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n° 18101Fiche technique20704 caractères20704
Temps de lecture estimé : 13 mn
29/09/17
Résumé:  Aujourd'hui vendredi, je me rends à mon travail un peu perturbée. En effet, je dois donner ma réponse à mon patron. Je suis partagée : d'un côté, j'ai envie de dire oui, et de l'autre, je suis honteuse par rapport à mon mari...
Critères:  fh extracon cocus collègues grossexe travail fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo -cocucont -bureau
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Myrsilisme

Chapitre 04 / 05
Un certain vendredi et autres jours suivants

Cette série est basée sur un fantasme assez commun que je ne partage pas.

Néanmoins, j’ai trouvé amusant d’explorer cette voie…

Nota : l’action se situe dans les années 80.

Bonne lecture :)



Résumé des épisodes précédents :


« Un certain dimanche »

« Un certain mercredi »

« Un certain jeudi »


Depuis qu’elle a craqué devant l’insistance de son patron et la demande de candaulisme de son mari, la vie de Sylvie a bien changé ! C’est aujourd’hui qu’elle doit sa réponse à André, son patron : être vraiment sa maîtresse ou pas…



_____________________




Vendredi


Aujourd’hui vendredi, fin de semaine, je me rends à mon travail un peu perturbée. En effet, je dois donner ma réponse à mon patron. Je suis partagée : d’un côté, j’ai envie de dire oui, car il me comble totalement, et de l’autre, je suis honteuse par rapport à mon mari, je ne lui ai encore pas avoué comment André, mon patron, me fait jouir ! Comment lui dire maintenant l’intensité des orgasmes que j’ai pu avoir avec un autre homme que lui, et comment lui dire aussi que j’ai jamais joui autant avec lui ?


De retour au boulot, je suis toujours occupée à mes tâches coutumières. Pour l’instant, mon patron est absent, je suis un peu soulagée, car hier matin, on ne peut pas dire que tout se soit passé comme prévu avec l’irruption de ces deux zigomars dans son bureau ! De plus, André n’a qu’une seule idée en tête depuis quelques jours : me sauter ! C’est très bon d’être désirée de la sorte, c’est vrai, mais à la longue, c’est épuisant !


La patronne n’est pas rentrée hier soir, si j’ai bien compris. Elle est venue à la boîte un peu avant midi. D’un pas décidé, elle entre dans mon bureau. Je prends les devants :



Drôle de situation que de parler à la femme du type qui est votre amant !


Ça ne dure pas trop longtemps, car elle quitte rapidement mon bureau, pour aller s’enfermer dans le sien. Midi et demi, toujours pas de patron en vue, je pars me chercher un petit quelque chose à manger à la sandwicherie du coin. Vers quatorze heures, la patronne vient me dire au revoir, m’annonçant qu’elle part au Portugal pour une semaine. Ça, je le savais déjà, mais je n’étais pas censée le savoir.


Il y a peu de temps, je me demandais pourquoi Anaïs cherchait ailleurs ce qu’elle avait sous la main avec son mari. Je pense que je comprends mieux : André est un sacré lapin, un peu trop obsédé sexuel sur les bords, et si c’est flatteur, vu son appétit et son machin, ça doit devenir vite épuisant de l’avoir comme amant quotidien !


J’écoute en sourdine la radio. Malheureusement, je tombe très vite sur des actualités qui n’annoncent que des catastrophes ou des malheurs. Seul point positif, le président soviétique Gorbatchev continue ses réformes, on verra ce que ça donne. Soudain l’interphone sonne, mon patron a un courrier à me dicter. Ah zut, je ne l’ai pas vu, ni entendu rentrer ! Faisant bonne figure, j’arrive dans son bureau avec mon bloc-notes. Une fois en face à-face, de part et d’autre de son bureau, assise face à lui, ça ne loupe pas, André me pose la question que je redoutais :



Amusé, sûr de lui, il me répond :



Je l’ai déjà vu largement sourire, mais là, c’est totalement radieux, quasiment jusqu’aux oreilles, le mâle très fier de lui :



Il se lève, contourne son bureau pour venir près de moi. Puis sans gêne, il dégrafe sa ceinture, ouvre sa braguette, abaissant pantalon et caleçon, sa queue est déjà toute dure, bien raide :



Puis il s’approche encore de moi, sa belle verge pointée vers mon visage, très tentante, aguichante, à deux doigts de mes lèvres gourmandes. Sans un mot, je me penche et je commence à sucer ce beau morceau, doucement, délicatement. Je viens de donner ma réponse.


