Résumé des épisodes antérieurs : :
Depuis qu’elle a craqué devant l’insistance de son patron et la demande de candaulisme de son mari, Sylvie a découvert que cette situation pouvait être nettement plus torride que prévu. Mais ce n’est pas toujours facile à gérer au quotidien.
_____________________
André - Points sur les « i »
J’ai encore rêvé de ma secrétaire ! Il faut dire que c’est une sacrée nana, surtout depuis que j’ai le plaisir de la baiser ! Oh oui, et ça ne fait que commencer ! Le téléphone sonne, m’arrachant de mes rêveries. J’ai bien fait de mettre un combiné dans notre chambre, ça évite de descendre. Vivement qu’on invente des téléphones qu’on puisse mettre dans sa poche !
Je décroche, je reconnais tout de suite la voix au bout du fil : c’est ma femme qui m’appelle.
- — Bonjour André !
- — Bonjour Anaïs, tu as bien dormi ?
- — Pas à me plaindre ! Je te le dis tout de suite avant que j’oublie : je ne rentre pas ce soir, mais demain matin.
- — Ah bon ? En quel honneur ?
- — Je t’explique : le salon se termine vers dix-huit heures, mais faut ensuite ranger divers trucs. Et je me vois mal faire ensuite trois cents kilomètres en soirée, surtout avec la lueur des phares en pleine figure !
- — Tu as raison, Anaïs, ce serait trop risqué.
En moi-même, je pense qu’elle veut surtout avoir une nuit de plus avec son amant. Mais je suis mal placé pour lui en faire le reproche. Elle continue :
- — Toujours est-il que le salon se passe très bien ; j’ai décroché divers contrats pour la boîte !
- — Il faut dire qu’avec ton décolleté, tu marques plus de points que moi !
- — Gros macho ! Ne résume pas mon professionnalisme à mon seul physique !
- — Je sais, je sais, mais ça doit aider ! J’ai quand même pu voir le type de robe que tu as embarqué !
- — Comment ça ? Tu me surveilles ?
- — Mais non ! Tu les avais étalées sur le lit avant de partir.
- — Ah oui, c’est vrai…
Un petit silence s’installe, puis elle reprend :
- — André, faut qu’on fasse quelque chose, faut arrêter de faire semblant !
- — De quoi tu causes ?
- — De notre couple, voyons ! Tu sais très bien que ça ne va plus bien entre nous.
- — Pourtant tout allait bien avant, et je ne pense pas avoir changé depuis.
J’entends un soupir au bout du fil.
- — Non, tu n’as pas changé, hélas. Tu as toujours ton côté mâle dominant de la troupe à vouloir tout décider.
- — Quand tu t’es mariée avec moi, tu étais au courant, non ? Je ne t’ai pas trompée sur la marchandise.
- — Je reconnais que tu as été honnête. Tu ne m’as pas caché cet aspect des choses, et je reconnais aussi que ça me plaisait bien. Mais voilà, à ton contact, j’ai pris tes tics, et je me suis affirmée grâce à la boîte.
- — Attends, tu es en train de me dire que si ça ne va plus, c’est à cause de la boîte et que j’aurais dû te confiner comme femme au foyer ?
Elle soupire à nouveau.
- — Tout de suite, t’exagères ! J’ai simplement mûri. Je suis passée de la jeune fille à la femme. Et mes envies et mes besoins ont évolué.
- — Ah bon ?
- — Oh, t’inquiète pas, au lit, j’ai rien à redire !
- — Alors, où est le problème ?
- — Le problème, il est que la vie de couple ne se limite pas à ce qui se passe dans la chambre à coucher !
- — Et la salle de bain ? Et le salon ?
- — André, sois sérieux ! Je te cause sérieusement !
- — Je constate surtout que tu me causes par téléphone, alors que ce sujet devrait être traité en face-à-face, toi et moi, dans la même pièce.
Elle respire fortement.
- — Au téléphone, au moins, tu n’essayeras pas de me sauter dessus !
- — Il suffit de savoir dire non !
