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Temps de lecture estimé : 62 mn
02/04/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  J'ai filmé les ébats d'Isabelle, de son amie et de leurs deux amants. Je vais divorcer ou pas ? Puis-je répondre immédiatement ?
Critères:  ff fhh fhhh fbi boitenuit danser intermast fellation cunnilingu 69 préservati pénétratio -totalsexe
Auteur : Izoumi  (Isabelle changera-t-ell au Gabon malgré sa promesse?)

Série : Cocu, je ne lui pardonne pas, par contre je l'aime

Chapitre 03 / 05
Puis-je faire confiance à Isabelle ?

Résumé des chapitres précédents :


« Cocu mais pas à peu près »

« Isabelle en remet »


Parti pour mon boulot à Bordeaux, je laisse Isabelle seule à la maison pour quelques jours seulement. En direction de Bordeaux, mon patron – Robert – m’appelle pour m’informer que le problème a été réglé et que je pouvais revenir sur Paris. À mon retour, Isabelle n’est pas à la maison, mais avec le traceur je la trouve dans un club libertin avec sa copine et deux amants. À la fin de la soirée, ils décident de finir la nuit chez moi.

Je quitte le club libertin avant Isabelle pour me rendre à la maison afin de préparer mon plan de vengeance : la prendre en photos et en vidéos afin de divorcer. Devant l’évidence, Isabelle avoue tout.

Suite à une promotion, je dois partir au Gabon. Je lui propose de tout effacer et de redémarrer une nouvelle vie.



_________________________________________




Isabelle venait de terminer sa semaine et prenait congé de la société. On souligna l’événement le vendredi midi. Tout le monde lui souhaitait de passer du bon temps au Gabon. On la mettait en garde contre les grosses queues de Gabonais. Elle revint à la maison vers les 14 h et commença à préparer les valises.


J’avais demandé à Robert de ne plus aller à l’extérieur de Paris pour le boulot. J’avais promis à Isabelle de revenir coucher à la maison tous les soirs.


Samedi soir après le repas, nous étions assis dans le salon et j’ai demandé à Isabelle comment Julie, son amie, pouvait passer des week-ends avec elle si son mari revenait à la maison après ses déplacements de la semaine ? Elle me répondit que toutes les deux semaines il faisait une tournée qui durait deux semaines, donc cette semaine où il n’était pas là le week-end, elle partageait ce week-end avec moi et que son mari le savait.



Elle répondit :



Isabelle hocha la tête puis après quelques secondes elle me regarda droit dans les yeux et me dit :



Je n’ai rien dit puis j’ai pensé qu’il valait mieux laisser aller les choses que de faire plus de mal. Je souffrais déjà assez.


Les deux semaines avant notre départ furent occupées à tout ranger dans les valises à emporter au Gabon. La société s’est occupée de placer en consigne tout ce que nous n’apportions pas et elle s’est occupée de louer la maison pour nous. Deux semaines de fou, mais enfin, nous étions prêts pour notre départ.


Durant la semaine avant notre départ, j’ai demandé à Robert un service. Lors de cette rencontre, je lui ai posé la question à savoir si la société utilisait des gros bras au cours des conflits avec les employés lors des grèves. Robert me répondit qu’effectivement la société avait un carnet d’adresses de « gros bras ». Je lui ai parlé de ma nuit de noces et de ce que Julien m’avait fait à moi et à Isabelle. Après m’avoir écouté, il me dit :



Enfin, un peu de vengeance me faisait du bien.



Nous sommes arrivés à Libreville où nous attendait le responsable du service technique préparant notre venue. Une Jeep nous attendait. Yan nous conduisit à la maison que la société avait louée pour nous. Yan nous aida à débarquer les valises puis nous fit visiter. Une belle chambre à coucher pour les maîtres, une chambre pour les invités et une plus petite pour mon bureau. Une cuisine pour le chef, une salle à manger et un salon contigu. Une belle devanture paysagée, des arbres un peu partout sur le terrain et une très grande cour arrière avec une piscine creusée de belle dimension. Une paillote pour prendre l’apéro avec nos invités et une maisonnette pour ranger les outils nécessaires à l’entretien. Isabelle et moi étions vraiment heureux.


Yan nous remit un tas de papier et six dossiers afin que nous puissions choisir nos employés demain. Avant midi, nous allions rencontrer trois personnes aptes à s’occuper de l’entretien de la maison et dans l’après-midi, trois chefs de cuisine dont deux hommes et une femme. Il allait s’occuper d’ouvrir un compte de banque pour les deux personnes sélectionnées, s’ils n’en avaient pas ; la société y versera directement et mensuellement leur salaire, avec un mois de salaire d’avance afin de les aider à démarrer. Nous n’avions à nous occuper de rien. Les six dossiers étaient, selon lui, les meilleurs candidats ou candidates pour les postes à combler.


Yan nous donna un aperçu des alentours, comme la boulangerie, une grande surface, les us et coutumes, etc. Après plus de deux heures d’information sous la paillote à prendre un apéro, Yan nous souhaita le bonsoir et nous donna son numéro de téléphone personnel au cas où nous aurions besoin de lui. Il était à notre service.


Après son départ, j’ai regardé dans le frigo pour trouver quelque chose à manger. Yan avait tout prévu. Des repas rapides qu’on pouvait manger immédiatement sans grande préparation. Après le repas, nous nous sommes dirigés vers la chambre à coucher où, pendant quelques heures, nous avons fait l’amour dans toutes les positions. Isabelle s’est endormie rapidement tandis que moi je pensais à cette nouvelle vie, loin de tout, de notre famille, de nos amis, mais surtout loin de cette vie de mensonges de la part d’Isabelle.


Comment va se passer cette nouvelle vie ? Va-t-elle encore me tromper, même si je rentre coucher tous les soirs à la maison ? Suis-je capable de la satisfaire sexuellement ? Est-elle nymphomane ? Beaucoup de questions sans réponse.


Le lendemain, après la douche et un bon petit déjeuner, nous avons fait le tour du pâté de maisons pour voir les alentours, car la maison de Robert se trouvait à quelques minutes à pied de notre maison puis nous sommes revenus pour recevoir notre première personne sur la liste.


Pour faire court, des trois personnes que nous avons auditionnées, notre choix s’est arrêté sur une jolie Gabonaise métissée de vingt-sept ans, de père chinois et de mère gabonaise, mariée depuis deux ans. Son père était décédé et elle était la quatrième d’une famille de cinq enfants. Sa mère vivait dans la ville près de chez elle.


Dans l’après-midi notre choix s’est arrêté sur Mamadou un homme de vingt-cinq ans, célibataire et ayant déjà travaillé pour un haut gradé de l’armée. Cet officier, ainsi que sa famille, sont maintenant dans un autre pays et il travaille pour l’ambassade du Gabon en Asie. Mamadou a donc perdu son emploi de cuisinier.


Yan s’est occupé de toute la paperasse et les a informés qu’ils commençaient le lendemain. Nous avons vu la joie dans leurs yeux.


Nous avons pris quelques jours pour nous habituer et déjà le travail nous attendait. Entre-temps Robert est arrivé avec son épouse, Jeannine. Eux aussi n’ont pas d’enfant. Nous les avons visités, mais Robert avait des rencontres de prévues et nous les avons laissés s’occuper de leurs affaires. Le week-end s’est bien passé et lundi nous nous sommes levés tôt pour aller au travail. Isabelle travaillait le mardi et le jeudi, mais elle voulait voir le bureau où elle travaillerait et connaître les autres employés.


Cette première journée s’est bien passée. Robert et moi avons fait connaissance avec les employés et nous les avons informés de la marche à suivre, l’échéance des travaux et quels étaient leurs statuts et leurs fonctions.


Revenu à la maison, Mamadou avait préparé un bon repas. La température était excellente et nous avons décidé de prendre l’apéro sous la paillote avant de manger. Le repas terminé, Isabelle et moi avons fait un compte-rendu de cette journée et tout ce qui s’était passé depuis notre arrivée.


La fatou (nom donné aux femmes d’entretien de la maison) se nomme Fatima. Fatou est aussi un diminutif de Fatima. Elle quitte aussitôt que la vaisselle est lavée. Le cuisinier nettoie la cuisine et prépare les éléments nécessaires pour le petit-déjeuner.


Nous étions fatigués et nous nous sommes dirigés vers la chambre à coucher. Nous avons fait l’amour pendant au moins une heure puis Isabelle s’est endormie. De mon côté je réfléchissais sur le déroulement futur des travaux avec une pensée vers Isabelle. Me fera-t-elle encore cocu avec un homme ou une femme ? Jusqu’où ira ma confiance ? L’avenir me dira si j’ai bien fait.


Les mois ont passé, les travaux avançaient bien, nous étions dans les temps et même un peu en avance. Après un certain temps, ce fut le train-train quotidien. Le seul hic fut que la chaleur me fatiguait vite et le soir il m’arrivait de me coucher avant Isabelle, ainsi notre vie sexuelle en souffrait. J’étais conscient qu’Isabelle aurait aimé faire l’amour tous les soirs, mais c’était hors de ma portée. Allait-elle voir ailleurs, je n’en savais rien, j’avais l’impression que non, du moins je n’avais aucune preuve et je ne voulais pas la condamner sans preuve.


Robert et Jeannine venaient souvent à la maison et nous faisions de même chez eux. Après le repas, chez l’un comme chez l’autre, nous prenions un digestif ou deux puis souvent nous faisions jouer de la musique. Je dansais avec Isabelle et lui avec son épouse puis il arrivait que nous changions de partenaire. Le plus souvent lorsqu’un slow jouait, Jeannine se collait à moi et pressait sa poitrine sur mon torse et frottait son genou sur mon paquet qui grossissait.


De son côté Robert entourait la taille d’Isabelle et la pressait contre lui. Robert diminuait la luminosité du salon, rendant nos corps comme des ombres grises qui évoluaient sur un plancher de danse. Il m’est déjà arrivé de voir les mains de Robert un peu baladeuses sur le corps d’Isabelle. Furtivement, je l’ai vu lui prendre un sein, lui tâter une fesse et même mettre sa main entre leurs deux corps, mais sans jamais aller plus loin, du moins, je pense.


