n° 17880 | Fiche technique | 24878 caractères | 24878Temps de lecture estimé : 14 mn | 26/04/17 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Maude tombe sous le charme de Marion, l'institutrice de sa fille, et passe du temps avec elle. | ||||
Critères: ff odeurs intermast cunnilingu anulingus -fhomo | ||||
Auteur : Love Doctor (Homme marié coquin) |
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Résumé du premier épisode : Les réunion Parents-Profs ont parfois du bon…
Maud, hétéro mariée, connaît ses premiers émois lesbiens dans les bras de Marion, l’instit de sa fille.
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Allongée sur le lit de Marion, je la regardais dormir. Elle s’était assoupie juste après son orgasme, et depuis je ne me lassais pas de l’admirer. Même pas étonnée de me trouver nue à côté d’une autre femme que je venais de faire jouir, je me délectais du spectacle que la belle brune m’offrait : un dos musclé, des reins cambrés et une paire de fesses si rondes que je ne pus m’empêcher de les frôler. Le grain de sa peau était parfait, sans cellulite ni vergeture.
« La veinarde… »
Ma caresse pourtant légère la réveilla et Marion se tourna vers moi, souriante.
Je lui souris, un peu peinée par cette allusion maladroite.
Je ris franchement, pour son plus grand étonnement.
Elle me regarda différemment, presque émue.
Devant son air étonné, je lui racontai ma mésaventure glauque avec cette Allison… Elle s’en amusa plus qu’elle s’en offusqua et entreprit de me remontrer ce qu’était un VRAI baiser entre femmes. En effet, c’était vraiment différent… Marion me chevaucha, et dès le contact entre nos poitrines, je fondis littéralement. Sentir ses petits seins se coller aux miens me fit frémir avant que nos lèvres ne se touchassent.
« Putain, que c’est bon ! »
Les yeux fermés, je laissai Marion jouer avec ma bouche avec un art qui traduisait une belle expérience. Allison, et même Alex pouvaient prendre des cours. Nos bouches réagissaient à l’unisson comme si elles se connaissaient de longue date. Mes mains partirent à la rencontre de ce corps musclé dont je pouvais caresser le dos, le creux des reins et enfin les fesses. Sa peau douce était un véritable appel aux câlins et je ne m’en privai pas tout le long de notre baiser. Marion gémissait à ces attentions, ce qui traduisait son approbation, mais bientôt elle se dégagea doucement, interrompant ainsi notre étreinte.
Surprise, je la regardai.
Elle me rassura en déposant un baiser rapide sur mes lèvres.
Je compris en un instant ce que Marion voulait me dire : elle n’était pas célibataire, ou plutôt pas libre, et je me sentis inexplicablement trahie. Ma réaction était tout sauf logique, car je venais tout de même de tromper mon mari sans remords. Les larmes aux yeux, je quittai son lit malgré ses supplications, et après avoir ramassé mes effets je me vêtis à la hâte et quittai son appartement en claquant la porte.
Dans la rue, je devais ressembler à une folle mal coiffée, mal habillée et en pleurs. Heureusement, je pus rentrer chez moi sans croiser personne de ma connaissance et je filai sous la douche pour tenter de me détendre.
En larmes, je restai longtemps sous l’eau, retrouvant peu à peu mon calme et, une fois séchée et habillée, je tentai de faire le point sur la situation. Je n’avais rien calculé, mais me retrouver seule dans mon appartement après avoir connu la félicité dans les bras de Marion était un choc que j’avais du mal à encaisser.
Je téléphonai même à Alex, comme cela, pour rien, juste pour me persuader que ma vraie vie était avec mon mari et ma fille. Mais en vain…
Devant la fin de week-end qui paraissait vide, je tentai de combler le vide, passant même l’aspirateur partout dans l’appartement pour la première fois depuis longtemps… Mais rien n’y faisait : ni la télévision, ni un livre, ni même une tentative vaine de méditation. Mon esprit revenait sans cesse à Marion que j’imaginais avec une autre. Plus jeune que moi ? Plus jolie que moi ? Dans un lit ?
Bref, je me trouvais ridicule mais n’arrivais pas à être lucide et honnête avec moi-même, entamant mon deuxième paquet de biscuits de l’après-midi…
Un instant assoupie sur mon canapé baigné par la lumière de la fin de journée, je fus tirée de ma torpeur par la sonnerie de mon téléphone annonçant un SMS. Le cœur battant, je cherchai le nom de l’expéditeur (trice).
