Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18068Fiche technique53457 caractères53457
Temps de lecture estimé : 30 mn
08/09/17
Résumé:  Charles propose à Véro, mon amante, une expérience d'un genre nouveau pour elle...
Critères:  fhhh extracon nympho voir noculotte fellation double fsodo
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Mémoires mirifiques de Michel

Chapitre 03 / 04
Eucalyptus

Résumé : « Idée de routier » et « Big Ben Bed »


Mon amante, Véronique, adore les expériences multiples, étranges, incongrues, et je me fais un plaisir de lui en procurer. La dernière fois, ce fut un immense lit et plein d’hommes pour le remplir avec elle…




Petite idée



Cette fin d’après-midi de mercredi, Charles et moi sommes en route pour aller chez Véronique (et son mari, ne pas l’oublier trop vite, celui-là, sinon, il y a belle lurette que j’aurais récupéré sa femme pour mon seul profit). Par chance, Isabelle, ma compagne intermittente, est retenue par son boulot d’infirmière, donc pas de problème. De plus, elle et moi ne vivons pas vraiment ensemble, bien que ça ait failli se faire plusieurs fois…


Charles est venu me chercher à la maison, puis en route, il m’a expliqué son idée : que Véro, ma maîtresse, refasse la même chose que dans la benne, mais dans une salle privée. Il connaît assez bien les propriétaires de l’Eucalyptus, une discothèque libertine située de l’autre côté de la frontière. Intrigué par un point de détail, je lui demande :



J’ai bien envie de dire « Eh bé, mon salaud », mais à sa place, j’aurais sans doute fait la même chose. Ne perdant pas mon esprit pratique, je lui demande :



Puis après avoir farfouillé sa poche de chemise, il pose un petit rectangle de plastique rouge entre mes mains. Il continue :



Quelques minutes plus tard, je sonne à la porte de Véronique. Charles a dans ses mains une sorte de notebook. Ma maîtresse m’ouvre, me faisant un beau bisou sur les lèvres. Pour Charles, elle se contente de ses joues. Patrice nous serre la main. Peu après, une fois tout le monde assis, Charles leur explique que les proprios de l’Eucalyptus sont intéressés par les exploits de mon amante. À la fois amusée et étonnée, Véro demande :



Il pose son notebook au milieu de la table, l’ouvre puis lance une vidéo. Un générique défile puis nous voyons la benne de la semaine dernière s’afficher sur l’écran. Peu de temps après, nous voyons Véro en pleine action, en train de sucer avec application et délectation les hommes présents ce jour-là. Puis Charles coupe la vidéo :



Véro est assez surprise, elle le dit :



Yeux grands ouverts, Véronique est à présent assez ébahie :



Charles se tourne vers moi, me tendant ses clés :



Je prends les clés, avec la sensation diffuse qu’il souhaite m’écarter de façon diplomatique. Peut-être va-t-il causer avec Véro des conditions de travail. Quelque temps après, je reviens avec un premier coussin, puis deux minutes plus tard avec le second. Puis je les dispose sur le sol, entre le salon et la salle à manger.



Véronique se jette dessus avec une délectation non feinte !



Elle se vautre dessus, telle une fillette qui n’a jamais rien eu de sa vie. Après s’être plusieurs fois roulée dessus, et aussi avoir montré, au passage, son absence chronique de petite culotte sous sa robe, elle s’assied posément dedans puis dit en regardant Charles, droit des yeux :



Ce qui ne l’empêche pas de déballer son service trois-pièces qui est aussitôt happé par mon amante restée assise sur le coussin de sol. Assurément très contente de ses deux coussins, et aussi amusée par la prestation à faire au club, Véro lui prodigue une belle sucette, s’appliquant, léchant, suçant, aspirant la tige bien gonflée que lui propose Charles, qui est visiblement aux anges. Je comprends parfaitement son sourire béat, moi-même, j’ai souvent profité des largesses de Véronique en la matière ! Puis quelques minutes plus tard, d’une voix un peu rauque, l’heureux bénéficiaire de la sucette souffle :