Après un an de travail, Robert me laissait diriger les travaux lorsqu’il allait dans les bureaux du Ministère de Travaux publics. Presque tous les mercredis matin, il s’absentait pour aller en rendez-vous avec un fonctionnaire ou une société de fournisseurs.


Ce mercredi-là, Robert était parti en rendez-vous et j’ai dû prendre une décision face à un petit problème de construction du pont. Malheureusement les plans étaient demeurés sur mon bureau chez moi, car je les avais apportés au domicile la veille, afin de les étudier. J’ai donc demandé au contremaître de superviser les travaux en attendant mon retour de la maison. J’ai donc pris la Jeep et je me suis dirigé vers la maison.


En arrivant près de chez moi, j’aperçus la Jeep de Robert stationnée près de ma maison et le chauffeur était appuyé et semblait dormir. Que fait-il à quelques pâtés de maisons de chez moi ? Quelques secondes plus tard, je me suis garé dans l’entrée et j’ai décidé de passer par l’arrière, car Isabelle est souvent près de la piscine à prendre du soleil.


Arrivé à l’arrière de la maison, je n’ai pas vu Isabelle, je suis donc entré par la porte arrière qui tombe directement sur la cuisine. Mamadou préparait de la nourriture et il fut étonné de me voir arriver ainsi. Je suis passé à la salle à manger puis au salon, mais Isabelle n’était pas là. Elle n’était pas dans la chambre d’invité ni dans mon bureau. J’ai pris mon porte-documents, mais avant de partir pour retourner sur le chantier, j’ai vu Fatima en train de balayer le salon.



Elle me regarda d’un air étonné sans me répondre.



Elle fit signe de la tête.



Elle désigna la chambre avec sa main.



Ne voulant pas la réveiller, je me suis dirigé sans bruit vers la porte de la chambre, j’ai tourné la poignée sans faire de bruit puis j’ai poussé la porte doucement pour ne pas l’éveiller.


La porte étant légèrement ouverte, la première chose que j’ai vue par l’intermédiaire du miroir accroché au mur face au lit, fut Isabelle couchée, sur le dos, nue et Robert qui la pompait en ayant son pénis fiché en elle. Il entrait, sortait de son vagin. Isabelle criait :



À chaque coup de boutoir, Isabelle gémissait ou grognait avec des



Robert sortit son pénis du vagin d’Isabelle puis plaça sa tête entre ses deux jambes et il la lécha de l’anus jusqu’au clitoris. Il entra sa langue dans son sillon et avec son doigt lui frotta le clitoris.


J’étais tétanisé de voir ce spectacle, de la voir se faire labourer son coin intime après toutes les promesses qu’elle m’avait faites. Je suis demeuré devant la porte en regardant dans le miroir Robert sauter ma femme. Je n’en revenais pas. Il se retourna et se mit en 69 puis Isabelle goba sa queue et elle le suça comme si elle avait une glace dans les mains. J’entendais les bruits que faisaient la succion lorsqu’elle sortait la bite de sa bouche ainsi que le bruit provenant de l’abreuvement de la cyprine que buvait Robert en grands coups de lapé.


Puis après plusieurs minutes, il se remit en position du missionnaire et à grands coups de boutoir, il s’enfonçait dans le vagin de ma bien-aimée.


J’en avais assez vu et aussi enregistré à l’aide de mon cellulaire. Je me suis assis sur le sofa et je me suis posé la même question.


Je fais quoi ? J’ouvre la porte et je les confonds tous les deux, je mets Robert dehors et je jette Isabelle à la porte avec ses valises. Je ne sais plus quoi faire. Je ne peux pas et ne veux pas prendre de décision avec les émotions qui me prennent le cœur.


Si j’ouvre la porte et les surprends en train de baiser, Robert va mettre fin à mon contrat et me retourner en France. Je vais perdre Isabelle et je serai malheureux toute ma vie. J’aime ce que je fais et j’aime aussi Isabelle, mais j’ai de la difficulté à accepter ce qui vient d’arriver. J’ai entre les mains des preuves de son infidélité et celle de Robert. Que dirait Jeannine si elle l’apprenait.


J’ai décidé de retourner au chantier et d’agir plus tard. J’ai dit à Fatima que je voulais lui parler ce soir et de ne rien dire à madame de ma venue. Je suis allé voir Mamadou et je lui ai dit aussi de ne rien dire à madame de ma venue.


J’ai fait ma journée et le soir je suis rentré à la maison. Isabelle m’a accueilli avec un baiser sur les lèvres en me demandant tout simplement comment avait été ma journée.



Sa réponse fut :



La voyant assise sur le bord de la piscine en sirotant sa consommation, j’ai demandé à Fatima de me rejoindre dans mon bureau pour lui parler.



Puis elle baissa les yeux.



Je suis allé rejoindre Isabelle à l’extérieur avec mon apéro puis nous avons bavardé jusqu’à l’heure du repas.


Nous avons mangé puis un peu de lecture et je lui ai dit que j’avais eu une journée quand même épuisante et que j’allais me coucher. Elle répondit :



Pas un mot de ce qui s’était passé avec Robert.


Le lendemain soir Fatima n’a pas eu à me raconter les événements de la journée puisqu’Isabelle travaillait et que je l’avais amenée avec moi en voiture le matin et je l’avais ramenée le soir,


Je voulais avoir des preuves visuelles, j’ai donc installé une caméra dans la chambre à coucher branchée par les ondes à mon portable, comme j’avais fait à Paris l’année dernière. J’ai vérifié si tout fonctionnait bien et j’ai programmé la caméra en mode mouvement. Donc si quelqu’un passait dans le champ de vision, celle-ci se déclenchait et enregistrait la scène sur mon portable situé dans mon bureau.


J’avais donc la version de Fatima, la vidéo et le son.


Le soir j’écoutais Fatima lorsque cela était nécessaire puis je regardais la vidéo de la journée. Fatima ne savait pas que j’enregistrais tout.


Un soir elle me dit que madame Jeannine était venue dans la journée et que toutes les deux s’étaient enfermées dans la chambre pendant environ deux heures.



La porte étant fermée lorsqu’Isabelle et Jeannine étaient dans la chambre, Fatima n’a rien vu, mais elle a entendu des grognements et des cris de la part d’Isabelle et de Jeannine.


Je me suis empressé de regarder la vidéo et j’ai vu Isabelle et Jeannine se gouiner pendant presque deux heures. Au début elles se sont embrassées à pleine bouche. La langue de Jeannine fouillait celle d’Isabelle qui répliquait en essayant de la rentrer le plus loin possible dans le fond de la gorge de Jeannine. Lorsque toutes les deux avaient la bouche ouverte, je pouvais voir leurs langues se bousculer à savoir qui irait le plus loin dans la bouche de l’autre. Ce combat de langues a bien duré trente minutes en même temps que le tripotage des seins et des fesses de l’une et de l’autre.


Isabelle embrassait Jeannine sur les yeux, la bouche, le nez. Toute la figure était léchée de même que les oreilles.


Isabelle déshabilla Jeannine lentement et après chaque morceau enlevé, la bouche d’Isabelle léchait la peau blanche découverte. Je voyais la salive d’Isabelle luire sur cette peau léchée. Isabelle enleva le soutif de Jeannine ainsi que le pantalon et tout ce qui pouvait rester comme vêtement. Jeannine était nue. Jeannine fit de même avec Isabelle. En peu de temps elles étaient nues et couchées côte à côte sur le lit.


En les regardant, je commençai à bander. Je sortis mon pénis et j’ai commencé à me masturber. Je vis Jeannine écarter les jambes faisant ainsi un compas qu’Isabelle s’est empressée de combler. Elle commença par lui lécher les lèvres puis elle monta au clitoris et redescendit à l’anus. Elle inséra sa langue entre les grandes lèvres de Jeannine puis écarta avec sa langue les petites lèvres pour terminer avec sa langue complètement enfouie dans son vagin. Je voyais sa langue tourner et tortiller à l’intérieur du vagin de Jeannine.


Je bandais de plus en plus. J’avais le pénis en main et j’accélérais le mouvement. Comment je pouvais me masturber devant cette scène que je condamnais. Isabelle s’est dirigée vers les seins de Jeannine qu’elle prit en bouche. Les mamelons de Jeannine avaient l’air durs comme des charbons et gros comme de grosses framboises. J’en avais l’eau à la bouche et je me voyais en train de lui sucer les bouts jusqu’à l’amener à l’orgasme.


Jeannine retourna Isabelle sur le dos puis elle se positionna comme un missionnaire. Elle frotta son clitoris sur celui d’Isabelle, lui embrassa les mamelons d’un côté à l’autre puis elle inséra sa main entre les deux vulves puis y inséra un doigt pour la masturber. Après plusieurs minutes de ce traitement, Jeannine se mit en position 69 et durant des minutes elles se firent jouir l’une et l’autre de plusieurs orgasmes.


Lorsque je vis les deux corps commencer à trembler puis à s’arc-bouter et devenir comme deux tiges de fer, j’ai éjaculé dans un papier-mouchoir. Je m’en voulais d’avoir pris du plaisir en les regardant se donner l’une à l’autre.


J’ai arrêté de regarder la vidéo et je suis allé rejoindre Isabelle sous la paillote avec un apéro double dose ; j’en avais besoin avec tout ce que je venais de voir.


Dans les jours suivants, c’est Robert qui est venu faire sa visite et prendre son pied avec ma femme. C’était toujours la même routine, il l’embrassait, lui prenait les seins au travers de sa robe puis il la déshabillait, lui enlevait son soutien-gorge, lui embrassait les mamelons, car il avait compris qu’elle était sensible des seins, puis la couchait sur le lit, mettait sa tête entre les deux jambes et la faisait jouir orgasme après orgasme avec sa langue soit introduite dans son vagin ou en lui titillant le bout du clitoris.


Isabelle criait :



Puis après :



Et c’était comme ça pendant des minutes interminables.


Quelques semaines passèrent et c’était toujours la même chose. Une fois Jeannine puis une autre fois Robert. Je me suis posé la question de savoir si Robert savait que Jeannine gouinait Isabelle et vice-versa ?


Je devais prendre une décision. Je ne voulais plus que cette situation perdure. J’ai donc échafaudé un plan que je mettrais à exécution à notre prochain souper avec Robert et Jeannine.


J’ai donc demandé à Robert s’ils étaient libres pour venir manger le week-end prochain. Il me dit :



Je note sur mon agenda « souper dans trois semaines ». Cela me donnera plus de temps pour peaufiner mon plan.


