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n° 17942Fiche technique20132 caractères20132
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Temps de lecture estimé : 11 mn
09/06/17
Résumé:  Une dernière soirée de vacances pour la belle Aline, au restaurant, avec son mari et son "sauveteur", puis bain de minuit.
Critères:  ff fhh vacances plage caférestau lingerie -couple+h
Auteur : LastCars

Série : Sea, sex, sun and video

Chapitre 03 / 03
Le dernier bain

Résumé des chapitres précédents :

Sur une plage naturiste j’ai fait la connaissance d’une troublante brunette, accompagnée de son mari. Elle s’est d’abord amusée à me provoquer. Je lui ai proposé de me filmer avec ma caméra et nous avons fait connaissance.

Dans l’épisode précédent, je lui ai donné une leçon de natation à la conclusion assez étrange. Je les ai invités au restaurant pour la dernière soirée de leurs vacances.






En arrivant, j’ai copié la vidéo sur mon ordi. À la vue de quelques une des plus belles images prises quelques heures auparavant, je ne pus m’empêcher de me caresser. Chauffé à blanc comme je l’avais été pendant toutes ces heures, l’issue fut rapide !

Douche brûlante, gamelle du matou, et transfert de la vidéo sur une clé USB… Encore essoufflé, je fermai la maison et me précipitai vers ma voiture. Ouf ! (À bas les cadences infernales !).


À l’heure pétante, j’étais à nouveau devant l’immeuble de la belle. Je sonnai. La voix d’Alain, le mari, dans l’interphone m’informa qu’Aline n’était pas encore prête. Il m’invita donc à monter. Le studio était bien tel que je l’imaginais. C’était un de ces appartements au confort assez sommaire comme on en trouve souvent dans les zones touristiques. Aline était invisible, mais je l’entendais chantonner dans ce qui devait être la salle de bain. Alain m’accueillit joyeusement :



J’étais à nouveau horriblement gêné… D’autant que l’on pouvait interpréter ces paroles de plusieurs manières. Je restais volontairement dans le vague.



Alors que je cherchais mes mots pour la suite, la porte de la salle de bain s’ouvrit brusquement et Aline fit une apparition très remarquée portant pour tout vêtement un adorable string de dentelle particulièrement coquin. En fait, ainsi, la belle réussissait à être encore beaucoup plus sexy que lorsque, quelques heures auparavant, elle paradait nue sur la plage. Une performance ! Et il faut ajouter qu’elle avait sans doute passé quelque temps à se maquiller et que le résultat était en tout point une réussite.



Le ton un peu sévère d’Alain était démenti par le regard ironique qu’il portait au même moment alternativement sur sa femme et sur moi. Elle se tourna aussitôt vers lui, les mains sur les hanches, la poitrine saillant en avant.



Puis elle se tourna vers moi, écartant les bras comme pour mieux me faire apprécier sa nudité.



Elle fit une espèce de pirouette et se dirigea vers un des placards qui constituaient tout un pan du mur de la pièce. Elle l’ouvrit, découvrant une penderie surmontée d’une étagère sur laquelle reposaient des sous-vêtements féminins en tas. Elle chercha un petit moment parmi eux avant d’en retirer ce qu’elle cherchait, un soutien-gorge coordonné avec le string qu’elle portait.


Elle se mit face à moi pour attacher sur sa poitrine l’agrafe située à l’arrière du léger vêtement avant de le tourner et d’ajuster les deux bonnets sur ses seins. Oups ! Je faillis avaler ma salive de travers. Comme le string, chaque bonnet était fendu et deux petits nœuds en ruban assuraient simplement que le tissu ne bâille pas trop, laissant quand même dépasser la pointe des seins.


Est-il utile de préciser, ce que je n’ai pas fait immédiatement, que le string coordonné présentait lui aussi une fente longitudinale dont la fermeture était (mal) assurée par deux petits rubans artistiquement noués. Finalement cet ensemble magnifiait plus la nudité qu’il ne la voilait ! Je jetai un œil sur le mari hilare qui ne perdait pas lui non plus une miette du spectacle. Aline décrocha ensuite dans la penderie une petite robe blanche légère qu’elle enfila par les épaules, me présentant son dos pour que je remonte la fermeture Éclair. Elle fit quelques pas pour aller se regarder devant la glace de l’entrée et revint avec une moue boudeuse.