Ôtant la pine qu’elle avait en bouche, ma vicieuse amante répond :



Puis elle avale à nouveau la queue tressaillante afin de lui faire subir des douces avanies comme elle en a le secret. Il faut dire qu’elle adore s’occuper des hommes ainsi. Elle préfère en général une queue en bouche que dans sa chatte. Une fois, elle m’a avoué qu’elle maîtrisait mieux les choses, enfin, la chose ainsi. Je vois qu’elle y va de bon cœur, désireuse de faire craquer celui qu’elle suce avec délectation. Il ne faut pas bien longtemps pour que Véro récupère en bouche puis dans sa gorge la preuve qu’elle est restée habile dans cette suave pratique !


C’est justement ce qui arrive à présent, dans un grand soupir, Charles se déverse dans la chaude bouche de Véro qui se fait un plaisir de cueillir tout le sperme dont il l’inonde. Et je vois distinctement aux mouvements de sa gorge qu’elle avale tout ce foutre par petites gorgées, comme pour mieux profiter de cette récompense…




L’Eucalyptus



Vendredi, en fin d’après-midi, Véro, Patrice et moi partons dans la même voiture en direction de l’Eucalyptus. Sur place, nous sommes accueillis par trois personnes, dont Charles qui nous présente Wouter et Geert. Je ne saisis pas bien qui fait quoi. Les deux patrons flamands parlent fort bien français, il faut dire que leur clientèle est essentiellement francophone. En effet, depuis des lustres, les Français franchissent la frontière pour venir s’encanailler, la législation et les prix y étant nettement plus cool. Je connais l’Eucalyptus depuis un certain temps, mais j’ignorais que Charles y était fortement lié. Et quand je compare ce club avec un équivalent en France, il est clair et net que la balance penche indubitablement vers l’endroit où je suis actuellement. Peu après, une belle femme se joint à nous, Line, telle qu’on nous la présente. J’ignore quelle est la relation qui lie cette femme aux deux patrons, mais si c’est ce que je crois, ça ne doit pas être triste !


Après un rapide tour des propriétaires, Geert et la belle femme entraînent Véronique à l’étage, vers les loges, si j’ai bien compris. Charles et Wouter continuent de nous faire découvrir le reste du club. Puis nous prenons un petit apéritif dans un salon privatif. C’est carrément une fille déguisée en Bunny qui nous sert.



Puis nous parlons de tout et de n’importe quoi. Le temps passe, puis Charles nous propose de revenir dans la grande salle. Nous le suivons.


Quand nous entrons dans la salle principale, il y a déjà une bonne petite ambiance. Pas loin du bar, une donzelle habillée en noir s’agite sur un podium surélevé autour duquel divers clients et clientes sont installés, verre en main pour la plupart d’entre eux. Je me rapproche pour constater que cette femme est habillée comme Catwoman avec une tenue luisante en latex noir, un catsuit très ajouré, bien que celui remonte sous le menton et couvre ses membres ! Ses seins blancs sont à nu, ainsi que ses fesses et son pubis. Cette femme n’est plus toute jeune, mais elle dégage quelque chose, une indéniable joie de vivre. Elle me rappelle ma Véro. Cette femme est entourée par trois hommes habillés en bûcherons canadiens à qui elle prodigue quelques gâteries. Je ne cherche pas à comprendre le rapport qui existe avec une Catwoman et un bûcheron.


Je prends un siège pour regarder la scène. Beau brin de fille qui met du cœur à l’ouvrage, c’est indéniable. Patrice se pose un peu plus loin, lui aussi pour mieux admirer cette chatte en action. Quelques minutes plus tard, je suis rejoint par Charles :



Je fais ce qu’on me dit. Le spectacle dure encore quelques minutes. Puis la fille descend du podium sous les applaudissements du public. Charles se lève, et agite le bras pour attirer son attention. Inutile de parler, la musique couvrirait sa voix. Elle le remarque puis se dirige vers nous. C’est en ondulant sur des talons aiguilles qu’elle vient vers nous, certains clients l’arrêtent pour la féliciter. Deux d’entre eux posent directement leur main sur ses seins pour vérifier s’ils sont réels ou pas.


