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Temps de lecture estimé : 18 mn
26/03/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Comme convenu, nous retournons sur cette fameuse plage naturiste/nudiste. Côté passager, Claudine, ma femme, est assez fébrile, elle croise et décroise les jambes, ne sachant pas quoi faire de ses mains.
Critères:  fh couple plage nudisme nopéné -couple
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Plagismes

Chapitre 02 / 03
Plagisme - Le retour

Comme certains lecteurs de l’histoire « Plagisme »

m’ont demandé s’il y avait une suite, je me suis décidé d’en écrire une dans la même tonalité. Donc, n’espérez pas de sexe débridé.

Ne pas confondre auteur et narrateur, même si j’emprunte parfois à mon vécu.

Bonne lecture :)




Comme convenu, nous retournons sur cette fameuse plage naturiste/nudiste. Côté passager, Claudine, ma femme, est assez fébrile, elle croise et décroise les jambes, ne sachant pas quoi faire de ses mains. Je vois bien qu’elle oscille entre s’exhiber sur la plage et retourner à la maison. En effet, la dernière fois, elle avait proposé d’y retourner carrément nue ! Ce qui faisait bien mes affaires. Mais entre-temps, j’ai bien vu que, parfois, elle regrettait d’avoir parlé trop vite.



Ne pas trop lui rappeler qu’elle avait prévu de s’y exposer dans le plus simple appareil. Mettre l’accent sur le côté détente, et sur place, on verra comment les choses tournent.


Très vite, grâce à l’autoroute, nous arrivons à destination. Après quelques minutes sur des petites routes, je gare la voiture sur le même parking assez sableux et pas mieux entretenu que la dernière fois. Après avoir pris ce qu’il fallait dans le coffre, Claudine et moi nous dirigeons vers le bord de mer en traversant un mince cordon de dunes grâce à un chemin composé de dalles de béton.


Nous sommes à peine arrivés aux abords de la plage que ma femme s’arrête, incertaine. Elle navigue toujours entre excitation et sursaut de pudeur. Mine de rien, je n’en mène pas trop large non plus, car si Claudine se met nue, je devrai en faire autant ! Et j’ai quelques craintes vis-à-vis de la réaction de mon cinquième membre, je risque d’être au garde-à-vous un bon bout de temps !



Nous nous remettons à peu près au même endroit qu’avant-hier, mais un peu plus près de l’eau. Ma femme se change prestement, exhibant un mignon deux-pièces, rose pâle. De loin, on peut croire qu’elle est nue, comme la quasi-totalité des personnes de cette plage. Je me pose la question de ce que ça donnera une fois le tissu mouillé… Rose-tissu sur rose-peau, de près, ça risque de faire carrément plus nu que nu, surtout mouillé et moulé !


En tout cas, on dirait qu’elle a décidé d’y aller progressivement, ce qui ne sera pas un mal pour ma libido. D’autant que j’aimerais quand même aller faire trempette, et que si mon sexe est trop raide, ça ne le fera pas ! Entre-temps, elle met sur le bout de son nez une large paire de lunettes de soleil. Ça fait très pin-up et ça lui va très bien…


Il est assez tôt. D’autres personnes arrivent, la plage se remplit petit à petit. Je demande :



Du coup, je prends un livre et je tourne les pages sans grande conviction. Soudain, je sens comme une menace. Je lève le nez de mon livre pour aviser un homme d’allure sportive qui s’approche de nous. C’est alors que je reconnais « Grosse-Queue », le même type que la fois dernière, celui sur lequel ma femme s’était retournée.


Alors qu’il s’approche de nous, c’est le moment que choisit Claudine pour enlever le haut !


L’homme nous sourit, nous saluant d’un petit signe de la tête. Le sourire que ma femme lui retourne est un peu plus large que de coutume. Puis cheminant sur le sable, il s’éloigne. Mais je vois bien que Claudine le suit des yeux. Sans complexe, elle lâche même en catimini :



Je préfère ne rien répondre. Je suis en train de me demander si venir aujourd’hui sur cette plage était une si bonne idée que ça. Pour tenter de passer à autre chose, je propose à ma femme :



Nous partons, main dans la main, nous baigner. L’eau est bonne et je découvre que l’eau rend luisante la belle poitrine de ma femme. Je m’amuse même à contempler les quelques rigoles qui dégoulinent le long de ses courbes polissonnes. Claudine s’aperçoit vite de mon petit manège, ça la fait simplement sourire. Nous nous amusons dans la mer, je fais quelques brasses tandis que ma compagne fait plutôt du surplace.


