n° 18004 | Fiche technique | 26064 caractères | 26064 4528 Temps de lecture estimé : 19 mn |
18/07/17 |
Résumé: Depuis le départ de son amant, la vie de Véronique s'était compliquée avec la maladie de son mari, l'obscénité des désirs d'un élève et ses beaux-fils qui l'accusaient de détournement. Dans les bras du malade, elle trouva un maigre réconfort sexuel. | ||||
Critères: fh fplusag fagée jeunes profélève grossexe grosseins collection fsodo | ||||
Auteur : Patrick de Toscane Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
« Prélude »
« Désaccords »
Depuis le départ de son amant, la vie de Véronique semblait s’être compliquée. La maladie de son mari lui donnait le sentiment d’être la prisonnière de son « château ». Fallait-il théoriser que sa détresse embellissait sa sensualité ? L’un de ses élèves lui avait exprimé ses désirs avec obscénité et récemment, les deux fils de son mari s’étaient déclarés. Plus encore, ils accusèrent Véronique de détourner la fortune de leur père et c’est dans les bras du malade qu’elle trouva un maigre réconfort sexuel.
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Au pied de la terrasse, la professeure de musique prit congé de son médecin de famille. Le visage grave, elle l’accompagna du regard… Le véhicule sortit de la propriété et croisa sur le trottoir, un couple de curieux, qui montrait du doigt la demeure de Véronique Squillace.
Au premier étage, tout de sombre vêtue, elle avança nerveusement jusqu’à la chambre de son mari. Elle poussa la porte et s’immobilisa devant le corps sans vie. L’unique oreiller avalait la tête de Jean-Paul et sur sa bouche, on pouvait remarquer une coloration foncée. Le regard de Véronique détailla la pièce, avant de se fixer sur la fenêtre où resplendissait le premier jour de sa nouvelle vie. Majestueuse, elle rangea le fauteuil, corrigea l’aplomb d’un tableau sur le mur, puis elle s’en alla entrouvrir la porte-fenêtre.
La nuit précédente, quelques heures après l’amour, Jean-Paul était mort ! Le médecin confirma le scénario de la séduisante veuve : l’infection pulmonaire avait déclenché une violente toux grasse, mais Véronique était arrivée trop tard ! Il avait fait une « fausse route » et s’était étouffé avec ses glaires.
Les proches, précédés de quelques voisins, se succédèrent dans la demeure. Dans l’après-midi, la professeure eut la visite d’une voisine de son âge. Juste avant de partir, la femme aux cheveux blancs la prit silencieusement dans ses bras.
Quelques instants plus tard, ce fut le tour de Quentin et son père de présenter leurs hommages. Le géniteur occupa brièvement la scène pendant que le fils eut tout le loisir pour appréhender le curieux changement d’intonation de la voix de sa prof. Temporairement, il se trouva un nouveau point en commun avec elle : l’hypocrisie !
Sans se douter des liens qui unissaient son fils à Véronique, le père monta l’escalier… Quentin fit un pas, mais la blonde platine prit la direction du salon et se planta devant la baie vitrée.
Le jeune soupirant se décida à la rejoindre.
Il commença à la déshabiller du regard… Ses souvenirs s’assemblèrent sur les courbes pleines de sensualité : il se rappela les deux hommes posant leurs mains sur elle, l’amusement de Véronique de se savoir désirée par des mufles et, de la jubilation qui marquait les traits de son visage lorsqu’elle se décida à ne pas rentrer dans leurs jeux.
Véronique dirigea son regard vers son soupirant et amorça un léger sourire :
Le visage boutonneux se colora de colère, avant que l’annonce des pas du père n’interrompe l’échange.
Moins sensible que son fils à la sensualité de la « jeune » veuve, le père embrassa Véronique.
Véronique fixa Quentin qui détourna les yeux.
Elle fut saisie d’une soudaine tristesse et elle baissa le regard ; Quentin en profita pour s’approcher, il posa sa main gauche sur la hanche et froidement, ils se firent la bise.
Les pompes funèbres emportèrent le corps du défunt au funérarium et Véronique resta dans le salon pour se confronter à une interrogation : Omar allait-il lui faire signe ?