Ses nichons blancs oscillent sous ses pas, sa fente est bien lisse et dégagée, ses lèvres sont rouge vif, ses yeux charbonneux. Belle plante, il n’y a pas à dire ! Elle est à présent face à nous.


Sans que je puisse réagir, la fille dépose un petit bisou sur mes lèvres et me demande :



Interloqué, c’est au son de la voix que je réalise à qui j’ai affaire :



Soudain, j’entends derrière moi la voix moqueuse de Patrice :



Elle sourit, lançant ses bras autour du cou de son époux :



Elle rit franchement, puis plaquant impudiquement son corps contre celui de son mari, elle l’embrasse tandis que celui-ci s’empare lubriquement de ses fesses nues. Je me rends compte que je suis loin de cette harmonie avec Véro, et encore moins avec une autre femme, même avec Isabelle. Ça me chagrine un peu quand même.




Fin de vendredi



Véro reste collée à son mari qui ne semble pas décidé à la lâcher. Il est flagrant qu’elle est particulièrement contente d’elle et que son homme est fier de sa femme. Elle ne le cache pas :



Avec un sourire gourmand, elle se tourne vers Charles :



Il est flagrant que Charles apprécie beaucoup le fait que Véro souhaite recommencer. Je dirais même qu’il n’en espérait pas tant. Pour ma part, ça ne m’étonne qu’à moitié. Charles envoie aussitôt un SMS. La réponse ne tarde pas à venir. Il lève la tête vers mon amante :



Et elle est toute contente de pouvoir recommencer. Durant ce temps, Charles continue à claveter sur son smartphone. Soudain, il se penche sur Véro pour lui demander :



Puis avec un grand sourire, Charles prend congé de nous. Tandis qu’il s’éloigne, je vois bien que Véro est en train de peser le pour et le contre. Elle finit par demander à son homme :



Celui-ci prend sa femme dans ses bras :



Patrice lève les yeux vers les lumières du plafond comme pour chercher une réponse, puis il les baisse pour regarder à nouveau sa femme :



Pour toute réponse, elle l’embrasse voluptueusement.


Un peu plus tard, Véronique monte à nouveau sur le podium. Je me demande bien ce qu’elle va oser faire. Je sais bien qu’avec son déguisement, personne ne la reconnaîtra, mais entre dire et faire, il y a une grosse nuance. N’empêche que je m’installe, bien décidé à ne perdre aucune miette de la future prestation de mon amante ! Tout comme son mari qui s’est installé au premier rang pour ne rien perdre des turpitudes de sa moitié !


Soudain, un brouhaha de satisfaction monte de la grande salle quand Catwoman fait son apparition. J’entends distinctement mon voisin de droite dire à son complice :



Ondulante comme une chatte, Véro arrive auprès de la plateforme où elle monte, aidée par un chippendale. La musique commence, elle se déhanche lascivement, les trois hommes tournant autour d’elle. Elle se laisse porter par la musique, peu importe que certains de ses gestes ne soient aussi graciles que voulus, qu’elle perd parfois le rythme, mais il est flagrant qu’elle s’amuse et qu’elle profite à fond de cet instant si particulier.



Je souris intérieurement ; si ces deux-là savaient que cette danseuse est mon amante ! Sur le podium, ça s’agite un peu plus, Véro commence à jouer avec les queues bien tendues de ses partenaires.


Très vite, ces diverses queues bien raides trouvent refuge tour à tour dans une bouche avide et accueillante, exactement comme il y a une demi-heure, quand j’ignorais que cette sensuelle Catwoman était ma Véro.



Les danseurs tournent toujours autour d’elle, et parfois certains d’entre eux se roulent lascivement sur le sol, adoptant des postures qui déchaînent souvent des hurlements stridents de satisfaction. Je me croirais dans un concert pour midinettes !