Marion !
Fébrile, je lus le texte en souriant benoîtement.
Enseignante cherche collaboratrice suite rupture conventionnelle. Débutante acceptée.
La belle avait de la suite dans les idées, et de l’humour !
Je suis disponible pour vous déposer mon CV.
Parfait ! 19 h, 7 rue Royale. »
Je fixai mon portable, un sourire benêt sur mon visage avant de filer rapidement à la salle de bain pour un maquillage léger et de quitter mon appartement, bien plus heureuse que deux heures auparavant.
Dès la première sonnerie, Marion me fit entrer et je me retrouvai avec plaisir dans son petit nid douillet quitté en larmes plus tôt dans l’après-midi. Je ne savais pas trop comment reprendre le fil de notre conversation, mais elle me simplifia la tâche en m’enlaçant pour m’embrasser amoureusement. Je retrouvai avec délice le goût de sa bouche sur la mienne et cédai volontiers à cet assaut de douceur.
Debout dans son salon, nous reprenions notre histoire là où elle avait commencé. Mes mains repartaient à la redécouverte de son corps tandis que les siennes, plus audacieuses, commençaient à défaire le bouton de mon jean tout en me murmurant :
Émue, je voulus parler mais elle m’en empêcha en reprenant notre baiser. Je gémis en sentant sa main se glisser dans mon jean pour frôler la culotte plus sage que j’avais passée après ma douche. Le tissu était déjà chaud tant cette brune me rendait dingue.
Marion poursuivit doucement :
Marion ne prit pas le temps de les admirer, car les yeux brillants de désir elle m’enlaça à nouveau pour un baiser on ne peut plus vigoureux. Je gémis sous l’assaut, me laissant guider selon les envies de la belle. Et a priori, la belle avait une idée précise en tête : doucement sans lâcher ma bouche, elle me fit reculer vers ce qui devait être le coin cuisine. Bientôt mes fesses heurtèrent la table sans arrêter ma maîtresse qui me fit allonger sur le plateau froid. Je frissonnai tant à cause de la sensation presque désagréable que par la suite que j’imaginais torride.
Marion, la bouche entrouverte, ne me quittait pas du regard. Les yeux brillants de désir, elle fit glisser lentement ma culotte le long de mes cuisses, mettant à nu mon sexe gonflé. Je frémis, et déjà excitée par cette situation érotique, je défis lentement mon soutien-gorge pour le jeter loin de nous.
Nue, offerte sur la table tel un plat prêt à être dégusté, j’attendais la suite avec gourmandise. Marion me sourit un bref instant avant de plonger sa tête entre mes cuisses, me faisant crier dès le premier contact de sa langue sur mon sexe trempé. Le corps cambré, je me laissais butiner, les yeux fermés. Elle me fouillait avec un appétit témoin de son excitation. Ma maîtresse jouait avec ma vulve, aspirant mes lèvres dans un bruit de succion peu distingué mais affolant au possible, et je sentais mon sexe dégouliner en imaginant son joli visage poissé par mon jus. La belle prenait son temps, alternant ses caresses plus ou moins rapides, plus ou moins fortes, mais toujours si expertes que je l’implorai rapidement de me faire jouir.
Mais Marion n’en faisait qu’à sa tête, me rendant dingue avec sa langue et ses lèvres. Les yeux fermés, je gémissais sans discontinuer, jouant avec mes seins dressés bientôt rougis par mes caresses désordonnées.
Je lâchais une protestation vaine lorsque Marion me fit changer de position.
Mais elle ne m’écouta pas et me replia les cuisses sur le torse, offrant ainsi mon sexe et mon anus à sa gourmandise. Je gémis d’un plaisir à peine mâtiné de honte déplacée et lâchai un cri lorsque sa langue frôla mon petit trou pour un premier contact. Aucun amant ne m’avait jamais fait aimer cette feuille de rose, mais là je fondais déjà en sentant mon orifice sombre palpiter puis s’ouvrir sous la caresse.