Alors que je m’étais éloigné d’une bonne vingtaine de mètres, je vois arriver Grosse-Queue vers nous. Il semble décidé à venir profiter, lui aussi, des joies maritimes. En un rien de temps, je le vois roder autour de ma femme, tandis que je reviens auprès de Claudine, car je n’aime pas trop leur actuelle proximité. Qu’on zieute ma femme, je ne suis pas contre, mais qu’on la drague sous mon nez, je suis nettement moins d’accord !


C’est à moi que s’adresse l’importun :



J’ose espérer qu’il parle de la mer et non de la mère de mes enfants ! Diplomatiquement, je réponds :



Puis il s’éloigne un peu pour faire la planche. Bien sûr, devinez qui maintenant glisse des petits coups d’œil vers une certaine partie de l’anatomie du corps qui flotte à deux-trois mètres d’elle ? Si vous avez répondu « Claudine », vous avez tout bon. Pour ma part, je n’arrive pas à décider si GQ (Grosse-Queue) l’a fait exprès ou si c’est naturel chez lui et qu’il n’y prête plus attention. En tout cas, ma femme, elle, y prête attention, je le vois très bien, d’autant que ses lunettes de soleil sont sur le bout de son nez.


Ostensiblement, Claudine, qui était partiellement accroupie dans l’eau, se relève. Elle offre ainsi le spectacle de ses seins ruisselants et luisants à GQ qui lui fait presque face. Curieusement, celui-ci arrête de faire la planche, pour ne plus faire émerger que sa tête. Quand elle se tourne vers moi, je vois bien qu’un certain sourire de satisfaction est dessiné sur les lèvres de Claudine qui remonte ses lunettes du bout du son doigt mouillé. Tandis qu’elle passe devant moi, elle me dit :



Je la regarde passer devant moi, sans réagir. Je constate du coin de l’œil que GQ regarde lui aussi dans la même direction que moi. C’est alors que je me décide à sortir de l’eau et à rejoindre ma femme qui est déjà quelques mètres devant moi.


Elle ouvre carrément la marche, poitrine ouvertement en avant, tandis qu’elle déambule à présent sur la plage. Je vois bien que certains regards, surtout masculins, l’ont en point de mire. Je suis à la fois fier et chagriné, un curieux mélange de sensations. Je finis par rejoindre ma femme et lui prendre la main. J’aimerais beaucoup lui poser certaines questions, mais je n’ose pas.


Chemin faisant, elle dit :



C’est une explication comme une autre. Tant mieux si ça lui permet d’être seins à l’air ; moi, ça me va très bien. Je lui réponds :



Nous arrivons à l’emplacement de nos serviettes. À peine arrivée, avec décontraction, Claudine laisse tomber le bas. Je ne m’attendais pas à ce genre de prestation de sa part. Aussitôt, une certaine partie de mon anatomie se manifeste. Ma femme m’apostrophe :



Elle écarquille les yeux puis s’esclaffe :



Altière, elle s’approche dangereusement de moi :



Je suis un peu dépassé par la tournure des événements. Je bafouille :



À mon grand étonnement, je m’exécute, puis je jette son maillot sur ma serviette étalée au sol. Elle hoche de la tête :



En riant, elle s’allonge sur le ventre, exposant au soleil ses mignonnes fesses. Je fais pareil, mais pour cacher mon obélisque de chair qui ne se décide pas à faiblir. De temps à autre, tandis qu’elle lit, je l’entends qui pouffe quand elle me jette un rapide coup d’œil. Décidément, rien ne se passe comme prévu ; ou plutôt si : ça se passe comme dans le pire des cas ! Mais j’ai quand même la satisfaction d’avoir sous les yeux ma femme en train de faire du nudisme sur une plage. C’est déjà un très bon point !