Soudain, Véro interpelle le danseur qui est actuellement au sol, sur le dos, la queue dressée ver le plafond :



Puis sans hésitation, elle l’enjambe. Sous les murmures du public, elle s’assied posément sur la bite qui entre en elle lentement mais sûrement. Mes deux voisins commentent aussitôt, les yeux rivés sur le spectacle :



Oui, c’est vrai, Véro a raison d’en profiter, même si je ressens une sorte de petit pincement en cœur. Je suis un peu exclusif, même si je sais que mon amante est d’abord la femme de Patrice, et qu’elle ne déteste pas jouer les libertines. Et ici, dans ce temple de la perdition, masquée et maquillée sans qu’on puisse la reconnaître, elle se lâche encore plus !


Devant tous ces spectateurs et voyeurs, elle a à présent une queue en bouche, une bite en main et une autre dans la chatte. Le chippendale sur lequel elle est assise ne ménage pas ses efforts pour la ramoner, entrant et sortant en elle, expédiant à chaque toute la longueur de sa queue entre les lèvres intimes de ma maîtresse qui, visiblement, aime ça. Malgré les coups de boutoir, elle continue à sucer posément la bite que lui présente un autre danseur. Et ses doigts agiles font une gâterie bien sentie au troisième homme. Je me demande ce qu’elle aurait fait s’il y avait eu un quatrième ? Une autre branlette ? Une autre sucette ?


Durant ce temps, le type situé en dessous d’elle accélère encore plus la cadence, c’est du pilonnage en règle, vigoureux, puissant, profond, infernal ! Peu après, elle est obligée de refouler l’homme qu’elle a en bouche, tant elle crie de plaisir sous les applaudissements de la salle. Curieuse atmosphère ! À côté de moi, les deux voyeurs s’agitent :



Oui, elle jouit vraiment, cette salope. Je suis bien placé pour savoir que Véro n’est pas du style à simuler et que quand elle y va, elle y va de bon cœur ! Durant ce temps, haletante, elle récupère, bouche ouverte, yeux fermés. Ça dure une bonne minute, voire deux, puis elle se relève sous les applaudissements du public.



L’un des danseurs prend sa main et la guide pour faire le tour du podium, comme pour la parade. Elle joue le jeu et reçoit ainsi une petite ovation. Il faut dire que ses yeux sont brillants, ses seins blancs et lourds sont magnifiques, ses fesses dansent, sa chatte bien fendue, et toute sa chair bien contrastée par rapport au catsuit noir et luisant. Après deux tours, elle se dégage pour venir s’accroupir au bord du podium. Puis elle se penche vers son mari, lui demandant :



Et de ses doigts, elle forme d’abord un cercle avec sa première main, puis le chiffre trois avec l’autre. Puis elle glisse les trois doigts dans le trou formé par son pouce et son index. Même si je ne suis pas très fort en devinette, je crois avoir compris le message. Biaisant sa réponse, son homme réplique :



Dans un murmure général, lentement, Patrice se lève ; les têtes se tournent vers lui. Pivotants sur lui-même, d’une voix forte, mais sans crier, il annonce :



Une première voix s’élève dans le public, puis une autre :



Flegmatique, écartant largement les bras, captant l’attention, Patrice explique :



Aussitôt, c’est le délire. Une bonne partie du public se lève et presque tout le monde scande à l’unisson :



Patrice se tourne vers sa femme dont le visage est écarlate, mais fendu d’un large sourire gourmand. Elle lui murmure :



Il se contente de lui sourire avant de s’asseoir, ses yeux rivés dans les siens. Obéissante, elle revient au centre du podium et s’entretient à voix basse avec les trois mâles. Ceux-ci sont visiblement contents de ce qu’ils entendent. Puis l’un d’eux se couche sur le sol, tandis que les deux autres restent debout. Aidé d’un petit flacon souple qu’il vient de sortir d’une des poches de sa chemise de bûcheron, l’homme au sol semble lubrifier le préservatif qu’il porte.