Sa langue pointue tournoyait autour de son but secret, déclenchant des ondes qui irradiaient dans tout mon bassin. Je gémissais d’autant plus fort qu’elle s’empara de mes seins dans un même temps, libérant mes mains qui me permirent de me tenir à la table qui couinait. L’anus léché et la poitrine malaxée sans douceur mais avec art, je lâchais des phrases incohérentes, l’implorant d’arrêter puis d’accélérer avant de nouveau d’implorer sa clémence.
Mais « mon bourreau » n’en avait cure et revint vers mon sexe pour mon plus grand bonheur. Sa langue large sépara mes lèvres pour mieux s’enfoncer dans mon vagin et me laper telle une chienne assoiffée. Nous grognions d’ailleurs comme deux animaux en rut, et je n’avais pas le souvenir de sexe si bestial depuis longtemps. Peut-être avec Alex, au début de notre relation.
Mon bassin allait au-devant de cette bouche qui me rendait folle de désir, mais il me manquait un truc… Un truc bien chaud bien dur qui me prendrait là sur la table. « Oui, une bite… Je veux une bite ! »
Marion dut le sentir, car sans crier gare elle me pénétra de deux doigts qui me firent crier sur-le-champ.
Cambrée, les mains crispées sur la table, je me laissais doigter. Je sentais mon vagin fouillé par une pieuvre aux deux, puis trois appendices agiles tandis que mon anus était à nouveau aspiré par sa bouche gourmande.
Je hoquetais, sentant que la délivrance n’était pas loin, annonciatrice d’un plaisir inconnu jusqu’alors. Marion s’activait de plus belle, pressée aussi de me faire jouir, et trouva LA caresse ultime qui me fit exploser. Elle me pénétra l’anus de son pouce tandis que son autre main presque complète s’agitait frénétiquement dans mon sexe.
Je lâchai alors un long cri qui accompagna les spasmes de mon vagin libérant un flot de cyprine odorante, poissant sa main toujours fichée dans mon sexe vibrant de plaisir. Marion la laissa en place, me laissant le temps de retrouver mon calme après ce violent orgasme.
Je frémis lorsque je sentis Marion se retirer, permettant ainsi à mon corps de reprendre doucement sa forme. Les yeux fermés, je sentis ma maîtresse se pencher vers moi pour un baiser odorant au goût de cyprine mélangée aux effluves plus forts de mon anus. L’attirant vers moi, j’entrepris de la mettre également nue, la débarrassant de ses vêtements superflus et voulus me redresser pour prendre des initiatives, mais elle m’en empêcha.
Imaginant ce qu’elle désirait, je tentai de protester.
Elle sourit et me rassura avec un sourire entendu.
Je rougis un peu sous l’allusion et me forçai à ne pas imaginer ce dont elle me parlait en reprenant ma position initiale, dans l’attente d’une suite certainement décoiffante. Marion grimpa sur la table et enjamba mon visage pour m’offrir la vue de son sexe qui, à quelques centimètres de mon visage, exhalait une odeur enivrante et attirante.
Les yeux fermés, je profitai de ces sensations avant de saisir ses cuisses pour approcher sa vulve de ma bouche dans une caresse d’abord légère, puis plus appuyée. Marion se cambrait en gémissant, prenant appui sur la table pour mieux s’abandonner.
Je lui obéis d’autant plus facilement que je prenais goût à lui prodiguer cette caresse que la position acrobatique rendait encore plus excitante. Ses lèvres s’écrasaient sur ma bouche dans laquelle ma salive se mélangeait avec ses sécrétions goûteuses. Mes gémissements étaient assourdis par son sexe que bientôt ma langue pointue, tel un petit pénis, se ficha dans son vagin, cherchant les points sensibles de la belle brune. Une fois trouvés, je m’appliquai à la rendre dingue, quitte à en avoir mal aux mâchoires à force de tourner au fond de son sexe !
Marion gémissait de plus en plus fort et, le bassin agité de spasmes, elle était difficile à contenir sur la table. Telle une cowgirl montant un cheval fou, elle donnait de grands coups de reins que je tentais de maîtriser en la tenant fortement aux hanches.
La belle cria lorsque je frôlai son clitoris de mon pouce et, comprenant le message, je ne lâchai plus cette crête hypersensible, centre de toutes mes attentions dans les minutes qui suivirent. Marion résista un moment puis, comprenant l’inévitable, se laissa aller en lâchant des phrases peu audibles mais dont le sens était facile à imaginer.