Quelques jours plus tard, le soir venu, Fatima m’informa que madame Isabelle avait reçu un masseur à domicile et que madame Jeannine était présente. N’ayant pas installé de caméra à l’extérieur, j’ai demandé à Fatima de me décrire ce qui s’était passé.


Le masseur a apporté sa table de massage avec lui. Il a demandé à madame Isabelle de s’étendre en J-string et sans soutif sur la table de massage et quel type de massage elle voulait.


  • — Je peux vous faire le massage régulier, le massage avancé ou la totale. Le prix diffère de l’un à l’autre.

Isabelle a regardé madame Jeannine et elle lui a suggéré de prendre la totale, car cela faisait plusieurs fois qu’il venait chez elle et que c’était celle qu’elle préférait. Alors madame Isabelle lui a demandé la totale.


Il a sorti ses pots d’huile puis il s’est mis nu et a demandé d’enlever son J-string ce qui fut fait rapidement. Il a commencé par les pieds puis les jambes et les cuisses. Il s’est placé au bout de la table où la tête de madame Isabelle était placée, puis il a massé les doigts, les poignets, les avant-bras et le haut des bras pour terminer par le cou et le haut des épaules. Il n’a pas touché aux seins de madame ni à son sexe.


Il a changé de sorte d’huile et a commencé à badigeonner les seins de madame puis le ventre de madame. Lorsqu’il allongeait ses mains vers le ventre de madame, il était obligé de s’étirer et je voyais son pénis frapper le front et la figure de madame. Il revenait sur les seins puis retournait vers le ventre tout en allant, à chaque fois, plus loin vers le bas. À un moment donné son pénis passait au-dessus de la bouche de madame.


Au dernier passage, madame Isabelle a ouvert la bouche puis engouffré la bite du masseur et elle a commencé à le sucer en utilisant ses deux mains. Tout en se faisant sucer la bite, il a malaxé les seins de madame et tournant ses mamelons entre ses doigts. Cela a duré plus de vingt minutes. Madame Isabelle sortait le pénis de sa bouche, lui léchait la hampe puis remettait le pénis en bouche en essayant d’aller le plus loin possible dans le fond de sa gorge.


Puis le masseur a retiré son pénis de la bouche de madame et s’est déplacé vers les hanches de madame. Il a pris un peu d’huile dans ses mains et l’a appliqué sur son sexe. Il a massé l’extérieur de son vagin puis il a introduit un doigt puis deux dans son vagin et il a fait des va-et-vient avec ses doigts et avec l’autre main il titillait son clitoris.


Je voyais madame se tortiller dans tous les sens et aller au-devant de ses doigts pour les rentrer plus profondément dans son vagin. Durant que le masseur lui pistonnait le vagin avec ses doigts, madame Jeannine avait pris en main son pénis et le suçait à grand coup de langue. Je pense que son pénis était plus long et plus gros que celui de monsieur Robert.


Après un certain temps, il s’est placé entre les jambes de madame puis il a sorti sa grande langue toute rose. Cela faisait contraste avec sa peau noire et la peau blanche de madame. Il l’a léchée de l’anus au clitoris tout en entrant sa langue dans son foyer ardent. Madame se démenait dans tous les sens et je la voyais jouir régulièrement. Son corps sursautait à chaque spasme. Ses tremblements étaient incontrôlables.


Après plusieurs jouissances, il a monté sur la table par-dessus madame et d’un seul trait il a embroché madame comme on fait avec le poulet sur charbon de bois. Il s’est mis à la limer et les orgasmes ont suivi les uns après les autres. J’ai vu son bassin se soulever plus d’une fois et elle s’est mise à trembler de tout son corps. Je pense qu’elle prenait son pied.


Madame Jeannine s’est placée à la tête de la table de massage et elle roulait des pelles à profusion en ayant les deux mais sur les deux seins de madame Isabelle. Pendant plusieurs minutes j’ai entendu des cris de la part de madame Isabelle, étouffés par la bouche de madame Jeannine puis le masseur a demandé à madame Isabelle s’il pouvait juter dans son vagin en lui certifiant qu’il était clean. Madame Isabelle lui cria :


  • — Oui, oui, au fond de mon vagin. Je veux sentir gicler ton foutre au fond de mon foyer ardent. Vas-y, jute au fond, remplis-moi de ton foutre, j’en ai besoin.

Puis j’ai entendu un grognement et il déchargea tout son sperme dans le bas-ventre de madame.

Il y est demeuré quelques minutes. Il s’est retiré avec un pénis flasque que madame Jeannine a pris en bouche pour le nettoyer complètement. Il s’est rhabillé, a aidé madame à descendre de la table, il a plié sa table et a remercié madame Isabelle et Jeannine et leur a dit s’ils avaient besoin de ses services qu’il était disponible encore pour la totale.


J’ai vu madame Isabelle le payer puis il est parti, car il avait un autre massage à faire chez une autre dame blanche.


Voilà ce qui s’est passé ce matin.



J’accumulais les preuves et un jour je m’en servirai.


La semaine suivante fut tranquille. Rien de particulier ne se passa. Par contre au début de la semaine suivante, lorsque je suis revenu du travail, Fatima avait l’air peinée. Avant de lui demander s’il s’était passé quelque chose, j’ai vérifié ma vidéo, mais j’ai eu un problème d’enregistrement, car j’ai vu le début de la vidéo, mais après trente secondes tout était noir. Je n’avais que le son.


J’ai donc fait venir Fatima dans mon bureau et je lui ai demandé de me raconter ce qui s’était passé dans la journée. Elle regardait le sol et avait l’air malheureuse. Elle avait larme à l’œil et avait de la difficulté à parler. Je l’ai pris dans mes bras et je lui ai dit que tout allait bien se passer. Elle avait passé ses bras autour de mou cou et sanglotait légèrement. Puis d’une voix faible elle me dit que la journée avait été mal. Je lui ai mis la main derrière la tête et je lui ai dit raconte-moi tout.


Elle s’est assise devant moi, plus proche que d’habitude, et elle a commencé :


Ce matin, madame Jeannine est venue à la maison comme elle le fait habituellement. Elles ont discuté sous la paillote, mais je ne pouvais pas entendre ce qu’elles disaient. Après plus d’une heure, elles se sont dirigées vers la chambre, mais elles ont laissé la porte ouverte. J’ai vu leurs mains se toucher l’entrejambe et elles se sont embrassées longuement. Madame Isabelle a demandé à Mamadou de lui apporter quelques grignotines à manger. Mamadou leur a préparé quelques en-cas et il est entré dans la chambre. Elles étaient nues et avaient les jambes ouvertes. On pouvait voir leurs grandes lèvres à moitié ouvertes et leurs mamelons durs comme des diamants.


Mamadou s’est penché avec le plateau pour les servir et il avait leurs seins à quelques centimètres de sa bouche. Puis j’ai vu qu’il commençait à bander. Un vrai piquet de tente se dessinait sous son boubou. Madame faisait exprès pour le garder près d’elle et elle avait les yeux fixés sur l’énorme bosse qui grandissait de plus en plus devant elle. Madame Jeannine a tendu la main et a relevé le boubou pour exposer son chibre devant leurs yeux. Patron, je n’ai jamais vu un chibre aussi long et gros de ma vie. Madame Isabelle l’a pris entre ses mains et elle a commencé à le masturber. Elle utilisait ses deux mains et avait de la difficulté à faire le tour et même avec ses deux mains qui ceinturaient son pénis il y avait un bout du pénis libre en haut et en bas.


J’en avais le souffle coupé. J’entendis mon nom et je me suis présenté devant madame la patronne. Elle me demanda d’aller chercher le ruban à mesurer. Ce que je fis et à mon retour, Mamadou avait une érection complète. Madame me demanda de mesurer la longueur de sa verge en érection. Je pris le ruban et afin de le mesurer j’ai dû tenir son pénis d’une main avec le pouce sur une extrémité du ruban et avec l’autre main je me suis rendu à l’autre extrémité.


Je n’en revenais pas, vingt-cinq centimètres d’une extrémité à l’autre !


Tout en me décrivant ce qui s’était passé, elle avait mis ses mains sur mes genoux en les serrant légèrement.



Madame Isabelle s’est avancée et a commencé à lui lécher le bout du gland avec ses lèvres et de sa langue elle tourna autour de sa hampe de haut en bas. Moi j’étais à quelques centimètres de son pénis et j’avais les yeux presque sortis des orbites tellement je trouvais démesurée la grosseur de cette bite.


Madame Jeannine lui a mis la main sous les couilles et de l’autre elle a aidé madame Isabelle à le masturber. Sa bite avait l’air dure comme du fer. Puis Mamadou a empoigné les seins de madame Isabelle et les a malaxés. Je voyais les mamelons grossir sous ses mains. Il a changé pour madame Jeannine et ça, pendant au moins quinze minutes.


Tout en continuant à parler, Fatima avait les mains rendues sur mes cuisses. Cela commençait à me faire de l’effet surtout que j’étais en short. C’est à ce moment que ma mentalité vis-à-vis l’adultère commença à changer.


Je lui dis :



J’avais une double émotion. Je ne voulais pas tromper Isabelle, mais d’un autre côté j’avais Fatima prête à faire l’amour avec moi. Elle était penchée devant moi et je voyais ses seins d’un brun chocolat se dandiner sous mes yeux. Elle était tellement aguichante. Je savais que je n’avais qu’à avancer mes mains vers elle et elle aurait fondu dans mes bras.


Je me suis ressaisi et je lui ai demandé de continuer son récit sans pour autant lui demander d’enlever ses mains sur mes cuisses.


Madame Isabelle a pris en bouche le pénis de Mamadou et elle l’a inséré jusqu’au milieu puis elle l’a ressorti puis l’a entré à nouveau. J’avais l’impression qu’elle avait la bouche déformée par la grosseur de la bite de Mamadou. Elle lui a fait une pipe comme je n’ai jamais vu. Durant ce temps, madame Jeannine embrassait les mamelons de madame Isabelle et d’une main elle pistonnait le vagin de madame la patronne.


