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Temps de lecture estimé : 14 mn
06/05/17
Résumé:  François retrouve Fahri et une amie.
Critères:  fhh hbi vacances nudisme hmast cunnilingu préservati pénétratio hsodo confession -fhh
Auteur : Kudu  (Intellectuel à quat'sous)            Envoi mini-message

Série : L'école du sexe

Chapitre 03 / 04
La proclamation

Résumé du premier épisode : « Des instituteurs compétants »


Après nous avoir présenté sa famille, François, quarante-six ans en 2017, nous raconte en quelles circonstances il a découvert seul le plaisir anal.


Résumé du deuxième épisode : « Le stage »


François est en vacances avec sa famille dans un centre naturiste de l’Atlantique. À la douche publique, il fait la connaissance de Fahri, un jeune allemand d’origine turque. Fahri, de trois ans plus âgé que lui, le mène à l’apothéose.



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Chapitre 3. La Proclamation




Je ne savais pas combien de temps j’avais dormi, mais je n’avais pas l’impression que le sommeil avait été long. Fahri était allongé à côté de moi à me regarder.



Regardant sa montre, il m’a dit qu’il était déjà 20 h 30 et qu’il serait bon que je rentre au bercail, que ma mère risquait de s’inquiéter.



Il m’a demandé si je voulais que nous nous revoyions.



J’ai aussi ajouté :



Effectivement, maman connaissait Fahri, ils se sont entretenus quelques minutes en anglais. Il lui a expliqué que nous nous étions croisés aux douches puis étions passés chez lui boire une bière. Il l’a embrasée et il est parti.


Pendant mon dîner tardif, mes sœurs et frère sont allés au centre d’animation du village avec promesse d’être revenus pour 23 h. Maman était certaine que nous ne serions que deux pendant plus d’une heure et que la marmaille serait de retour à temps. Elle en a profité pour engager la conversation.



Elle m’a approuvé, me confirmant qu’une telle relation homosexuelle était indispensable à mon éducation générale. Que, lorsque j’en aurai aussi eu une avec une femme, je pourrai choisir et décider. Ou ne rien décider ni choisir. Elle m’a mis en garde contre les maladies sexuellement transmissibles, le SIDA n’étant que la dernière apparue, la seule pour laquelle la médecine n’avait pas encore trouvé de traitement de référence. Que le seul moyen était d’éviter le contact avec le sperme ou avec les sécrétions corporelles. Elle m’a conseillé d’acheter des préservatifs et, pour mon plaisir, de me procurer du lubrifiant intime. La nuit, encombrée d’érections multiples, a nécessité une masturbation sédative pour qu’elle me soit reposante.


J’avais décidé de commencer chaque journée par un bain de mer précédé et suivi d’une heure de marche. Le temps était déjà chaud, l’eau à température acceptable, je me suis donc décidé à nager pendant une heure, comme en piscine. Au retour de la plage, un petit passage par le chalet récupérer ma CB et hop, direction le centre commercial, un journal national, une barre de chocolat et les suggestions de maman. De retour au chalet, je me suis confectionné un sandwich, je l’ai mangé avec un bol de lait chaud puis j’ai lu. Je me suis assoupi, la natation, la marche et la digestion se coalisaient contre moi. Tel était mon emploi du temps habituel.


Le mercredi suivant, vers 16 h, j’ai été réveillé par des éclats de voix, mes sœurs et frère s’amusaient devant la porte. J’avais une érection monumentale et j’ai eu besoin de revoir Fahri. Tout de suite.


Mes cheveux roux, couleur mandarine, ma peau claire parsemée de taches de son, m’imposent certaines précautions, je ne peux pas m’exposer au soleil sans m’être généreusement crémé ni couvert par une djellaba, même en centre naturiste. Il y avait à ce moment une autre raison de l’enfiler, dans les poches j’ai glissé les préservatifs et le gel et elle dissimulait mon érection.


Fahri habitait effectivement tout près, je suis arrivé chez lui en moins de cinq minutes. Il était installé sous l’auvent de son chalet et il m’a vu arriver de loin. Tout sourire, il m’a fait comprendre que j’étais le bienvenu. Une jeune femme blonde que je ne voyais que de dos lui faisait face.



Elle s’est tournée vers moi, m’a fixé de ses yeux bleus toujours aussi provocants, c’était Christine, notre baby-sitter d’il y a quelques années. Éberlué, incrédule, elle était là, devant moi, celle qui venait dormir à la maison quand mes parents et les siens partaient ensemble en soirée. Je l’ai prise dans les bras et lui ai appliqué deux bises bien sonores sur ses joues joliment rondes. De cinq ans mon aînée, elle avait participé à la joie de vivre de notre fratrie. Sa présence, quelques fois par an, avait été pour nous autant de moments de bonheur enfantin. Et elle était là, devant moi, dans la splendeur de sa nudité assumée. Aussi loin de l’état de mannequin squelettique que de celui de boudin gras, elle m’apparaissait comme un idéal féminin. Blonde, pas très grande, les yeux bleus, des seins bien ronds aux aréoles légèrement marquées, sa vue a fait frémir mon pénis. Vive la djellaba !