- — Tu parles, tu n’écoutes que ce que tu as envie d’entendre ! Alors maintenant, écoute-moi bien : notre couple privé n’est pas au top, même si c’est toujours plaisant de coucher avec toi. Je te propose de cohabiter, toi et moi. Je ferme les yeux sur tes… vagabondages, et toi, tu fermes les yeux sur mes distractions.
Eh bé ! Elle a l’art d’y aller franco, tout en mettant les formes ! C’est bien une commerciale, ma femme. D’ici peu de temps, elle saura fourguer un congélateur à un Esquimau !
- — Dois-je comprendre que ton retour demain matin est lié à tes… distractions, comme tu dis ?
- — Je n’ai pas à te répondre, André. Alors, quid de mon deal ?
- — Un couple moderne, uni dans le boulot, mais un peu moins ailleurs ?
- — Tu as bien résumé.
- — Juste un détail : on fait quoi vis-à-vis de nos connaissances ? On continue à jouer le couple normal ?
- — De temps en temps, oui, bien sûr. Nous allons sauver les apparences, du moins dans un premier temps. Ensuite, on avisera.
- — Et un autre détail, Anaïs : si un jour ta distraction se retrouve nez-à-nez avec mon vagabondage, on fait quoi ?
- — On évitera ce genre de face-à-face : les jours impairs pour toi, les pairs pour moi, par exemple.
Ça fait toujours mal quand on en arrive là, même si on s’y attend, même si parfois on le souhaitait. Je réponds d’une voix lasse :
- — Ah OK… Tu veux vraiment que… enfin… tu me quittes, quoi…
- — Non, je ne te quitte pas ; je reste, mais autrement. Différemment.
- — C’est toujours ça de pris… oui… « Différemment », une belle façon de le dire !
- — Sois réaliste : notre couple est à l’eau. Tu me désires toujours mais je t’énerve. Je n’étais plus ta petite chose. Je me trompe ?
C’est moi qui soupire longuement.
- — Pourquoi faut-il que les choses changent ?
- — Parce que le temps passe par là. Oui, j’ai été contente d’être ta petite chose. Oui, j’ai été heureuse d’être désirée, d’être aimée. Mais je ne suis plus ta soumise.
- — Ma soumise ? Comment ça, ma soumise ? On n’a jamais fait de séances BDSM, il me semble !
- — C’est vrai, mais souviens-toi de comment tu te comportais, et comment tu continues de te comporter. Tu joues les mâles alpha ; tu sais, le loup dominant dans la meute. Certaines femmes adorent ça, mais moi, j’ai passé l’âge…
Je reconnais que j’ai un petit côté autoritaire et dominant, mais Anaïs le savait dès le départ ! Et on ne change pas comme ça ! Quoique… bien que… J’ai hâte de clore cette conversation.
- — Écoute, Anaïs, laisse-moi digérer ce que tu viens de me balancer. Et on en reparle à tête reposée, en face-à-face, quand tu seras de retour, OK ?
- — Tu espères me faire changer d’avis ?
- — Tu ne peux pas me reprocher d’essayer, mais je crois que c’est mal parti. Figure-toi que je t’aime, moi !
- — Moi aussi, je t’aime, mais autrement !
- — Je ne pige plus rien… Je t’aime, tu m’aimes, mais ça ne suffit pas ?
C’est alors que je m’aperçois que je tiens plus à ma femme que je ne le pensais, même si certains jours je souhaitais qu’elle fasse sa valise et qu’elle parte loin, très loin.
- — Tu as raison, André, on en reparlera calmement demain midi, quand je serai de retour. Je pense partir d’ici vers huit heures. Allez, faut que je te quitte. Gros bisous !
- — Je suis un peu paumé, tu sais, Anaïs.
- — Tout ne se passe pas toujours comme tu le souhaites. Ne t’inquiète pas, je n’ai pas prévu de lâcher comme ça ! J’ai toujours une grosse affection pour toi !
- — Grosse affection, grosse affection… c’est ton amour que je veux !
- — Tu es un sale gosse. Tu veux ; et moi, qu’est-ce que je veux ?
- — Toi, c’est moi que tu veux ! Je te veux, tu me veux, et tout est parfait.
- — On en reparlera demain, d’accord ? D’ici là, passe une bonne journée, André !