La fin de journée avait vu Véronique ôter les draps du lit du défunt et laisser le matelas à nu. Après cette difficile corvée, elle s’en alla prendre une douche comme elle les aimait : glacée.
En ce début de soirée, Véronique traînait dans la maison, un verre de vin rouge à la main, tout en écoutant sa chaîne diffuser un bout de musique classique. Amorphe, elle hantait tour à tour le couloir et la cuisine dans une fragile petite robe noire évasée jusqu’aux genoux.
Soudain, la sonnette de l’entrée déchira sa solitude : rapidement, l’esprit de Véronique répertoria son carnet d’adresses en se dirigeant vers la porte… Elle ouvrit sur un homme à la barbe taillée avec soin. Il avait une trentaine d’années et était habillé de manière décontractée. Elle esquissa un léger sourire et lui serra la main :
Le notaire s’exécuta et s’immobilisa dans le couloir.
Dans sa robe fluide, elle l’accompagna dans le salon. Ils prirent place de part et d’autre de la table.
Soudain, le téléphone du notaire s’invita. Il fouilla sa poche de pantalon et se leva, avant de prendre l’appel de sa jeune épouse qui s’inquiétait de son retard. Il lui confirma simplement qu’il le serait encore plus et il la chargea d’embrasser les enfants.
Le notaire raccrocha, baissa les yeux et soupira en reprenant place en face de Véronique.
Maître Toulouse soupira une nouvelle fois.
Véronique s’enflamma :
Elle se leva et partit en direction de l’escalier. Désarçonné, le notaire ne bougea pas et resta muet.
Son regard se laissa séduire par la fragile petite robe noire.
L’énergie de Véronique la fit arriver à l’étage avant même que le notaire ne pose un pied sur la première marche.
Dans l’une des chambres d’amis, elle sortit un épais dossier d’un secrétaire. Elle laissa le pavé ouvert sur les documents du litige et elle s’éloigna pour que son visiteur puisse les consulter l’un après l’autre.
Véronique calma sa tension en marchant de long en large…
La réflexion s’empara des traits du professionnel, avant que son front ne se plisse… Il retourna un certificat et son regard s’étonna de sa découverte.
Véronique resta à distance, elle se tourna vers lui et leva le menton en croisant les bras sous sa poitrine.
Véronique détourna le regard.
Véronique Squillace ne broncha pas. Elle résista au regard critique du notaire.
L’espoir quitta le regard de Véronique.
Véronique quitta dramatiquement la pièce…
Le notaire termina l’inspection des documents. Une minute plus tard, il s’inquiéta du soudain silence et sortit de la chambre. Il inspecta le couloir où au fond, la porte de la chambre du défunt restait entrouverte.
L’homme s’approcha à pas feutrés et passa le corps par l’entrebâillement : il vit Véronique, les yeux rivés sur le matelas.
Elle leva le regard sur le mur de la chambre où le tableau avait perdu de son aplomb. Le notaire entra dans la pièce et il hésita son regard sur la veuve.
Le visage de Véronique devint pâle et elle baissa les yeux. Elle fit un pas de côté en portant sa main au visage. Son regard se fixa sur le tableau, avant que sa main droite ne se cramponne désespérément au fauteuil. Elle vacilla et le notaire se précipita pour l’aider à s’asseoir.
La poitrine de Véronique se soulevait et s’abaissait à un rythme inquiétant, alors que son regard restait hypnotisé par le grand lit.
Doucement, une teinte rosée s’empara de son visage, alors qu’enfin, sa respiration se modérait.
Elle leva les yeux vers maître Toulouse.
Véronique posa sa main droite sur le ventre du notaire qui s’interrogea sur la possibilité d’un double parjure.
La main aux doigts bagués glissa vers la ceinture qu’elle déboucla… et Stéphane esquissa un léger sourire.
Les doigts de Véronique s’immobilisèrent une demi-seconde.
L’ambiguïté du notaire ne déstabilisa pas Véronique. Elle croisa les jambes en dévoilant ses cuisses et, la poitrine cambrée, elle descendit le zip du pantalon. Rapidement, son visage devint écarlate, lorsque ses doigts peinèrent à sortir le gros membre.
Maître Stéphane Toulouse agrippa ses doigts dans les cheveux de Véronique et pendant qu’elle baissait son pantalon sous les fesses, il put apprécier toute l’expertise de cette femme mûre.