Après quelques bonnes léchouilles, il m’invite à me lever de mon siège. Après un furtif baiser, il me fait pivoter sur moi-même, puis il me fait asseoir sur le meuble, face à lui, avant de me coucher sur le bureau. Agenouillé à son tour, il commence à me lécher, je sens alors une jouissance monter, lentement, mais irrésistible. Impérieuse, puissante…


Ça dure un certain temps ; haletante, je sens la température monter, puis juste avant que je ne craque, sans un mot, André se relève, les lèvres luisantes. Puis s’installant entre mes cuisses, il commence à me pénétrer avec une certaine facilité qui me sidère, même si je sens sa chair riper contre les bords de mon tunnel intime. Et pourtant, sa bite est bien grosse ! Avec délice, je sens de nouveau sa queue prendre toute la place, m’écarter, m’explorer, me fouiller. Dieu que c’est bon ! À voix basse, il me dit :



Je l’entends sans vraiment l’entendre, car je suis en train de jouir ! Perdue dans ma félicité, je sens un gros spasme, sa bite se blottit au fond de moi, et son sperme m’inonde. Je ne peux que jouir de plus belle, c’est trop bon ! Jamais je n’ai connu cela, une telle osmose !



Voilà, j’ai donné définitivement ma réponse, oui je veux être sa maîtresse, sa chose, être à lui, jouir par lui ! Puis, épuisée, mais repue, j’ai sombré dans cette demi-mort qui me fait tant de bien.


À présent, il me reste le plus dur : avertir mon mari et lui dire la vérité. Chose que j’ai l’intention de faire ce week-end, samedi matin précisément, en espérant que ça ne va pas dégénérer. J’en informe André qui me promet d’être à côté du téléphone demain matin. Et j’espère que ce fameux coup de fil de mon patron à mon mari arrangera tout !



Week-end


Samedi matin, je prends mon courage et j’avoue tout à mon mari. Comme je le craignais, une grosse dispute éclate, il est en colère, car je lui ai menti, même s’il s’en doutait. L’ambiance est électrique, mais je lui rappelle que c’est lui qui a voulu cela ! Heureusement, les choses s’apaisent, nous reprenons le dialogue. Il finit par concéder :



Il fait la grimace :



Je me saisis du téléphone en espérant qu’André soit chez lui comme promis. À mon grand soulagement, il décroche. Je le mets au courant tout de suite :



À moitié rassurée, je me tourne vers mon mari :



Je vois qu’il hésite, pesant le pour et le contre. Puis il se décide, me prenant le combiné des mains. Je préfère me mettre dans un coin, attendant la suite des évènements. Ça dure un bon quart d’heure, puis mon mari raccroche. Il s’approche de moi :



Au moins un compliment de la part de mon mari ! Inquiète et curieuse, je lui demande :



Pascal prend un air mystérieux, un large sourire aux lèvres :



Manquait plus que ça ! Les deux hommes complotent dans mon dos, ça promet ! Mais je n’ai pas perdu au change, mon mari s’est montré très entreprenant, très amoureux durant tout le week-end. La rivalité entre mâles a du bon !



Une autre semaine


Nous sommes lundi, et ce matin, comme de coutume, je pars pour le boulot. Néanmoins, je vois bien que mon mari est assez perturbé. Il sait pertinemment que je vais me faire baiser, et surtout prendre un pied que lui ne sait pas me donner. Son amour-propre en prend un coup, mais bon, c’est quand même lui qui m’a demandé de le cocufier !


Quelques minutes plus tard, j’arrive au boulot, mon patron est déjà là. Aussitôt, serviette en main, il vient vers moi :



Ce genre de choses arrive régulièrement, mais il aurait pu me prévenir. Je monte dans sa voiture et nous quittons l’entreprise. Mais je m’aperçois bien vite qu’en fait de clientèle, nous arrivons cinq minutes plus tard devant chez lui. Je m’étonne :



Néanmoins, je le suis. Nous rentrons, et vu la maison et son intérieur, je commence à comprendre pourquoi sa femme ne souhaite pas le divorce et propose une union permissive ! En parlant de sa femme, je lui demande :



J’avais bien compris qu’il avait envie de moi ! Du coup, je n’ai pas le temps de visiter cette belle demeure, car, sans attendre, André m’emmène directement dans sa chambre et commence à s’occuper illico de ma petite personne. Quelle étrange sensation : je suis en train de me faire baiser et de jouir dans le lit de ma patronne, mais le plaisir est tellement grand que je passe outre. André est insatiable, il me prend une fois, deux fois, trois fois, il est inépuisable ! J’ai quelques difficultés à encaisser ses assauts, je ne suis pas habituée à faire autant l’amour en si peu de temps, surtout avec une aussi grosse queue qui me fourrage de la sorte !


Il y a des accalmies, mais ses mains et sa bouche ne chôment pas ! Et comme il rebande très vite, je n’ai pas tellement le temps de souffler. Puis soudain, André me propose d’aller dans la cuisine afin de manger et de boire un petit quelque chose ! J’accepte avec joie, car ça me fera une petite pause et je commence à avoir un creux !


