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Temps de lecture estimé : 14 mn
04/05/17
Résumé:  Déçu par les filles, Stéphane/Nori veut essayer l'amour avec un homme. Faute de mieux, il accepte de tourner dans des films X entre trans...
Critères:  hh grp asie vidéox hféminisé travesti trans fellation 69 hdanus hgode hsodo -hhomo -travesti
Auteur : Olivier J.  (Et n'oubliez pas d'aller voir mon Blog, Le point Q !)      

Série : Nori

Chapitre 04 / 05
Actrice porno

Résumé des épisodes précédents :


« Minori Nakazawa »

« Cam_TS »

« Lesbienne malgré lui ! »


Stéphane/Nori est un cosplayer d’origine asiatique, qui se travestit. Il a moyennement aimé faire l’amour avec Sylvie. Surtout, ce qu’il a préféré, c’est lorsqu’elle l’a pénétré avec ses doigts et son godemichet. Ça lui a donné envie d’essayer avec un homme…



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Au boulot, c’est très calme. C’est l’été, avec les congés, les bureaux sont presque vides. Je peux en profiter pour effectuer des mises à jour sur les serveurs de l’entreprise. Une mise à jour, ça consiste souvent à télécharger un logiciel, puis vous lancez l’installation et là, il faut attendre, attendre, attendre… Ça me laisse du temps pour d’autres activités. Là, je cherche un mec. Je voudrais juste voir un mec et qu’il me sodomise. J’ai envie de savoir ce que ça fait, de sentir un sexe dans les fesses. Est-ce que ça fait mal ? Est-ce que je pourrais jouir comme ça ? Je voudrais un homme qui me baise alors que je suis en Nori, un peu comme avec Éric et Sylvie. Je m’inscris sur un site de rencontre en tant que fille. Quand vous cherchez à baiser, vous trouvez vite !


Le samedi suivant, j’ai rendez-vous avec Guillaume, au Gaumont d’Amiens. Le plus dur, c’est de trouver une tenue féminine qui ne fasse pas « cosplay ». En catastrophe, je m’achète un jean. J’ai déjà un top vert et une perruque noire. Guillaume est blond, assez maigre, il est plus grand que moi et il porte de grosses lunettes. Après le film, il me propose d’aller manger une glace. Le serveur me dit « Mademoiselle » et Guillaume tient à régler la note : ça fait tout drôle d’être une fille ! J’ai envie de le dévorer. Il a l’air si gentil et si doux… Ce qui est amusant aussi, c’est de voir comment un garçon peut être intimidé par une fille. Il ose à peine prendre ma main. Il me parle de choses banales, alors que moi, j’ai envie de m’asseoir sur sa queue ! Je n’y tiens plus, mais il faut impérativement que je clarifie un truc avant :



Il se penche pour m’embrasser. Mais je le retiens.



Il reste de la glace fondue au fond de sa coupe. Il me la jette à la figure, puis il sort en criant et en me montrant du doigt :



Deux ados à une table voisine rigolent. Je pars à mon tour, complètement honteux. Je me sens moche, je me sens anormal. Je rentre chez moi en pleurs. Je me sens fautif de n’avoir pas prévenu Guillaume plus tôt. En plus, il m’a dénoncé au site de rencontre, qui a bloqué mon profil. J’avais prévu une session le dimanche soir, mais je l’ai annulée. Je n’ai pas la tête à ça.


