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Temps de lecture estimé : 9 mn
16/04/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Dans un monde où les contacts physiques et - à plus forte raison - sexuels sont proscrits depuis des siècles, Britaly a pour mission de tester la Fantasmachine. Et c'est avec émerveillement qu'elle découvre tous les plaisirs refusés aux humains.
Critères:  init fh collègues grossexe collection cérébral fist fdanus fsodo hdanus
Auteur : Rosebud      Envoi mini-message

Série : Les aventures de Britaly dans la Fantasmachine

Chapitre 03 / 04
Une Testeuse sachant tester

Résumé des épisodes précédents :


Dur métier que celui de Testeuse

2482. Dans un monde où les contacts physiques sont interdits suite à une vague d’épidémies, toute activité sexuelle a disparu. Les procréations sont désormais médicalement assistées et chaque bébé se voit attribuer une fonction dès la naissance.

Britaly appartient au groupe des Testeurs. Elle est choisie pour évaluer la « Fantasmachine », simulateur de sexe, censé redonner plaisir et espoir aux peuples et avorter une inévitable révolution.

Dans la machine, elle découvre la jouissance sous les coups de langue d’Istéon, module capable de modifier son apparence et dont l’algorithme est dédié au plaisir.

Mais lorsque le programme de test doit s’arrêter au terme de la séquence « cunnilingus », les Chercheurs ne parviennent pas à reprendre les commandes. Istéon semble avoir verrouillé l’accès et être décidé à tester tous les fantasmes en compagnie de la jeune et jolie Britaly.


Testeuse : un métier épanouissant

Tandis que Britaly découvre l’étendue des possibilités offertes par la Fantasmachine, Istéon se surprend à ressentir des émotions pour lesquelles il n’était pourtant pas programmé.

À l’extérieur de la cabine, le Professeur, son assistante et tous les techniciens présents découvrent eux aussi des plaisirs inconnus.



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Tous deux allongés dans l’herbe, Istéon et Britaly restèrent un long moment silencieux. Si elle avait apprécié de « fellationner » son compagnon de test et de recueillir sa semence, cette pratique ne l’avait pas comblée autant que le « cunnilingus » ou la « pénétration vaginale ».



Istéon se leva et, professoral, commença son exposé :



Aussitôt, son pénis adopta la dimension mentionnée.



Aussitôt, le sexe d’Istéon se transforma en une sorte de matraque de chair gonflée, aux dimensions impressionnantes.



Ses deux mains l’enserrant, elle constatait avec stupeur qu’il lui était impossible de faire se toucher les extrémités de ses doigts. Elle entama machinalement une lente masturbation de l’engin. Impossible d’envisager de le prendre en bouche, mais…



Aussitôt elle s’allongea, les cuisses ouvertes.



Quand on est conditionné pour tester, on veut tout tester. Istéon s’approcha et introduisit un doigt, puis un deuxième, allant et venant dans le vagin de Britaly aux anges.



Dans la salle des opérations, on venait de relayer les images sur trois écrans géants. Birdy, l’assistante du professeur, était parvenue à isoler les signaux numériques de Britaly et d’Istéon, si bien qu’à présent l’assemblée pouvait voir par leurs yeux. Et ce qu’ils découvraient dépassait tout ce qu’ils avaient pu imaginer. L’écran retransmettant la vision d’Istéon captait à présent toute l’attention. Il venait d’introduire un quatrième doigt et continuait d’aller et venir en elle. Quand, ramenant la base de son pouce contre la paume de sa main, on la vit progressivement disparaître entièrement, quelques cris féminins se firent entendre. Déjà, certaines tentaient l’expérience de ce « fistage », peu pratique quand on est seule. Birdy, la première – peut-être aussi la plus souple – parvint à faire disparaître sa main dans son vagin. On salua l’exploit unanimement, mais bien vite les regards convergèrent vers les écrans car le pénis démesuré d’Istéon était en approche. Britaly avait un comportement étrange : elle criait, pleurait, mais en même temps semblait apprécier la dilatation qu’imposait le diamètre de l’engin. Le gland d’Istéon disparut rapidement et, peu à peu, centimètre par centimètre, c’est près de la moitié de son sexe qui fut avalé par celui de Britaly.



Britaly était secouée de spasmes incontrôlables. Tout son corps s’ébrouait au rythme des impulsions d’Istéon et de son monstre de chair. Elle eut un orgasme foudroyant qui dura bien plus longtemps que les précédents et la transporta dans une autre dimension. Elle hurlait encore bien après que l’engin eut cessé de lui écarteler les parois vaginales. Elle eut l’impression d’avoir perdu conscience quelques instants.


Dans la salle des opérations, la stupéfaction avait mis fin au brouhaha et aux expérimentations. Certaines femmes se masquaient la bouche, compatissantes. Même Birdy, pourtant téméraire, avait cessé de tenter d’introduire sa deuxième main. Tous étaient sous le choc.



Un « Oh ! » de stupeur traversa la grande salle. Comment était-ce possible ? Aussi loin que l’on s’en souvenait, après neuf mois de gestation on pratiquait une incision dans le ventre pour en retirer le nouveau-né et le placenta.

Istéon poursuivit ses explications que chacun écouta avec attention.



Elle médita quelques instants sur l’expérience qu’elle venait de vivre. Elle avait eu l’impression que son esprit avait quitté son corps… Cette intense douleur combinée à cet incroyable plaisir, c’était au-delà de ce qu’elle avait connu jusqu’alors. Plus fort que tout ce qu’elle avait eu à tester. Bien plus stupéfiant encore que quand elle avait testé la « Pilule du bonheur » qu’on prescrivait depuis à tour de bras. Sa réflexion fut pourtant de courte durée et son génome de Testeuse reprit rapidement les commandes de sa conscience.