Le mari, maintenant, riait franchement :



Sans se départir de sa moue boudeuse, Aline était revenue devant la penderie et avait retiré sa petite robe pour saisir sur un cintre une jupe de couleur sable qui me parut vraiment extrêmement courte, ainsi qu’un petit haut rouge sans manches et extrêmement décolleté. Quand elle eut passé ces vêtements, elle se tourna vers moi, guettant ma réaction. L’effet était saisissant à un détail près : le soutien-gorge qui apparaissait par les larges ouvertures du petit haut. Devant la glace, Aline vit tout de suite le problème :



Elle s’adressa à nouveau à moi :



Alain regarda ostensiblement sa montre. Aline passa le haut par-dessus sa tête, se débarrassa de son soutien-gorge et annonça triomphalement en se tenant les seins à deux mains :



J’écarquillai les yeux. Le restaurant où j’avais retenu une table n’avait rien de libertin et je me voyais mal débarquer avec Aline dans cette tenue. Aline vit immédiatement la tête que je faisais. Elle partit d’un rire cristallin et enfila par la tête le petit haut rouge.


Au restaurant, il n’y avait pas foule : quatre couples de retraités se partageaient les quatre coins de la salle et un homme seul portant cravate sur chemise blanche, un représentant probablement, s’était installé près de la porte. J’avais découvert cet endroit quelques jours auparavant. C’était un hôtel-bar-restaurant traditionnel, en bord de plage, un peu à l’écart de l’agglomération et en lisière de la forêt domaniale qui suit la côte le long des dunes.


La patronne faisait une cuisine simple avec les produits qu’elle allait acheter tous les matins à la criée du port voisin. Le patron, lui, trônait au bar qui était fréquenté essentiellement par les locaux. En salle, en fin de saison, n’officiait plus qu’une serveuse, Alicia, venue là pour la saison. C’était une jeune australienne. « Un beau bébé » avais-je pensé en la découvrant le premier jour : plus d’un mètre quatre-vingts, une carrure de nageuse olympique, mais aussi une poitrine orgueilleuse et des fesses splendides qui aimantaient à chaque service les regards masculins quand elle traversait la salle du café, vêtue invariablement d’un short en jean artistement découpé et d’une chemise d’homme au col largement déboutonné.


Elle m’expliqua un soir, alors que j’étais resté le dernier client, qu’elle était venue deux ans auparavant pour parfaire en France ses connaissances dans le domaine de la restauration. Elle avait suivi une formation dans une école prestigieuse et elle essayait maintenant d’arrondir son pécule avant de revenir dans son pays où elle avait le projet d’ouvrir un petit restaurant avec une amie.


La conversation de notre trio était joyeuse, ce qui contrastait fortement avec le silence des autres tables où manifestement on n’avait plus grand-chose à se dire. Le niveau sonore augmentait progressivement alors que nos verres se remplissaient et se vidaient à bon rythme. Aline parlait beaucoup.


Au début du repas elle était longuement revenue sur les évènements de l’après-midi et m’avait chaleureusement remercié pour mon « exploit », enjolivant d’ailleurs beaucoup les faits : il ne manquerait plus bientôt que l’attaque d’un grand requin blanc pour en faire un sujet plausible de film à grand spectacle… Alain n’était certainement pas dupe.


Je le soupçonnai même de « chauffer » sa compagne en remplissant son verre plus souvent que nécessaire. Et le petit blanc local n’était pas sans danger. Je remarquai rapidement l’intérêt particulier que nous portait Alicia, la serveuse, ou plus exactement l’intérêt qu’elle portait à Aline, s’arrangeant pour présenter les plats ou débarrasser les assiettes en se tenant debout à côté d’elle avec vue plongeante sur un décolleté décidément très lâche.


Je notai aussi que l’homme seul, situé à une table proche avait desserré le nœud de sa cravate un moment après notre arrivée et se penchait régulièrement pour ramasser sa serviette tombée au sol. Ses joues et son front avaient viré progressivement à l’écarlate. Faut dire qu’il était remarquablement placé pour découvrir ce que la jupe ultra courte d’Aline ne pouvait guère cacher… Et que notre belle avait remarqué le petit manège et s’y prêtait de plus en plus complaisamment au fur et à mesure de l’avancement de la soirée.


