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n° 18982Fiche technique49467 caractères49467
Temps de lecture estimé : 29 mn
12/05/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Un mari parti au loin, son supérieur devenu mon amant, un bébé non désiré par son père, je me demande ce que l'avenir me réserve...
Critères:  fh hplusag extracon grosseins travail pénétratio fsodo humour -amourcach
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Lactose

Chapitre 03 / 03
Gally

Suite et fin de cette trilogie. Merci à FA (qui se reconnaîtra).

Bonne lecture




Résumé des épisodes précédents : « Philippe » et « Charles »


En ce milieu des années cinquante, mon couple avec Philippe allait très bien, jusqu’au jour où Nathalie a fait son apparition. Ne vous mettez pas des idées saugrenues en tête, Nathalie, c’est le nom de mon bébé d’amour, ma petite dernière. Nous avions déjà deux enfants. Il faut dire que moi, Gally, je me suis arrangée pour tomber enceinte alors que mon mari m’avait demandé d’attendre un peu… Résultat, deux mamelles trop lourdes, qui font mal, et qu’il faut que je vide souvent, et un homme qui me fait la tête !


Après un léger mieux dans mon couple, Philippe a dû partir au Brésil, et c’est Charles, son supérieur hiérarchique, qui m’aide pour les commissions, car je n’ai pas de permis de conduire… À ma grande surprise, Charles me déclare qu’il en pince pour moi, et moi, je ne suis pas contre…




Match nul



Depuis deux bonnes semaines, Charles et son adoration de mes gros seins (et aussi de ma petite personne) sont devenus un élément presque quotidien de ma vie, et j’avoue que ça me plaît, ça m’égaie, ça met une touche de fun, comme disent les Américains. De plus, sa passion pour mes lolos s’est allègrement étendue à toutes les autres parties de mon corps, et ça me va très bien comme ça !


Oui, j’adore ses baisers, à la fois tendres et fougueux, cette façon qu’il a de me considérer comme la plus belle femme du monde, alors qu’avec mon mari, je commençais à faire partie des meubles…


Avec mon grand amant (car il n’est pas petit), j’ai droit à un doux mélange de bébé, d’amoureux et de figure paternelle. Je sais, ça frôle l’inceste, mais en tant que femme, j’aime être chouchoutée, dorlotée et adorée !


La plupart du temps, nous nous voyons chez moi, parfois à l’entreprise. Il nous arrive, après des courses dans les magasins, de faire des escapades, et même des mamours dans l’obscurité des cinémas. Mais il faut faire attention, nous sommes dans une petite ville où tout se sait très vite. Pour l’instant, nous avons pour nous l’excuse officielle que Charles m’aide pour certaines choses qui demandent un véhicule, le tout avec l’accord de mon mari qui a royalement claironné aux alentours que c’était son supérieur qui devait se dévouer pour compenser son départ au lointain.


Bref, la bénédiction du mari, et si nous restons sobres et un zeste distant dans nos comportements en public, tout devrait aller pour le mieux, d’autant que mon amant a la réputation d’être un homme plutôt strict et austère, sans parler qu’il est (extérieurement) aussi joyeux qu’une porte de prison.


Quand nous ne sommes qu’à deux, Charles a maintenant nettement perdu son côté guindé, cette protection dont il s’était entouré depuis quelques années. Je ne peux pas le blâmer de s’être protégé de la sorte, surtout quand il m’a avoué ce qui s’était réellement passé avec sa femme, pardon, son ex-femme. Je lui avais alors fait remarquer un petit point de détail :



Une fois de plus, tandis que les enfants dorment paisiblement, Charles est avec moi, en train de me lutiner et j’adore ça. Comme souvent, j’ai sorti le tralala, c’est-à-dire, de la belle lingerie. Aujourd’hui, c’est le jour du blanc ! Mon amant n’a pas beaucoup profité de mon soutien-gorge puisqu’il s’est vite offert le luxe de savourer mes seins. Plus bas, j’ai mis une belle culotte froufroutante laiteuse, un porte-jarretelles de la même couleur, et des bas assortis. Je me suis même chaussée de chaussures blanches pour ne pas faire de fausse note. Quand Charles a découvert l’ensemble sur moi, j’ai été récompensée par son sourire lumineux et son regard admiratif :