Après plusieurs minutes de ce traitement, madame Isabelle s’est couchée sur le dos et a demandé à madame Jeannine de lui donner le pot de crème à fourrer dans le premier tiroir du bureau de la tête de lit. Elle s’en est badigeonné la foufoune et elle en a appliqué une couche sur la bite de Mamadou. Elle a dit maintenant Mamadou tu va défoncer ta patronne et tu vas me la mettre bien au fond, mais ne me déchire pas l’entrée du vagin. Mon mari a une bite plus petite que la tienne.


Les jambes écartées, qu’elle tenait dans ses mains, elle dit :


  • — Vas-y Mamadou, pénètre-moi. Vas-y lentement.

Et elle lui répéta de faire attention de ne pas la déchirer. Mamadou s’est centré sur l’entrée de son vagin puis lentement fit glisser son mandrin dans cette grotte qui l’attendait pour la remplir au maximum. Rendu au milieu il se retira puis rentra à nouveau dans ce chaud cocon qui dégoulinait déjà. Probablement lorsqu’il a senti le col de l’utérus, il a arrêté puis s’est mis à la limer. Lentement au début puis de plus en plus vite.


Je voyais le bassin de madame monter et descendre, elle criait :


  • — Oui, défonce-moi, prends-moi complètement, fais-moi jouir.

Madame Jeannine embrassait les seins de madame puis Mamadou plaça ses doigts sur le clitoris afin de l’exciter le plus possible.


Les mains de Fatima caressaient ma bosse qui devenait de plus en plus dure et pour être à l’aise j’ai dû baisser ma fermeture éclair. Mon pénis, comme un ressort sortant d’une boîte fermée dont on ouvre le couvercle, a surgi devant sa bouche. Sans hésiter, elle le prit en bouche et commença à me faire une pipe. J’étais en train de tricher, mais la jouissance que me procurait Fatima était plus forte que la volonté d’arrêter. Elle avait une bouche divine.



Elle arrêta de me sucer, mais continua ses mouvements de haut en bas sur ma hampe.


Madame Isabelle criait qu’elle n’avait jamais joui comme ça. La bouche de madame Jeannine se promenait sur tout son visage. Elle la léchait, lui présentait sa langue dans la bouche, buvait sa salive et frottait son sein gauche sur celui de madame Isabelle.


Peu de temps après, c’est madame Jeannine qui s’est fait baiser par Mamadou.


Fatima arrêta de parler puis elle baissa le haut de son boubou et dévoila sa paire de seins. De vrais bijoux à sucer, à malaxer, à embrasser puis elle se remit à sucer le pénis qu’elle avait délaissé quelques minutes plus tôt.


Mon pénis me faisait mal, je voulais expulser mon sperme dans le fond du vagin de Fatima. Je me suis levé et par la fenêtre j’ai vérifié ce qu’Isabelle faisait. Elle avait l’air d’être assoupie. J’ai refermé le rideau puis j’ai pris Fatima par le bras et je l’ai amenée sur le sofa où je l’ai complètement déshabillée.



Je fis un aller-retour rapide et je me suis enveloppé le pénis avec une capote moyenne.


J’ai commencé par lui embrasser les mamelons. Cela faisait différent d’embrasser des seins noirs, cela ne m’était jamais arrivé. Après avoir laissé des traces de salive sur ses mamelons et ses aréoles, je descendis vers la jointure de ses jambes puis j’ai commencé à lui lécher la vulve. Ce ne fut pas long que la cyprine lui coulât entre les grandes lèvres. Je plaçai mes lèvres au début de son sillon et je recueillis sa cyprine comme on récolte la sève d’érable au Québec. Je m’abreuvais à cette source de jus de jouissance intarissable.


J’ai léché son clitoris, je l’ai titillé avec mon doigt et elle a joui bruyamment


J’ai pénétré son vagin en y insérant ma bite couverte d’une capote. J’avais toujours rêvé depuis mon mariage de baiser une femme noire ou asiatique. Mon rêve se réalisait maintenant. J’étais bien fiché dans le ventre d’une Gabonaise et je la limais comme un fou. Je ne pensais plus à Isabelle. L’idée d’adultère était loin derrière moi, je ne pensais qu’à la faire jouir et à jouir. Ce ne fut pas long qu’elle commençât à se débattre de tous les côtés, à crier et à m’embrasser à bouche que veux-tu. J’ai senti son vagin se contracter autour de ma verge comme un étau autour d’un tuyau et un flot de cyprine me coula sur les cuisses.


C’est lorsque son bassin s’est soulevé et qu’elle est devenue dure comme une barre d’acier que je suis venu au fond de la capote. Ça y était, je venais de faire Isabelle cocue. Je n’avais aucun regret, par contre j’avais peur qu’elle ait entendu les cris de Fatima. Je suis certain que Mamadou avait tout entendu, mais je m’en foutais. J’ai regardé par la fenêtre et je vis Isabelle encore étendue sur sa chaise longue avec son apéro à côté d’elle. J’avais l’impression qu’elle avait bu un peu trop aujourd’hui.


J’ai dit à Fatima de me conter la suite demain. Elle est sortie et quelques minutes plus tard je lui ai demandé de me préparer mon apéro favori et de me le porter sous la paillote. Je me suis assis à côté d’Isabelle en lui touchant les seins pour savoir si elle dormait profondément. Elle tourna la tête et me fit un bisou avec ses lèvres. Elle prit son verre et fit Tchin-tchin avec mon verre que Fatima venait de m’apporter.


Maintenant que je venais de baiser Fatima, je n’étais pas à égalité avec Isabelle, mais je venais de faire un grand pas.


Le samedi arriva et Robert et Jeannine arrivèrent vers les 19 h. Nous eûmes un excellent repas préparé par Mamadou. Il fit le service et lorsqu’il servait Jeannine, je voyais la main de Jeannine saisir le bas de sa queue et tirer dessus légèrement. Je regardais la figure de Mamadou qui demeurait impassible.


Le repas fut suivi d’un digestif et on se mit à parler de tout et de rien.


Je me posais beaucoup de questions. Que vais-je faire ? Je fais jouer le DVD de ce que j’ai pu filmer dans la chambre avec toutes ces orgies. J’aurai ma vengeance sur Isabelle. Par contre je vais certainement la perdre ainsi que Robert et Jeannine. Je vais perdre mon travail, perdre Fatima et surtout retourner en France.


Ou je deviens libertin, je peux baiser Fatima comme je veux, laisser Isabelle libre dans ses relations sexuelles, garder mon emploi ainsi que Robert et Jeannine.


Cela faisait plusieurs semaines que cette question me hantait.


Je me disais, fais ce que tu veux avec Isabelle, elle va toujours te mentir du côté sexuel si tu la retiens, alors fais comme les américains. Si tu ne peux les battre, joins-toi à eux. Voilà, ma décision était prise, je vais devenir libertin, ce n’est pas si mal !


Isabelle me dit :



Et tranquillement la conversation s’est tournée vers le sexe et c’est cela que je voulais.



Ils m’ont tous regardé avec étonnement, moi qui n’avais pas l’habitude de parler de ce sujet.

Après quelques secondes d’hésitation, il dit :



Jeannine a pris la parole.



Quelle ne fut pas notre surprise il y a plusieurs mois, avant de venir au Gabon, de voir, un soir de libertinage, Isabelle avec une copine, fréquenter un des clubs libertins que nous fréquentions régulièrement. Nous nous sommes arrangés pour qu’elle ne nous voie pas. Nous avons suivi son évolution au cours des vendredis suivants. J’étais surprise de ne pas te voir avec elle au club, mais Robert m’a expliqué que tu étais en déplacement pour le boulot.

J’ai donc conclu qu’elle te trichait et que probablement toi tu n’en savais probablement rien. Nous l’avons vue avec sa copine se masturber dans la chambre aux vitres teintées et que deux jeunes nouveaux les faisaient jouir. Nous ne sommes pas intervenus. Elles baisaient plus d’hommes et de femmes que Robert et moi pouvions faire l’amour dans un mois.

Depuis que nous sommes au Gabon, nous sommes demeurés discrets. Le fait qu’il n’y avait plus de déplacement de ta part pour le boulot, nous avons conclu qu’elle t’était maintenant fidèle. N’est-ce pas ?


Isabelle est demeurée silencieuse et elle regardait Robert tout en me regardant.


Je n’avais pas besoin de sa confession, je savais qu’elle me mentait, mais elle ne savait pas que je le savais.



Jeannine prit la parole et elle expliqua comment Robert et elle fonctionnaient dans la vie.



Je sentis un malaise courir dans l’air.



Elle me regarda avec l’air étonné.



Tous les deux disent oui. Un silence qui s’entendait parcourut le salon.



Isabelle répondit qu’avant de dire oui, elle me consulterait, mais a priori, c’est une expérience qu’elle aimerait vivre.



Timidement elle répondit oui puis baissa les yeux.

J’étais certain qu’elle ne savait pas que je savais qu’elle avait couché avec Robert et s’était fait baiser par Mamadou, le masseur, Jeannine et peut-être d’autres hommes ou femmes.



Et la soirée continue.



On aurait pu entendre une mouche voler. Tous les deux se sont regardés, mais ils demeurèrent silencieux. J’ai l’impression qu’ils voulaient laver leur linge sale entre eux.



Lorsque j’ai dit que Robert avait baisé Isabelle et que Jeannine l’avait baisé aussi, tous les deux étaient devenus blancs. Tranquillement les couleurs sont revenues.



Je fis jouer un slow et j’ai demandé à Isabelle de m’accorder cette danse, car je savais qu’elle aurait des questions à me poser.


En dansant, Isabelle me demanda depuis combien de temps je savais qu’elle baisait avec Robert et Jeannine et Mamadou et le masseur.



Le slow se termina et nous nous sommes assis les uns en face des autres.



Jeannine me dit :



Dans mon ordinateur j’ai programmé le slow le plus long.

Jeannine mit ses mains derrière mon cou et moi sur ses hanches. Elle me dit que j’étais vraiment surprenant et qu’elle ne se doutait pas que je savais qu’elle baisait Isabelle ainsi que d’autres hommes. Tu as vu la longueur du machin de Mamadou.



Jeannine me dit :



Elle déboutonna sa blouse et fit de même avec moi. Elle me demanda de lui défaire son soutif qu’elle fit passer par ses bras et écrasa ses seins sur mon torse poilu. Je me suis complètement déshabillé et je fis de même avec Jeannine. Je lui ai glissé ma verge dans le sillon de sa vulve puis j’ai commencé des va-et-vient pour la faire dégouliner de cyprine.