Après cet épisode, je recherche des sites de rencontre spécifiques pour les travestis. Pour éviter les mauvaises rencontres. Mais ça n’existe pas. Du moins, ceux qui existent ne sont que des sites de cams. D’ailleurs, ils n’ont même pas prévu d’accès pour les travestis qui voudraient rencontrer des hommes. Je tombe par hasard sur un site porno amateur où des travestis couchent avec d’autres travestis. Pourquoi pas ? J’envoie un mail à Christine, la fondatrice du site. Elle me répond le jour même. Je lui envoie des photos de mes cosplays. Elle me propose de tourner deux scènes, payées 500 € chacune. Je dis oui, par défi. Elle m’envoie les scénarii. Je n’ose pas lui dire que ça serait ma toute première fois…


Cette fois, c’est à Paris que je vais. Ma vieille 106 commence sérieusement à fatiguer. Avec 1000 €, je pourrais me payer une autre guimbarde, un peu moins pourrie… Mais je me connais, je vais tout claquer en lingerie et en mangas, comme d’habitude.


On a rendez-vous directement au studio. Je suis habillé en « Nori normale », c’est-à-dire, comme pour Guillaume. Le studio, en fait, c’est une petite usine qui a fermé, à l’est de Paris. Christine ne me laisse même pas sortir de la voiture ! Elle se jette sur moi.



Je n’ai même pas le temps de répondre à ses questions ! C’est une blonde toute fine et très pâle. Elle suit une thérapie hormonale, du coup, elle a des traits plus féminins, des petits seins et même une voix moins grave. Qu’est-ce qu’elle est belle ! Qu’est-ce que je me sens moche, à côté d’elle. Elle a commencé il y a 6 mois, elle n’a donc pas beaucoup de moyens. Elle s’occupe de la réalisation, de la production et du site. Laurent, son copain, s’occupe des caméras. Et à eux deux, ils forment l’équipe technique. En plus, pour la première scène, elle sera ma partenaire !


Ce qui m’a plu dans le site de Christine, c’est qu’il y a toujours un peu de comédie dans ses scènes. Là, on sera habillées en lycéennes anglaises. Je jouerai la pucelle timide (ça ne sera pas compliqué pour moi…) et elle doit me faire découvrir l’amour entre trans…


On se change dans le vestiaire des ouvriers. Je suis un peu gêné de me déshabiller devant quelqu’un, surtout que je me travestis. Dire que tout à l’heure, je vais me mettre nu devant une caméra et qu’elle va me pénétrer… Je suis tout rouge. J’ai envie de rentrer chez moi et j’ai autant envie qu’elle me prenne là, tout de suite. Que je sache si j’aime bien être sodomisé !


On porte des jupes plissées, des chemisiers blancs avec un chandail vert et de longues socquettes blanches. J’ai l’impression d’être dans Harry Potter ! Ça me change des cosplays inspirés de l’anime ! On est censées être dans ma chambre et on commence par s’asseoir au bord du lit pour réviser. Le dialogue est plus ou moins improvisé et c’est elle qui dit la première réplique :



Elle pose sa main sur ma cuisse dénudée. Je suis déjà très troublé. De ses yeux de braise, elle me lance :



Elle pose ses lèvres sur les miennes. Elles sont si douces. Et puis, Christine sent bon. Pendant quelques secondes, j’oublie la caméra. Mais ça tourne… Ses mains sont déjà sous mon chandail, à masser ma poitrine plate. Je dois faire de même et je pelote ses petits seins. J’aurais envie de m’allonger, mais avec l’angle de la caméra, on doit rester au bord du lit. Justement, là, il faut couper. C’est la scène de fellation : Laurent va me filmer, tandis que Christine a déplacé la caméra pour se filmer, elle, en contrechamp.


Je m’agenouille entre ses cuisses et je relève sa jupe, lentement. Son sexe m’attend, à peine caché par une culotte sexy. Il est déjà raide comme un piquet lorsque je le libère de sa prison de tissu. Je dépose un coup de langue sur le gland, puis je le prends en bouche. Je repense à Éric. Rétrospectivement, j’aurais voulu qu’il me prenne dans les toilettes. Heureusement, là, avec Christine, ce n’est qu’un début… Je le prends entièrement en bouche et là, Christine prend ma tête pour m’embrocher un instant. Ensuite, je flatte ses petits testicules roses. Puis j’embrasse de nouveau la tige, avant de reprendre la fellation.