Et pour démontrer son envie de ma petite personne, Charles ne craint pas grand monde ! Très vite, nous nous sommes retrouvés au lit, lui nu et moi encore en lingerie, sauf mon soutien-gorge et aussi ma petite culotte. Il y a quelques jours, j’avais encore un petit pincement au cœur de m’ébattre dans le lit conjugal avec mon amant. Plus maintenant, tellement ça me semble naturel. Oui, je sais, ce n’est pas bien.


J’ai la chance que la chambre maritale soit éloignée de celle des enfants, mais ce n’est pas pour autant que je peux me permettre de crier quand je jouis comme une petite folle, car les murs sont assez fins. Alors nous parlons en sourdine, et nous modérons nos élans vocaux. Parfois pour couvrir notre conversation osée, nous allumons la radio, mais pas trop fort. Aux États-Unis, j’ai appris qu’ils ont une télévision dans presque chaque foyer un peu aisé. Ici, il faut être plutôt riche pour en avoir une, et il n’y a pas grand-chose à voir dessus. Quant à la petite, je la mets dans le salon afin de l’avoir rapidement sous la main en cas de problème, mais elle fait ses nuits, ce qui m’arrange bien !


Revenons à nos turpitudes et à l’adoration de mes seins par mon grand amant !


J’adore quand il torture mes lolos bien gonflés, quand il me capture mes seins à pleines mains, quand il les presse fortement et fermement pour les vider en les buvant, mais sans me faire mal. Ça me soulage et ça m’excite !



Oui, avec lui, je sais me lâcher en mots un peu cochons… et pas qu’en mots, je l’avoue…



C’est gentil de sa part de me donner des mots doux, mais ça me gêne :



Attendrie, je caresse sa joue :



Je m’alarme de cette réponse sibylline :



Je suis bien obligée de lui concéder cet argument. Mon mari n’a jamais apprécié le fait que je tombe enceinte sans lui en avoir parlé avant. Il m’avait demandé d’attendre. Mais mon envie a été plus forte que ma raison. Je soupire :



Je le vois qui cogite, pesant le pour et le contre. Puis il s’éloigne un peu de moi pour me causer de façon visiblement plus sérieuse. Ce que j’aime aussi chez Charles, c’est son écoute. Mon homme aurait continué à poursuivre le fil de son désir, sans se soucier de mon avis, point barre.


Accroupi devant moi, mon amant commence son explication de texte :



Il se gratte la tête, puis annonce :



Je cligne des yeux, j’ai un peu peur de comprendre ce que vient, en catimini, de me révéler Charles. Je pose néanmoins la question, même si je me doute de la réponse :



Je suis un peu mal placée pour m’offusquer de la trahison de mon mari, mais ça me fait quand même quelque chose. Je demande :



Je sens confusément qu’il sait quelque chose en plus, mais qu’il n’ose pas trop me l’avouer. L’intuition féminine… Alors, je le questionne directement :



Je vois bien qu’il fait la moue, se demandant s’il doit me le dire ou pas. Je comprends assez vite d’où vient sa réticence :



J’avais bien deviné. Je ne sais pas si c’est parce que mon amant tient vraiment à moi, ou s’il tient plutôt à nos ébats sexuels, mais je crois comprendre qu’il se refuse à tirer totalement avantage d’une situation qui pourrait lui être favorable. Quoique… ça pourrait aussi se retourner contre lui. Pour le rassurer, j’acquiesce :



Je vois qu’il cherche ses mots pour m’annoncer la chose avec égard :



C’est bien dit, mais ça fait mal, même si je ne suis pas claire et nette de mon côté. Moi, j’ai quand même résisté à la tentation. Mais comme je veux savoir, je demande :



Je suis assez partagée sur ce que je dois faire. J’apprécie néanmoins le « avant nous » qui tente de me dédouaner. Finalement, ça ne m’étonne pas trop. Phiphi et moi étions en peu en guerre, même si nous nous étions réconciliés sur l’édredon quelques jours avant son départ. Et puis, face à une jeunette bronzée, exotique et délurée, je ne fais pas tellement le poids, même si j’ai un tour de poitrine hallucinant…


Il me trompe là-bas, je le trompe ici, match nul.