Je suis tiré de mes réflexions par la voix de ma femme :



Avec un grand sourire radieux, elle s’agenouille pour se pencher sur moi, ses seins oscillants à deux doigts de mon visage :



Elle rigole carrément :



Prestement, elle se relève, hilare :



Et sans attendre ma réponse, elle pivote sur ses talons pour rejoindre le bord de mer. Je la regarde s’éloigner sans pouvoir l’accompagner, j’ai encore trop la trique pour que je débande dans la minute qui suit. Et puis, le spectacle de ses mignonnes fesses qui tanguent sous mes yeux n’arrange pas mon état érectile !


Manquerait plus qu’un gugusse me pique ma place auprès de ma femme, maintenant que je ne suis plus à ses côtés ! Par contre, même si je suis assez loin, je constate que je ne suis pas le seul à apprécier le spectacle des fesses qui dansent… ça me consolide dans mon idée de naturisme pour ma femme et ça m’exaspère en même temps.


Claudine met un pied dans la mer, puis elle s’avance posément dedans. C’est alors qu’entre dans mon champ de vision un foutu importun : GQ le bien nommé ! Eh merde !


En deux pas, trois mouvements, le voilà à côté de ma femme qui semble être contente de le voir près d’elle. Foutue garce avec son air de Sainte Nitouche ! Je me fais tout un cinéma de ce que ce crétin peut bien lui raconter !



Espèce de saloperie de macho à la noix ! Et en plus, alors qu’ils ont tous les deux de l’eau jusqu’aux genoux, ces deux-là discutent, face à face. Purée de purée, ma femme lui offre tout : ses seins bien fermes, sa chatte bien en évidence, toutes ses courbes, sans parler du reste ! Et l’autre, il lui montre ses biscoteaux, sa tablette de chocolat et sa lance à incendie !


J’ai une envie folle d’aller les séparer, mais ma queue ne se décide pas à faiblir ! C’est même plutôt l’inverse, on dirait que ça la fait encore plus durcir ! Je suis même en train de me demander si je me mettrais pas carrément à éjaculer si on ajoutait un ou deux points de détail à la liste de mon excitation !


Durant ce temps, Claudine s’éloigne dans l’eau avec GQ. Tant bien que mal, j’essaie de les suivre du regard, mais ce n’est pas évident de suivre au lointain deux points sombres. Quelque temps après, étant presque en face, ma femme émerge royalement de l’eau, puis lentement, elle se dirige vers moi, toute nue et ruisselante, diablement excitante. Trop même !



Serviette en main, elle rigole posément :



Elle s’accroupit pour me caresser la joue :



Elle prend sa serviette et s’éloigne un peu plus loin, rejoignant Grosse-Queue. Elle s’installe tout près de lui. Pour l’instant, ils ne font que causer, mais elle semble s’amuser comme une petite folle, riant même parfois aux éclats.


Il ne faut pas attendre longtemps pour que Grosse-Queue se colle à elle et laisse ses sales pattes courir sur son dos, ses épaules. Il va jusqu’à lui enduire le corps de crème solaire, et croyez-moi, il n’oublie aucun millimètre carré de peau ! Le temps passe et elle ne semble pas vouloir revenir. De temps à autre, Grosse-Queue me jette un regard amusé, ils en viennent même à se tourner tous les deux en même temps pour regarder et éclater de rire.


Excédé et désabusé, je remets son maillot de bain et je m’éloigne vers les dunes, j’ai envie de changer d’air. Pourquoi diable je ne vais pas casser la figure à ce bellâtre ? Je m’enfonce dans un petit sentier sableux, bordé de végétation verte et épineuse. Je marche au hasard pendant de longues minutes. Soudain j’entends des bruits incongrus. Je m’approche à petits pas : un couple est en train de faire l’amour dans une sorte de mini-clairière. Je rebrousse chemin, je suis trop en train de songer à ma femme qui est avec cet Adrien. Et d’avoir vu ce couple baiser sous mes yeux ne me rassure pas du tout !


Je coupe dans les dunes pour rejoindre la mer. Je marche pieds nus dans l’eau. Ça ne me fait ni du bien ni du mal. Un peu d’écume se forme petit à petit sur mes orteils. J’avance, comme absent.