Ensorcelé, le notaire ferma les yeux et s’abandonna entre les doigts rompus aux plaisirs de la vie. Cette main qu’il avait serrée entourait maintenant son sexe et le branlait délicatement…
Véronique lustrait le membre qui dépassait de ses deux mains. Le gland gorgé heurta plusieurs fois sa bouche… Son souffle chaud méprisa Stéphane qui resserra ses doigts sur la chevelure pour la soumettre à son envie, mais une nouvelle fois, les lèvres se dérobèrent…
Le notaire recula d’un pas et s’agenouilla à terre face à sa cliente. Il brandit ses deux mains et les écrasa vulgairement sur la poitrine. Véronique se mit à rire devant la passion du père de famille.
Elle s’empressa d’ôter sa robe. Le notaire resta un instant déconcerté devant la vaste poitrine confinée dans les bonnets et il la manipula avec curiosité, avant de glisser ses doigts dans le dos pour dégrafer l’imposant soutien-gorge. Le carcan s’affaissa et Stéphane contempla ces deux seins. Il les caressa, les mordilla tour à tour, avant d’en vénérer les bouts…
Soudain, il se leva en saisissant fermement la main de Véronique. Il l’emmena sur le matelas où il la bouscula. Il saisit ses hanches pour la contraindre à se mettre à quatre pattes et elle se prêta à l’injonction. Stéphane baissa la culotte jusqu’en bas des cuisses et remonta ses doigts sur la vulve ; il y trempa son majeur qui s’enduisit d’une mouille discrète. Son sexe lourd tressauta et il le saisit pour planter son gland sur le trou de source. Il s’y reprit à deux fois, avant de l’introduire victorieusement sur quelques centimètres. Stéphane se glissa profondément dans le sexe chaud et accueillant. Soigneusement, il entama un lent mouvement de va-et-vient pour savourer la magie de l’écrin. Il s’empressa en elle quelques secondes, avant que les doigts de Véronique ne saisissent la base du pédoncule pour tenter de le retirer.
Comprenant que son avenir était en jeu, Véronique ajouta une plus-value à leur deal et elle plaça le gros gland sur son plus petit bijou… Stéphane s’exécuta sans un mot et poussa une première fois pour déformer la bague, avant de la rompre et après quelques coups de reins, il déroula ses assauts jusqu’à mi-garde. Véronique grogna en se cramponnant sur le matelas. Son regard fermement clos, elle serra les mâchoires en soufflant fort. Ses seins se bousculaient à chaque coup de bélier et la douleur la contraignit à écrouler son lourd buste sur le matelas.
Stéphane s’empressa dans l’espace serré et oublia tout ce qui faisait sa vie : ses moments de stress professionnel et ceux qui l’attendraient en rentrant chez lui.
Essoufflée, elle inspira plus longuement.
Stéphane se retira et en soufflant fort, il s’allongea sur le côté. Il maintint ses mains sur la croupe et à nouveau, il l’encula en chien de fusil. Véronique activa ses doigts sur sa chatte… et ferma les yeux.
C’était toujours comme cela ! Son cul s’habituait à la charge du notaire et il ne tarderait pas à décharger ! Dans l’attente, Véronique réalisa que dehors, la nuit était tombée et elle se souvint de la promesse qu’elle avait faite à Jean-Paul, celle de baiser un homme devant sa dépouille ! Le corps était à la morgue, mais ce matelas était bien le sien ! Elle n’avait rien prémédité avec le notaire ! Était-il possible que Jean-Paul agisse de l’au-delà ?
Derrière ses cheveux décoiffés par l’étreinte, son regard s’inquiéta sur la pièce : Véronique se sentait observée et jugée ! Était-il possible que l’âme des morts demeure quelque temps dans le lieu qui avait hébergé leur dernier souffle ?
Elle fixa la porte à moitié ouverte, avant de fermer les yeux et d’ouvrir la bouche pour ne pas étouffer sous les assauts d’un mâle qui lui en rappelait un autre. Stéphane se déchaîna et la plaqua de tout son corps sur le lit.
Véronique tortilla son derrière sous les gémissements du notaire.