Il faut encore s’arrêter. Cette fois, c’est un 69. Laurent va me filmer entre les cuisses de Christine et l’autre caméra sera en face. On se déshabille. Ma partenaire s’allonge sur le lit et je viens sur elle, tête-bêche. C’est parti ! Je reprends là où j’en étais. Son sexe est tout blanc, long et fin ; on dirait un champignon ! Pendant ce temps, elle s’occupe de mon bijou. Quelle experte ! En plus, elle insère un doigt dans mes fesses… J’ai envie d’exploser dans sa bouche. Pour penser à autre chose, j’imagine la scène, à l’écran. J’espère que les spectateurs prendront autant de plaisir que j’en prends… Qu’ils vont jouir en voyant mes grosses fesses d’Asiatique…


Nouvelle coupure. Mon cœur bat la chamade : on va passer aux choses sérieuses. Je vais me mettre à quatre pattes. La caméra de Christine filmera mon visage. Laurent, lui, va filmer alternativement ma partenaire et la pénétration. Action ! Elle se met derrière moi. Elle passe son sexe sur ma raie, pour m’exciter (comme si j’avais besoin de ça…), puis elle positionne son dard dans ma grotte. Ensuite, elle entre petit à petit. Ça y est, je ne suis plus vierge ; les godemichets, ça ne compte pas. Une fois au fond, elle commence les va-et-vient. À chaque fois, j’ai l’impression qu’elle entre plus loin. Elle s’agrippe à mes fesses pour y aller encore plus fort. J’ai l’impression d’être écartelée ou qu’on me chatouille de l’intérieur… Je suis…


Je ne peux plus passer. Je pousse des râles de chienne en chaleur. J’ai les yeux mi-clos et la bouche béante. Je crois que Christine a dit quelque chose comme « T’aimes ça, salope ? », mais de toute façon, je suis sur un petit nuage… Je voudrais qu’elle aille encore plus vite et encore plus loin en moi… Hélas, il faut s’arrêter. Elle s’allonge sur le lit et je viens m’empaler sur elle, en lui tournant le dos. Laurent est face à moi, comme ça, il pourra me filmer en train de me faire pénétrer et ma réaction. J’ai tellement envie de la sentir de nouveau en moi, que dès que la caméra tournait, je me suis assis sur Christine ! Je suis tellement dans mon trip que je vois à peine son copain. Avec mes jambes écartées, il ne loupe rien de l’action. Je monte et je descends aussi vite que je peux. Mes fesses claquent sur les hanches de ma partenaire. Mon sexe fait des bonds. Je crois que si je posais un doigt dessus, je jouirais ! Quel pied… Je m’en veux de ne pas avoir goûté à la sodomie plus tôt !


Laurent me fait signe de me relever pour le final. Je suis accroupie et elle est devant moi. J’ai à peine le temps de déposer un bisou sur ce sexe qui m’a donné tant de plaisir qu’il explose sur mon visage ! Je suis entièrement couverte de purée ! Laurent n’était qu’à quelques centimètres de mon visage, avec sa caméra. Il dit :



Christine me donne des mouchoirs pour que je me débarbouille. Elle s’assoit au bord du lit et elle me fait signe de m’asseoir à côté d’elle :



Je n’ose pas répondre. Je suis tout rouge. Amusée de ma réaction, elle reprend.



Elle se penche vers moi et me roule un patin. Pendant ce temps, sa main fouille entre mes cuisses et agrippe mon petit oiseau. Elle le presse entre ses doigts de fée, puis me masturbe délicatement et c’est à mon tour de jouir par grosses saccades.