Je lève la tête, et je constate avec stupéfaction que Claudine est revenue s’installer à notre place. Du coup, j’abandonne le bord de mer pour venir la rejoindre. En peu de temps, je suis de retour. Comme si de rien n’était, ma femme me demande :



Cette désinvolture m’agace. Tandis que je m’allonge sur ma serviette, je réponds durement :



Je joue les souches mortes, sans réaction. Elle tente de relancer la conversation, mais je reste muet. Après quelques essais infructueux de dialogue, elle s’allonge à nouveau sur sa serviette :



Je m’accroupis face à elle qui reste allongée, fesses au soleil. Je lui demande abruptement :



Il y a des questions qu’il ne vaut mieux pas poser si on n’aime pas trop les réponses. J’aurais dû tourner sept fois ma langue dans ma bouche. Avec évidence, Claudine me répond :



Oui, j’aurais dû tourner sept fois ma langue dans ma bouche. D’un ton dépité, je conclus :



Étendant ses bras par-devant sa tête, elle soupire :



Son menton à présent sous ses poings, elle me dévisage à travers ses lunettes de soleil.



Je tombe des nues, mes propos en deviennent heurtés :



Avant de répondre, elle se couche un peu sur le côté, dévoilant ses mignons seins :



C’est alors qu’elle balance son super missile atomique à très longue portée, le rêve absolu des dictateurs, surtout celui qui sévit en Corée du Nord :



J’en reste momentanément sans voix, tandis qu’elle me sourit, absolument pas gênée. Je reprends mes esprits, tentant de limiter l’incendie :



L’incendie se propage, je me donnerais bien des gifles d’avoir joué avec le feu, surtout si près d’un jerrycan d’essence ! Tandis qu’elle s’accroupit sur sa serviette, je m’exclame :



Quand vous mettez un corps humain dans de l’azote liquide, il est instantanément transformé en statue de glace. Si maintenant, vous donnez un petit coup de marteau bien placé, la statue en question explose en mille morceaux. C’est ce qui m’arrive.


Je cligne des yeux, cherchant un argument, même futile :



Sereine, elle chasse cette contre-indication d’un revers de main :



Je n’ose pas demander si c’est lui ou si c’est elle qui a fait en premier cette suggestion. Buste bien redressé, seins arrogants pointés vers moi, ses mains dans les cheveux, Claudine me demande ingénument :



Son explication se tient… mais ça ne résout pas le problème qui se pose à moi ! Tandis qu’elle réajuste sa serviette, de sa voix mielleuse, Claudine revient à la charge :



Elle s’allonge puis s’étire sur sa serviette, telle une chatte en chaleur. Sa nudité éclatante en devient presque obscène. Le pire dans l’histoire, c’est que c’est moi qui lui ai tendu le bâton pour me battre. D’une voix de petite fille, elle demande :



S’accoudant, et me dévoilant ainsi ses seins arrogants, elle soupire :



Je dois reconnaître qu’elle marque des points. Je pensais qu’elle savait que je l’aimais et que ça suffisait. Mais il semblerait que j’ai fait fausse route. Donc, elle m’a juste fait peur avec ce crétin à grosse queue. Je préfère ça ! Je comprends que ma femme ait envie de se sentir désirée, d’autant qu’elle est une rose épanouie. Un peu penaud, je réponds :



Le ton de sa voix m’indique que j’aurais dû tourner sept fois ma langue dans ma bouche. Elle se met à quatre pattes pour avancer langoureusement vers moi. Mon érection est violente !



Elle part dans un long rire, je décroche. Puis au bout de presque une minute, elle se calme :



Ses seins oscillants sous elle, son visage très près du mien, elle susurre :



Elle se jette sur moi, pour m’embrasser à pleine bouche, son corps tout chaud contre le mien. Nous roulons sur ma serviette, mon sexe ultra-dur contre son ventre. C’est incroyablement voluptueux, la sensation est si puissante, si forte, si extra que…


Que…


Ah non !


Tout, mais pas ça ! !


À ma grande honte, j’éjacule sans retenue, souillant nos ventres plaqués l’un contre l’autre. Toujours couchée sur moi, elle se redresse sur ses bras afin de regarder la flaque de sperme qui colle nos ventres respectifs :



Puis s’effondrant contre moi, pesant de tout son poids, elle part dans un énorme fou-rire qui ne s’arrêtera que quelques longues minutes plus tard !


À cet instant, faussement rassuré, j’ignorais que la porte du poulailler avait été irrémédiablement ouverte, mais ceci est une autre histoire…




Merci à Saint-R pour la trame générale de cette suite…