Stéphane hurla en s’immobilisant au fond de ce trou que lui refusait sa femme. Il déchargea des années de frustration jusqu’à ce que ses forces l’abandonnent. Son corps lourd devint inerte, une partie encore plantée en elle.
Plusieurs secondes s’écoulèrent et Véronique s’inquiéta :
Un silence s’éternisa. Prise d’angoisse, elle se dégagea en se retirant du manche. Le corps du notaire tomba sur le côté : son regard vague revint timidement à la vie et il fixa le plafond.
Elle le secoua et il daigna la regarder. Elle le frappa :
Il chercha un souffle pour parler.
Véronique déclina un sourire et reprit la pine entre deux doigts. Elle la caressa du bout des ongles, avant de la masser au creux de sa main.
Il s’assit sur le bord du lit et l’épuisement le fit hésiter quelques secondes.
Il se leva à la recherche de son pantalon pendant que Véronique restait assise sur le matelas à le regarder s’habiller.
Stéphane enfila vulgairement ses chaussures.
Véronique resta silencieuse et détendue.
Le visage de Véronique s’attrista et elle baissa les yeux.
Stéphane s’exécuta et ferma la porte de la chambre.
Le corps apaisé de mille stress, Véronique s’en alla dans la salle de bains y prendre la deuxième douche de l’après-midi. Enroulée dans son kimono, elle descendit finir le verre de vin rouge entamé.
Dans la nuit, elle sortit jusqu’au bord de la terrasse. La réalité reprenait possession de son esprit : demain, il y aurait l’enterrement de Jean-Paul et rapidement l’ouverture du testament qui, aux dires du notaire, la laissait bénéficiaire d’une somme qui lui garantissait un avenir serein.
Mais l’argent n’était pas tout ! Son regard souligna le parc où les arbres jouaient les sentinelles.
Dans l’enceinte du cimetière, une foule était venue rendre un dernier hommage à Jean-Paul. Près du caveau familial où cinq employés bataillaient pour y glisser le cercueil, une femme coiffée d’un chapeau à voilette noire dominait du regard le travail du personnel.
Véronique captivait les regards dans son étroite robe où le décolleté semblait narguer son veuvage. Ses jambes étaient gainées de noir jusqu’à mi-cuisses et sur ses hauts talons, elle serra quelques mains.
Un homme élégamment vêtu traversa discrètement la foule et provoqua la rencontre. La main noire surprit l’artiste qui leva les yeux :
Leurs regards se croisèrent, elle laissa passer un sourire en serrant cette main avec justesse.
Leurs regards s’intensifièrent un bref instant.
Omar relâcha sa main et la quitta pour la seconde fois.
La nuit commençait à tomber sur le parc, quand une grosse voiture vint stationner tout près de la terrasse.
Après avoir refermé la porte de son domicile, Véronique poussa un long soupir et entra dans son salon. Au centre, elle immobilisa son regard sur un violon et durant quelques secondes, elle se laissa bercer par une paracousie.
Véronique abandonna son chapeau sur le fauteuil et monta à l’étage… Elle entra dans la chambre du défunt et prit place sur le fauteuil. Bien en face du lit, elle croisa sensuellement ses jambes.
Son regard chercha une amorce de réponse à travers les différents objets de la chambre. En vain… Plus terre-à-terre, son attention se posa sur le matelas qui hier, avait accueilli ses effusions sexuelles avec le notaire. Elle fixa le cadre au mur, avant de baisser les yeux.
Elle frotta ses cuisses de noir vêtues l’une contre l’autre… Ses doigts descendirent sur son décolleté où cet après-midi, de nombreuses pensées s’étaient égarées.
Soudain, la sonnette de la porte d’entrée retentit. Véronique se leva énergiquement et à pas mesurés, elle descendit l’escalier. Ses talons claquèrent et elle ouvrit sur le bouillant Quentin.
Sans respirer, il força le passage et se tourna vers Véronique. Il inspira en fixant la sombre tenue et expira sans un mot.
Les traits de la professeure devinrent graves…
Véronique pressa le pas vers le vestiaire…
Elle prit au hasard un parapluie et le brandit en direction de son soupirant :
Le jeune homme prit peur et recula en direction de la sortie.
L’accusée se retint de rire.
Véronique fronça les sourcils et rigola… Elle dévisagea Quentin avec mépris et ce dernier perdit un peu d’assurance.