- — Je sens qu’elle va être bizarre, ma journée ! Allez, bonne journée à toi aussi, quand même !
Un peu démoralisé, je coupe la communication. Au moins les choses sont claires, je suis fixé.
André - Dossier Neponty
Je pars tôt travailler, histoire de m’étourdir dans le boulot. Je consulte les divers dossiers ; ils sont bien remplis par ma secrétaire. C’est alors que je me traite de con : j’ai le parfait remède à ma sinistrose ! Je m’empare aussitôt d’une chemise vierge, je trace en gros caractères sur une feuille vierge un texte impératif : « Enlevez votre culotte. » Puis je glisse la feuille dans le dossier que j’intitule Neponty ; je pense que l’allusion sera vite comprise par Sylvie.
Je vais dans le bureau de ma secrétaire ; elle n’est pas encore arrivée. Je pose le dossier sur son bureau ; je sais pertinemment que personne d’autre qu’elle ne l’ouvrira. Puis, satisfait, je repars dans mon bureau. C’est vrai, j’ai un splendide jouet à ma disposition ; autant en profiter !
C’est alors que je songe aux propos de ma femme, sur mon côté mâle alpha. Il doit y avoir du vrai. Mais je pense que Sylvie aime ce genre de rapport, sinon elle n’aurait pas cédé dimanche et hier, elle n’aurait pas été aussi docile. Car c’est bien de la docilité, de la soumission à laquelle j’ai eu affaire. Et non pas parce qu’elle avait peur pour son emploi. J’ai bien vu à chaque fois son regard et son envie.
Soudain, le téléphone sonne. C’est à nouveau ma femme qui m’appelle. Je plaisante à ma façon :
- — Tu n’arrives plus à te passer de moi ?
- — Gros malin ! Non, je téléphonais pour te dire que samedi soir, je prends l’avion pour le Portugal.
- — Ah ? Il est arrivé quelque chose à tes parents ?
- — Oui et non… je t’expliquerai quand on se verra demain. J’ai besoin de prendre un peu de recul, tu comprends ?
- — Seule ou accompagnée ?
- — Il y a des questions qu’on ne pose pas, André, même si je comprends parfaitement ta position. Je te propose un deal, mon cher mari.
- — Mari ? Je me pose la question.
- — Avoir un mari n’empêche pas les amis plus ou moins proches.
Je soupire bruyamment :
- — Y compris les très très proches… Bon, c’est quoi ton deal, Anaïs ?
- — Intéressé ou curieux ? Voici mon deal : que la semaine prochaine soit une parenthèse pour toi comme pour moi.
- — Euh… c’est-à-dire ? Je suis mauvais pour lire entre les lignes.
- — Peu importe ce qui se passera durant cette semaine pour toi comme pour moi : ni toi, ni moi n’y ferons allusion par la suite. OK ?
- — Ah ! Je commence à comprendre pourquoi tu es si efficace en affaires ! Je te fais mes excuses pour l’histoire du décolleté.
Elle rit doucement.
- — Merci de reconnaître mes talents. Alors ?
- — Quelque chose me dit que je n’ai pas trop le choix…
- — Peut-être, mais reconnais que c’est avantageux pour toi…
- — Surtout pour toi. C’est vrai que ça peut être positif pour moi… Je peux réfléchir un peu ? Je te donne ma réponse au plus vite. Je peux te contacter où ?
Elle me communique un numéro de téléphone. Je la remercie et nous nous séparons. Eh bé, la journée est bien partie : ça va nettement plus vite que je ne l’aurais cru. Je sais bien que les années quatre-vingts dans lesquelles nous vivons sont permissives, mais ma femme y va franco !
L’interphone sonne, on m’appelle dans l’atelier ; il faut que j’aille voir. Ça me prend une bonne heure, et j’ai loupé l’arrivée de ma secrétaire. Tant pis, demain elle reviendra, ce n’est que partie remise. Quand je reviens dans mon bureau, je croise ma secrétaire, vêtue d’une jupe et d’un débardeur que j’aurais aimé être plus léger, mais il est vrai que nous sommes dans une entreprise.
- — Bonjour, Monsieur.
