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Temps de lecture estimé : 24 mn
29/07/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Julie espère bien retrouver Clarisse et s'en excite déjà. Mais elle rencontre Yann, un jeune homme séduisant dont elle tombe immédiatement sous le charme, et qui l'emmène passer la soirée en tête-à-tête sur une petite crique.
Critères:  fh fbi jeunes inconnu grossexe grosseins vacances plage bain pénétratio fsodo jouet -attirautr
Auteur : Soyouz

Série : Les vacances de Julie

Chapitre 03
Yann

Résumé de l’épisode précédent :


Clarisse, une jolie brune d’à peine vingt ans, passe ses vacances en caravane avec sa mère et son frère dans un camping de bord de mer. Un samedi après-midi, avec ses amies Lisa et Océane, elle rencontre Julie, une splendide jeune femme en apparence. En apparence seulement, car Julie est en fait hermaphrodite ; elle a un corps, un visage, des cheveux, une voix de femme, mais elle cache aussi sous son short en jean serré une impressionnante verge masculine, que Clarisse a déjà pu essayer et savourer.

Mais Julie, qui vient d’arriver dans un mobil-home avec sa tante Cécile, est également et surtout une femme, avec des envies de femme ; et si Clarisse a satisfait au moins momentanément sa partie « mâle », son corps et son esprit réclament autre chose. Elle profite de l’absence de sa tante pour aller fouiller dans ses affaires à la recherche d’un imposant sextoy, avec lequel elle offre un orgasme à son corps de femme. Mais au moment d’aller le ranger, elle se fait surprendre par Cécile, qui, apercevant sa nièce nue, sa lourde poitrine et son gros pénis, avec à la main le jouet phallique, se sent envahie de sentiments mêlés incertains.

Plus tard dans la soirée, Julie et sa tante partent vers le cœur du camping, à la découverte du bar et des animations. Et Julie espère bien retrouver Clarisse, sa partie mâle s’en excite déjà…


___________________________




Après s’être préparée – faite toute belle pour les garçons, comme lui dit sa mère –, Clarisse est revenue attendre Julie. Le rendez-vous n’a pas été officiel, mais elles étaient convenues de se voir dans la soirée. Et son cœur bat la chamade, elle est encore plus excitée que si elle devait retrouver un garçon. Elle repense encore une fois à leur rencontre, quelques heures plus tôt dans les douches, et à tout ce qui a suivi. Jamais elle n’aurait imaginé une chose pareille !


Dans les sanitaires, tout à l’heure, après le départ de l’incroyable hermaphrodite, Océane, Lisa et Clarisse ont bien échangé quelques mots pour se rendre mutuellement compte de leur stupéfaction partagée, mais elles sont vite redevenues silencieuses. Une douche rapide, l’une après l’autre, chacune perdue dans ses pensées. Celles de Clarisse, optimistes, et pleines de désir, pleines de l’envie de revoir Julie. Mais celles de ses copines, plutôt sombres : Océane pensant à son départ, dans la nuit, et sachant qu’elle devra passer la fin de journée avec sa famille à tout ranger ; et Lisa, qui part demain très tôt, noyée dans les regrets de ne pas avoir « essayé » elle aussi ; et dans ses promesses de retrouver l’hermaphrodite dans la soirée pour tenter de ne pas finir les vacances avec l’impression d’avoir raté quelque chose.


Mais Clarisse n’en a cure, elle a presque oublié ses deux amies ; l’excitation mentale et physique a occulté Lisa et Océane de ses pensées. D’ailleurs, quand elle y repense, elle se dit qu’elle voudrait garder sa découverte pour elle toute seule, même ce soir. Un truc pareil, quand même… c’est vraiment incroyable… cette fille avec sa bite énorme…

La voix claire d’Océane tire la jolie brune de ses rêveries érotiques :



L’interpellée lève la tête pour découvrir justement ses deux amies.



Clarisse semble chercher un instant ses mots.



La jolie brune la prend dans ses bras, puis la troisième jeune femme de même.



Océane ricane encore, mais Clarisse l’observe avec un mélange de compréhension et de défiance.