Sereinement, s’accroupissant, elle vient poser ses fesses sur l’extrémité du pieu bien dressé, puis les bras en arrière de chaque côté du torse du mâle allongé au sol, ses jambes encadrant le bassin, le public voit distinctement qu’elle cherche à s’empaler sur la bite qui ne demande que ça. Le chippendale couché écarte alors posément les fesses de la féline pour mieux dégager son petit trou, il badigeonne de liquide l’entrée interdite, puis du bout des doigts, il dirige le gland encapuchonné de latex vers la cuvette. Les spectateurs retiennent leur souffle. Dans le quasi-silence qui règne, on entend alors Catwoman demander d’une voix tenue de petite fille :



Pour toute réponse, elle se laisse choir. L’homme en dessous sursaute, elle soupire profondément, la queue est entrée en elle sur plus de la moitié. Un murmure approbateur et admirateur fuse dans la salle moite.


Après s’être mieux positionnée, ma vicieuse Véro remue, tourne, pivote sur la queue qui l’empale profondément, à la fois pour qu’elle rentre au plus profond et aussi parce que cette allumeuse aime visiblement être barattée dans ses profondeurs, et se sentir bien remplie. À mes côtés, les deux clients y vont allègrement de leurs commentaires :



Histoire de mettre les choses au point, j’interviens :



Hochant de la tête, je confirme :



Durant ce temps, par-devant, un autre danseur se place à l’entrée de sa chatte, bien décidé à y entrer. On sent que l’homme a du métier, il dirige les opérations, faisant en sorte que Véro se positionne mieux, tout en se penchant encore plus en arrière, le cul toujours fiché sur la bite qui l’encule profondément. Puis sans effort, cette nouvelle bite entre dans la chatte détrempée de cette belle salope amatrice.


Aussitôt pour compléter le tableau, le dernier chippendale vient offrir sa bite aux lèvres gourmandes de la féline. Comme tous s’y attendent, elle ouvre la bouche pour venir engloutir la belle queue et commencer une fellation gourmande.


Bien qu’il ne lâche pas des yeux le quatuor en train de forniquer sur le podium, l’un de mes voisins demande, sur un ton incrédule :



Je me penche vers mon interlocuteur :



Grand silence dans la salle, tous les yeux sont braqués sur le podium, sur une Catwoman, la bouche pleine, qui ne peut s’empêche de gémir sous la jouissance multiple, sous ces trois mâles qui la comblent triplement, un qui la pistonne puissamment dans le cul, un autre qui se déchaîne dans sa chatte et le dernier qui profite des bonnes aptitudes buccales de cette pute amatrice exposée aux yeux de tous.


Puis délaissant la queue qu’elle suçait, la gardant quand même en main pour la branler fortement, sans se soucier d’où elle se trouve, elle s’active follement, s’empalant doublement, totalement, absolument, avant de se mettre à crier longuement de plaisir, jouissant sans retenue, sans aucune simulation. Couvée par des dizaines d’yeux, elle jouit longtemps, par saccades, le corps parcouru de longs frissons, de spasmes torrides et de convulsions ardentes, tandis que les deux queues continuent impitoyablement leur ravage en elle, l’éclatant, la déchirant, la comblant.


Vidée, épuisée, elle s’affaisse sur le corps situé sous elle. Soudain une salve d’applaudissements retentit dans la salle, pour clore cette nouvelle étape dans la vie de Véronique.




Une loge trop petite



Vidée, mais heureuse, Véronique se repose à présent dans une loge. Nous sommes à huit autour d’elle : son mari, Charles, les deux propriétaires, les trois danseurs et moi, ce qui fait beaucoup de monde dans une pièce qui n’est pas très grande. Par contre, Line n’est pas là. Il est vrai qu’elle est restée en bas pour veiller à la bonne marche de l’établissement. Charles entame la conversation :



Resté un peu en retrait, Wouter se manifeste :



Puis les trois chippendales la félicitent, disant avoir été contents d’avoir joué avec elle. Véro est positivement ravie. Elle flotte carrément sur un petit nuage.