Istéon baissa les yeux vers le sexe de la jeune femme, toujours béant.



Istéon balaya la liste des fantasmes prévus dans son code. Il y avait encore bien des expériences à faire découvrir à Britaly, mais la plupart supposaient l’intervention d’un ou plusieurs autres partenaires et il n’avait aucune envie de faire appel aux clones qu’il avait à sa disposition. Il ne comprenait pas ce sentiment mais avait la conviction qu’il n’avait pas été programmé pour le ressentir… Ce qu’il savait, c’était qu’il voulait être le seul à faire découvrir toutes les possibilités offertes par le sexe à la jeune Testeuse.



Tous les spectateurs échangèrent un regard. Comme Britaly, ils n’avaient jamais entendu ce mot.



Elle eut un mouvement de recul.



Elle désigna le sexe d’Istéon et ses dimensions hors normes.



Dans la seconde, son pénis retrouva sa taille initiale, correspondant à la norme mondiale de 2100. De l’autre côté de l’écran, tous étaient suspendus aux lèvres d’Istéon. Comment imaginer que cet orifice dévolu à la déjection puisse entrer dans le cadre des pratiques sexuelles ? Si cette simple idée dégoûtait certains, d’autres tentaient déjà d’y introduire un doigt ou deux. Birdy était de ceux-là, tout comme le Professeur Furion. La caste des Chercheurs dont ils faisaient tous deux partie avait la même fascination pour la découverte que celle des Testeurs.


Le Professeur se masturbait pour la huitième ou neuvième fois tout en s’excitant l’anus de l’autre main, les yeux fixés sur la croupe de Birdy, son assistante. Il fut soudain pris d’une étrange envie, presque un besoin : mettre son pénis dans l’anus de Birdy. Impensable ! Il parvint à se contenir mais cette idée qui venait de lui traverser l’esprit avait décuplé son excitation. Il ne parvenait plus à chasser cette image de son sexe coulissant entre les fesses de Birdy. Lui qui, comme tous ses concitoyens, n’avait jamais touché une autre personne ! Comment était-ce seulement envisageable ? Il savait pourtant qu’au moindre contact il serait foudroyé par la maladie, que des pustules le recouvriraient en moins d’une minute et que l’asphyxie le rayerait de la carte aussitôt : c’était écrit dans tous les manuels et c’était la première chose que les parents inculquaient aux enfants. Il s’en fallut de peu qu’il brave pourtant ce danger pour la seule satisfaction de goûter quelques instants au pur bonheur qu’on devait ressentir à « sodomiser ».

Heureusement, Istéon allait bientôt lui permettre de penser à autre chose.



Les animaux domestiques ayant disparu depuis plus d’un siècle, ni Britaly ni les autres ne connaissaient ce mot étrange.



Britaly ne bougea pas.



À court d’explications, Istéon estima à raison qu’il serait plus rapide de lui faire la démonstration ; il adopta la position.



Britaly l’imita aussitôt.



Il s’agenouilla derrière elle et passa les doigts entre les lèvres, toujours ruisselantes, de Britaly avant de commencer à les introduire dans son anus.



Britaly acquiesça, un peu surprise des effets de l’introduction de ce doigt dans son anus.



D’une même voix, Britaly et une vingtaine de spectateurs crièrent :



Reprenant régulièrement un peu de lubrifiant à la source, Istéon s’appliqua à dilater l’anus de Britaly qui, après quelques minutes, lui parut apte à recevoir son pénis. Il le présenta après l’avoir recouvert de la cyprine de sa partenaire. Après une légère résistance, il parvint à introduire le gland, et lentement finit par l’introduire entièrement. Il ressentit un étrange bien-être, une réelle excitation, de voir son pénis disparaître ainsi en elle puis réapparaître. Britaly commençait à se cambrer sous ses mouvements.



Istéon s’exécuta, allongeant son pénis de cinq centimètres qui furent aussitôt engloutis.



Une nouvelle fois, il ajouta quelques centimètres. Les yeux rivés sur l’écran retransmettant la vision d’Istéon, on admirait à présent les trente centimètres de son pénis entrer et sortir de l’anus de Britaly avec une aisance insoupçonnable.



Il obéit. Et elle en demandait toujours plus, si bien qu’il finit par avoir repris les dimensions démentes qu’il avait un peu plus tôt. Mais à la différence de son vagin, l’anus de Britaly engloutissait l’engin. Quand elle rendit les armes et qu’Istéon se retira, Britaly n’en revenait pas d’avoir supporté une telle intromission ! Elle pouvait presque sentir ses intestins se remettre en place suite au passage de la bête.



Dans la salle d’opérations, la surprise avait à nouveau laissé place à l’excitation, et les masturbations avaient repris bon train. Birdy, deux doigts dans l’anus et deux autres sur le clitoris, haletait en fixant son regard sur la main du Professeur qui s’agitait sur son sexe. Cette vision décuplait son plaisir et elle rêvait de prendre ce pénis dans sa bouche et pouvoir le « fellationner ». Et si tout était faux ? Et si tout ce qu’on leur apprenait depuis toujours n’était qu’un tissu de mensonges, au même titre que cette « sexualité » magnifique dont on les privait depuis des lustres ? Son regard croisa celui du Professeur et elle comprit qu’il le désirait tout autant qu’elle. Elle prit une profonde inspiration et, consciente qu’elle vivait sans doute ses derniers instants, posa un doigt sur le pénis du Professeur.



À suivre…