Charles me sourit :



Charles sourit à nouveau, et moi, je me pose bien des questions !


Est-ce que mon homme ne voudra pas rester là-bas avec sa pouffiasse ? Est-ce que Charles me voudra encore de moi ? Quel scandale tout ceci va faire ? Est-ce que mes enfants seront épargnés ? Des tas de bonnes questions… des tas…


Peut-être aussi que Philippe reviendra, et que lui et moi, nous ferons semblant qu’il ne se soit rien passé… Je ne sais pas… Peut-être qu’il saura que je l’ai trompé, moi aussi. Peut-être qu’il saura que je sais qu’il m’a trompée… Oh que ça me donne le vertige de penser à ce genre de chose !




Match épique



Toutes ces questions se bousculent dans ma tête, et ça doit se voir sur mon visage puisque Charles me demande, un peu inquiet :



Il s’approche un peu de moi, me serre dans ses bras, écrasant mes seins trop gonflés contre sa vaste poitrine. Je suis bien, très bien… quelques secondes passent, puis j’entends sa voix qui résonne à mon oreille :



Belle expression ! Toujours blottie contre le corps protecteur de mon amant, j’émets un petit rire :



C’est à son tour d’émettre un petit rire :



Mon amant laisse sa phrase en suspens. Je reprends la balle au bond :



Eh bé ! C’est décidément la journée des révélations !



Posant ma main sur ses lèvres, je le coupe :



Il fait la moue, cherchant sans doute un contre-argument. À sa grande surprise, je commence à caresser son sexe qui se met aussitôt en belle position. Je le questionne :



Bon argument, ce qui ne m’empêche pas de le branler délicatement, et je sais qu’il apprécie ce genre de travaux manuels. C’est étrange : avec mon mari, je suis plutôt passive, mais avec Charles, je le suis moins. Peut-être qu’on est plus libérée avec un amant qu’avec son légitime.



Vicieuse, je lui demande :



Et pour joindre le geste à la parole, il capture un de mes gros seins bien lourds. Aussitôt, un peu de lait perle au bout de mon téton. Je me demande fugacement si Charles aura la même passion pour moi, une fois mon lait tari… Mais chaque chose en son temps. C’est alors que me vient en tête une idée un peu saugrenue…



Curieusement, j’accepte volontiers le fait qu’il m’appelle aussi comme mon mari. Je rougis un peu avant de lui avouer mon fantasme :



Je sens comme un léger étonnement dans sa voix :



Il rigole franchement !



Ce qui ne l’empêche pas de commencer à se mettre en position pour exaucer ma petite fantaisie. Il embrasse d’abord voluptueusement chacune de mes fesses, il en profite aussi pour jouer un peu avec les attaches de mon porte-jarretelles. Puis l’instant d’après, j’ai le plaisir d’éprouver le corps de mon amant sur mon dos, de me sentir dominée, possédée ! Son souffle dans mon cou, ses larges mains qui capturent mes gros seins gonflés de lait, son sexe qui cherche à se frayer un chemin, je me sens bien !


J’écarte les jambes pour lui faciliter son entrée en moi. Aussitôt, un sexe bien dur vient cogner d’abord contre mes lèvres déjà humides, puis je sens une bonne tige coulisser en moi pour venir m’envahir. Je dois être un peu maso, mais j’aime encore plus quand c’est Charles qui me possède de la sorte. Peut-être parce qu’il est le supérieur de mon homme ? Le dominant de mon dominant ? Serais-je vicieuse à ce point ?