- — Bonjour, Sylvie. Pour info, ma femme rentre demain vers midi, je pense, et avec divers contrats.
- — Tant mieux pour la boîte !
- — Oui, mais ça vous fera plus de dossiers à traiter…
- — Ah, Monsieur, en parlant de dossiers, j’ai mis votre dernier dossier sur votre bureau.
Et elle se sauve littéralement, sans que je n’aie pu réagir. Assez intrigué par sa réaction, j’entre dans mon bureau. En effet, le dossier Neponty trône en évidence. Je m’assieds, j’ouvre le dossier en question. Et je découvre dedans, posée bien à plat, une petite culotte noire !
Je m’en empare, je la porte à mon nez. Oui, c’est indéniablement son odeur…
C’est un dossier que je sens que je vais beaucoup aimer ! Je laisse passer un peu de temps, je vaque à diverses occupations, puis estimant qu’un délai approprié est maintenant écoulé, j’appuie sur le bouton de l’interphone :
- — Sylvie, pourriez-vous venir ? J’ai besoin de vous.
- — J’arrive dans deux-trois minutes, le temps de clôturer mon dossier en cours.
- — Pas de problème, je peux attendre un peu.
- — Merci, Monsieur.
Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre sur ma secrétaire.
- — Me voici. Que puis-je pour vous ?
- — Me faire voir si vous avez bien ôté votre culotte !
Elle rougit, mais elle remonte petit à petit le bas de sa jupe vers le haut, me révélant une adorable chatte dans laquelle j’ai déjà été me perdre.
- — Que c’est mignon ! Très mignon ! Approchez un peu… encore plus… allez…
Quand elle est suffisamment près de moi, je la capture d’un bras, l’attirant prestement à moi. Elle pousse un petit cri étouffé que je trouve très sexy. Me penchant, je plaque un premier baiser sonore sur son pubis tout doux. J’en profite pour lui caresser les fesses qu’elle a nues à présent. Elles sont toutes douces, elles aussi. Un vrai plaisir !
Puis je relève la tête, soulevant son débardeur pour venir embrasser son ventre tout rond qui frémit sous mes lèvres. Puis me redressant, j’ordonne :
- — Enlevez-moi tout le haut, débardeur et soutif !
- — Là, ici ?
- — Oui, là, ici !
Peu après, deux objets tombent sur mon bureau. Aussitôt je m’empare de ses seins que j’embrasse, que je caresse, que je suce, que je dévore, et elle a l’air d’apprécier beaucoup ce que je lui fais ! Ma chère secrétaire est une garce qui s’ignore, et je suis là pour la révéler à elle-même !
- — Y’a pas à dire, vous avez tellement de bons morceaux que je ne sais pas du tout par où commencer !
- — Ça serait bien la première fois que vous avez un problème d’initiative !
- — Eh bien, je prends tout d’un seul coup !
Et je plonge mon nez dans ses seins, tout en pelotant ses fesses. J’en profite pour déboutonner ma braguette pour venir me frotter impudiquement sur cette petite chatte si tentante. Dieu que c’est bon, des nichons, un cul, une chatte, et tout ça pour moi, rien qu’à moi !
C’est alors que je vois des ombres s’animer à travers la vitre dépolie de ma porte. J’entends aussi diverses personnes venant par ici. Je reconnais une voix.
- — Et merde, c’est Masclet, le délégué syndical ! Et il n’est pas seul !
Sylvie est paniquée, et ça se comprend, vue sa tenue, ou plutôt son absence de tenue.
- — Mais… mais je fais quoi ?
- — Pas le temps. Mettez-vous sous mon bureau, et n’en bougez plus !
Aussitôt elle obéit et se glisse dans cette sorte de niche. Normalement, on ne devrait pas la voir : il y a un panneau devant mon bureau. C’est alors que je réfléchis à un point de détail.
- — Évitez de faire dépasser vos chaussures ou vos mains !
- — B-bien, Monsieur !
Je ramasse son débardeur et son soutien-gorge que je range en vitesse dans le premier tiroir qui me tombe sous la main ! À peine ceci fait qu’on frappe à ma porte. Le plus calmement possible, je réponds :
La porte s’ouvre. Masclet et Javis se présentent face à moi. Le délégué prend aussitôt la parole :
- — Bonjour ; on a un problème, Monsieur André.