Elle jouit paradoxalement presque en silence, lâchant juste un long gémissement, les mâchoires crispées et le bassin agité de soubresauts irréguliers et prolongés. Je reçus l’offrande de sa jouissance qui emplit ma bouche et que j’avalai avec plaisir.
Marion ouvrit les yeux, et ce que je lus dans son regard ne nécessitait aucun mot : nous étions bien, complices comme deux amantes de longue date que nous n’étions pas, et peut-être même amoureuses…
Après une douche empreinte de tendresse et de caresses douces, nous bavardions dans sa cuisine en préparant un repas léger. Marion me prêta un tee-shirt et des dessous secs pour pallier la relative moiteur des miens… Cela me faisait tout de même bizarre de porter la culotte d’une autre ! Cela ne m’était pas arrivé depuis la maternelle après un accident de pipi non retenu.
Assises à cette fameuse table témoin de notre étreinte passionnée, nous grignotions en nous souriant tendrement, voire mièvrement pour un observateur peu tolérant. Nous étions juste bien et profitions de chaque seconde, conscientes de la valeur de l’instant présent.
Le reste de la soirée fut doux, tendre et rempli de confidences sur nos vies respectives sans parler de futur, nous endormant nues dans les bras l’une de l’autre dans un moment de pur bonheur.
Mais après le samedi venait le dimanche, synonyme de retour de Stella et d’Alex, et par conséquent la fin de la récré… Un SMS de mon mari (heureusement, il ne téléphona pas !) annonçant leur arrivée vers 16 h me donna d’un coup le cafard. Marion le vit de suite et eut le tact de ne pas aborder le sujet, me laissant me préparer avant mon retour dans la vraie vie.
Cependant la belle me fit une dernière surprise.
Nue devant la vasque de la salle de bain, je débutais mon maquillage lorsque je sentis Marion se coller à mon dos. Je lui souris, un peu triste, dans le miroir, ne quittant pas des yeux son sublime regard vert. Je sentais sa poitrine collée à mon dos et cela me rendait encore plus triste de devoir quitter cette bulle de tendresse.
Lui faisant entièrement confiance, je lui obéis et frémis lorsqu’elle posa un bandeau sur mes yeux puis m’entraîna hors de la salle de bain pour pénétrer dans ce qui devait être la chambre.
Conquise et touchée par ce petit nom, j’allais me mettre sur le dos, mais elle corrigea ma position.
Le contact doux des draps (où était passée la couette ?) me fit frémir et ma poitrine s’écrasa sur le tissu frais. Marion accompagna mon mouvement de la main et me caressa le creux des reins avec tendresse.
Les larmes me vinrent aux yeux quand je compris le sens de sa phrase… Le premier signifiait qu’il allait être suivi d’autres… Je m’offris sans crainte et attendis la suite avec curiosité.
Ma jolie brune prit place à côté de moi et posa sa bouche tout près de mon oreille.
Elle déposa un baiser léger sur mes lèvres et quitta le lit un instant pour revenir s’asseoir à califourchon sur mes cuisses. Je sentis son sexe s’écraser sur ma peau, me faisant gémir lorsque je constatai la moiteur de sa vulve. Une odeur de monoï emplit la chambre juste avant que ses mains fraîches et huilées se posent sur mes épaules. Je gémis sous les douces caresses de ma maîtresse qui trouva vite des points de tension sur mes épaules et mes omoplates. Peu à peu, je me détendis et oubliai tout le reste du monde, Stella y compris.
Marion était très douée, si bien que le massage de détente se transforma rapidement en un massage sensuel, d’autant que les mains de ma belle glissaient de plus en plus vers la base de mes seins écrasés sous mon corps. Je gémissais à chaque passage, me soulevant un peu malicieusement pour rendre mes pointes plus accessibles, ce que ma masseuse de manqua pas de remarquer.
La caresse suivante frôla carrément mes tétons dressés, déclenchant une onde de désir qui se propagea dans l’ensemble de mon corps.