Je déglutis faiblement :



Tout en serrant un peu plus mes seins, il émet un petit rire, puis répond :



Pour toute réponse, il m’embrasse dans le cou, ce qui a pour effet de m’électriser ! Puis durant cette agression caractérisée, mon amant en profite pour me saisir les seins et les presser bien fort, tout en les tripatouillant allégrement. Je ne sais pas à quoi il joue, mais il y va de bon cœur ! Je suis rapidement fixée quand il murmure à mon oreille :



Il ne faut pas lui dire deux fois, car s’il ne me répond pas en paroles, il presse mes seins à fond tandis que les draps se mouillent petit à petit. En même temps, il me pistonne allégrement, me faisant bien sentir que c’est lui qui possède le manche !


Oui, je dois être un peu maso, mais avec Charles, c’est assumé alors qu’avec Philippe, c’était latent. En tout cas, ça me réussit parfaitement, car je sens que ma jouissance monte en moi de façon irrésistible ! Mes seins martyrisés barbotent dans des draps imbibés de mon lait, ma chatte est pistonnée à mort, je suis retenue captive sous le poids de mon amant, c’est une étrange façon de faire l’amour, mais ça me plaît énormément !



Il mordille mon oreille avant de me dire :



Il mordille à nouveau mon oreille, avant de prononcer d’une voix plus rauque :



J’arrive à glisser ma main sous mon ventre, j’ai envie de me masturber. Je ne devrais pas le faire, car la bite d’un homme devrait me suffire, c’est du moins ce qu’enseigne un célèbre docteur autrichien. Mais je m’en fiche, je m’en fous ! Je n’en peux plus, j’ai trop envie de taquiner mon petit bouton rose et je m’y emploie allégrement et frénétiquement !



Tandis qu’il laboure ma chatte à grands coups bien profonds de bite, ses mains s’emploient à vider mes grosses mamelles. Mon menton, ma gorge, ma poitrine barbotent dans des draps imbibés de lait. C’est une situation étrange, inconvenante et pourtant si provocante et troublante !


Son poids sur mon dos, sa queue qui farfouille mes profondeurs, mes doigts qui agacent mon clitoris et ma fente baveuse, tout ceci fait monter en moi une douce chaleur qui irradie mon ventre. Oui, c’est terriblement bon d’être prise comme ça ! Je m’étonne que j’en sois déjà arrivée à ce stade avec mon amant et en si peu de temps. Dans six mois, à ce tarif, qu’est-ce que je serai devenue ? Je me ferai baiser par deux hommes en même temps ? Ou même trois ?


Avec son histoire de jumeaux, mon amant m’a donnée de nouvelles idées cochonnes ! Oh oui, j’imagine bien deux Charles en train de me faire l’amour comme des bêtes ! À cette évocation très libertine, mon plaisir monte d’un cran, mon ventre me brûle, je me sens comme un barrage prêt à céder. Oui, deux hommes, pourquoi pas… Et comment ils me prendraient ? Où viendraient-ils se nicher, où viendraient-ils se déverser en moi ? Où me rempliraient-ils de leurs spermes bien chauds et gluants ?


À cette évocation visqueuse et poisseuse, le barrage cède. Une énorme vague déferle dans la vallée, ravageant tout sur son passage, arbres, rochers, chalets, tout ! Je cris mon plaisir tandis que mes seins se vident, que ma chatte se remplit, tandis que mon corps se tend, tandis que mon esprit vole en éclat, tandis que je pars me perdre au-delà des nuages, disloquée, évaporée, sublimée.




Match bis



En cette fin d’après-midi, je viens juste de téléphoner à mon mari. La communication n’était pas géniale, mais en plus de ça, Philippe n’était pas très causant, comme absent, lointain dans les deux sens du terme. Il fallait même que je lui tire les vers du nez pour avoir des nouvelles de lui. Il s’est mollement défendu en disant qu’il était un peu crevé et qu’il supportait mal le climat. J’ai cru deviner comme un certain soulagement de sa part quand nous nous sommes dit au revoir. Dépitée, je raccroche. Charles, qui est à côté de moi, puisque je téléphone de son bureau, remarque vite ma déception :