- — Bonjour. Quel problème ? Prenez un siège et racontez-moi tout.
Ils s’exécutent et se lancent à tour de rôle dans diverses considérations sur la pénibilité du travail. Je dois reconnaître que ça me passe un peu par-dessus la tête, vu la situation incongrue : ma secrétaire à moitié nue qui doit se cacher sous mon bureau tandis que deux employés me causent ! On se croirait dans un mauvais vaudeville !
- — Et puis la nouvelle directive du gouvernement concernant les personnes de plus de cinquante ans exige que celles-ci soient dispensées de…
Tendant le bras par-dessus mon bureau, j’interviens, mettant les pendules à l’heure :
- — Non, non, pas si vite ! Cette directive n’est pas encore passée, à ce que je sache.
- — Oui, mais elle risque de passer !
- — Elle risque de passer… Elle risque, comme vous dites ; c’est surtout votre syndicat qui le souhaite, mais je vous rappelle qu’il est minoritaire sur ce coup. Aux dernières nouvelles, les autres ne suivent pas.
Mon délégué syndical tire la tronche. Il croyait quoi ? Que je ne suis pas au parfum de ce genre de chose ? Sylvie est toujours entre mes jambes, figée, immobile. Quelle situation à la con ! Je me demande ce qu’il se passerait si mes deux gugusses la découvraient ! Néanmoins, le risque me donne des idées saugrenues. J’écarte les jambes et fais un signe discret sous mon bureau, désignant mon sexe. Je continue à écouter ce que mes deux employés ont à me dire, posant de temps en temps diverses questions pour mieux cerner les choses, même si je m’en fous un peu car une bouche pulpeuse est en train de me sucer voluptueusement ! Et c’est diablement bon !
Néanmoins je continue à poursuivre la conversation, mais il faut que je me débarrasse de ces deux employés : ils sont devenus un peu gênants, surtout avec ma secrétaire qui me fait une gâterie sous le bureau.
- — Vous savez que c’est ma femme qui s’occupe de tout ce qui est RH…
- — Oui, mais elle est partie à un salon.
- — Elle sera là demain en fin de matinée et en début d’après-midi. Mais dépêchez-vous, car la semaine prochaine, elle s’absente.
- — Ah, bon. Donc, on voit avec elle.
- — Oui, voyez avec elle d’abord, et ensuite venez me revoir la semaine prochaine.
- — D’accord.
Ils sont enfin partis. Ouf ! Je commençais à trouver le temps long, même si j’adore me faire sucer par une secrétaire quasiment nue et nichée sous mon bureau, le fantasme de la plupart des dirigeants ! Il faudra que nous le refassions, elle et moi, et au plus vite !
- — C’est bon, Sylvie, vous pouvez sortir.
Elle sort à quatre pattes puis elle se redresse, un peu ankylosée de son séjour sous le bureau. Ma secrétaire me reproche gentiment :
- — Vous aimez jouer avec le feu !
- — Pourquoi ?
- — Me demander de vous sucer alors qu’il y avait du monde dans le bureau.
- — C’est vrai, mais je vous signale que vous n’étiez pas obligée d’obéir.
Ma secrétaire se fige, me regardant fixement. Sans lui laisser le temps de réagir, je la prends dans mes bras et je la plaque contre moi.
- — Mais j’ai beaucoup apprécié que vous obéissiez ! Et après, vous direz que je suis un gros satyre, un gros profiteur !
Et pour conclure ma phrase, je l’embrasse. Elle se laisse faire ; elle répond même à mon baiser. Je ne peux pas mieux espérer : cette femme est à moi, pour moi. À moi de savoir faire fructifier cette terre fertile et je ne suis pas mauvais, en jardinier !
La soulevant, je la dépose sur le bord de mon bureau, puis quittant ses lèvres à regret, je l’invite à se coucher carrément dessus. Elle proteste mollement :
- — Et si quelqu’un venait ?