Elles acquiescent et se serrent une nouvelle fois dans leurs bras, et la blondinette finit par s’éloigner. Presque au même moment, une femme d’une cinquantaine d’années s’approche et interpelle Lisa.



Et la mère de Lisa tourne les talons sous le regard amusé de Clarisse.



Et elle s’éloigne, pour le plus grand plaisir de Clarisse. Il est 20 h 10. Elle se met à arpenter en long et en large les environs du bar du camping. À cette heure, il y a beaucoup de monde ; les apéritifs coulent à flot, et fusent de gros éclats de rire. Il fait encore doux ; de nombreux hommes sont torse nu ; de nombreuses femmes en maillot de bain. Elle-même s’est vêtue léger : une courte robe claire, avec de jolies petites rayures discrètes ; ça lui va à ravir. Elle déambule en cherchant Julie. Elle ne l’a vue que sous la douche, et ensuite, un instant, rhabillée, avant qu’elle n’en sorte, mais elle est sûre de pouvoir la reconnaître. 20 h 20, toujours pas là. Elle pourrait partir à sa recherche dans le camping, mais au risque de la rater si elle arrivait justement maintenant.


Pendant ce temps, Julie et Cécile se sont préparées, et ont quitté leur mobil-home pour venir découvrir le camping. Elles sont tout juste installées de cet après-midi, et n’ont encore vu guère plus que la réception et les sanitaires. En marchant devant les allées de mobil-homes et de caravanes, elles sentent bien qu’elles ne laissent pas les hommes indifférents. La plupart les contemplent avec insistance ; et si certains ne le font pas trop lourdement, c’est parce qu’ils sont en compagnie de leur épouse ou de leurs enfants.


Julie est resplendissante, ses cheveux cuivrés ondulent jusqu’en haut de sa poitrine magnifiquement galbée dans un chemisier échancré qui s’accorde en couleur avec son petit short en jean serré sur ses fesses ensorcelantes. Personne, à la voir, ne pourrait deviner ce que cache ce vêtement moulant. Et Cécile porte une robe d’été très peu couvrante, qui met en valeur les jolies courbes de son corps dans la pleine force de la séduction. Elle n’a qu’une trentaine d’années, et sa nièce en paraît plus que sa petite vingtaine. On pourrait les croire amies, ou pourquoi pas sœurs.


Quelques sifflets admiratifs se font entendre lorsque toutes les deux passent devant les terrains de sport, où un groupe de jeunes hommes termine une partie de volley.



Cécile ne s’arrête pas et ne lève même pas les yeux vers eux. Même si certains de ces garçons sont attirants, ce n’est pas ce genre de relation qu’elle cherche. Elle est professeur dans un lycée, et ils lui font plutôt penser à ses élèves. Mais elle sourit tout de même, parce qu’elle comprend qu’elle est encore séduisante. Mais elle se doute aussi que c’est surtout Julie qui attire leurs regards. « Les pauvres, s’ils savaient… » songe-t-elle.


Et puis elle devine sa nièce qui a ralenti et observe discrètement les garçons avec des yeux envieux. Cécile sait que la jeune hermaphrodite est tiraillée entre ses désirs pour les filles et pour les garçons, comme elle sait que ce n’est pas facile pour les hommes de l’accepter une fois qu’ils ont compris qui elle est vraiment.



Cécile lève les yeux pour dévisager le garçon en question. Elle le trouve en effet craquant. Il est torse nu et joliment musclé, et ses cheveux hirsutes volent doucement au vent tandis qu’il les contemple. Et c’est l’un des seuls qui ne siffle ou ne raille pas les filles.



Et Julie s’exécute, lançant au jeune homme un franc sourire qui la rend plus magnifique encore.



Et ils sifflent et sifflent encore, tandis que Cécile soupire.



Les deux femmes s’éloignent doucement du terrain de sport et s’approchent du cœur du camping.



Julie est perdue dans ses pensées, et suit machinalement sa tante. Mais toutes les deux entendent soudain courir derrière elles et se retournent pour voir arriver le jeune homme brun au short rouge sous les acclamations de ses copains.