Pause de courte durée, car déjà sa queue commence à remonter. Je me demande s’il n’a pas pris un aphrodisiaque ou un truc du même style ! En effet, nous venons de faire plusieurs fois l’amour, et monsieur n’est visiblement pas à plat, et en plus, il en redemande ! Quel changement avec mon mari !

Me confirmant dans mon idée, André me prend la main, et me dit :



Et nous revoici au lit en train de baiser de nouveau ! Il me fait mettre en levrette, mais au lieu de me mettre sa queue comme je m’y attendais, il commence à me lécher la chatte puis il remonte insensiblement vers mon anus. Mon mari n’a jamais osé me faire ça ! C’est curieux comme sensation, mais j’aime.


Quelque temps après, il se penche pour ouvrir un tiroir de sa table de nuit, afin d’en ressortir un tube. Il me dépose une noisette de ce produit, il s’en badigeonne le bout des doigts, puis il titille mon anus. Peu après, un doigt commence à s’aventurer dans mon petit trou interdit. Ce n’est pas désagréable. André commence des va-et-vient, c’est une nouvelle sensation pour moi. Une minute plus tard, abandonnant mon petit tunnel, il se saisit à nouveau du tube, il m’en remet, et je le vois s’en mettre sur la queue. Je crois que j’ai compris son intention !


Je ne sais pas si je dois accepter ou pas. La sodomie, c’est quelque chose de très spécial et d’intime. Je devrais dire non, mais d’un autre côté, je pense à tout ce qu’il m’a fait découvrir ces derniers jours, à tout ce plaisir, cette jouissance que j’ai pu avoir malgré mes appréhensions du départ. Alors, je ne dis rien, j’attends, j’accepte. Puis je sens sa queue se poser juste au bord mon petit trou, il me dit :



Il entre un peu en moi, c’est puissant, c’est fort ! Je sens son gland me pénétrer férocement ! Je gémis, je proteste :



C’est facile à dire, on voit bien que ce n’est pas lui qui se fait enculer par une énorme queue ! C’est comme s’il me déchirait, s’il me fendait le cul ! Il continue sa progression dans mes profondeurs, je commence à crier ! La douleur se mute en autre chose, je ne sais pas en quoi, c’est troublant, je ressens une drôle de sensation ! Néanmoins, je n’en peux plus de cet énorme truc qui me perfore ! Un peu paniquée, je crie :



Mais occupé à s’introduire au plus profond, il ne me répond pas. Il se couche encore plus sur moi. Vaincue, je m’affale, je le sens prendre possession de la totalité de mon cul. C’est le premier à passer par là, mon mari ne m’a jamais enculée, et à présent, André est en train de carrément me défoncer ma petite entrée !


Sentir sa grosse queue m’envahir me fait décoller, c’est une nouvelle jouissance pour moi, mêlée de douleur et de plaisir, mais étrangement, petit à petit, le mal s’estompe et se mute en plaisir éclatant. J’explose en cris de jouissance, me laissant complètement aller, dévalant une gigantesque pente !


Après un moment, tandis que je reprends mes esprits, délicatement, il me souffle à l’oreille :



En entendant ces paroles vulgaires, j’ai alors un très violent orgasme. De son côté, André ne peut se retenir plus longtemps. Énergiquement, dans d’offensives convulsions, il noie mon cul de son sperme.


J’ai de nouveau un peu mal quand il se retire, avec une singulière sensation de vide… Mais quel orgasme, qu’il m’a procuré une fois de plus !! Si ça continue comme ça, je sens que je vais mourir de jouissance avant la fin du mois !


Après un petit câlin, nous partons sous la douche, chacun notre tour. Ça ne m’aurait pas déplu qu’on soit à deux dans la même cabine, ce sera pour une autre fois, je présume. Puis il faut repartir au bureau. Ma plus grosse préoccupation est comment je vais raconter tout ça, ce soir, à mon mari ! Je pense que je vais zapper l’épisode de la sodomie…


La semaine d’absence de ma patronne se passe de la même manière ! Mon patron se fait un plaisir de passer dans tous mes trous, et moi, j’en redemande encore et encore ! Bien sûr, chaque soir, je relate la chose à mon mari qui est excité à fond, et je vous laisse deviner comment il se soulage… Bref, ces derniers temps, je me fais doublement sauter ! Une fois, nous lui avons téléphoné, nous avons posé le combiné juste à côté de nous, sur le lit, et il a pu entendre en direct sa femme (moi) se faire prendre par mon queutard de patron. Pascal m’a avoué avoir éjaculé d’excitation !


Il faudra que je vous raconte ça une prochaine fois… si je n’oublie pas…


Je suis finalement devenue cette salope que mon mari voulait dans son lit, mais ce qu’il ne s’imaginait pas, c’est que je le suis devenue nettement plus qu’il n’aurait pu le supposer…