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n° 17950Fiche technique24637 caractères24637
Temps de lecture estimé : 14 mn
14/06/17
Résumé:  Cloé poursuit ses expériences au féminin.
Critères:  ff fff plage hotel voiture revede fmast -fhomo
Auteur : Love Doctor  (Homme marié coquin)

Série : Hélène et les filles

Chapitre 03 / 05
Réunion, Ile Intense

Résumé 1er épisode :

Cloé rencontre Hélène à la plage et cède à ses avances.


Résumé 2ème épisode :

Cloé séduit Carole lors de l’’anniversaire de sa meilleure amie Vic.



Allongées sur des transats près de la piscine nous profitons des dernières belles journées de l’été. La famille de Vic est très aisée, possédant différentes propriétés que la belle occupe selon ses humeurs. Une semaine est passée depuis son anniversaire et mon amie ne m’a fait aucune réflexion ni sous-entendu. Nous avons vécu un truc si fort que nous devons probablement le digérer chacune de notre côté.

Je la regarde tandis qu’elle lit Cosmo. Grande, blonde, sportive, c’est une superbe femme dont le célibat reste un mystère pour moi. Courtisée par les plus beaux partis elle ne s’attache jamais restant tout au plus quelques mois avec le même mec.

Le regard dans le vide je ne remarque pas que Vic m’observe à son tour.



Mon cœur sursaute à ce prénom. Ça y est, elle veut qu’on en parle.



Elle sourit.



On se sourit, amusées par notre complicité de toujours, mais une légère gène s’installe tandis que nous ne nous quittons pas des yeux.



En quelques phrases nous nous faisons quasiment une déclaration sans nous en rendre compte ni savoir quoi en faire… Vic rompt notre regard en se replongeant dans sa revue tandis que je ferme mes yeux, revivant l’instant magique de notre orgasme quasi simultané.


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Les semaines passent et la routine reprend ses droits. Mon job m’accapare beaucoup, si bien que j’obtiens une promotion inattendue et, avec elle, une mission dans les DOM, lieu de ma nouvelle escapade au féminin…


Notre agence de la Réunion bat de l’aile et le big boss me confie la rude tâche de la redresser avant de la vendre en cas d’échec. Surprise par cette offre inespérée, j’accepte aussitôt d’autant que je dois loger dans un hôtel de luxe en bord de plage pendant une semaine de travail suivie d’une semaine de vacances, le tout aux frais de la boîte.

Il me reste un mois pour faire quelques UV et perdre les 2 kilos que les fêtes de fin d’année ont laissé sur mes hanches…


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17 heures. Je suis coincée dans les embouteillages de la route du littoral et j’admire le soleil décliner sur l’Océan Indien. Depuis que je suis arrivée, je suis sous le charme de cette île magnifique car tout est beau : l’océan, les montagnes, les gens…


Ma mission n’est pas simple car je suis perçue comme la méchante qui va tailler dans les effectifs, donc personne ne me parle. J’essaie de me faire une carapace en restant pro mais les journées sont longues et tendues. Si bien que chaque soir j’ai hâte de rentrer pour profiter de ce havre de paix au cœur de cette île paradisiaque.


L’hôtel est posé au bord du lagon, caché par les cocotiers au pied desquels je me repose une heure plus tard, admirant le coucher de soleil, un cocktail à la main. Il fait bientôt sombre et les bruits de la nuit débutent alors que la chaleur moite est encore très présente.


Ici tout est sensuel : les bruits, la chaleur, les odeurs… J’ai soudain envie de sexe. Depuis mon arrivée, j’ai à peine prêté attention aux autres clients de l’hôtel, remarquant juste un jeune couple probablement en voyages de noces. Mais nos échanges n’ayant pas dépassé le stade du "bonjour" traditionnel je me vois mal leur proposer un plan à trois encore inédit pour moi…


Je ferme les yeux et rêve… Un grand lit blanc… La jolie brune et son mari font l’amour… Je les observe, leur souris et les rejoins… Je gémis doucement en frôlant mon maillot chaud et humide comme la nature qui m’entoure. Mon rêve hélas se dissipe mais j’ai encore envie. Mes pointes de seins se dessinent sous mon maillot et je me retiens de me caresser là sur la plage.