J’ai tourné la tête pour voir où Robert et Isabelle en étaient rendus. Isabelle avait déjà les jambes en l’air et Robert la léchait de l’anus à son clitoris. Isabelle grognait et poussait de petits cris. Son bassin bougeait dans tous les sens. Je voyais Robert pousser sa langue le plus profond qu’il pouvait. J’entendais les sons produits par la succion de sa vulve. Ça me faisait bander dur.


Jeannine me fit asseoir sur le sofa puis me pris en bouche pour me faire une pipe comme je n’avais jamais eue auparavant. Elle était douée avec sa langue. Elle léchait mon gland, me léchait la hampe de haut en bas, tournait ses mains autour de mon bâton de vie tout en me pompant pour me faire jouir. Il suffit de quelques minutes et je commençais à sentir la sève monter.



Elle ne dit rien, poussa ma verge au plus profond de sa gorge et accueillit ma semence qu’elle avala sans en perdre une goutte.


Je la fis asseoir sur le sofa en écartant ses jambes puis j’ai plongé ma tête entre ses cuisses pour atteindre sa vulve avec ma bouche. J’ai inséré ma langue entre ses lèvres et je l’ai masturbée en entrant et sortant ma langue dans son vagin. J’ai aspiré son clitoris pour le sucer en tournant ma langue autour de son petit gland.


Je l’ai pénétrée en douceur et j’ai commencé les va-et-vient doucement puis en accélérant de plus en plus vite. Elle criait de joie, verbalisant sa jouissance par des :



Cela a duré une bonne heure. Isabelle et Robert faisaient de même et Isabelle jouissait sous les coups de boutoir de Robert.


Après cette orgie, nous sommes demeurés nus et avons pris un verre pour nous rafraîchir. Isabelle fut la première à parler.



Ils sont partis et nous sommes allés au lit où nous avons fait l’amour encore une fois avant de nous endormir avec ma queue collée à ses fesses.


Le lendemain au petit déjeuner nous avons établi les règles du libertinage entre nous. Tout se dire lorsqu’on baise sans avoir prévenu l’autre. Utiliser un condom avec des personnes dont on n’est pas certain de leur statut santé, et autres conditions.


Isabelle m’embrassa sur les lèvres en me disant que c’était le plus beau cadeau que je venais de lui faire. Elle était libre de baiser sans avoir peur de se faire prendre.


Les mois passèrent sans problème. Robert nous recevait et cela finissait toujours par une partie de jambes en l’air. Lorsqu’il venait chez nous, c’était la même chose, et Mamadou participait souvent à nos ébats sexuels. Imaginez une bite de vingt-cinq cm dans le vagin d’une femme, cela enflamme le cerveau vers la jouissance à répétition.


De mon côté, j’ai informé Isabelle que je baisais souvent Fatima pour rattraper le temps perdu dont elle avait profité avant mon adhésion au libertinage. Il est même arrivé qu’Isabelle se mêle à nos ébats à Fatima et moi. Elle acceptait le partage entre elle et Fatima pour autant que ce n’était que de la baise avec Fatima.


Cela faisait plus de deux ans que les travaux allaient bon train. Puis un jour Robert m’informa de la venue de Serge, le grand patron, ainsi que sa femme Ingrid et qu’ils passeraient moins d’une semaine avec nous afin de vérifier où en était les travaux, mais surtout pour préparer le futur contrat pour la construction de deux nouveaux ponts près de la capitale.


Robert alla les chercher à l’aéroport et les conduisit à l’hôtel. Il m’informa que vendredi soir nous étions invités, dans sa suite, à prendre l’apéro, vers les 18 h et qu’après le repas et le digestif, Ingrid avait exprimé le désir d’aller en boîte.


Ce fut un bon repas et après le digestif, nous nous sommes dirigés vers une boîte où nous avions l’habitude d’aller certains soirs. Serge commanda quelques bouteilles de champagne puis discuta avec Robert du futur contrat qu’il espérait remporter contre une firme allemande. Le contact se nommait Ibrahima. Jeune ingénieur responsable des décisions à prendre pour recommander au ministre laquelle des sociétés en lice serait la meilleure et la moins chère pour réaliser le contrat. Après une heure de discussion, Serge nous dit :



Nous nous sommes dirigés sur la piste de danse et nous avons dansé sur de la musique africaine le Pachanga. Nous sommes retournés à la table et avons vidé nos coupes de champagne. Serge en commanda deux autres. La musique changea pour un slow. Serge demanda à Jeannine si elle voulait lui accorder cette danse et je fis de même pour Ingrid. Robert saisit la main d’Isabelle et l’entraîna sur le plancher de danse.


Nous avions quand même bu plusieurs bouteilles à six et je voyais que la libido des hommes et des femmes avait progressé vers le haut. Je vis Serge placer ses mains sous les fesses de Jeannine et Robert appuyer la bosse de son pantalon contre le bas-ventre d’Isabelle.


De mon côté, Ingrid avait les mains autour de mon cou, et elle appuyait sa cuisse sur la bosse protubérante et visible dans mon pantalon. Ingrid était une belle femme avec tous les atouts placés aux bons endroits. Une paire de seins à faire damner un saint. J’ai glissé ma main sous son chandail et je me suis mis à malaxer ses deux seins. Ses mamelons étaient durs comme de la roche. J’en ai profité pour les titiller et tirer dessus avec mon pouce et mes doigts.


Ingrid me dit qu’elle était sensible des seins et que si je continuais elle allait jouir sur le plancher de danse. Mon objectif était de la faire jouir. Imaginez une grande blonde scandinave, avec un corps de déesse. Je lui dis que si je continuais, c’était moi qui allais jouir. Elle passa sa main entre nos deux corps, inséra sa main dans mon pantalon à l’intérieur de mes bobettes puis pris ma bite en main et avec de lents mouvements de bas en haut, elle m’a masturbé tout en dansant.


Ce ne fut pas long, j’ai joui dans sa main. Elle essuya sa main sur mes bobettes et me tourna une pelle malgré les gens qui pouvaient nous voir. Je lui ai demandé si son mari était jaloux. Elle répondit qu’il y avait vingt ans de différence entre eux et qu’avant de se marier elle avait posé ses conditions. Il voulait une poupée, elle voulait son argent. Donc il la baisait, elle dépensait son argent et faisait ses expériences sans toutefois le ridiculiser. Elle le faisait en toute discrétion autant que faire se peut. J’ai sorti mon mouchoir de poche et je le lui ai donné pour qu’elle finisse de se nettoyer la main. Elle finit par essuyer ses doigts dans sa bouche avant de les assécher avec mon mouchoir.


Après cette soirée érotique, Robert ramena Serge et Ingrid à l’hôtel et nous sommes retournés à la maison.


Serge nous dit qu’il avait des réunions de planifiées avec les gens du ministère. Dimanche fut une journée de repos. Je les ai invités à prendre le repas du soir à la maison. Vers les 18 h, nous étions assis autour de la piscine, les hommes en discussion du futur contrat et les femmes assises sur le bord de la piscine discutaient de cul. Je les ai entendu parler de Mamadou avec sa bite de 25 cm. Ingrid chuchota à Isabelle qu’elle aimerait bien se le faire avant de retourner en France. Tout en écoutant la conversation entre Robert et Serge, j’ai quand même entendu les mots « lundi matin ».


La soirée ne s’est pas terminée trop tard.


Couché dans le lit, j’ai demandé à Isabelle ce qu’elle voulait dire par lundi matin avec Mamadou et Ingrid. Elle me répondit qu’Ingrid aimerait voir à quoi ressemblait une bite de 25 cm de longueur et une circonférence comme une cannette de bière. Quelle sensation cela faisait d’avoir une bite de cette longueur dans le vagin.



Serge a fait ça en grand. Nous avons été reçus dans un très grand restaurant. Ibrahima était gentil et cultivé. Ses parents étaient de la haute caste. Il avait des entrées directement auprès des ministres et du président. Il avait fait ses études en France et il était conseiller personnel des responsables des décideurs au ministère des Travaux publics. Ses conseils étaient écoutés. Il fallait qu’il soit de notre bord. Avant de nous quitter, j’ai compris entre les lignes qu’il aimerait avoir une BMW et une piscine à l’arrière d’une nouvelle maison. Il y avait aussi d’autres personnes à qui il fallait graisser la patte.


Il faut comprendre que les pots-de-vin sont courants lors d’attribution de contrat.


Ingrid avait appelé Isabelle, dans la journée de dimanche, pour lui signifier qu’elle viendrait lundi matin constater ce que les deux femmes lui avaient dit par rapport à la bite de Mamadou.


Robert et moi avons repris le travail lundi matin. Je me demandais si Ingrid se taperait Mamadou. La journée s’est passée comme à l’habitude. À mon retour à la maison, je m’empressai de demander à Isabelle si Ingrid avait passé à l’acte avec Mamadou.



Ingrid est arrivée vers les 9 h 30 ce matin. Nous avons pris un café et nous avons parlé de Serge. Ses goûts sexuels, s’il baisait bien, s’il durait longtemps et s’il la trompait.


J’ai appris que Serge utilisait du Viagra avant de la baiser et que cette pilule le faisait tenir au moins deux heures. Il pouvait éjaculer, mais demeurait dur pour la bourrer immédiatement après l’éjaculation. Il la faisait jouir plusieurs fois dans la soirée. Il lui arrivait de prendre deux pilules avant de la baiser. Elle me dit qu’elle avait peur qu’il fasse une crise cardiaque pendant la baise. Serge lui répétait qu’il n’avait qu’une vie à vivre et qu’avec une beauté comme la mienne il ne voulait pas perdre de temps.


Puis elle me parla de la bite à Mamadou, raison de sa présence. Je l’ai amenée dans la chambre à coucher et j’ai appelé Mamadou et Fatima de venir dans la chambre avec nous. Mamadou s’est présenté devant Ingrid assise au bout du lit et à ma demande il leva son boubou et au fur et à mesure que sa bite apparaissait, les yeux d’Ingrid s’agrandissaient.