Il avait fini depuis longtemps son repas quand il quitta enfin la salle, un peu poussé par la serveuse qui venait débarrasser sa table. Nous en étions au dessert. Aline évoqua la question des voyeurs, racontant ce qui s’était passé juste avant notre départ de la plage.

Alain renchérit en disant qu’il avait surpris la veille une scène étonnante alors qu’il était allé s’isoler derrière une dune pour satisfaire une envie naturelle. Un couple faisait l’amour entouré de quatre hommes le sexe à l’air en train de se masturber.

Aline l’interrompit brusquement :



Alain se contenta de sourire de manière ambiguë. Nous restions les derniers dîneurs dans la salle. La serveuse passait et repassait devant nous tout en mettant le couvert pour le service du lendemain. À deux reprises, je crus surprendre des échanges de regard entre Aline et elle. Je notai aussi que le col de sa chemise bâillait maintenant très largement révélant, par moment, un peu de sa superbe poitrine et d’un soutien-gorge blanc en dentelle.


La conversation était tombée. J’avais demandé l’addition et la serveuse revint du bar portant sur un plateau, outre ce que j’avais réclamé, une bouteille sans étiquette contenant un liquide à la couleur ambrée particulièrement remarquable ainsi que trois verres ballons :



Elle avait annoncé cela avec son charmant accent tout en disposant les verres devant nous avant de verser précautionneusement un peu du divin liquide dans chacun d’eux.

Aline se leva alors, et, plantant son regard dans celui de la serveuse elle lui demanda :



Ces paroles avaient été prononcées d’une voix de gorge particulièrement sensuelle,

La serveuse fit un signe d’approbation de la tête avant de s’éloigner suivie d’Aline, nous laissant le mari et moi devant nos verres.


Aussitôt que les deux femmes eurent franchi la porte vitrée qui séparait la salle de restaurant du hall d’accueil de l’hôtel, elles tombèrent dans les bras l’une de l’autre pour un très long baiser, ne se doutant pas que leurs silhouettes se découpaient sur le verre cathédrale de la cloison. Puis elles disparurent. Nous restâmes un long moment silencieux, Alain et moi, réchauffant entre nos mains les verres contenant le précieux nectar.


Aline réapparut, seule, un bon quart d’heure plus tard, le feu aux joues. Sans un mot, comme si tout ce qui venait de se passer allait de soi, elle se laissa tomber sur sa chaise, attrapa son verre et le vida d’un trait. Quand elle l’eut reposé sur la table, elle nous regarda tour à tour en passant sa langue sur ses lèvres avant de lâcher laconiquement :



Alain souriait à nouveau de cette manière étrange qui m’avait plusieurs fois surpris.

Je laissai sur la soucoupe le montant du repas augmenté d’un généreux pourboire et je proposai de sortir et d’aller marcher sur la plage un petit moment avant de reprendre la voiture. Aline approuva et nous sortîmes. L’air était remarquablement doux. Pas un souffle d’air. Nous marchâmes sur le sable mouillé, les chaussures à la main. En cette période de faible marée, la mer ne s’était pas retirée trop loin malgré la faible pente de cette plage. Aline s’arrêta soudain et s’écria d’une voix pleurnicharde que je ne lui connaissais pas encore :



Un silence, puis :



Nous nous étions tournés vers elle. Le petit haut valsa sur le sable, vite rejoint par la jupette. Pas trace de petite culotte. La lune éclairait la scène d’une belle lumière et je regrettai amèrement de ne pas avoir ma caméra. Aline nous regarda en souriant :



Je dois avouer que ce n’est pas au bain de mer que je pensai d’abord. Je tombai rapidement pantalon chemisette et boxer et la suivit alors qu’elle partait en courant vers la mer. Nous nous trouvâmes tous les trois à nous éclabousser en riant à gorge déployée, sans doute sous l’effet de l’alcool et de cette situation un peu incongrue.

Puis Aline me sauta au cou pour essayer de me faire tomber et je suppose me faire boire la tasse. Le contact de son corps contre le mien eut bien entendu un effet presque immédiat. Mais déjà, elle s’était relevée et elle nous proposa de nager un peu, histoire de montrer ses progrès à son mari. Nous partîmes vers le large.