Cécile soupire doucement. La technique de drague est plutôt minable, mais ça semble convenir à Julie (ou tout du moins fait-elle semblant que ça lui convienne), qui répond en arborant de nouveau son plus charmant sourire. Elle observe de plus près le jeune homme ; il n’est pas seulement beau, il a aussi un charme fort, quelque chose d’attirant au-delà du physique.



Le garçon regarde tour à tour les deux femmes ; il a un sourire vraiment craquant, lui aussi. Cécile devine les pensées de sa nièce.



L’interpellée tourne vers elle des yeux emplis de désir, et lui lance un merci souriant du bout des lèvres avant de lui faire une bise.



Et Cécile s’éloigne, laissant les deux jeunes gens faire connaissance. Derrière eux, les acclamations reprennent de plus belle quand les autres garçons ont compris que leur copain était en train de concrétiser.



Il lui désigne un endroit à l’écart du terrain de sport, mais pas non plus dans la direction du bar.



Elle fait mine de réfléchir un moment, regardant tout autour d’elle.



Le jeune homme, ensorcelé et amusé, l’invite à la suivre, et ils discutent en marchant tout doucement.



Julie sourit une nouvelle fois. Mais derrière ses yeux mutins de façade, elle cogite ; elle sent son corps de femme plein d’envie de ce garçon ; mais comment faire en sorte qu’il ne réalise pas trop vite qui elle est ? Ou bien doit-elle le lui dire et espérer qu’il ne s’enfuie pas ?


Tandis que sa nièce se perd dans ses pensées lubriques, Cécile marche jusqu’au bar, découvrant peu à peu l’excellente ambiance qui règne au cœur du camping au cours des longues soirées d’été. Un animateur joue à faire deviner des répliques de films à des familles, des couples, des groupes d’amis. Peu de gens sont seuls, se dit la trentenaire. Et elle espère bien ne pas le rester trop longtemps. En regardant autour d’elle, elle ne voit qu’une autre personne seule, une jeune femme d’une vingtaine d’années, une jolie brune, qui a l’air d’attendre quelqu’un, et guette l’heure à tout moment. Il s’agit de Clarisse, dont le cœur et le désir s’impatientent. Mais Cécile ne fait plus attention à elle et s’avance vers le bar pour commander une boisson. Plusieurs hommes la remarquent.


Et juste à cet instant, Lisa revient en hâte vers Clarisse.



La jolie brune soupire longuement, partagée entre l’envie d’accepter et celle d’attendre encore Julie.



Clarisse soupire une fois de plus, mais finit par sourire avec sincérité à son amie.



Et elles s’éloignent ensemble en rigolant.



Julie marche toujours lentement avec Yann ; ils s’approchent de la plage, pas encore main dans la main, mais tout près l’un de l’autre. La jeune hermaphrodite repense un peu à Clarisse et ses copines, se disant une fois de plus qu’elle se les taperait bien de nouveau, mais la partie féminine de son corps et de son âme est la plus forte, et elle n’a pour l’instant qu’une seule envie : c’est le jeune et beau garçon qui l’accompagne, et qui semble prêt à fondre sur et pour elle.


Ils arrivent sur la plage ; quelques personnes se baignent encore, d’autres traînent sur leurs serviettes, savourant les derniers rayons de soleil.



Évidemment, qu’elle veut. Mais elle ne le lui dit pas.



Et de toute façon, si elle en avait un, il verrait tout de suite sa vraie nature. Si elle se baigne, ce sera avec son short en jean, mais elle n’a pas envie de mouiller son chemisier, ni de se mettre torse nu bien sûr.



Elle n’a pas osé le lui dire, mais c’est vrai qu’il sent un peu la sueur. Elle lui sourit. « Qu’est-ce qu’elle est belle ! se dit Yann. Et qu’est-ce qu’elle est bonne ! » Il aimerait bien qu’elle vienne à l’eau avec lui. Et Julie se dit finalement que le chemisier mouillé serait peut-être du plus sensuel effet sur sa poitrine. Elle sait qu’elle est désirable et qu’il n’y résistera pas.



Yann n’en croit pas ses oreilles. Et il est presque sûr que dans un instant, il n’en croira pas non plus ses yeux. Cette nana est une bombe, et elle le trouve à son goût. Il lui prend la main, elle se laisse guider. Ils courent jusqu’à l’eau. Elle est fraîche, mais ni l’un ni l’autre ne s’en préoccupe, et tous les deux y entrent en s’éclaboussant.