- — Vous avez raison ; je vais fermer la porte et éteindre la lumière, faire comme si je n’étais pas là. Ne bougez pas.
Ceci fait, je reviens à ma place, Sylvie n’ayant pas bougé un seul doigt. Elle est décidément très docile, surtout quand elle sait qu’elle aura ensuite sa dose. Je me demande pourquoi son mari est passé à côté d’une telle femme. Il est vrai que, souvent, il faut deviner une femme : elle ne dira pas franchement ce qu’elle veut. Du plus loin que je me souvienne, j’ai rarement entendu une femme me dire au début de notre relation « J’ai envie de toi, baise-moi ! » Il faut des mois, des années pour qu’elle consente à dire un truc pareil, et c’est en général du bout des lèvres !
Impérieux, j’écarte les jambes de ma secrétaire pour mieux me ménager un accès vers sa belle chatte. J’en profite pour mieux admirer son entrejambe.
- — Vous avez une belle chatte, Sylvie, une réussite d’équilibre. Elle semble presque lisse, rasée, mais elle a quand même un fin duvet qui l’habille. J’aime beaucoup !
- — Euh… merci…
- — Maintenant, caressez-vous les seins. Je veux voir vos doigts palper vos beaux nichons. Je veux vous voir jouer avec vos tétons !
- — Oui, Monsieur ! dit-elle d’une petite voix gourmande.
Elle s’exécute aussitôt. Ses mains s’emparent de ses seins pour les palper sans vergogne, pour jouer avec. Elle me regarde droit dans les yeux, avec une évidente lueur de désir au fond des prunelles. Je me positionne juste au bord de ses lèvres, puis d’un petit coup de reins je commence à m’enfoncer en elle. Elle est toujours étroite, mais je sens néanmoins que je coulisse mieux en elle et que ma secrétaire m’accepte de mieux en mieux.
- — Vous voyez, ça passe mieux, n’est-ce pas ?
- — Oui, c’est vrai. Votre bite est très grosse ! Mais on dirait qu’elle rentre mieux…
Je commence à coulisser lentement mais fermement. Elle est détrempée ; cette petite garce adore mon traitement, tant mieux !
- — D’ici peu de temps, ma grosse queue vous paraîtra trop petite !
- — Vous voulez rire ?
- — Non, non ! Et vous réclamerez deux bites en même temps dans votre chatte !
- — Rhoo ! Vicieux !
Je constate néanmoins qu’elle n’a pas dit non, et ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd ! Sylvie serait-elle la femme que je cherchais ? L’avenir me le dira. Pour l’instant, je suis trop occupé à lui faire son affaire, à venir en elle tandis qu’elle se pâme, sombrant petit à petit dans une jouissance silencieuse afin de ne pas ameuter toute l’entreprise !
Soudain, elle se crispe tandis que je la bourre, que je me déchaîne en elle. Elle se pince violemment les lèvres afin de ne pas crier, elle se cabre, tendue comme un arc, puis se laisse choir dans un grand soupir de contentement tandis que je me laisse aller à mon tour, remplissant son antre détrempé dans lequel je suis si bien, à me vider jusqu’à la dernière goutte !
Pizza en tête-à-tête
Quand sonne midi, j’emmène Sylvie avec moi pour aller faire un petit resto à deux, une pizzeria précisément. Je choisis un établissement un peu plus loin que d’habitude et dans lequel je n’ai pas encore mis les pieds, mais dont on m’a dit le plus grand bien. Une bonne façon de tester si c’est vrai.
Le cadre est pas mal, un zeste romantique, ce qui n’est pas un mal. Après avoir passé commande, j’entame la conversation :
- — Votre mari est-il au courant pour vous et moi ?
- — Il s’en doute quand même un peu… De plus, comme il avait le fan…
Elle s’arrête sur place. Intrigué, je la relance :
- — Le fan… ? Le fantôme, non. Le fantasme de quoi ?
- — Je… j’ai rien dit…
- — Ne me dites pas qu’il a le fantasme d’être candauliste ?