Marion lâcha un petit rire puis recommença à câliner mes seins sensibles avec des gestes plus nets, tout en restant légers. Cette fois je ronronnais comme une chatte au coin du feu. Ce feu qui brûlait dans mon sexe pour le moment délaissé…
Je serrais mes cuisses pour accentuer mon excitation déjà passablement entretenue par les attentions dont mes seins bénéficiaient, car cette fois Marion les caressait à pleines mains huilées et parfumées, tachant probablement ses draps, mais sans s’en soucier le moins du monde. Je gémissais sous ses doigts experts, excitant par là même ma partenaire dont je sentais onduler le bassin sur le haut de mes cuisses, se masturbant dans le même mouvement.
Marion me murmura à l’oreille d’une voix rauque troublante :
Soumise à ses envies (à nos envies !), j’obéis en gémissant, sentant mon sexe s’ouvrir lorsque je soulevai légèrement mon bassin pour mieux m’offrir. Je sentis ma maîtresse se dégager et se placer au pied du lit entre le compas de mes cuisses.
Elle avait mon sexe à portée de vue et de bouche ; elle en profita aussitôt pour en lécher les lèvres gonflées, me faisant crier aussitôt. Et cette fois-ci, elle ne relâcha pas son emprise, me dévorant comme un enfant une glace prête à fondre. Je crispais mes mains sur ses draps froissés, lâchant de longs cris d’autant que ses mains n’avaient pas abandonné mes seins dont les pointes rugueuses étaient pincées pour mon plus grand plaisir.
Bouche collée à mon sexe et mains agrippées à ma poitrine, Marion me tenait à la merci de ses envies pleines d’imagination. Je sentais mon orgasme poindre et, comme un enfant dans un manège, étais presque déçue que la fin fût proche. Mais elle avait plus d’une corde à son arc et, stoppant toute caresse se leva, me laissant un instant seule, nue, offerte à plat-ventre.
Attentive aux sons, je l’entendais s’agiter derrière moi dans un bruit de frottement et de métal.
Je gémis d’avance, prête à toutes les audaces, du moment que c’était avec elle seule et me laissai guider lorsque Marion me fit mettre en position de levrette. L’image que ma croupe devait lui offrir me fit frissonner de désir et, telle une vestale, j’attendis la suite avec une curiosité vite satisfaite.
Saisie aux hanches par ma maîtresse diabolique, je sentis un gode se frayer facilement un chemin entre mes lèvres trempées et lentement me pénétrer, distendant mon vagin par sa taille respectable. Je gémis tout au long de cette intrusion inattendue mais bienvenue dans mon sexe dégoulinant et compris lorsque son bassin heurta mes fesses que la belle s’était équipée d’un gode-ceinture.
Pour une première, c’était une première ! J’avais déjà vu ce type d’article sur des sites de vente d’accessoires coquins, mais n’avais jamais imaginé l’utiliser un jour !
Marion n’en était probablement pas à son coup (!) d’essai, car elle trouva rapidement le rythme adéquat de ses mouvements de bassin, et tel un amant infatigable (et pour cause !) elle me besogna avec un art consommé des joutes lesbiennes. Oubliant le côté plastique du sexe qui s’agitait en moi et surprise par la douceur de ce contact, je gémissais à chaque coup de boutoir, collant mon visage au drap pour mieux me cambrer et amplifier les sensations hallucinantes que ce gode de beau diamètre provoquait partout dans mon corps. Aux gémissements qu’elle laissait entendre, je sentais que ma partenaire était dans le même état d’excitation que moi et avait du mal à garder toute sa lucidité. La croupe offerte, je sentais ses mains me saisir les hanches de plus en plus vigoureusement, et le bruit du contact de son pubis contre mes fesses s’accéléra inexorablement dans une cavalcade effrénée, prémices d’un orgasme proche que j’imaginais explosif.
Je fus en dessous de la réalité : je jouis brutalement, fortement, longuement et bruyamment, empêchée de m’affaler sur le drap par les mains de Marion qui me rejoignit dans le plaisir quelques secondes plus tard, le corps parcouru de frissons de plaisir. Nous retombâmes sur les draps humides le souffle court, le corps frémissant et le cœur battant à tout rompre.
Exténuée par ce moment inoubliable, je somnolai un instant. En ouvrant les yeux, je découvris Marion près de moi, débarrassée de son attirail diabolique. Elle me souriait, me caressant la joue, et d’une voix si sincère que je faillis en pleurer d’émotion, elle me murmura :
Je l’enlaçai et l’embrassai amoureusement, les yeux remplis de larmes.
La belle ne pensait pas si bien dire…