Mamadou laissa tomber son boubou par terre. Il n’avait pas mis de bobette et nu devant Ingrid, il prit sa bite entre sa main et il commença des mouvements de va-et-vient pour faire grandir sa bite devant les yeux d’Ingrid. Ingrid remplaça la main de Mamadou par la sienne. Elle se tourna vers moi et me dit, je n’ai jamais vu une bite aussi longue et aussi grosse. Elle regarda Mamadou dans les yeux et lui demanda si elle pouvait le sucer. Il sourit et lui dit sans hésiter ma bite est à vous. Ingrid avait la chance d’avoir une

Elle prit sa bite à deux mains, entoura son gland avec ses lèvres et tourna sa langue autour du gland tout en le pompant gentiment.


Elle poussa sa bite le plus loin qu’elle pouvait puis la fit ressortir et l’engouffra à nouveau. Elle le suça pendant plus de vingt minutes puis elle accéléra le mouvement de façon à le faire jouir dans sa bouche. Je voyais Mamadou se tortiller pour se retenir le plus possible.


Elle sortit son chibre en entier, lui passa la langue de haut en bas, le remit dans sa bouche et le pompa du mieux qu’elle le pouvait afin de goûter à son sperme.

C’était excitant à voir. J’avais relevé le boubou de Fatima et j’avais deux doigts dans son vagin tandis que Fatima avait enlevé ma blouse et me suçait les seins en alternant de l’un à l’autre.


J’entendis Mamadou grogner en disant :


  • — Madame Ingrid, je vais jouir, je vais jouir. Où voulez-vous que j’éjacule.

Elle ne répondit pas, mais accéléra ses mouvements et finalement dit à Mamadou :


  • — Je vais jouir aussi, vas-y, défonce-moi la gorge, c’est bon, ouiii. Éjacule dans ma gorge, mets-moi s’en plein la gueule, car mon mari éjacule, mais pas plus qu’un chouia avant que la source ne se tarisse.

Puis Mamadou dans un grognement à défoncer les tympans éjacula dans le fond de la gorge d’Ingrid qui n’en perdit pas une goutte. Elle manqua de s’étouffer tellement il avait éjaculé de foutre dans sa bouche.


Isabelle me dit :



Après avoir nettoyé sa bite avec sa bouche, elle recula sur le lit et demanda à Mamadou de la faire jouir maintenant avec sa bite fourrée dans son vagin. Elle lui dit que jamais son mari ne la faisait jouir comme ça même en léchant sa foufoune et en la bourrant avec sa queue.


  • — Voyons maintenant si tu le dépasses avec ta langue et ta bite.

Mamadou lui écartela les jambes, plongea sa tête et commença à la laper par de grands coups de langue rose. Ingrid avait levé la tête pour le voir faire. Elle se tenait les seins, tirait sur ses mamelons, les léchait tout en se frottant le clitoris avec son autre main.


Mamadou avec la langue profondément rentrée dans son vagin la fit tourner délicatement. Il la sortait, la rentrait, suçait son clitoris, rentrait à nouveau sa langue dans son vagin. Ce ne fut pas long qu’Ingrid se mît à crier en faisant monter et descendre son bassin tout en mettant ses mains derrière la tête de Mamadou et en tirant dessus de façon à faire pénétrer sa langue le plus loin possible dans son puits d’amour.


Fatima était couchée sur le dos et je la masturbais avec un gode de belle grosseur. Elle se mit à jouir et ses cris se sont mêlés à ceux d’Ingrid. Depuis le début elle suçait mes seins et j’ai commencé à jouir en disant ;


  • — Ouuuuiiiii, Fatima, suce-les bien, je vais jouir !

Et c’est dans une cacophonie de cris que nous avons joui, les trois femmes en même temps.


Mamadou s’est attaqué au clitoris d’Ingrid en le saisissant entre son pouce et son index et en tirant dessus pour le faire sortir le plus loin possible de son tunnel. Je n’avais jamais vu un clitoris aussi gros et aussi sorti de sa cachette. Il tirait dessus, le léchait, le suçait et le masturbait comme on fait avec un pénis. Après quelques minutes de ce traitement, elle éjacula de la cyprine que Mamadou recueillit avec sa bouche toute grande ouverte.

Ingrid se tortillait comme une truite dans une poêle à frire. Tout son corps se débattait, ses mains tiraient sur la tête de Mamadou et ses jambes lui serraient la taille.


Mamadou se plaça entre les deux jambes d’Ingrid puis glissa son pénis sur le sillon débordant de cyprine, afin de le lubrifier pour mieux le faire entrer dans le vagin d’Ingrid. Déjà ce traitement provoqua un orgasme à Ingrid. Elle prit l’initiative de prendre le pénis de Mamadou et de le centrer entre ses grandes lèvres puis demanda à Mamadou de pousser lentement pour ne pas la déchirer, car son mari avait un pénis beaucoup moins long et vraiment plus petit.

Mamadou fit attention et poussa lentement pour faire entrer son pénis dans le vagin d’Ingrid. Il progressait lentement en écartant les chairs avec ses doigts.


Lorsque je vis le pénis entrer difficilement, je pris le flacon contenant l’huile que tu utilises pour m’enculer et j’en ai versée sur le pénis de Mamadou afin de mieux le lubrifier. Il se retira presque complètement, ce qui me permit de verser plus d’huile et il poussa pour la faire entrer le plus loin possible. Je me suis mise à lui titiller le clitoris et déjà elle eut un orgasme foudroyant. C’était beau à entendre tous ses cris, ses hurlements et ses :


  • — Ouiiiiiiiis, fais-moi jouir. Je veux ta queue au plus profond de moi, je sens ta bite qui m’emplit complètement. Mon mari ne m’a jamais remplie comme ça. Je la sens progresser dans mon vagin, elle s’introduit comme un serpent dans sa cachette.
  • — Ne t’arrête pas, continua Ingrid, plus profond, oui commence à me limer. Je la sens toucher mon col de l’utérus. Es-tu au fond, sens-tu mon utérus, laisse-moi voir ce qui reste à entrer.

En levant la tête, elle s’aperçut qu’il lui restait encore au moins cinq centimètres à entrer.


Ingrid lui dit :


  • — Mamadou ne va pas plus loin, tu es au fond.

Sans l’écouter, il continua son lent chemin jusqu’à une pénétration complète.


  • — Ce n’est pas possible, dit Ingrid, j’ai rentré tout ça dans mon vagin sans douleur. Mamadou, lime-moi à fond. Je n’ai jamais été investie comme ça, même avec mes meilleurs amants avant de connaître Serge. Fais-moi jouir, je t’en supplie, fais-moi sentir que je suis une femme qui peut recevoir des bites de ton acabit.

Mamadou commença à la limer lentement, Ingrid lui prit la tête et la colla sur ses seins. Elle lui criait de ne pas arrêter, de bien la pénétrer, qu’elle sentait bien sa bite puis après plusieurs minutes de va-et-vient, Mamadou accéléra le rythme et Ingrid se dressa le bassin pour faire pénétrer la bite de Mamadou encore plus loin.


Fatima et moi regardions cette machine à sexe bourrer Ingrid puis Mamadou commença à émettre des sons de plus en plus sauvages et dans une poussée ultime, il déchargea dans le vagin d’Ingrid. Elle lui lacéra le dos de ses ongles, tout en se tortillant de tous les côtés tellement l’orgasme était violent. Elle fut hors contrôle pendant au moins une minute puis elle s’effondra sur le dos presque sans connaissance.


Mamadou se retira de son vagin avec sa bite en semi-érection. Je me suis précipité dessus et je l’ai lavée avec ma langue en léchant son sperme le long de sa hampe tout en gouttant à la cyprine d’Ingrid.


Fatima s’est mise à lécher la vulve d’Ingrid afin d’extraire tout le foutre de Mamadou. Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu une scène aussi torride. Mamadou m’a mis deux doigts dans le vagin et par ses va-et-vient, il a réussi à me faire jouir encore une fois de même que Fatima a fait jouir Ingrid avec sa bouche sur sa foufoune.


Voilà ce qui s’est passé avec Ingrid et Mamadou. Elle voulait voir et se faire mettre par une grosse bite et bien elle a été servie.

Elle est repartie en taxi vers l’hôtel rejoindre son mari afin de préparer les valises pour leur retour à Paris.


La vie reprit le cours naturel des choses.


Peu de temps après le départ de Serge et d’Ingrid, j’ai invité Robert et Jeannine à souper afin de faire le point sur notre vie sexuelle. Après le repas avec un digestif dans les mains, j’ai demandé à Isabelle, Jeannine et Robert leurs feed-back sur nos rapports sexuels depuis notre entente. Est-ce que nous nous sommes tout dit, etc.


Isabelle fut la première à parler.



Puis elle m’embrassa.


Robert nous dit qu’il se plaisait et qu’il aimait bien baiser Isabelle. Il avoua qu’il avait baisé quelques fois une employée de la comptabilité, mais que Jeannine le savait.


Jeannine prit la parole et elle aussi était satisfaite de la situation et qu’elle ne pouvait demander mieux. Par contre elle nous dit qu’elle avait un petit secret à nous confier.



Il s’est donc présenté après le départ de Robert pour son travail, il a pris deux petites pilules bleues et après quelques minutes, il a commencé à me déshabiller. Je fus nue en quelques secondes et lui de même et il m’a transportée jusque dans la chambre à coucher où nous avons baisé toute la matinée. Je peux vous assurer que les deux pilules bleues ont fait leur effet. Il est demeuré dur et il m’a fait jouir plusieurs fois avant de débander. J’attendais le moment propice pour vous en parler. Je pense qu’après cette baise, vos contrats pour la société sont assurés.


Robert regarda sa femme puis l’embrassa tendrement. Il lui prit les deux mains et calmement il dit à Jeannine qu’il savait que Serge l’avait sautée.


De mon côté je leur dis qu’être libertin avait ses bons côtés et que je ne regrettais rien du changement de mon statut d’homme exclusif à homme libertin.


Quelques mois plus tard, Fatima nous informa qu’elle était enceinte. Elle avait réussi à faire l’amour une fois avec son mari et qu’il était consentant à lui faire un bébé.


Un peu plus de sept mois plus tard, elle accoucha d’un beau garçon de 3,5 kg. Nous sommes allés la voir à l’hôpital. Nous ne voulions pas qu’elle accouche à la maison, nous avons donc pris les arrangements pour payer la note de l’accouchement et les soins à l’hôpital.