Une nouvelle fois, Véronique éclata de rire à la face de l’humilié. À nouveau, elle le menaça avec son parapluie et il baissa les yeux, jusqu’à ce que le calme s’instaure à nouveau.
Elle le détailla dans toute sa détresse et elle eut pitié pour lui. Elle esquissa un léger sourire en portant ses mains sur les yeux.
Elle baissa son parapluie et apprécia la réaction de l’hameçon. Quentin revint doucement vers elle.
Le regard de Quentin s’illumina… alors que la comédienne baissait les yeux.
Il poussa un rire pompeux en se rapprochant d’elle.
Véronique arrêta de jouer. Son regard défia Quentin qui chancela sur ses jambes.
Véronique feignait un brin d’effroi face à une situation qu’elle maîtrisait.
La respiration de Quentin s’accéléra et le sang lui monta au visage.
Véronique désigna l’un des fauteuils du salon. Quentin positionna délicatement le chapeau sur les cheveux et fit tomber le voile de tulle devant ses yeux :
Les deux mains du jeune homme se posèrent sur les épaules et il enjoignit la veuve à s’accroupir. Elle maintint son équilibre en saisissant les genoux, pendant que lui, s’empressait de déboutonner sa braguette.
Véronique hésita… Elle resta calme face à l’outil qu’elle avait « croisé » deux jours auparavant. Quentin saisit sa pine et percuta une première fois la bouche rétive. Véronique leva les yeux vers lui et, finalement, elle déverrouilla ses mâchoires. Elle tendit la langue vers le gland, avant de l’accueillir tout entier dans sa bouche.
Les mains de Quentin guidèrent l’œuvre de la professeure. Il râla sa joie en appréciant la bouche experte.
Soudain, il retira sa queue d’un coup de bassin, avant de contraindre Véronique à se lever pour la faire s’asseoir sur le grand canapé. Il s’agenouilla sur le sol, face à elle et ses doigts déballèrent vulgairement les deux obus, avant d’y planter sa figure.
Le jeune homme repoussa le corps sur le canapé et il contraignit difficilement Véronique à se retourner.
Une lassitude dans le geste, elle s’exécuta en posant ses genoux sur le cuir du canapé. Elle se présenta au bon vouloir de Quentin qui remonta la robe sur les hanches. Il dévoila une paire de Dim’up, ainsi qu’une ficelle qui se perdait profondément entre les deux fesses.
Il baissa le string par-dessus les bas. Il écarta les deux miches et il eut du mal à réaliser que ce qu’il voyait était la réalité. Il était aux premières loges de l’intimité de celle qui faisait fantasmer tous les hommes qu’elle croisait. Il caressa du bout des doigts les deux orifices et resta hypnotisé par cet anus qui lui rappelait un donut.
Quentin immobilisa le bassin entre ses mains, il sursauta en sentant une main choper sa queue. Son gland trempé se coinça dans le con et par instinct, il poussa en savourant sa victoire, centimètre après centimètre. Son bassin entama un lent mouvement d’avant en arrière.
Le sexe de Véronique transportait déjà le jeune Quentin qui luttait pour ne pas se laisser déborder par le plaisir.
Son regard tomba sur ce fessier de rêve et ses mains le caressèrent. La réalité était l’aboutissement de plusieurs années de fantasmes inavouables.
Quentin capitula et le plaisir le submergea : il se planta jusqu’à la garde et triomphant, il vida coup après coup, l’intégralité de son plaisir. Il resta un instant en elle, ses mains partant en aveugle sur la robe troussée.
Il se retira. Le sexe de Véronique se contracta pour laisser couler un filet de sperme… Quentin resta assis sur le canapé dans un état second.
Véronique restait les genoux sur le canapé. Elle esquissa un sourire en passant ses doigts sur sa vulve pleine d’un jus qui refoulait de son sexe.
Tout tremblotant de fatigue, Quentin remonta son pantalon et prit son téléphone. Il chancela, avant de lancer rageusement le téléphone sur le canapé.
Véronique prit le smartphone et fit défiler les photos compromettantes. Elle sursauta en entendant la porte d’entrée claquer.
Véronique se retrouva seule et la veuve tomba sur les photos qu’elle effaça une à une.
Fin de la troisième et avant-dernière partie