J’avais prévu de retourner à Amiens et de redescendre demain, mais Christine veut que je reste avec eux. Je n’ai pas prévu de vêtements d’homme et donc, je reste en Nori…


On part dîner dans un petit restaurant du coin. On parle de nos petites vies. Derrière Laurent et Christine, il y a une grande tablée, un anniversaire. Un beau brun n’arrête pas de me jeter des regards. Pendant ce temps, mes deux hôtes se tiennent tout le temps par la main et ça ne les gêne pas de s’embrasser devant tout le monde. Je suis un peu jaloux de leur couple. Ils aiment bien le vin. D’habitude, je ne bois jamais et la tête me tourne…


Au moment de partir, le beau brun me glisse une serviette en papier (avec son 06 dessus.) Je vais passer la nuit chez Christine et Laurent. Ils louent un deux-pièces dans une drôle de maison. Le propriétaire habite au-dessus des garages et leur appartement est mitoyen aux garages. Ils peuvent donc faire autant de bruit qu’ils veulent (ou presque) !


Lorsqu’on arrive, Christine voit bien que je tiens à peine sur mes jambes. Elle a peur que je vomisse et elle m’accompagne sous la douche. Entre-temps, le vin m’a rendue amoureuse et j’ai envie d’embrasser Christine. Elle ne dit pas non… C’est excitant de la plaquer contre la paroi de la douche et de sentir sa tige contre la mienne. Pendant ce temps, Laurent a déplié le clic-clac, dans le salon. Christine me pousse dessus. Me voilà allongée, toute nue et je réclame plus de bisous ! Accroupie entre mes cuisses, elle me branle d’une main, tandis que l’index de son autre main fouille mon anus. L’effet est garanti ! Néanmoins, j’en réclame plus. Je veux lui faire un câlin. Elle me prend dans ses bras et elle m’embrasse. Je l’implore :



Je relève les jambes, alors qu’elle est allongée sur moi. Christine positionne son sexe sur mon anus et il rentre tout seul. Elle continue à m’embrasser, tout en me besognant. Ce n’est plus du cinéma porno. On fait l’amour. Puis elle se retire pour s’allonger, avec son sexe blanc droit comme un « I ». Je m’assois dessus, face à elle. Puis je me penche en avant, pour l’embrasser. Elle décide alors de donner des coups de boutoir avec son bassin. Je crie mon bonheur. Je remarque alors Laurent, qui nous mate. Je lui fais signe.



Lorsqu’il est près de moi, je tâte son pantalon et y trouve une bosse sans ambiguïté. J’ouvre la braguette et libère un sexe plus large que celui de Christine. Je le suce, tandis que mon autre trou subit un marteau-pilon ! Je suis embrochée de toute part et j’aime ça. Je jouis sur le ventre de Christine et peu après, je sens sa semence dans mes fesses. Laurent jute le troisième, dans ma bouche. Je suis remplie et pourtant, je me sens vidée ! Une fois qu’ils sont partis, je m’écroule…



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Le soleil est déjà haut lorsque je me réveille, toujours en Nori. Je mets juste des sous-vêtements avant de chercher les autres. Dans la cuisine, je trouve Stéphane, en pyjama, en train de préparer le petit déjeuner.



Je suis à peine debout, mais je suis déjà en chaleur… Je tente ma chance :



Inutile de dire qu’en un rien de temps, je suis accroupie devant Laurent et qu’il a son pantalon sur les chevilles… Il bande et j’ai tout de suite envie d’essayer son sexe. Je lui fais signe de me suivre dans le salon. Je m’allonge sur le clic-clac, sur le ventre. Il s’allonge sur moi, me pénètre doucement et il commence le va-et-vient. C’est trop lent ! Je l’encourage :



Là, il ne prend plus de gants. Sa bite pénètre au fond de mes fesses. Je jappe de plaisir. C’est là que Christine fait son entrée :



Elle me met son sexe dans ma bouche et je la suce goulûment. Une fois qu’elle est bien dure, elle dit à Laurent :



Il se retire et Christine s’allonge sur moi. Je tourne la tête et elle m’embrasse, tout en pilonnant mes fesses. Laurent voudrait participer, il est excité et il se sent un peu con.