J’avais beau avoir reçu une éducation tolérante, libérale, libertine et libertaire, j’étais soufflé par ces révélations. J’avais du mal à imaginer que l’on puisse avoir une telle relation à trois. Vive la djellaba !



Fahri a continué, me disant qu’il m’avait vu la semaine précédente lors de notre arrivée, qu’il était certain que c’était moi lorsqu’il m’a vu sortir nu de notre chalet. Bien sûr qu’en trois ans j’avais grandi et forci, mais j’étais resté même, celui qui lui avait tant plu.



Christine est intervenue avec un grand sourire et sa lueur de provocation dans le regard.



Une bouffée de chaleur m’est montée au visage et je me suis senti un teint de framboise mûrissant. Elle a avancé la main droite vers mon bas-ventre et elle l’a mise directement sur la bosse dans la djellaba. Je me suis senti devenir framboise écrasée. Elle a serré légèrement, m’a attiré vers elle et a posé ses lèvres sur les miennes. Sa langue a forcé mes lèvres et elle est venue lécher la mienne. Cette langue, plus légère et moins râpeuse que celle de Fahri, était douce, légère et curieuse. Elle partait à la découverte de ma bouche, elle me donnait le vertige. J’ai fermé les yeux, j’ai posé les mains croisées au bas de son dos et je l’ai attirée contre moi. Je sentais sa poitrine contre la mienne, je sentais la chaleur de son ventre contre ma bosse, je sentais ma verge s’affoler contre son ventre.



La présence de Fahri m’ennuyait un peu, je l’ai regardé, perplexe. Il m’a répondu en levant le pouce droit semblant me dire, vas-y, tu es sur la bonne voie et il nous a invités à entrer dans le chalet à l’abri des regards interdits ou moralisateurs. Christine s’est détachée de moi et elle m’a remorqué jusqu’à l’intérieur, me tenant par le pénis à travers le vêtement. Elle m’a aidé à l’ôter, elle l’a balancé au sol, me soufflant à l’oreille :



Elle a passé les doigts sur mes tétons, les a pincés légèrement, les a roulés comme des boutons de radio puis elle les a léchés l’un après l’autre pendant que sa main droite descendait vers mon ventre puis sur mon sexe. Sa gauche, elle, faisait le tour du propriétaire et aboutissait sur mes fesses qu’elle a commencé à caresser doucement.


Entraîné par son exemple, j’ai aussi commencé à laisser mes mains explorer sa peau, l’une lui caressait doucement les épaules en les effleurant à peine pendant que l’autre partait timidement à la rencontre de son sein droit. J’ai imité ce qu’elle me faisait. Je l’ai d’abord empaumé et caressé. Le téton a durci et pris du volume puis je me suis hasardé à le tordre doucement, ainsi qu’elle me l’avait fait. Elle a gémi, elle sentait bon. Une odeur à ce moment indéfinissable pour moi. J’en ai conclu que ce genre de caresse lui était aussi agréable et j’ai continué à l’imiter. Novice, puceau, je répétais les mêmes gestes qu’elle, j’ai glissé la main vers sont entrejambe, j’ai senti ses poils, raides, durs, rugueux. J’ai cherché la fente, je voulais vérifier ce que les livres m’avaient appris et j’ai trouvé. Sous une légère pression, la fente s’est ouverte d’elle-même, intensifiant le parfum, mon index s’y est glissé, a glissé plus loin. Il a rencontré un petit bouton et Christine s’est crispée en émettant un petit cri.



J’ai, bien entendu, recommencé mon geste plusieurs fois, elle a de nouveau gémi, gémi de plus en plus fort. Elle avait lâché mon pénis, je me concentrais sur ce que je faisais, sur ses réactions. Le haut de sa poitrine était rouge, le téton que je continuais à sucer et à lécher pointait tout dur, elle haletait, elle se tortillait, elle vibrait contre moi.



Ce que j’ai fait avec l’index et le majeur joints, la faisant cette fois crier et se raidir.



Pendant ce temps, Fahri nous regardait, nous écoutait. Il se caressait doucement la verge, sans se presser, il donnait l’impression de participer à nos ébats sans nous toucher. Il m’a adressé une œillade, je lui ai répondu par un sourire, je planais. Ma verge était dressée, fière et orgueilleuse, entre touffe et nombril, plaquée entre mon ventre et le sien.