Il n’a bientôt plus d’yeux que pour ses seins, ses gros seins lourds enfermés dans un soutien-gorge clair sous le chemisier trempé.



En réponse, elle l’attire contre elle et glisse une main sur sa hanche, le long du short de bain du jeune homme.



Il est stupéfait, de nouveau il n’en croit pas ses oreilles. Il bande, franchement. Peut-être qu’elle l’a déjà remarqué. Il l’embrasse, à pleine bouche, mais en prenant soin de ne pas encore se coller à elle. Elle accepte son baiser, entrouvre les lèvres ; leurs langues se touchent, roulent un instant ensemble. Et c’est elle finalement qui plaque son corps contre le sien. Elle sent la bite de Yann tendue s’écraser contre sa cuisse alors qu’il referme une main sur ses fesses et l’autre sur sa poitrine.


Julie aussi bande un peu, sa verge est à l’étroit dans son short en jean serré. Mais c’est surtout sa part féminine qui très excitée, elle mouille, beaucoup. Pourtant elle a joui il n’y a pas longtemps, avec le gode de sa tante. Mais son désir pour ce garçon est immense. Il tente de glisser une main à l’intérieur de son short, dans la cambrure de son dos, juste au-dessus de ses fesses. Elle le laisse faire, mais elle s’inquiète un peu ; il ne va sans doute pas tarder à vouloir le déboutonner, par-devant, et découvrir ce qui s’y cache. Il va falloir qu’elle dirige la suite des opérations.


D’un autre côté, ça l’excite. Les caresses, maladroites, sur ses seins ; les doigts qui s’immiscent lentement le long de sa raie. Elle plaque une main sur l’entrejambe du jeune homme ; il bande déjà à tout rompre. Évidemment, sa queue ne vaut pas celle qu’elle cache à grand-peine, mais elle éprouve un plaisir immense à la masser à travers le tissu du short de bain.


Alors qu’il fait mine de lui écarter doucement les cuisses dans une simulation de position amoureuse, elle se dégage délicatement de son étreinte, ne voulant pas qu’il sente la présence de quelque chose d’anormal.



Elle continue pourtant de le toucher, et enfonce même une main à l’intérieur de son short pour saisir sa verge et le masturber franchement. Il soupire de plaisir à ses caresses.



Amusée, Julie embrasse Yann et accélère le rythme de sa main, tandis que lui la pelote de plus en plus fort, écrasant sa poitrine. Elle est très excitée par la situation, sa verge est gonflée, et elle sent sa vulve s’humidifier de l’intérieur. Mais elle ferme ses cuisses, comprimant encore plus son sexe, surtout pour ne pas se trahir. Sa main va-et-vient à toute allure sur la hampe rigide ; de l’autre main, elle masse doucement les couilles du jeune homme. Et celui-ci jouit rapidement, expulsant sous l’eau quatre ou cinq jets de sperme qui flottent dans une sorte de nuage entre les ventres des deux amants.



Julie sourit en pensant à la tête qu’il ferait si elle lui montrait vraiment son corps. Il l’invite à sortir de l’eau, maintenant qu’il est de nouveau présentable ; elle le suit sur la plage.



Il ne lui laisse pas le temps de répondre et poursuit :



Elle est touchée par le ton qu’il emploie pour lui proposer ça. Il est fou d’elle. Et pourtant il vient de jouir… C’est plutôt bon signe, se dit-elle.


Ces jeux de séduction amoureuse lui font un bien incroyable. Elle essaie de ne pas le montrer, mais elle a une grande expérience sexuelle ; avec des hommes, des femmes, de tous âges ou presque… Mais ces moments de conquête, de drague, ces tentatives de charme, en particulier avec les jeunes de son âge, elle adore ; elle retrouve l’impression d’être quelqu’un de normal. Alors elle s’y prête avec plaisir, elle s’y épanouit aussi.