Je ramasse mes affaires et file dans ma chambre, pressée de me faire du bien. Je passe devant la réception la tête ailleurs, souriant machinalement à la réceptionniste, une superbe métisse aux yeux clairs qui me gratifie d’un "bonsoir" chaleureux tandis que je file dans le couloir.


Sitôt entrée je quitte mon haut pour libérer mes seins ronds que je retrouve aussitôt. Je lâche un gémissement en frôlant mes pointes durcies par l’envie. Je ferme les yeux et tente de reprendre mon scenario avec le jeune couple de l’hôtel. Mais le train est passé… Mes gestes sont rendus brusques par la frustration tandis que mon esprit cherche un autre fantasme… Hélène… Carole… Vic…


Oui Vic… Mes doigts jouent avec mes seins. J’imagine mon amie avec moi… Elle est nue, offerte alanguie et me sourit. Je câline mes pointes. J’adore les frôler, les pincer, les étirer. Je gémis en visualisant la lourde poitrine de ma copine contre la mienne. Je me tortille sur mon lit. Mon sexe est chaud, humide, palpitant… Il réclame ma main. Je ne résiste pas à l’envie et glisse mes doigts sous l’élastique.



Je découvre ce que je sais déjà. Mon sexe trempé poisse aussitôt mes doigts. Je ne peux attendre et trouve rapidement mon clitoris que je caresse avec une technique éprouvée. Avec deux doigts j’appuie sur sa base et lui applique de lents mouvements circulaires qui me rendent dingue. Je gémis de plus en plus fort tandis que mon esprit se concentre sur Vic. Aime-t-elle les mêmes caresses ? Comment est son sexe ? Blond comme le mien ? Quel goût a-t-il ?


Ma main est de plus en plus fébrile au fil des minutes. Vic est en moi, Vic est avec moi, Vic me regarde comme le soir de son anniversaire. Je sens mon orgasme arriver à l’irruption du souvenir de mon amie se caressant en me matant. L’image est si nette que je la crois réelle et je jouis, mon bassin agité de spasmes qui accompagnent des flots de cyprine sur ma main.


J’ai crié son prénom comme si c’était ses mains sur mon corps qui avaient déclenché mon orgasme. Je retombe sur le lit, essoufflée, épuisée et encore plus en sueur.

Plus tard, après une douche fraîche je commande un room service, trop flemmarde pour manger en salle. La douce voix qui me répond doit être celle de la jolie métisse et je note son prénom en passant : Mina. Mais hélas ce n’est pas elle qui pousse le chariot dans ma chambre un peu plus tard… Je mange vite et m’endors rapidement, préparant ainsi au mieux mon dernier jour de travail.


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S’il y a quelque chose à ne pas rater le vendredi soir à la Réunion, c’est bien le marché de Saint-Paul. Par chance il est seulement à quelques kilomètres de mon hôtel et je le découvre avec bonheur. Situé au bord de la plage de sable noir de la baie, c’est un spectacle vivant peuplé de bruits, de couleurs et d’odeurs qui vous enivrent et vous transportent.


Les touristes se mêlent aux locaux qui les ignorent ou parfois les regardent avec ironie lorsqu’un "zoreille" croque dans un samoussa ou un bonbon-piment devenant aussitôt aussi rouge que l’épice coupable…


Je déambule au milieu des étals, le sourire aux lèvres, indifférente aux regards des hommes qui courent sur mes jambes qu’un short assez court révèle. Je suis doublement heureuse car mes vacances commencent ce soir et je suis impatiente de découvrir enfin le reste de l’île.


À ce titre, je veux goûter tout de même ces samoussas dont tous les guides parlent. Le vendeur me fait du charme et ne se gène pas pour regarder dans mon teeshirt lorsque je me penche pour le régler. Je souris, amusée lorsque je croise ses yeux qui viennent de découvrir que je ne porte pas de soutien-gorge.

Je marche, innocente, mon samoussa à la main et vais le croquer lorsque j’entends :



Étonnée, je me retourne et mets quelques secondes à reconnaître la jeune femme qui me fait face. Mina, la jeune réceptionniste qui a troqué son uniforme pour une ravissante robe sans manche colorée.