- — Ben… un peu…
Si je croyais en Dieu, je lui adresserais illico une petite prière de remerciement ! C’est alors qu’elle me raconte que Pascal, son mari, la poussait plus ou moins à découvrir d’autres queues, à condition d’être tenu au courant des incartades. Une fois sa confession finie, cramoisie, elle pique du nez vers la nappe. Très content de ce que je viens d’entendre, je donne mon avis :
- — Eh bé, c’est un sacré petit pervers, votre Pascal !
- — Il… il est complexé… son machin en action est nettement plus petit que le vôtre au repos, vous comprenez…
- — Peut-être, mais ce n’est pas la grosseur du machin, comme vous dites, qui fait le bon baiseur.
- — Ça vous va bien de dire ça, vous qui avez un machin énorme !
Je suis à la fois content et un peu frustré. Content car j’ai décroché un joli petit lot avec Sylvie, et frustré car je me suis aventuré en pays à moitié conquis. Mais la balance penche très nettement vers le fait d’avoir baisé ma chère secrétaire ! Et que je sens que ça va continuer, ce qui me met en joie !
- — J’ai peut-être un machin énorme, mais ce n’est pas toujours évident ! D’où mes pantalons assez larges. Et je ne vous parle pas des femmes qui s’enfuient quand elles voient mon sexe !
Elle pouffe :
- — Il faut que je vous plaigne ?
- — Vous pouvez, vous pouvez !
Nos pizzas arrivent. Sylvie est une femme qui ne semble pas décidée à faire régime coûte que coûte, et je préfère nettement ça. Elle fait un sort à la pizza qui est dans son assiette. Je continue notre conversation concernant son mari :
- — En clair, votre mari désire être cocu, mais il veut le savoir.
- — Oui, il veut être cocu. C’est ce que vous vouliez, non ?
- — Oui, je l’ai dit hier, et je vais me faire un plaisir de lui faire plaisir en le cocufiant à chaque fois que je le pourrai.
- — Et mon avis dans tout ça ?
- — Allons, allons, il me semble que vous êtes consentante, non ?
- — On voit que c’est pas vous qui devez avouer ce genre de chose !
Ce n’est pas faux ; je reconnais que ce n’est pas facile à confesser, surtout quand le mari constatera qu’il prend le train en marche ! Je réfléchis, puis je propose :
- — J’ai une proposition à vous faire : le jour où vous lui avouerez avoir franchi le pas, demandez à votre mari de me téléphoner ; je lui expliquerai la situation et je lui offrirai sur un plateau ce qu’il veut.
- — Attendez, attendez ! Vous voulez faire quoi !?
- — Soyons pragmatiques : il veut être cocu, vous aimez jouir avec moi, j’adore vous baiser, donc il y a moyen de s’arranger. Si pour vous garder il faut faire de temps à autre l’amour tous les deux devant lui, pourquoi pas ? Une situation excitante, d’ailleurs !
- — Vous… vous voulez rire ?
- — On peut aussi imaginer que vous lui téléphoniez pour lui décrire ce que je vous fais subir. Ou nous enregistrer avec une caméra VHS.
- — Vous êtes fou ou quoi ?
Délaissant momentanément ma pizza, je la regarde en souriant.
- — Il est candauliste ou pas ? Si oui, il va beaucoup apprécier ce que je viens de dire. Bref, si vous lui avouez notre relation, téléphonez-moi que je me fasse un plaisir d’arranger les choses.
- — Ou de les empirer !
- — Quel serait mon intérêt, Sylvie ? Si je brise votre couple, vous m’en voudrez à mort et je vous perdrai, ce qui ne ferait pas du tout mes affaires !
Elle cligne des yeux, un peu dépassée. Pour se donner une contenance, elle ajoute un peu d’huile pimentée sur sa pizza à moitié dévorée puis elle demande :
- — Et vous croyez que c’est… viable ? Mon mari, vous et moi ?
- — Oui, je le pense. Vous restez mariée, votre homme a son content de cocufiage, et moi je vous ai vous. Tout le monde est content !
- — Ça… ça me dépasse…
- — Tout ira bien, vous verrez !
- — Je me sens comme une chose, ballottée de toutes parts, sans pouvoir avoir mon mot à dire.
- — Dites oui, tout simplement.
- — Ben voyons ! Vous avez le beau rôle ! Vous me violez quand ça vous chante !