Et ainsi est fait. En allant acheter à dîner, ils discutent comme deux jeunes gens qui viennent de se rencontrer, un peu empressés, un peu maladroits. Mais ils se séduisent, mutuellement. Julie a oublié qu’elle n’est pas une fille comme les autres, et lui en pince pour elle, au-delà du physique, elle lui plaît vraiment. Ils marchent avec leurs sandwiches chauds le long de petites falaises jusqu’à un minuscule sentier qu’elle n’aurait pas trouvé toute seule et qui les conduit sur la crique dont a parlé le garçon.



« C’est plus qu’il n’en faut… » se dit Julie. Tous deux s’assoient collés l’un à l’autre sur un rocher plat, tout au fond de la crique, au pied de la petite falaise qui la surplombe. Et ils mangent, et ils parlent. Ils parlent longtemps. Elle le trouve plus que simplement séduisant ; lui est en admiration devant elle, il ferait et dirait tout pour lui plaire. Elle a de plus en plus envie de lui.



Elle retire son chemisier encore humide de leur baignade ; il s’approche tout contre elle et lui effleure la poitrine, puis s’emploie à détacher son soutien-gorge, libérant ses deux gros seins gonflés par le froid et le désir. Et il se jette dessus ; il les masse, les dévore, les tète, les pétrit. L’excitation de Julie grimpe d’un cran supplémentaire. D’une main, elle constate qu’il bande de nouveau très fort. Elle le caresse un instant, puis le repousse doucement et descend du petit rocher plat pour s’agenouiller devant lui, et tire son short vers le bas, dévoilant sa verge tendue qu’elle engloutit en hâte.


La bouche de la jeune hermaphrodite va-et-vient doucement, profondément, sur le sexe de Yann. Le sucer ainsi l’excite toujours plus. Elle mouille. Et elle bande aussi. Elle a envie qu’il la défonce, qu’il la baise sauvagement. Elle le pompe encore un peu puis se redresse, et lui lance un regard brûlant.



Il s’avance vers elle pour palper encore ses seins un instant, puis baisse ses mains pour déboutonner son short en jean.



Yann ne peut se retenir de pouffer, mais s’exécute.



Sans chercher à savoir s’il lui obéit, elle se retourne elle aussi, et retire en se dandinant le vêtement serré, libérant sa grosse verge à demi gonflée, mais qu’elle coince aussitôt sous le short et son chemisier qu’elle a ramassé. Et elle s’appuie en avant sur le rocher, une main entre ses cuisses pour soulever ses testicules et plaquer ses habits en boule contre ses attributs masculins. Yann ne semble rien avoir aperçu de son manège.



Et il s’avance tout contre elle. Il s’étonne un instant de sa position, agenouillée dans le sable, appuyée d’une main sur le rocher, l’autre main passée entre ses jambes. Mais ses yeux de braise, et ses fesses enivrantes le ramènent à l’essentiel. Il s’agenouille derrière elle, glisse ses doigts le long de sa raie ; elle est trempée d’excitation. Il guide son gland contre sa vulve, et la pénètre doucement. Elle gémit en sentant ses chairs s’ouvrir pour le laisser entrer. Elle savoure, elle en avait tellement envie.


Il imprime de lents va-et-vient, qu’elle déguste, en se déhanchant pour accompagner ses mouvements. Et sa verge se frotte contre sa boule de vêtements à chaque balancement. Le plaisir est immense, les coups de bite de son amant, de plus en plus forts ; il a refermé ses mains sur ses hanches et la défonce sans vergogne. C’est bon. Elle couine, elle crie, à chaque assaut. Elle ne va sans doute pas jouir, mais elle s’en fiche : les sensations sont intenses, profondes. Doublé du plaisir plus cérébral qu’il ne sait toujours pas qui elle est vraiment, il n’a rien vu, il ne sait rien !


Yann est aux anges. Elle est belle ; elle est bonne ; ses gros seins qui se balancent à chaque fois qu’il la bourre ; son cul sublime ; ses gémissements. Jamais il ne s’est tapé une fille comme ça. Il voudrait la retourner pour la baiser en la regardant. Mais elle ne semble pas en avoir envie, elle ne veut pas changer de position. Qu’importe ! Il prend son pied. Et elle aussi, à l’entendre couiner. Il passe une main sous son corps, pour aller palper ses seins. Ses gros seins. Qu’est-ce qu’elle est excitante ! Et son cul, son cul sublime !