Elle me montre de la main une belle femme noire au port altier qui discute en créole avec un vendeur de tomates qui semble sous le charme de sa cliente. Nous bavardons un instant puis elle me propose de jouer la guide au milieu des étals, me parlant avec ferveur des beautés de son île. Je découvre une jeune fille qui, en plus d’être belle, est intelligente. Elle me parle de ses études de tourisme qu’elle a fait en Métropole pour revenir récemment travailler dans l’hôtel que j’occupe.


Le temps passe vite avec elle et je me sens bien. Arrivées au bout du marché nous retrouvons sa logeuse à qui elle me présente. De près, elle est encore plus belle et son regard sombre semble me sonder au plus profond de mon âme. J’en suis presque mal à l’aise alors que son sourire est tout, sauf désagréable.



Étonnée par cette invitation inattendue, je refuse de prime abord puis cède sous l’assaut conjugué de leurs sourires et de leur gentillesse. L’aînée est aussi belle que la plus jeune et c’est pas peu dire…


Trente minutes plus tard, je les retrouve dans une belle propriété de style colonial bien loin des cases en tôle que j’ai découvertes le long du trajet pour les rejoindre. Je n’ai pas eu le temps de repasser à ma chambre pour me changer et c’est en short et teeshirt que je dîne aux côtés de deux beautés mises en valeur par leurs robes. Le dîner est succulent et les femmes me parlent de leur île avec une passion communicative, si bien je regrette presque déjà de ne rester qu’une semaine de plus.



Je souris à ce vouvoiement qui m’amuse alors que nous n’avons que quatre ans d’écart seulement…



Mina me décoche un sourire charmant, heureuse de partager son amour pour son île natale.


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La journée du samedi est absolument fabuleuse. Mina passe me chercher vers 9 heures à distance respectueuse de l’hôtel, ne voulant pas être vue avec une cliente, motif de licenciement selon elle. La journée promettant d’être chaude, je suis vêtue court, prenant juste un lainage pour me protéger de la fraîcheur des Hauts.

Mina est ravissante dans son short teeshirt qui manifestement est le seul rempart de ses seins que je devine pointer sous le tissu. Impression confirmée lorsque je me penche pour lui faire la bise sans que la belle ne s’en offusque.



Nous partons en direction du Sud et d’une journée absolument fantastique. Les paysages défilent, tous aussi différents des précédents et le Cirque de Cilaos est époustouflant de beauté. Il faut dire qu’il se mérite avec route d’accès aux 400 virages selon la légende !


Là-haut le ciel est bleu turquoise, les maisons colorées et la végétation verte rendue luxuriante par les pluies récentes. Mina me raconte des anecdotes avec le vin local "qui rend fou", les lentilles ramassées à la main et le Piton des Neiges qui n’en n’a jamais vues.

La journée est si belle que je ne la vois pas passer et regrette d’être déjà à l’hôtel à la nuit tombée. Nous bavardons comme deux amies dans sa voiture garée à deux rues du Palace. L’atmosphère est lourde à cause de la chaleur humide mais aussi à cause de la promiscuité qui s’est créée entre nous durant ce périple. À plusieurs reprises, nous nous sourions d’une manière plus qu’amicale comme si l’une et l’autre avions deviné nos pensées respectives. Mina me plaît et je crois qu’elle l’a compris sans en prendre ombrage. De son côté elle est devenue au fil de la journée plus tactile avec moi me prenant le coude ou le bras à la moindre occasion, me faisant frémir parfois.



Je lui souris. J’ai envie de l’embrasser là dans la voiture mais je me retiens.



Elle ne précise pas la raison mais je pense la connaître et lui souris, titillée par cette attention.



Je souris, amusée par cette allusion inattendue et lui confirme que j’en ai dans ma valise. Une bise amicale plus tard elle me laisse rentrer seule à ma chambre légèrement déçue par ce départ brusque peu à l’image de notre journée pleine de complicité prometteuse.


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Mina n’a pas menti : la plage est magnifique et les strings nombreux. Ici, tout respire la jeunesse et la séduction sous le soleil brûlant le sable blanc. J’ai du mal à retrouver ma nouvelle amie au milieu de ces corps bronzés de locaux ou rougis de zoreilles. C’est elle qui me fait signe et je la rejoins, marchant avec difficulté dans le sable mou.