Sans doute fatiguée par tout ce qui avait précédé, la belle s’arrêta rapidement et me demanda de renouveler ma démonstration de sauvetage. Elle vint d’autorité se coller de dos contre moi, prit ma main droite pour la poser sur son sein gauche et se laissa aller.


Elle devait déjà à ce moment être parfaitement consciente de mon état, d’autant que j’eus l’impression qu’elle recherchait un contact le plus intime possible au niveau de ses fesses. Pour ma part, je ne pus me retenir de pétrir un peu ce sein qu’elle m’avait ainsi généreusement offert…


J’esquissai quelques brasses à reculons vers le rivage, déjà fort proche. Mais, sur cette plage, la pente était assez faible et je me rendis vite compte que j’allais devoir m’arrêter faute d’une profondeur d’eau suffisante. Placé comme j’étais, je ne voyais plus le mari, mais je me doutais qu’il devait se trouver tout proche, ce qui me perturbait un peu. Il ne pouvait pas ne pas voir ma main sur la poitrine de sa femme… J’abandonnai (à regret) finalement mon précieux fardeau et nous nous redressâmes tous les deux dans moins d’un mètre d’eau. Effectivement, Alain était tout proche et Aline l’interpella en me montrant du doigt.



Je crus discerner dans la toute dernière phrase une forte note d’ironie. Sans attendre la réponse de son époux, elle passa ses bras autour de mon cou, m’attirant contre son corps. J’avais fermé les yeux. Je sentis ses lèvres contre les miennes et tout de suite après, sa langue qui cherchait son passage entre mes dents. Elle me serrait contre elle. Les pointes durcies de ses seins venaient agacer ma poitrine. Puis je sentis qu’elle emprisonnait mon sexe érigé entre ses jambes. Je ne savais plus très bien où j’étais.

Mes bras s’étaient refermés autour de sa taille et je la pressai convulsivement contre moi.


Je commençai des mouvements de va-et-vient avec mon bassin et je sentis immédiatement que la belle m’accompagnait en desserrant légèrement l’étreinte de ses jambes. Je bandai comme jamais et j’imaginai à partir des sensations ressenties et de ce que j’avais vu l’après-midi de cette vulve entre ouverte, le doux chemin que je parcourais ainsi.


Une main me guida finalement et je m’enfonçai dans la vallée des roses. Les bras d‘Aline étaient toujours noués autour de mon cou. C’était donc la main d’Alain que j’avais sentie. Sur le coup, cette découverte, pour étrange qu’elle fût, me laissa indifférent. Non, j’étais au paradis et rien ne pouvait m’en faire redescendre. Je ne rêvais pas. Celle sur le corps de laquelle j’avais tant fantasmé était mienne, là au clair de lune, sur cette plage déserte.


Elle avait remonté ses jambes à la hauteur de mon bassin, entamait maintenant des tractions sur mon cou pour mieux coulisser sur mon pieu toujours tendu à en être douloureux. De temps en temps elle se laissait retomber plus brutalement accompagnant son mouvement d’un petit cri d’oiseau effarouché. J’avais alors l’impression de toucher du bout de mon gland le fond de son vagin. Puis je ressentis soudain une étrange sensation : ce n’étaient plus les contractions des muscles vaginaux. Je compris presque aussitôt ce qui se passait. La belle d’ailleurs confirma aussitôt ce que j’avais deviné en criant :



Et elle se mit à gémir de plus en plus fort pendant que ses deux chevaliers servants essayaient de coordonner leur cadence, ce qui, soit dit en passant, n’est pas très facile dans de telles conditions ! La conclusion ne fut pas longue à venir et nous nous retrouvâmes rapidement tous les trois étendus, nus sur le sable à reprendre notre souffle après une crise de fou rire collectif.


Mon songe éveillé s’arrête là, car l’eau de mon bain a refroidi, mais ce soir, sur le grand écran de mon home cinéma, acheté spécialement, je retrouverai quelques-uns de ces bons moments en visionnant encore une fois l’intégralité de la vidéo, précieusement conservée sur mon ordinateur !