Il a envie de la faire jouir. Il la défonce de plus en plus fort, mais pour qu’elle jouisse, il va lui caresser le clito. Abandonnant sa poitrine, il longe son ventre haletant et dirige sa main par-devant ses cuisses. Mais elle le repousse doucement. Il est un peu déçu. Un court instant. Tant pis pour elle ! Il se concentre de nouveau sur ses seins. Et sur ses coups de queue dans son arrière-train. Et son cul, son cul sublime ! Et s’il lui défonçait son petit trou… peut-être qu’elle ne dirait pas non, qu’elle en a envie…


Yann extrait son sexe luisant de celui de la belle, et frotte doucement son gland trempé du plaisir de Julie sur sa raie, s’attardant autour de son anus. Elle se cambre, se dandine, pour accompagner les caresses. Puis il se renfonce profondément en elle, fait quelques va-et-vient, pour remouiller sa bite, et il revient humecter le cul de sa partenaire. Et il recommence une fois encore.


Julie a bien compris ce qu’il a en tête. D’un côté elle n’en a pas envie, elle veut continuer à déguster ses assauts dans sa chatte, et d’un autre côté ça l’excite. Même si elle sait maintenant qu’elle ne va pas jouir, se faire ainsi posséder et imaginer qu’il ne sait pas ce qu’elle est lui fait tourner tous les sens.



Elle a dit ça machinalement, mais elle le regrette déjà. Il continue de frotter sa verge humide de son plaisir contre sa raie en rigolant.



« Si tu savais… » pense-t-elle. Julie est étonnée qu’il ne l’ait pas percée à jour, mais il est tout occupé à lui humidifier l’anus, et ne fait pas attention aux efforts qu’elle fait pour tenir contre son pubis ses vêtements en boule. Elle veut se sentir possédée, elle a envie qu’il lui défonce le cul ; elle se cambre un peu plus et pousse pour écarter les fesses ; l’invitation est claire ; qu’il l’encule, et elle se vengera bien un jour ou l’autre. Il frotte une dernière fois son sexe contre son petit trou maintenant tout humide.


– Aaaahh !


Il est entré, il la sodomise, doucement. Elle gémit, ça l’excite encore plus, il bande à tout rompre. Elle aussi bande, sa verge est toute tendue, et elle s’imagine déjà l’enculer ensuite.



Il grogne et râle en la défonçant de plus en plus fort en la tenant par les hanches. Elle se contient pour ne pas crier. Descendant un peu plus sa main qui retient les vêtements contre son pubis, elle parvient à toucher et caresser à chaque va-et-vient les burnes gonflées de Yann. Elle sait qu’il ne va pas tarder à jouir. Elle savoure ses ultimes assauts. Ses grands coups de bite dans son cul. Ses dernières contractions. Et il se cabre soudain en grognant encore et en serrant plus fort ses doigts sur ses fesses. Elle sent qu’il éjacule, elle gémit aussi, un instant soumise et conquise.


Et puis, à peine Yann se remet-il, les pensées perverses de Julie reprennent le dessus. Sa verge est toujours gonflée et tendue. Elle a envie de se retourner, de se dévoiler, de montrer sa grosse queue à son partenaire, de le défoncer comme il vient de la défoncer.


Mais une autre pensée la contient, plus douce, plus calme, l’envie d’être de nouveau prise par ce garçon, de s’abandonner une fois de plus à ses étreintes. Si elle lui dit maintenant qui elle est, il ne voudra plus lui faire l’amour comme il vient de le faire. Elle soupire, se détend ; lui se retire doucement, et se penche pour l’embrasser dans le cou, tendrement, comme souvent les hommes après avoir joui. Ça finit de la convaincre, elle va essayer de conserver encore son secret.


Dès qu’il s’est reculé, elle se redresse, comprimant toujours ses vêtements en boule contre son pubis, cachant avec peine son gros pénis tendu.



Elle s’avance dans les vagues, nue, mais avec son short et son chemisier contre son bas-ventre.