- — Et vous aimez ça ! Sinon, vous auriez crié « au secours » depuis longtemps, ou bien vous vous seriez sauvée, ventre à terre !
Elle préfère ne pas répondre, se concentrant sur sa pizza. Je la laisse déguster le morceau qu’elle vient de couper, puis je relance la conversation en changeant de sujet :
- — Ma femme m’a téléphoné ce matin pour dire qu’elle reviendra demain en fin de matinée et qu’elle part la semaine prochaine au Portugal.
- — Ah, elle part sans vous ? Ces vacances au Portugal n’étaient pas prévues, je crois.
- — Vous croyez bien. Moi-même, je ne l’ai su que ce matin.
- — Ah bon ?
- — Autant tout vous dire ; ma femme m’a carrément demandé d’être un couple moderne : elle vagabonde de son côté, et elle ne dit rien si j’en fais autant.
Surprise, elle en lâche son couteau :
- — Vous… elle… elle a dit ça ?
- — Oui, elle a dit ça, et elle a même ajouté que la semaine prochaine est une semaine à oublier. Je ne devrai pas lui en parler plus tard, elle fera de même pour moi. Bref, à partir de maintenant, on vit ensemble sous le même toit, on est légalement un couple, mais très libre…
Elle reprend son couteau, assez étonnée de ce que je viens de lui dire. Néanmoins, ce qu’elle répond indique qu’elle a vite compris certaines choses :
- — En clair, vous êtes en train de me dire que votre femme vous a donné la permission de me sauter ?
- — C’est bien résumé… bien que ce verbe soit un peu déplacé dans votre bouche.
- — Qu’est-ce qui n’est pas déplacé dans ma bouche ? Votre queue ? Votre bite ?
- — Vous m’étonnez de plus en plus.
- — Ne vous inquiétez pas, il m’arrive parfois des moments de lucidité… Je suis en train de me demander dans quel bordel j’ai été me fourrer ! Parfois je me dis que je n’aurais jamais dû venir dimanche. D’un autre côté, je reconnais que vous m’avez fait découvrir plein de choses. Bref, un prêté pour un rendu.
- — Je vous trouve un peu… désabusée, Sylvie.
- — Essayez de vous mettre à ma place ! Un patron qui veut me sauter pour un oui ou un non, un mari à ménager, mon boulot, un…
Je l’arrête dans son énumération :
- — Sylvie ! Je vous prie de croire que votre emploi n’est pas lié au fait que je souhaite faire de vous ma maîtresse. C’est demain d’ailleurs que j’attends votre réponse ferme et définitive. Mais je vous assure que si vous me dites non, ce n’est pas pour autant que je vous mènerai la vie dure ou que je me chargerai de vous mettre dehors.
Calmement, elle pose ses couverts de part et d’autre de son assiette. Elle croise ses doigts, puis pose son menton dessus :
- — Je pense que je peux vous croire. Vous avez l’art de forcer les événements, j’en sais quelque chose, mais je crois que vous savez jouer le jeu. C’est peut-être pour ça que j’ai accepté… Je sentais que je pouvais découvrir d’autres horizons avec vous, et c’est d’ailleurs le cas.
- — Merci de me croire, et merci de rester avec moi… euh, je veux dire… de ne pas me fuir.
Elle m’adresse un petit sourire qui en dit long. Puis nous finissons nos plats, parlant d’autre chose, l’atmosphère s’étant un peu trop alourdie. C’est vrai que je fonce un peu dans le tas, et que Sylvie a été un peu embarquée dans cette histoire sans avoir su trop comment réagir. Mais elle vient de m’avouer qu’elle avait accepté nos petits jeux et qu’elle n’était pas contre, malgré le fait que je la mette souvent devant le fait à accomplir…
Puis nous devons repartir au boulot. Je la dépose, car je dois à nouveau partir en clientèle et je ne rentrerai que tard, trop tard, quand elle sera repartie chez elle. J’aurais bien aimé rester un peu plus avec elle. Mais finalement, je préfère ne pas trop lui mettre la pression car c’est demain qu’elle doit me répondre.
Vivement demain !