Lors de notre visite, l’infirmière lui apporta le bébé pour qu’elle puisse le nourrir au sein. Il était beau comme tous les nouveau-nés, avec une peau un peu moins chocolat que Fatima. Il faut dire qu’elle est de descendance chinoise et gabonaise.


Après son boire, Isabelle l’a pris dans ses bras et l’a longuement regardé puis m’a jeté un œil de travers. Elle me l’a transféré dans mes bras pour que je puisse le regarder de plus près. Tout en le tenant dans mes bras, Isabelle me fit un sourire qui en disait long. En le regardant attentivement, je me suis posé une question : suis-je le père ? J’ai regardé Isabelle puis Fatima, elles avaient toutes les deux le sourire.


Deux mois après la naissance, Fatima est venue à la maison nous présenter le gosse qui avait pris du poids et surtout pour nous informer que le gamin se nommait Seb junior.


Isabelle et moi lui dîmes que nous étions honorés. Elle en était fière. Je le pris dans mes bras pour le bercer tandis que Fatima et Isabelle placotaient ensemble. Ne me voyant pas, je pris le temps de récupérer quelques cheveux avec la racine. Seb junior dormait et il ne s’en est pas aperçu. Je redonnai le bébé à Isabelle qui le berça quelques minutes avant de le redonner à Fatima.


Elle nous dit qu’elle était prête à recommencer à travailler, car durant son accouchement, ce fut sa mère qui l’avait remplacée.


Après son départ, je m’empressai de placer les cheveux dans un sachet plastique ainsi que dans un autre sachet quelques cheveux de moi en identifiant les sachets. Le lendemain j’ai mis à la poste le colis, expédié à un laboratoire pour analyse des ADN.


Quelques jours avant la fin des travaux j’ai reçu une lettre du laboratoire sur laquelle les résultats de paternité étaient confinés. J’allais maintenant savoir si j’étais le père ou non de Seb junior.


J’ouvris l’enveloppe puis je me mis à lire le résultat.


Suite à l’analyse des cheveux de deux personnes différentes, nous vous confirmons le résultat suivant.

J’ai arrêté de lire, mon cœur battait la chamade, une larme au coin de l’œil sans savoir encore si j’étais le père ou non. J’ai continué à lire puis… les deux bras me sont tombés. Je relis encore une fois, c’était bien la même chose. J’ai remis la lettre dans l’enveloppe puis je l’ai rangé dans le coffre-fort.


C’est un secret que je ne voulais partager avec personne, même pas avec Isabelle ou Fatima.


Tout s’est bien déroulé jusqu’à la fin des travaux.


Les travaux terminés, il y eut l’ouverture officielle de la route et du pont par une cérémonie officielle avec le ministre des Travaux publics et toute la haute caste gabonaise.


À la fin de la cérémonie, Robert a invité Ibrahima et son épouse à un souper dans un magnifique restaurant. Serge lui avait dit de bien le choyer, car c’était la personne qui conseillait les responsables dans la prise de décision pour le futur contrat des deux nouveaux ponts à construire.


C’était notre dernière soirée au restaurant, car nous prenions l’avion deux jours après pour rentrer en métropole.


Nous sommes rentrés à la maison pour continuer à préparer les valises et nous avions demandé à Fatima et Mamadou de venir tous les deux nous rencontrer afin de discuter d’un projet qu’Isabelle et moi avions mijoté.


Assis dans le salon face à Fatima et Mamadou, je laissai Isabelle parler.



Elle avait larme à l’œil. Elle ne savait quoi dire et elle s’est jetée à notre cou en nous embrassant comme un enfant qui vient de recevoir un cadeau.



Nous nous sommes embrassés et ce fut des adieux émouvants. Nous ne voulions pas que tous les deux nous regardent partir, c’est la raison pour laquelle nous avons cessé leurs services.


Nous nous sommes rendus au restaurant pour rencontrer Robert et Jeannine ainsi qu’Ibrahima et sa conjointe.


Les présentations furent faites et nous sûmes que sa conjointe se nommait Iris. Ce fut le grand service. Robert parlait avec Ibrahima du prochain contrat tandis que nous quatre parlions de choses et d’autres.


Je regardais Iris et je la trouvais très belle. Elle avait une belle peau noire, de beaux yeux verts, une belle taille et surtout une belle poitrine qu’elle n’hésitait pas à mettre de l’avant.


Après le repas, qui a quand même duré plus de trois heures, Ibrahima nous proposa d’aller en boîte, car Iris aimait bien danser.


Ibrahima nous amena dans une boîte que nous ne connaissions pas. En arrivant, le garçon nous fit asseoir à une table près de la piste de danse. Il m’a semblé que le garçon connaissait bien Ibrahima.


Robert et Ibrahima étaient assis l’un à côté de l’autre et discutaient encore boulot.


La musique était entraînante et Iris s’est levée et a demandé à Isabelle si elle pouvait me demander à danser. Isabelle dit oui immédiatement puis Iris m’entraîna sur la piste de danse. Un peu de musique de toutes sortes. Après plus de trente minutes, nous sommes revenus à la table.


Isabelle me demanda pour l’autre danse qui était un slow tandis qu’Iris demandait à Jeannine, Robert étant toujours occupé à parler avec Ibrahima.


Après quelques slows, nous sommes revenus à la table pour terminer les deux bouteilles de champagne que Robert avait commandé en arrivant.


Enfin le côté business était terminé et Ibrahima demanda à Isabelle de lui accorder la prochaine danse. Je les vis tous les deux collés l’un à l’autre, car Ibrahima avait une main baladeuse presque sur ses fesses et l’autre en haut de son dos. Il la collait sur lui.


Isabelle devait certainement sentir une bosse lui pousser sur le ventre. Elle ne se dégagea pas, même au contraire elle poussait de son côté. Bon je me suis dit, un autre qu’elle va se taper.


Revenu à la table, Ibrahima demanda au garçon de table quelque chose tout près de son oreille. Deux minutes plus tard, un homme d’un certain âge arriva à notre table fit la bise à Ibrahima. Celui-ci nous présenta son ami de longue date comme étant le propriétaire de la boîte.


Ibrahima demanda quelque chose à son ami qui s’est empressé de sortir son trousseau de clés, en détacha une et la lui remit. Son ami partit en nous souhaitant une bonne soirée.


Ibrahima se leva, lui fit la bise puis se dirigea vers le DJ. Il lui remit de l’argent, lui dit quelque chose à l’oreille puis est revenu s’asseoir. Avant que le prochain morceau de musique débute, Ibrahima demanda à Isabelle de lui accorder cette prochaine danse.


Sans se faire prier, Isabelle se leva, prit la main d’Ibrahima et se dirigea vers le plancher de danse.


Les lumières baissèrent d’intensité, mais plus que les autres slows d’avant. Il faisait presque noir. Il était difficile de distinguer où était Ibrahima ou Isabelle.


Isabelle me raconta ce qui s’était passé durant ce slow.


Elle me dit : aussitôt que les lumières furent presque éteintes, Ibrahima me prit par la main et m’entraîna au bout de la salle, sortit une clé, déverrouilla la porte, me poussa à l’intérieur, ferma la porte à clé puis alluma les lumières.

Je me suis rendu compte que j’étais dans un bureau, probablement le bureau du propriétaire que nous avions vu auparavant. Ibrahima fut gentil, il embrassa mes deux mains et me dit qu’il me trouvait jolie. Il avait le goût de me faire l’amour depuis notre première rencontre et qu’il espérait me revoir dans quelques mois une fois le contrat accordé.

Je venais de comprendre que de me faire baiser était comme une condition sine qua non relative à l’attribution du contrat à notre société. Je n’avais pas grand temps pour prendre une décision. Je baise Ibrahima et nous avons de fortes chances de revenir, je ne baise pas et nos chances s’amincissent. Là, je me suis dit : un de plus ou un de moins cela ne changera rien dans ma vie sexuelle et de plus j’augmente nos chances de revenir ici pour quelques années.

J’ai regardé Ibrahima dans les yeux et j’ai baissé le haut de ma robe pour laisser apparaître mon soutif noir. J’ai défait la fermeture, j’ai laissé tomber mon soutif par terre puis j’ai pris ses deux mains et je les ai posées sur mes seins en lui demandant de bien me baiser.


  • — Déshabille-moi et baise-moi, lui dis-je.

Il s’empressa de sucer mes mamelons qui étaient devenus durs. Il avait mon mamelon droit dans sa bouche et triturait l’autre avec sa main libre.

l m’a enlevé ma robe qu’il laissa tomber au sol. J’étais devant lui avec seulement ma petite culotte noire assortie à mon soutif. Sa bouche s’est promenée sur mes seins, mon cou et il m’a roulé une pelle comme si sa vie en dépendait. Il embrassait très bien. Je sentais venir une chaleur dans mon bas-ventre. Sa main fouillait mon entrejambe, il a introduit son majeur entre mes grandes lèvres puis il a poussé à fond.


Il a certainement senti la cyprine de mon vagin couler le long de sa main et sur mes cuisses. Il a regardé sa montre en me disant que le slow durait vingt minutes. Il m’a couchée sur le divan puis sa bouche est descendue jusqu’à l’entrée de mon tunnel d’amour tout en prenant mes mamelons l’un après l’autre afin de les faire durcir comme de la roche. Sa langue a fait le tour de chacun des mamelons et il les a sucés comme s’il suçait une glace. Il les a regardés puis il me dit que j’avais les plus beaux mamelons qu’il lui avait été possible de voir dans sa vie. Cela a flatté mon ego.


Sa langue est descendue vers mon puits d’amour et s’est introduite entre mes grandes lèvres puis a forcé mon passage intime pour la tourner dans tous les sens. Ce fut tellement bon que j’ai eu mon premier orgasme. Mon corps tenait seulement sur mes talons et sur l’arrière de ma tête. Je tremblais de partout. Ibrahima me regardait et me dit que ce n’était que le début et que vingt minutes c’étaient malheureusement peu de temps pour me faire jouir comme il le voudrait.


Je l’ai entendu dire qu’il ferait son possible pour me revoir dans quelques mois. Ça m’a soulagée d’entendre ces paroles en me disant que je ne me faisais pas baiser inutilement. Il y avait ce contrat au bout comme récompense nonobstant le fait que la baise me réjouissait au plus haut degré.