Et il contemple ses fesses tandis qu’elle marche jusqu’à avoir de l’eau jusqu’au ventre. Jusqu’à ce que sa verge soit recouverte. Et enfin elle la libère, laissant flotter ses vêtements pour se saisir de son organe mâle tendu d’excitation. Enfin, elle peut masturber sa grosse bite sans retenue. Yann est resté sur la plage et ne la voit pas dans la nuit presque entièrement tombée. Elle va se soulager de son érection et de son désir incroyables. Elle se branle même de ses deux mains, la droite sous le gland, la gauche en dessous, contre son corps, allant et venant le long de sa hampe, accompagnant ses mouvements de déhanchements du bassin.



Merde ! Elle ne l’a pas entendu arriver ! Elle rattrape ses habits qui flottaient à côté d’elle.



Il pose une main sur ses fesses et l’embrasse, puis pose son autre main sur sa poitrine. Elle est frustrée, débordante d’envie de baiser, ou au moins de pouvoir branler sa grosse queue en paix.



C’est faux, sans aucun doute, Cécile ne doit pas s’inquiéter. Mais Julie veut être seule, maintenant. Ou en tout cas, plus avec Yann, plus pour le moment. Pourtant, elle voudrait le revoir. Elle a aimé comme il l’a baisée.



En parlant, elle s’est écartée un peu de son amant, suffisamment pour qu’il ne puisse pas la voir en détail lorsqu’elle renfile et ajuste avec difficulté son short en jean. Elle coince en biais sa verge tendue avant de refermer les boutons et de se revêtir péniblement de son chemisier.



Elle sourit.



Yann sort avant elle se saisir du sous-vêtement et le contemple avec délectation tandis que Julie quitte l’eau en prenant grand soin que son chemisier déborde par-dessus son short. Ils s’embrassent, il veut la serrer contre elle, mais elle s’écarte un peu ; il ne faut pas qu’il sente comme c’est dur sur son entrejambe.



Elle veut surtout aller satisfaire ses envies. Se branler, à défaut de pouvoir défoncer quelqu’un. Une fille. Une chatte bien trempée. Si elle pouvait retrouver l’une ou l’autre des petites salopes qu’elle a rencontrées dans les douches cet après-midi… Mais pour ça elle doit se débarrasser de son compagnon.



Elle ne veut pas qu’il la suive ce soir.



Il l’embrasse, tendrement.



Il est complètement sous son charme. Ils s’embrassent encore. Mais Julie se crispe, ça a plutôt tendance à l’exciter davantage. Elle est toujours raide, elle a toujours envie de se branler, ou pourquoi pas de défoncer quelqu’un, lui ou un autre, ou plutôt une autre. Mais elle ne veut pas se trahir. Pas maintenant qu’elle a fait tous ces efforts pour rester discrète.



Yann la regarde s’éloigner, pensif, les yeux happés par les mouvements évocateurs de ses fesses. « Elle est un peu bizarre, songe-t-il, mais qu’est-ce qu’elle est bonne ! Et qu’est-ce qu’elle est salope ! » Elle l’a branlé jusqu’à le faire éjaculer, puis un peu plus tard elle l’a sucé, il l’a baisée, et il l’a même enculée dès le premier soir ! Et elle a eu l’air d’aimer ça ! Rien que d’y repenser, il recommence à bander.


Elle se retourne une dernière fois pour lui adresser un petit signe d’au-revoir, puis disparaît au coin d’une allée du camping. Yann tourne alors les talons pour rejoindre son emplacement. Il a hâte de la revoir, vraiment hâte. Il fait nuit noire, il est fatigué, le tournoi de volley, cet après-midi, puis cette soirée incroyable avec cette fille incroyable. Il ne va pas se coucher tard. Pourtant il aimerait tellement raconter tout ça à ses copains… Mais il verra ça demain.


Julie s’éloigne, dans les allées sombres du camping qui commence à s’endormir. « S’il savait… » pense-t-elle encore. Elle a un peu honte de se jouer de lui comme ça, mais elle a adoré les moments passés avec lui. Et en même temps, sa partie mâle se rappelle à elle. Elle ne débande pas, sa queue lui fait mal tellement elle est tendue et comprimée par son short serré.