Amusée, je jette un coup d’œil circulaire très ostensible avant de répondre :



Égayée, j’ouvre la porte. Puis, perchée sur mes talons aiguilles, en dandinant ostensiblement du popotin, j’arpente le couloir jusqu’au bout, puis je reviens sur mes pas. Intrigué, mon amant me demande :



Puis une fois la porte fermée, je passe mes bras autour de son cou en susurrant :



Aguicheuse, je lui réponds :



Nous nous embrassons. J’adore quand il m’embrasse ! Ça va faire bien longtemps que mon mari ne m’embrasse plus de la sorte. Avec Charles, je redécouvre le plaisir d’être une femme désirée et convoitée. Quand nos lèvres se séparent, je le vois à son visage que Charles souhaite aborder un sujet dans lequel il ne semble pas très certain de lui.



Il rigole franchement, et me serre un peu plus contre lui, mais sans m’étouffer.



C’est alors qu’il me vient une idée saugrenue (comme souvent ces derniers temps). Je me rappelle une sacrée séance cul avec mon mari avant qu’il ne parte au loin. Et si je la rejouai avec mon amant, pour voir la différence ? Excitée, j’expose mon idée à mon amant, en oubliant volontairement de mentionner le fait que j’ai déjà fait ce genre de cochonnerie avec Philippe.


Même s’il sait que je me libère petit à petit de jour en jour, mon amant est quand même surpris par mon audacieuse demande :



Il s’esclaffe joyeusement :



Et sans tarder, ses deux larges mains capturent mes deux gros nichons qui n’attendaient que ça, tandis que ses lèvres capturent les miennes. Peu après, je me retrouve seins nus, avec mon soutien-gorge qui jonche sur le bureau. Avant de venir, j’avais volontairement choisi une robe qui facilite la chose ! Charles s’offre son petit plaisir en me suçant, en m’aspirant les tétons afin de s’en mettre plein la bouche ! Je reconnais que ça me soulage, car j’ai toujours de sacrées montées de lait, bien que j’aie maintenant deux bébés à nourrir, dont un sacrément grand et vorace !


Soudain, mon amant arrête de s’occuper de mes seins pour ordonner :



Mon amant respecte ma proposition ligne par ligne. J’espère qu’il saura inventer, imaginer un peu plus que prévu. Il joue le jeu, ayant un langage plus cru et une attitude plus macho. J’ai découvert assez tardivement que ce n’est pas pour me déplaire, à condition que ça reste ludique. Empressé, Charles remonte ma robe sur mes reins et abaisse sans état d’âme ma culotte gainante.



Pour acquiescer ses dires, j’en profite pour le remuer de façon aguichante ! Ça doit lui faire de l’effet puisqu’il rétorque :



Ah tiens ! Exactement la même phrase que mon mari !


Aussitôt, Charles s’enfonce en moi et il y va de bon cœur ! Il faut dire que, comme je suis excitée comme pas possible, je suis déjà toute mouillée ! De la même façon qu’avec mon mari, à quatre pattes non plus sur le lit, mais à même la moquette, cul en buse, telle la vulgaire chienne que je suis, mon amant est en train de m’astiquer férocement ! Il me pistonne à grands coups de reins bien puissants, ses larges mains rivées sur mes hanches, ponctuant chaque entrée d’un grognement assez bestial ! Charles se lâche, j’adore quand son côté guidé s’évanouit et que son côté canaille ressurgit ! Tout ça, c’est un peu avilissant, mais c’est aussi très excitant ! Oui, ça me rappelle bien des choses…



Et joignant le geste à la parole, il s’empare de mes seins pendouillants et ballottants et les presse avidement. Comme souvent, un peu de lait en sort, puis dégouline sur ses doigts pour choir par terre. J’ai une fugace pensée pour les questions que se posera la femme de ménage quand elle viendra s’occuper ce soir ou demain matin de ce bureau…



Je décide de l’asticoter un peu :



Bien remplie par la queue en folie de mon amant, mon plaisir monte. J’adore cette façon animale de jouir, c’est très jouissif. Ça me confirme dans certaines de mes tendances… Mon amant est en train de me faire subir la même chose que mon mari, mais pourtant, ce n’est pas pareil. Avec mon mari, il y avait un côté plutôt… disons… contraignant, un peu forcé, alors qu’avec Charles, c’est beaucoup plus ludique, une sorte de jeu érotique, bestial et jubilatoire !