Christine est toujours en moi, mais elle arrête de bouger. Il vient derrière elle et il la prend. Ensuite, il donne des coups de boutoir qui résonnent en moi. Puis on change de position : je m’allonge sur le dos, Christine vient sur moi et Laurent est de nouveau derrière elle. La blonde fait attention de ne pas m’écraser. Ses petits tétons touchent parfois ma poitrine et chaque contact m’électrise. Elle est au cœur de l’action et elle ne tarde pas à jouir. J’adore son expression, à cet instant. On dirait un ange qui va s’envoler. Elle se retire et c’est Laurent qui se couche sur moi. Il me chevauche comme un damné. On jouit presque en même temps. Mon anus déborde de sperme et je vais encore m’en prendre cet après-midi ! Laurent a peur de m’avoir fait mal, mais je le rassure. Quel chou ! Si Christine n’était pas là, je prendrais du dessert ! De nous trois, c’est elle qui semble la plus assommée :



Après le petit déjeuner, on va tranquillement au studio. On a rendez-vous avec Hélène. Elle est très grande et très mignonne, mais je préfère Christine. Hélène porte une perruque rose et surtout minijupe noire, entièrement transparente au milieu du dos. On voit bien sa raie et surtout, qu’elle ne porte rien en dessous…


La scène est censée se passer dans un bureau. On enlève le lit et on pousse un vieux bureau (qui était dans l’usine lorsqu’ils l’ont reprise) au centre du décor. Hélène et moi, on doit s’habiller en jupe et tailleur. Comme je suis plus petite qu’elle, Christine m’a filé des talons hauts. Je manque de pratique et à chaque pas, je perds quasiment mon équilibre. Je note mentalement qu’il faudra que je travaille ça…


Comme Christine ne joue pas, elle peut s’occuper de l’autre caméra. La scène commence où on est face à face. Hélène est ma chef et je suis une mauvaise employée. Elle se plaint que je suis paresseuse, que je suis tout le temps en retard et que je passe plein de coups de fil perso : elle veut me virer.



Je glisse ce dernier « tout » avec un regard malicieux. En guise de réponse, elle vient vers moi, elle relève sa jupe et pointe son sexe devant mon visage.



Je lui lance un regard implorant et je la suce. Comme d’habitude, je commence par embrasser le gland. Puis je fais pareil sur ses testicules et la tige, avant de vraiment la prendre en bouche. Dans la scène, Hélène doit être un peu dominatrice, alors plusieurs fois, elle me bloque la tête pour que je fasse des gorges profondes et elle rigole de me voir reprendre mon souffle.



Dès que la caméra se coupe. Hélène me fait des bisous.



Puis ça reprend et Hélène retrouve son personnage de salope :



En fait, je sais très bien ce qui va suivre. Et ça m’excite. Hélène me prend debout (d’où les talons hauts pour qu’on soit à la même hauteur), avec fougue. Christine est face à moi, avec sa caméra. Laurent, lui, est au-dessus de mes fesses, où il filme le sexe d’Hélène me pistonnant. Je dois jouer la douleur, alors que je suis en train de prendre mon pied. En plus, elle a pris mon sexe dans sa main et elle me branle avec frénésie. Je jouis. Hélène, elle, doit attendre le troisième plan : l’éjaculation faciale. Je suis accroupie devant elle, attendant mon hostie. Elle se répand sur mon visage.



Ensuite, tout va très vite. On s’essuie, on se change. Christine me file mon argent, avec un reçu. On se promet de s’appeler. Puis me revoilà dans ma 106, direction Amiens. Je redeviens Stéphane, le gentil informaticien. Dire qu’hier, mes fesses étaient vierges ! J’adore être pris.


Lorsque je rentre chez moi, je suis déjà en manque de sexe. Je veux me moucher, je fouille mes poches et tombe sur la serviette de la veille, avec le numéro du beau brun. Il faudrait que je l’appelle, au cas où…