Installée à l’ombre d’un filao, elle m’accueille debout, m’offrant ainsi le vue de son superbe corps à la peau caramel que seul le string promis habille. Elle me sourit à l’aise malgré la nudité de ses petits seins qui attirent déjà mon regard.



Cette fois, la bise est plus qu’amicale ou alors je me fais des idées. Je décide de jouer franc-jeu et me tactile aussi frôlant son coude un peu plus que de raison. La belle me regarde amusée et reste naturelle tandis que je dévoile mes seins dont rondeur semble lui plaire.


Le jeu de séduction peut enfin commencer !


Nous passons notre journée à bavarder, nous sourire, nous regarder, nous baigner, nous crémer (individuellement…) pour finalement nous jauger, arrivant à la même conclusion : il va se passer un truc entre nous. Il reste à savoir le lieu et l’heure.

C’est la nature qui, finalement, décide pour nous. Trop occupées à nous charmer nous ne voyons pas les nuages s’accumuler dans les hauts pour bientôt se transformer en une pluie torrentielle qui fait fuir les baigneurs dans une joyeuse débandade. Nous trouvons refuge rapidement dans sa voiture mais sommes tout de même détrempées. Nos teeshirts collent à notre peau, moulant nos seins dressés par le froid dans une sublime indécence. Il fait soudain très chaud dans l’habitacle de la Mini cernée par les trompes d’eau nous rendant invisibles et inaudibles du reste du monde.


Je réalise que c’est à moi de prendre des initiatives, sa fonction de réceptionniste à l’hôtel la mettant probablement dans une position délicate. On se regarde. On se sourit. Seul le bruit fort de l’orage sur la carrosserie brise le silence. Doucement, je pose la main sur son genou trempé par la pluie. Mina frémit un peu sans me quitter des yeux ni se dérober. Ma main remonte un peu sur sa cuisse découverte par le minishort remis à la hâte en quittant la plage.


Mon cœur bat la chamade au fur et à mesure du cheminement de ma main bientôt à la limite du tissu. Elle ne dit toujours rien, respirant à peine plus vite, les yeux brillants de désir. Je caresse délicatement sa peau douce.

Elle avance doucement son bassin, faisant ainsi passer mes doigts sous le short à la limite du maillot que je frôle. Elle gémit plus fort, fermant enfin les yeux dans un signe de soumission. J’en profite pour lui parler enfin.



Je caresse maintenant son maillot sous lequel je sens une toison discrète. Mina s’agite sur son siège gémissant plus fort.



Je ne lui laisse pas finir son" oui" collant ma bouche sur la sienne pour un baiser auquel elle répond avec force, oubliant toute la retenue dont elle faisait preuve il y a si peu. Ses bras enlacent mon corps pour l’attirer contre elle. Je gémis sentant ses seins frôler les miens à travers le tissu tandis que mes doigts ont franchi son maillot.


Elle manque de mordre ma langue lorsque je caresse son sexe nu et onctueux. Ses mouvements désordonnés empêchent toute tentative d’apaisement et jouant mon va-tout je plonge deux doigts dans sa fente.

Elle crie de surprise et de plaisir, lâchant ma bouche pour mieux respirer. Je la masturbe par dessous son short sans la dévêtir dans l’exiguïté de sa voiture. Je sens son désir au bout de mes doigts inquisiteurs cherchant le geste précis. Elle halète, les yeux clos, me donnant l’image de la sensualité faite femme bien loin de la réceptionniste bcbg.


Je cherche à nouveau sa bouche pour un baiser féroce à la hauteur de notre excitation mutuelle. Mon corps n’est pas en reste, les seins frôlés maladroitement par ma maîtresse et le sexe humide serré dans mon maillot. Mina gémit de plus en plus dans les aigus jusqu’à la délivrance de son orgasme qui la crispe bouche ouverte tandis que mes doigts restent prisonniers tout au long de sa jouissance.

Elle revient doucement sur terre, frémissant une dernière fois lorsque je retire mes doigts de leur piège onctueux pour les lécher avec gourmandise, découvrant ainsi son goût épicé.



Je ne réponds rien, me penchant juste pour un baiser taquin.



Cinq minutes plus tard nous grimpons dans les hauts de Saint-Paul tandis que le soleil revient.