Toujours à quatre pattes comme une chienne, comme une truie, tandis que mon amant me bourre férocement, je me laisse aller à ce désir trouble qui monte en moi, la chatte bien entreprise, mes lourds lolos malaxés qui se vident, cet homme au-dessus de moi, derrière moi, en moi ! Pour un peu, je lui demanderais bien de m’enculer ! Mais j’aurais sacrément honte de le lui demander !



Il délaisse mes seins pour mieux s’agripper à mes hanches. Haletant, il me demande :



C’est alors que je sens quelque chose entrer en moi, quelque chose de puissant, d’infernal, de dantesque ! Je pousse un long gémissement, mélange de fine douleur, de surprise, et de plaisir étrange. Je me sens totalement envahie, possédée, c’est totalement fou !


Je me sens brûlante, saturée, l’esprit en déroute. C’est alors que je réalise que mon amant est en train de m’enculer à fond, qu’il a tout mis, et qu’il se comporte dans mon cul comme il se comportait dans ma chatte, il y a peu de temps. Il me lime, il me rabote, il me perfore, il entre et il sort avec une certaine aisance, comme si j’étais ouverte, comme si je lui avais abandonné tout mon corps, soumise sous sa puissante bite !


Je n’aurais jamais cru que ça me fasse un tel effet. Je reconnais avoir déjà testé la chose, surtout dans mes jeunes années pour préserver ma virginité, mais avec une tonne de lubrifiant et ça n’avait pas toujours été une franche réussite !



Charles est déchaîné, comme fou. Il en profite à fond, c’est le moins que je puisse dire ! Une vague immense de chaleur monte en moi, puissante, dévastatrice. Je sens confusément que je vais carrément jouir du cul ! C’est possible, ce genre de chose ? Tel un radeau perdu en pleine tempête, je me laisse aller sur un océan de frisson, de chaleur, de douleur, de douceur, de sensations antagonistes qui se mélangent, qui fusionnent !


Tremblante, je pousse un long cri, une puissante jouissance brûlante m’envahit, me submerge, me renverse. Avant de sombrer définitivement, je comprends que mon amant est en train de se vider bestialement en moi, qu’il me remplit, moi sa chose toute à lui !




Match retour



Inutile de dire que cette séance au bureau fut pour nous deux comme une révélation, un verrou qui saute. Parfois quand nous faisons l’amour de la sorte, je m’imagine comme étant sur une voiture sans frein, lancée dans une descente infernale et vertigineuse !


Je ne savais pas qu’un homme et une femme pouvaient faire tant de choses, de façon si naturelle, elle et lui complémentaires, l’un devinant l’autre, en accord presque parfait. Et ça me fait un peu peur, car si ce n’était pas trop mal avec Philippe, ma vie de couple me semble devenue bien fade à présent. Je pensais qu’ils exagéraient dans les romans, mais non, je le constate pour moi-même.


C’est dingue, c’est fou, je voudrais que ça ne s’arrête jamais, même si je finis les bras en croix, vidée, épuisée, mais radieuse ! Ça, c’est vraiment le septième ciel !