Wouter se manifeste :



Soudain, une ombre passe sur son visage. Véronique se lève aussitôt et se jette dans les bras de son homme :



Patrice la serre plus encore contre lui, écrasant ses seins contre sa chemise :



Il se tourne vers Wouter :



D’un même élan, ils s’embrassent farouchement, passionnément. J’ai franchement la sensation d’être une toute petite fourmi perdue dans une mégalopole…




Fin de soirée



Nous sommes redescendus dans la grande salle. Le reste de la soirée se déroule très bien, mis à part que, souvent, des clients viennent féliciter Véro pour ses deux belles prestations. Par précaution, elle a gardé son costume et son masque, ce qui fait qu’on ne peut pas se méprendre. Ceci amuse beaucoup son mari. Curieusement, j’apprécie moins ; serais-je devenu possessif ?


Me voyant à côté d’elle, tout en la pelotant, mes deux voyeurs ont eu confirmation que je ne leur avais pas raconté de carabistouilles. Eux aussi ont félicité mon amante. Je voyais qu’ils brûlaient de poser diverses questions, mais qu’ils n’ont pas osé. Tant pis pour eux.


D’autres hommes, et quelques femmes viennent nous faire un petit coucou. Certains sollicitent la permission de toucher les beaux gros seins laiteux, aussi bien les hommes que les femmes. Avec le sourire, Véro acquiesce, et fait ainsi quelques heureuses et heureux de plus sur cette basse terre. Puis un autre spectacle se met en place, et les clients s’éloignent de nous pour y assister. Enfin, un peu de paix !


Tandis que la musique retentit, Véro s’approche de moi, telle la chatte dont elle a revêtu la tenue :



Elle sourit, les yeux perdus dans le vague. Soudain, sans transition, elle ordonne :



Je m’exécute, et sitôt ma queue dehors qu’elle est capturée par la bouche inassouvie de bites, cette grande dévoreuse insatiable. C’est avec délectation que je me laisse faire par une Véro accroupie sur la banquette, remuant ostensiblement du popotin. Ma première main capture un sein lourd tandis que l’autre caresse une fesse. Ça doit être ça, un goût du paradis, le vrai, pas celui avec les anges qui jouent de la harpe.


Soudain, dans la torpeur dans laquelle je m’étais enfoncée, j’entends une voix masculine connue :



J’ouvre les yeux, et je vois Patrice positionné juste derrière sa femme, avec la visible intension de lui faire son affaire. De son côté, Véro s’active toujours autour de ma bite, sans prêter attention à qui est derrière elle. L’a-t-elle reconnu à la voix ? Ou s’en fiche-t-elle, au stade où elle est arrivée ?


Sans effort, Patrice s’enfonce dans la croupe rebondie, puis sans plus de préliminaires, il ramone consciencieusement les lieux. Ce n’est pas pour autant que sa femme tourne la tête pour vérifier qui est en elle ! Déjà certains clients regardent dans notre direction. Ce n’est pas la première fois que Véro me suce tandis que son homme la tringle, ou l’inverse, mais ça me fait toujours autant d’effet !


Tellement d’effet que, peu de temps après, dans un gros soupir d’aise, j’éjacule toutes mes réserves de sperme dans la bouche de cette adorable cochonne qui se fait un plaisir de me déguster par à-coups. Tandis que je sombre dans une somnolence cotonneuse, je comprends confusément que, à son tour, Patrice est en train de déverser dans sa belle salope de femme, au su et au vu de tous, sans complexe…




Les sextraordinaires aventures de Véronica



On sonne à la porte, je pars ouvrir pour me retrouver nez à nez avec Véronique et Patrice. Je suis étonné de les voir, ça va faire un bon paquet de jours que nous ne nous sommes plus revus. Je fais bien sûr la bise, j’aime bisouter, surtout que Véro me les fait sur les lèvres. Ça tombe bien, je suis à nouveau célibataire depuis qu’Isabelle a dû s’absenter pour aller au chevet de sa mère malade, depuis deux jours. Et sans femme dans mon lit, je m’étiole.


