser ses caresses, Marjorie tourna la tête vers Dom.
Dans mon dos, Dom s’agenouilla au-dessus du visage de Marjorie. Dans le miroir, je pus voir l’énorme tige de chair envahir lentement la bouche juvénile. Dom a posé les mains sur mes hanches. Mon amante, la tête rejetée en arrière, dévorait la colonne monstrueuse tout en continuant ses caresses. Deux doigts coulissaient maintenant dans chacun de mes orifices. Dom soupirait, grognait, moi je frémissais sans cesse.
Dom n’eut qu’à avancer légèrement son bassin pour, à nouveau, s’enfoncer lentement en moi, tandis que Marjorie se faufilait pour venir lécher mon bouton affolé, ses doigts toujours enfoncés dans mes reins. Sa langue glissait jusque sur la tige qui coulissait entre mes cuisses. Je sentis l’autre main de Marjorie s’insinuer entre Dom et moi. Elle caressait le pieu énorme qui me défonçait maintenant. Brusquement elle repoussa Dom qui s’échappa de mon ventre. Elle releva la main qui encerclait toujours la tige luisante, retira ses doigts de mes reins et guida l’énorme gland jusqu’à ma corolle dilatée.
Lentement, il attira mes hanches vers lui. Le gland monstrueux força doucement mes chairs, m’arrachant un cri de douleur lorsqu’il franchit mon entrée secrète. Immobile, il attendit que je me décontracte, m’habitue à cette énorme présence tout en me caressant le dos. Marjorie laissa sa langue courir sur mon sexe abandonné. Enfin, Dom entama précautionneusement un lent mouvement en avant. C’était fou comme sensation ! Je me sentais écartelée, distendue. Mais mon amant progressait encore, toujours aussi lentement, gagnant à chaque va-et-vient un peu plus de profondeur. La lourde colonne de chair guidait sans faillir l’énorme champignon de son gland que je sentais palpiter de plus en plus loin dans mon ventre en feu.
La douleur avait disparu, effacée par ces folles sensations et par la douceur, l’ardeur de la langue de Marjorie sur mon sexe béant. Très vite, ce fut une chaleur nouvelle que je sentis monter en moi, progressant dans mes reins, dans mon ventre, jusqu’à mes seins gonflés, augmentant en moi au fur et à mesure de la progression du pieu viril qui n’en finissait pas de m’investir. Puis tout cessa ! Contre mes fesses, le contact des bourses velues de mon violeur me fit réaliser qu’il était planté en moi jusqu’à la garde… Ainsi mes reins venaient d’accepter la totalité de ce membre hors-norme et je ne ressentais désormais qu’un immense plaisir. Dom recula doucement, sa trop longue tige stoppa, laissant en moi le gland frémissant. Il s’immobilisa à nouveau.
Une main de Marjorie a remplacé ses lèvres entre mes jambes. Elle s’est hissée sous moi. Nous sommes face à face, les yeux dans les yeux. Son autre main torture délicieusement mes seins. Dans mes reins, le gland énorme palpite doucement. Je ne résiste pas à la folle envie qui me brûle. Je me cambre brutalement et m’empale totalement sur la tige bouillante, dure comme du bois ! Dom s’agrippe à mes hanches et se lance dans une folle cavalcade, me pistonnant de toute sa vigueur. Je ne peux m’empêcher de crier, submergée de plaisir. Une dernière poussée de Dom m’arrache un hurlement ! Fiché au plus profond de mes reins, je sens son gland qui enfle encore et, brutalement, c’est l’explosion ! De longues giclées bouillantes inondent mes reins, s’enfoncent en moi comme pour prolonger la longueur du sexe qui me distend. L’orgasme me fait perdre conscience, je m’écroule sur le corps de Marjorie !
Ce sont de nouvelles caresses, tendres, suaves qui me sortent de ma torpeur. Dom m’avait soulevée pour libérer Marjorie qui était maintenant allongée à mes côtés et flattait mes seins du bout des doigts. Notre fabuleux amant rendait les mêmes caresses à notre jeune amie que je sentais frissonner contre moi. Il se redressa, toujours nu.