Avec sa langue il a poursuivi son chemin, lapant ma cyprine au passage, pour atteindre mon clitoris. Je voyais sa belle longue langue toute rose, effleurer le bout de mon clitoris faisant monter en moi un orgasme annonciateur. Quelques minutes de ce traitement et ce fut l’apothéose. J’ai frissonné de partout, je pense que je lui ai grafigné le dos et mon bassin faisait des soubresauts à n’en plus finir. J’ai crié même s’il m’a placé sa main sur ma bouche pour étouffer les sons.


  • — Continue, suce-le, aspire-le, tourne ta langue encore autour de mon clitoris, il en demande encore plus lui dis-je. Je jouiiiiiiiiis, défonce-moi maintenant.

Il a regardé sa montre encore une fois, il s’est déshabillé rapidement puis il m’a soulevé les jambes, les a placés sur ses épaules et sans hésiter il a rentré sa quéquette jusqu’au fond de mon vagin. J’ai senti son champignon frapper le col de mon utérus. Pour que je puisse le sentir comme ça, remplir mon vagin et frapper le col de mon utérus, il fallait qu’il en ait une grosse et longue queue. Probablement moins longue et définitivement moins grosse que celle de Mamadou, mais assez bien équipé pour satisfaire n’importe laquelle des femmes même nymphomanes comme moi.


Il m’a limée pendant plusieurs minutes et j’ai eu des orgasmes à répétition. Je ne sais pas comment il faisait, mais il serait bien l’étalon dans un club échangiste. J’ai senti sa bite grossir et dans un cri animal il a déchargé dans le fond de mon vagin. J’ai senti son sperme frapper les parois de mon vagin. Il a sorti son engin de mon puits et il était encore en érection. Il m’a regardé et il m’a dit que malheureusement nous n’avions que vingt minutes sinon il m’aurait enfilée de nouveau.


J’étais en sueur, je l’ai attiré à moi, je l’ai embrassé pour le remercier de m’avoir procuré autant de plaisir et pour le remercier encore plus, je lui ai enlevé tout ce qui était demeuré sur son phallus. Je l’ai sucé pendant encore une minute puis il a pris ma tête entre ses mains, m’a embrassée de nouveau, il a regardé sa montre et avec un air de déception sur sa figure, me dit il faut vite s’habiller, car le slow terminera dans moins de deux minutes.


Il ferma les lumières, nous sortîmes et il verrouilla la porte, puis nous sommes retournés danser. Une minute plus tard, les lumières reprirent leur intensité d’avant le slow et nous sommes revenus à notre table. Tu m’as regardée avec un air surpris comme si tu me posais la question : où étais-tu tout ce temps.


C’est là que j’ai commencé à t’expliquer ce qui venait de se passer. J’ai cru bon apporter ma contribution à l’obtention de ce contrat en plus de profiter d’une baise que je n’oublierai pas de sitôt. Par contre Seb, c’est avec toi que je fais les meilleures baises. Tu sais que je t’aime plus que tout au monde.


La musique reprit quelques slows beaucoup plus courts que l’autre d’avant.


Je surveillais Ibrahima du coin de l’œil et il fit un signe au DJ. Le slow terminé, je vis Ibrahima se lever et avant même que le prochain slow débute, il a demandé à Jeannine de lui accorder cette danse. Elle accepta avec plaisir.


Voyant ça, Iris me demanda pour danser. Robert en fit de même avec Isabelle. La musique débuta et les lumières baissèrent d’intensité comme durant le slow qu’Isabelle et Ibrahima firent ensemble il y a quelques minutes.


Iris mit ses mains autour de mon cou et se colla à moi.



Après plusieurs minutes, elle approcha sa bouche de mon oreille et me dit :



Je lui dis :



Je tournai ma tête vers Iris même si je ne voyais que des reflets sur son visage et j’ai déposé mes lèvres sur les siennes en introduisant ma langue dans sa bouche. J’avais l’impression de jouer une partie de cape et d’épée, une bataille de langue. Nous avons mélangé nos langues, nous nous sommes échangés de la salive puis j’ai glissé ma main droite dans le trou béant de sa manche de son boubou pour lui prendre un sein que j’ai englobé tout entier dans ma main.


Elle poussa son bassin sur mon pénis qui forçait pour sortir de mon pantalon. Elle me dit :



Ce que je fis pendant plusieurs minutes. Je sentais son corps se coller de plus en plus sur le mien.



Elle gémissait de bonheur en émettant des sons de plus en plus jouissants. Elle colla sa bouche sur la mienne et une de ses mains sur le devant de mon pantalon.



Il baise, je baise. Ce n’est pas de la vengeance, seulement de la baise. J’aime Ibrahima et je ne le laisserai pas pour un autre homme et je sais qu’il m’aime aussi.


Je descendis ma fermeture éclair, sortis mon pénis, soulevai son boubou, écartai son J-String et y glissai mon pénis. Je restai comme ça quelques minutes puis sans que personne ne s’en rende compte, je commençai mes va-et-vient. Iris avait appuyé sa tête sur mon torse et grommelait des hummmmm, des aaaaah, des gémissements bons à entendre.



Après plusieurs minutes, j’étais sur le point d’éjaculer. Je pris la tête d’Iris et lui dit que j’allais éjaculer. Je ne sais pas si elle avait compris, mais j’avais l’impression qu’elle était en train de jouir. J’entendis un faible oui,



De concert ce furent des grognements qui s’échappèrent de part et d’autre puis j’ai éjaculé dans le fond de son vagin.


Le slow termina quelques minutes plus tard et Iris me dit :



Nous nous sommes approchés du bureau, mais Ibrahima et Jeannine n’étaient pas visibles, ni près du bureau, ni sur le plancher de danse, ni à notre table.


Un autre slow débuta, les lumières baissèrent d’intensité, mais nous pouvions voir qui dansait ou qui sortait du bureau.


Après quelques minutes, Ibrahima sortit du bureau en vérifiant si quelqu’un pouvait le voir, puis Jeannine suivit quelques secondes après.


En passant près de nous, Ibrahima surpris, mais confiant nous salua et il s’est dirigé avec Jeannine vers notre table. Je le vis commander des boissons pour tout le monde et à notre arrivée deux bouteilles de champagne nous furent servies par le garçon. Jeannine était en train de réarranger ses vêtements et sa coiffure.


Une heure après nous prîmes congé d’Ibrahima et de son épouse pour regagner la Jeep de Robert.


Isabelle me dit de monter à l’avant, car elle devait discuter avec Jeannine à l’arrière.


Nous roulions vers la maison et Isabelle a demandé à Jeannine comment elle se sentait après cette baise avec Ibrahima ?


Jeannine regarda Isabelle avec un air un peu surpris, ne pensant pas que nous le savions.


C’est Isabelle qui parle :



  • — Jeannine, je me suis fait baiser par Ibrahima quelques minutes avant toi donc j’ai une bonne idée de ce qui s’est passé lors de ce slow de vingt minutes, alors dis-moi ?
  • — Eh bien, aussitôt les lumières presque fermées il m’amena dans le bureau du patron puis me dit qu’il voulait me baiser depuis qu’il m’avait vue la première fois. Il voulait me donner tout le plaisir que je méritais, mais que vingt minutes c’étaient courts pour me satisfaire comme il voulait le faire. Il a été gentil, me flattant de ma beauté et de mon apparence envoûtante. Il a flatté mon ego comme Robert le faisait lors de nos premières rencontres. Après il m’a déshabillée et m’a fait jouir avec des orgasmes à répétition. J’aurais aimé passer toute la nuit avec lui. Il avait une queue longue et grosse qu’il m’a fait sentir au fond de mon vagin. Il m’a fait jouir en me léchant le clitoris, les mamelons, les grandes lèvres et par le vagin. Sa queue m’a rempli le vagin beaucoup plus que Robert et il savait me faire jouir en déplaçant sa queue dans mon tunnel d’amour. Ce fut une baise mémorable. De plus, si j’ai compris ses paroles, mon investissement sexuel pouvait faire pencher la balance du contrat futur en notre faveur. Du moins c’est ce que j’ai compris et je l’espère.

Je lui ai demandé s’il avait déchargé dans son vagin. Elle remonta sa robe et je vis qu’elle n’avait plus de petite culotte, comme moi. Qu’as-tu fait de ta petite culotte ? Elle répondit qu’il l’avait gardé comme trophée.


  • — Comme il a fait avec moi, lui dis-je. Ça lui fait deux J-Sring ce soir. Je sortis un papier mouchoir et j’ai essuyé le foutre qui était demeuré collé sur ses cuisses. Je me suis penché et j’ai léché tout surplus de foutre. Après ce léchage Jeannine prit ma tête, me roula une pelle et nous nous sommes embrassées tout au long du trajet jusqu’à la maison.


Nous avons terminé la nuit dans une orgie où nous avons changé de partenaire toutes les heures.


Quelques jours plus tard, nous étions de retour à Paris. Nous avons repris notre travail comme avant notre départ, mais sans déplacements. Je revenais tous les soirs coucher à la maison.


Nous avons continué à voir Robert et Jeannine comme des libertins nos soirées finissaient toujours par une orgie. De temps en temps nous allions dans le club où j’avais surpris Isabelle avec Julie.


Souvent Julie venait nous rejoindre et elle fit partie de nos libertinages.


Nous étions de retour depuis trois mois lorsqu’un soir le téléphone sonna.



Personne au téléphone, du moins c’est ce que je pensais. Puis j’entendis des sanglots.



Nous avons parlé pendant trente minutes. Je lui ai demandé où je pouvais la joindre. Elle m’a donné un numéro de téléphone. Je lui ai dit que j’allais la rappeler.


J’ai raccroché le téléphone et j’ai immédiatement appelé Robert pour l’informer de la situation. Il m’a dit qu’il va me rappeler dans quelques minutes.


Dix minutes plus tard, le téléphone sonnait, c’était Robert au bout du fil.



Je fis part de la situation à Isabelle. Elle me dit



J’ai donc fait mes valises, réservé mes billets d’avion en première classe et nous nous sommes couchés et avons fait l’amour plusieurs fois avant de s’endormir.


Le lendemain matin, j’ai embrassé Isabelle, j’ai pris un taxi pour l’aéroport puis je me suis envolé vers le Gabon.




À suivre au Gabon…