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Mina m’entraîne rapidement dans sa chambre qui ne ressemble en rien à ce que j’avais imaginé. Loin d’occuper un petit studio elle bénéficie d’une chambre immense faisant partie intégrante de la vaste demeure dont elle semble avoir l’usage sans contrainte. Maya doit être très généreuse pour agir ainsi…


Son grand lit nous accueille et nous ne perdons pas de temps, nous nous dévêtons en un temps record pour nous trouver enfin nues enlacées et affairées sans round d’observation ! Mina glisse sur moi avec un sourire gourmand, ses mains taquinant déjà mes seins.


Je soupire d’aise, caressant son dos, tandis que sa bouche commence son long pèlerinage sensuel. Mes lèvres sont vite abandonnées au profit de mon cou puis de mes pointes érectiles. Je gémis lorsque sa langue s’enroule autour pour mieux les exciter.

Mina est douce, attentive, experte malgré son jeune âge et bientôt je me tords sous ses caresses. Une main entre mes cuisses, elle m’incite à les écarter pour mieux m’offrir. Je lâche un cri lorsque son index frôle mon sexe humide tandis que sa bouche aspire mon sein.


Les yeux fermés, je me laisse totalement aller toute au plaisir que la belle métisse me donne. Pourtant, je sursaute lorsqu’une main frôle ma joue. Les doigts sont plus longs, plus fins, plus frais… J’ouvre les yeux et vois Maya debout près du lit : elle est nue, superbe et souriante. Avant que j’esquisse un geste, elle pose sa bouche sur la mienne pour un baiser que je lui concède plus que je lui offre. Sa langue est vigoureuse, cherchant la mienne avec une avidité affolante.


Je gémis sous l’assaut de ces deux femelles forcément complices. Mina abandonne mes seins aux mains de Maya qui les pressent, les malaxent et les étirent dans une caresse inédite par sa virilité mais étonnamment excitante.


Je m’offre en plein, écartant les cuisses pour exposer mon sexe gonflé de désir que la jeune métisse embrasse bientôt pour mon plus grand plaisir. Maya abandonne ma bouche pour me permettre de crier sans retenue. Mon sexe est fouillé, aspiré, mordillé tandis que mes seins rougis par les doigts experts de l’aînée dont je peux admirer la toison noire touffue et odorante.


Je lâche des cris entrecoupés de mots sans signification, clouée au lit par Maya qui m’admire me faire dévorer par sa jeune partenaire. Je m’agite, tente d’échapper à cette bouche vorace pour mieux la rechercher l’instant d’après. Je vais jouir bientôt. Je le sens. Je le sais. Je les préviens.



Mina grogne et me donne le coup de grâce. Je jouis, le corps arqué et bouche ouverte, je lâche un long cri lorsqu’elle pince mon clitoris entre ses lèvres musclées. Je jouis longtemps, longtemps… et retombe en sueur sur les draps blancs, prenant à peine conscience que les amantes se rejoignent pour un baiser torride.

Plus tard, elles m’expliquent leur accord étrange permettant à la plus jeune de vivre sa vie à la condition de faire profiter de ses conquêtes à la plus âgée.



Maya me sourit et confirme.



Je ne baisse pas les yeux sous son regard sombre et écarte les cuisses dans une posture indécente.



Maya grogne de désir et grimpe sur moi ses seins lourds collés aux miens et me promets juste avant de m’embrasser.



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L’avion quitte enfin la piste après un interminable roulage pour bientôt faire un majestueux virage me permettant de voir une dernière fois cette île dont le surnom d’Île Sensation a pris tout son sens lors de ces deux semaines.

Les derniers jours furent inoubliables, passés au lit entre les bras de ces deux amantes diaboliques pour d’étourdissants trios ou de fabuleux duos avec Maya, lorsque Mina travaillait à l’hôtel.


Grâce à elles, j’ai découvert l’art de la soumission plus ou moins douce qui a révélé en moi des sentiments qui m’étaient encore inconnus mais que je me promets d’approfondir… Je ferme les yeux, prenant mes aises dans le siège confortable de la classe affaires, profitant du calme relatif avant le repas du soir.


Bercée par les souvenirs de mes belles réunionnaises, je m’assoupis avec un sourire dont personne dans la cabine ne peut en connaître la cause…