Christine a reculé jusqu’au bord du lit, elle nous a fait pivoter, s’est dégagée de mes doigts et m’a poussé en arrière, m’a allongé, étendu sur le dos. Elle m’a enjambé, a écarté les cuisses, placé sa vulve au-dessus de mon pénis. J’en ai profité pour regarder ses yeux brillants, les traits déformés de son visage. J’ai vu que son corps était devenu rouge, partout, comme suite à un gros effort. Je lui ai caressé les deux seins en même temps, elle soufflait, elle couinait, elle transpirait, elle se contorsionnait, elle sentait encore meilleur. Elle a attrapé ma verge d’une main, s’est lentement laissé descendre, la dirigeant vers sa vulve.


J’ai senti le gland pénétrer dans cette gaine tiède, douillette et accueillante, j’ai senti des frottements sur la couronne, j’ai enfin senti ses fesses qui prenaient appui sur mon ventre. Elle s’est allongée sur moi, empêchant les mouvements de mes doigts, elle a posé ses lèvres sur les miennes, sa langue a envahi ma bouche et s’est mise à jouer avec la mienne pendant que son bassin reproduisait au même rythme les mouvements de cette langue.


Elle a commencé à faire aller sa langue d’avant en arrière, son bassin a suivi le mouvement. Elle s’élevait, elle retombait, ma verge coulissait dans son vagin. Le gland, surtout sa couronne, m’envoyait des ondes de plaisir, des sensations qui me faisaient trembler. J’ai brusquement senti un nœud se former à la base de mon pénis, entre anus et testicules. J’ai senti le sperme se précipiter, arriver dans la hampe et jaillir à gros bouillons dans son vagin. Je venais de jouir, Christine avait tout dirigé.



C’était Fahri.



J’étais gêné, je me rendais compte que le sperme mis à part, je n’avais que peu donné à Christine, qu’elle valait beaucoup plus que ces quelques millilitres de liquide odorant.

Fahri a souri.



Christine s’était allongée sur le lit, les cuisses largement ouvertes, je voyais la corolle de ses lèvres intimes, je voyais quelques coulées de liquide s’écouler de son vagin. Je me suis agenouillé devant elle, je me suis baissé et j’ai posé ma langue sur sa fente luisante. J’ai senti Fahri s’approcher à me toucher, il s’est penché et j’ai senti sa langue caresser cette zone que j’ai si sensible. J’ai léché la fente de Christine, d’arrière en avant, récoltant au passage un peu de sperme mêlé de ses sécrétions, et j’ai terminé par laisser ma langue virevolter sur le clitoris. Elle a crié, je savais que c’était de plaisir.


J’ai senti que Fahri introduisait en moi un doigt bien glissant, j’ai gémi. J’avais goûté à mon sperme amélioré, je suis retourné à la source et, cette fois, je l’ai aspiré, je l’ai fait voyager en bouche puis je l’ai avalé. Excitant. Ma langue s’est attardée sur les petites lèvres, les a caressées longuement avant de filer en direction du petit bouton rose bien dur qui n’attendait qu’elle. Fahri avait posé son gland contre mon anus et je le sentais m’ouvrir lentement, par petites poussées répétées. Une petite gêne, pas une douleur. Il s’est retiré et est revenu en poussant un peu plus fort. J’ai bien senti le gland franchir la porte étroite.


Ma langue est repartie vers la source de sperme, elle s’est aventurée aussi loin qu’elle pouvait dans le vagin odorant, elle a recueilli tout le liquide possible et l’a dirigé vers ma gorge. Christine gémissait, se tordait, me suppliait de continuer. Fahri continuait de m’envahir, j’ai senti son ventre contre mes fesses puis il s’est entièrement retiré, provoquant au niveau du sphincter anal une montée de plaisir que je ne connaissais pas encore. Sans attendre, il a repris possession de mon intimité, il a entamé un va-et-vient qui, à chaque passage, me caressait la prostate. Christine avait posé les mains sur ma nuque, me faisant comprendre qu’elle voulait me sentir continuer. J’ai lui ai introduit dans le vagin un index que j’ai fait entrer et sortir, ma langue continuait à flatter ses lèvres et son clitoris.


Je me suis rendu compte que ma langue suivait le rythme des impulsions de Fahri. Il a accéléré, j’ai fait de même. Il soufflait et grognait, je ne pouvais pas, les lèvres de Christine me bâillonnaient. J’ai senti le pénis de Fahri durcir encore davantage, il a encore accéléré la cadence. J’ai senti Christine se crisper, je l’ai entendue crier, elle a serré les cuisses sur mon visage tout en relevant ses fesses, me rendant tout mouvement impossible, mis à part quelques légers mouvements de langue, puis elle s’est effondrée. Fahri a encore effectué trois ou quatre allers et retours. Ma prostate me transmettait, comme la fois passée, des ondes de plaisir croissant. J’ai entendu Fahri rugir, j’ai senti les pulsations de sa verge, j’ai compris qu’il m’inondait de son sperme. À mon tour j’ai joui, répandant en une seule et longue giclée une belle quantité de sperme sur les draps.


Nous nous sommes allongés tous les trois côte à côte, savourant notre bonheur.



Et Fahri d’ajouter :