Sitôt les bisous faits, Véro explique :



Nous nous installons autour de la table de la salle à manger. Je reviens avec les boissons. Tout de suite, Véro entre dans le vif du sujet :



Tripotant ses doigts, Véronique est fébrile :



Toujours fébrile, Véro m’explique la teneur de ses tournages :



Tandis qu’elle m’explique le scénario, le thème général, je suis en train de songer que ça me dit quelque chose. Soudain, ça fait tilt :



Je suis quand même assez impressionné, surtout de la rapidité à laquelle tout ceci s’est déroulé. Ça va faire à peine quinze jours, non, trois semaines, que Véro a mis le pied à l’Euca, et déjà, elle joue les actrices, même si c’est dans une série faite de bric et de broc, genre telenovella. Il faut dire que notre monde est devenu un grand village. Sincère, je prononce :



Patrice intervient :



Moi aussi, je préfère clairement une moins belle qui remue son cul à une fille divine qui attend que ça se passe sans remuer le petit doigt. Mon amante me demande :



Je me souviens très bien ! J’ai même tenté de mettre la main sur cette tenue pour la faire porter à Isabelle, mais je n’ai pas encore réussi mon coup. Enthousiaste, je siffle :



Après avoir fouillé dans sa sacoche, Patrice me tend un DVD :



En effet, la jaquette donne une bonne idée et déjà ça s’agite dans mon pantalon ! Je découvre ma Véro en tenue de Catwoman, dans des poses qui ne laissent rien ignorer de ses appas ! Sans parler du luisant et du moulant de sa tenue qui la mettent quasiment à nue. D’ailleurs, elle est en nettement plus sexy ainsi que nue !


Après avoir retourné le DVD plusieurs fois, bien que je ne sois pas un expert en langue étrangère, j’ai néanmoins repéré quelque chose qui m’étonne. Je me tourne à nouveau vers Patrice :



Avec de grands gestes, Véronique enchaîne :



Véro répond dans un grand sourire :



Je suis au courant, ce n’est pas la première fois qu’elle évoque la chose. En parlant de chose, j’ai bien une petite idée… Le plus innocemment, je demande :



Elle proteste pour la forme, mais je vois bien dans ses yeux cette lueur que je connais bien et qui est annonciatrice de bien des promesses qui seront tenues ! Je me réjouis intérieurement de la suite des événements dont j’ai une petite idée, mais dont je ne me lasse pas !


C’est alors que j’ai droit à une splendide démonstration des lois de Murphy, vous savez, les imprévus qui arrivent comme une touffe de cheveux sur la soupe !


Il y a des jours où on sent qu’on a été injustement maudit !


C’est alors qu’on sonne à la porte et que j’entends distinctement la voix d’Isabelle, ma compagne presque officielle. Bordel de merde, elle n’était pas partie chez sa mère pour quelques jours ?



C’est Patrice qui réagit :



Coquine, Véronique sourit :



Dépité, je me dirige vers la porte, je ne vais quand même pas laisser celle qui occupe mes nuits dehors. Ce qui m’embête, c’est que mes deux femmes vont se rencontrer, et j’aurais aimé éviter ce genre de danger, car l’intuition féminine n’est pas à sous-estimer.


Avant d’ouvrir la porte, je me recompose une bonne figure. Isabelle se jette à mon cou, sitôt qu’elle me voit :



Nous nous embrassons, je compense par ce baiser la frustration de ne pas avoir pu baiser avec Véronique. Puis quand nos lèvres se décollent, je dis :



Je fais les présentations ; je vois bien qu’Isabelle regarde Véronique d’une drôle de façon. Une histoire de rivalité féminine ? Nous bavardons un peu, puis quelques minutes plus tard, Patrice et Véro nous quittent. Par précaution, elle me fera un seul bisou sur la joue. Nous leur disons au revoir, puis la porte se referme. L’attaque commence très vite, acide :



Je vois bien qu’Isabelle est partagée entre une certaine jalousie et le plaisir d’être avec moi. Je mets le paquet pour montrer ma joie de la revoir, et nous nous retrouvons vite au lit tous les deux.


Mais quelque chose me dit que les prochains jours vont être épiques et que je risque d’entendre souvent parler de Véronique !