Maintenant qu’elle est seule, elle pourrait aller se branler tranquillement dans la chambre de son mobil-home. Mais ce n’est pas ça qu’elle veut : elle veut baiser ! Elle veut défoncer quelqu’un ! Le petit cul de Yann ! Ce salaud l’a enculée ! Et elle a très envie de lui rendre la pareille ! Elle pourrait faire demi-tour, et le rejoindre, et le sodomiser à son tour !


Elle a déjà enculé des mecs, à quelques occasions, et elle a toujours adoré ça ; elle a aimé leur exploser leurs petits culs avec sa grosse queue et les branler pendant qu’ils couinaient sous ses assauts. Elle sodomisera Yann, mais pas ce soir. Elle ne veut pas risquer de le perdre tout de suite.


Alors qui ? Cette petite salope, la jolie brune, Clarisse, qu’elle a sautée dans l’après-midi. Elle pourrait retourner la chercher dans le camping, et la défoncer vite fait, pour satisfaire ses pulsions. Elle est sûre qu’elle en aurait envie ; quand elle l’a abandonnée dans la douche, tout à l’heure, c’était clair qu’elle pourrait la baiser de nouveau.


Oui mais il faudrait retourner vers le bar, la chercher là-bas, risquer de retomber sur Yann. Elle ne veut pas se trahir, pas après tout ce qu’elle a fait pour conserver le secret sur son corps. Elle veut qu’il puisse la baiser encore avec la même passion, elle veut pouvoir s’abandonner encore à lui, comme une femme ordinaire le fait auprès d’un homme qui l’a séduite.


Et pourtant elle meurt d’envie de soulager sa queue gonflée, endolorie à force de bander, elle veut baiser, ce n’est pas d’une vulgaire branlette dont elle a envie.


Il y aurait bien sa tante, Cécile… Si ça se trouve, elle pourrait se la taper… C’est une belle femme, et depuis que Julie a vu son regard quand elle s’est trouvée nue face à elle avec le gode, elle est sûre qu’elle l’attire. Elle est sûre qu’elle pourrait aller la sauter, baiser sa bouche, défoncer sa chatte trempée, et pourquoi pas l’enculer…


Mais non, c’est sa tante ! Elle ne peut pas faire ça !

Sa queue tendue la démange, et lui fait perdre la tête. Clarisse… Cécile…

Tant pis, elle va aller se branler…

Dans sa chambre, au mobil-home…

Au mobil-home, qu’elle partage avec sa tante…

Sa tante qui a regardé sa grosse queue avec envie tout à l’heure…

Et qui joue régulièrement avec son gode…

Julie va rentrer, et va aller voir si sa tante est là… si elle est toujours réveillée… et peut-être que…



Et si elle savait, elle… si elle savait ce que font à cet instant les objets de ses désirs. La jeune brune, Clarisse, qui l’a attendue une bonne partie de la soirée, avant d’aller dîner avec son amie Lisa… Clarisse et Lisa qui mouraient d’envie, en revenant du restaurant, de retrouver Julie, de s’enfermer quelque part avec elle pour qu’elle puisse les défoncer… Clarisse et Lisa, finalement, qui ne la trouvant nulle part, sont allées dans la tente de cette dernière pour se peloter et se caresser, chacune s’imaginant faire l’amour avec Julie.


Et Cécile, fatiguée par le voyage, qui s’est couchée tôt après avoir dîné au bar sous les regards avides de nombreux hommes, mais sans en rencontrer véritablement un seul. Couchée tôt, mais sans dormir, obnubilée par les images du corps incroyable de sa nièce Julie qu’elle a surprise avec son propre gode dans l’après-midi. Excitée par sa verge impressionnante, excitée par ce qu’elle dégage. Cécile qui n’arrivant pas à s’endormir, est allée prendre le sextoy et s’est défoncée la chatte en s’imaginant que c’était Julie qui la baisait.



Celle-ci, hésitante, fébrile, perdue dans ses pensées lubriques, est presque arrivée au mobil-home, où sa tante se masturbe encore vivement. Elle est bien décidée à entrer dans sa chambre, à baisser son short en jean, à dévoiler sa grosse queue tendue. Et alors on verrait bien…



À suivre