En parlant de ciel, c’est alors que celui-ci est venu à mon aide, sans que je l’aide initialement. Le destin est capricieux, comme un Cupidon qui voletterait les yeux bandés sans savoir dans quelle direction il décoche ses flèches. Je me souviens parfaitement de ce midi quand Charles a débarqué à l’improvise, une drôle d’expression sur le visage tandis que je donnais le sein à mon bébé. Je précise que, depuis le début de notre relation, il a un double de la clé de la porte d’entrée, ce qui simplifie les choses, surtout le soir quand les enfants dorment…


Petit retour en arrière…



Puis sans attendre, il ressort. C’est bien la première fois que je le vois dans ce genre d’état. Néanmoins, je continue à donner le sein à ma petite. Quelques minutes plus tard, elle émet un énorme rôt, puis elle s’endort aussitôt. Comme s’il avait été mystérieusement prévenu, Charles se présente à nouveau face à moi. Après un rapide bisou, je le questionne :



Je vois bien qu’il cherche les mots. Je l’aide à ma façon :



Mon amant capture mes mains dans ses grandes paluches qui savent être si douces :



Je fronce des sourcils :



Je vois Charles respirer un grand coup, puis il me serre les mains plus fortement :



J’ai plusieurs fois imaginé que mon mari venait à disparaître de ma vie, mais quand ça arrive réellement, on se sent stupide, on ne sait pas quoi faire, même si on a préparé trente-six scénarios dans sa tête avant que ça n’arrive vraiment.


Je suis hébétée, les yeux grands écarquillés, la bouche ouverte, les bras ballants. C’est Charles qui me sauve la mise en me prenant dans ses bras et en me serrant bien fort contre lui. Puis je me mets à pleurer. Je ne sais pas bien pourquoi les larmes sortent toutes seules, mais je me vide ainsi. Je pleure sur mon mari mort ? Je pleure de soulagement ? Je pleure sur mon ancienne vie ? Je pleure parce que j’ai peur de ce qui va arriver, de ce nouvel avenir ?


Un peu plus tard, toujours emprisonnée dans les bras de Charles, j’émerge, je renifle un bon coup, puis je demande :



Un peu hébétée, je lui demande :



Il me serre à nouveau contre lui :



Je pousse un pauvre soupir :



Puis il me câline longuement, délicatement. Je ferme les yeux, je me laisse bercer, telle une enfant. Je me dis que je suis bien tombée avec Charles, car beaucoup d’hommes auraient fui dans pareille situation. Lui, il reste là, à mes côtés, tel un roc au milieu de la tempête, inébranlable… C’est peut-être un cliché, moi sa petite chose et lui mon grand machin protecteur, mais ça me convient très bien ainsi, et je compte faire en sorte qu’il en soit ainsi encore longtemps.


Je vais finir par croire que là-haut, quelqu’un ou quelque chose veille sur moi, même si sa façon de procéder est un peu… disons… étrange…


Alors les jours suivants, les semaines suivantes, les mois suivants, même si ce fut un peu cynique de ma part, j’ai joué la pauvre veuve éplorée tandis que Charles me soutenait, en tout bien et tout honneur, bien sûr. De plus, le noir me va très bien. Ce rôle n’a pas été trop difficile à tenir, la perte de mon mari m’avait quand même ébranlée, je n’en demandais pas tant. Au tout début, j’ai même failli me reprocher mon adultère, qui aurait été la cause directe ou indirecte de la mort de mon mari. Mais Charles m’a vite remise dans le droit chemin, m’aidant du mieux qu’il pouvait.


De jour, comme de nuit, bien sûr. Discrètement la nuit, il va de soi… Et je vous prie de croire que certaines nuits furent des nuits de folie, une course éperdue. Certaines femmes se perdent dans l’alcool ; moi, je me perds dans le sexe, dans la jouissance, dans le don de mon corps. Et j’ai découvert que je pouvais être très salope, que ça me plaisait beaucoup, et que ça ravissait aussi énormément mon amant.


Puis de fil en aiguille, les semaines puis les mois se sont écoulés…


De fil en aiguille, personne ne m’a reproché de me faire gentiment consoler…


De fil en aiguille, tout le monde est venu à mon remariage, très réussi, je l’avoue. Vous devinez avec qui, je suppose.


De fil en aiguille, tout le monde s’est réjoui que j’accouche un an plus tard d’un beau bébé en pleine forme et bien bâti, comme son papa…


Par contre, tout le monde n’est pas censé savoir que mes lourds lolos bien laiteux servent à la fois à nourrir mon beau bébé et aussi mon nouveau mari !