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Temps de lecture estimé : 19 mn
19/05/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  J'avais frôlé de près la catastrophe en filmant Mélissa à son insu lorsqu'elle se masturbait. Elle s'en était aperçue et fut d'une incroyable compréhension envers moi. Jamais elle ne m'en tint vraiment rigueur.
Critères:  fhh extraoffre copains voir odeurs hmast fellation cunnilingu 69 pénétratio -couple+h
Auteur : Ekkeko      Envoi mini-message

Série : Mélissa, son intimité, son passé : mon fantasme

Chapitre 04 / 04
Du fantasme à la réalité

NDLA :

Je n’ai pas la possibilité technique – je ne sais pas pourquoi – de répondre dans les commentaires des précédents épisodes, alors je me permets de le faire ici.


Je ne pensais pas choquer les lecteurs avec mon précédent épisode, et loin de moi l’idée de faire l’apologie de ce qui est traité dans mon histoire… C’est de la fiction, comme dans beaucoup de textes ici, des extraterrestres aux fantômes, en passant par les récents « polars » tout de même bien plus glauques que mon voyeur de narrateur.

Néanmoins, je présente mes excuses à celles ou ceux que j’aurais pu mettre mal à l’aise.


Un temps découragé, je ne souhaitais pas donner de suite à ce récit. Grâce à des échanges avec certains, je me laisse tenter de finir cette série.


Merci à ceux qui m’ont redonné envie, ils se reconnaîtront.

J’accepte bien évidemment toute remarque, tant qu’elle est constructive. Merci :)



_________________________________________




Résumé des épisodes précédents :


« Approche et découverte de son intimité »

« Un beau cadeau, une belle révélation »

« Quand les événements vous dépassent »



J’avais frôlé de près la catastrophe en filmant Mélissa à son insu lorsqu’elle se masturbait. Elle s’en était aperçue et fut d’une incroyable compréhension envers moi. Jamais elle ne m’en tint vraiment rigueur. Bien sûr, elle me fit promettre de ne plus lui refaire de coup dans ce genre, ce que je lui promis. Je n’en étais peut-être pas absous pour autant, mais au moins pardonné.

Cette mésaventure eut au moins le mérite de mettre à plat certaines choses et d’amener sur le tapis mon fantasme de la voir et de la partager.



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Cela faisait maintenant quelques mois qu’avec Mélissa, nous évoquions l’éventualité de trouver un partenaire afin qu’elle me fasse découvrir le triolisme.

J’étais complètement novice en la matière, elle pas. Outre la fois immortalisée sur sa sextape avec son ex et un pote à eux, Mélissa avait aussi participé à un autre trio, avec un couple d’amis à elle, où cette fois elle était la pièce rapportée.


Elle connaissait donc l’amour avec deux hommes, mais également avec deux femmes. Sans la qualifier de pro dans le domaine, je pourrais m’appuyer sur son expérience et en bénéficier.

Si son autre trio n’avait à mon grand dam pas été filmé, j’avais en revanche demandé à Mélissa qu’elle m’en délivre les détails pendant que nous faisions l’amour. Elle ne me cachait pas qu’elle préférait la configuration deux hommes et une femme, et ajoutait en rigolant qu’elle ne faisait pas confiance à un homme pour savoir correctement satisfaire deux nanas à la fois. Moi, je crois surtout qu’elle aime la bite, et que deux, c’est mieux qu’une seule.


Toujours est-il que c’était donc un deuxième mec que nous recherchions.



Je lui confirme en rigolant que, oui, je voyais très bien de quoi elle parlait. C’est fou comme Mélissa est capable de se lâcher pendant l’amour, des fois même de façon très crue, mais comme elle peut être réservée en dehors.



C’était chose faite quelques jours plus tard, Mélissa avait réussi à le recontacter via les réseaux sociaux. Il ne semblait ni marié, ni pacsé, ni même s’être fait moine.


Elle lui dit que ça lui ferait plaisir de le revoir, plaçant dans la conversation qu’elle en profiterait pour me présenter à lui, façon de dire qu’elle était en couple et que c’était du « sérieux ». Évidemment, elle ne lui dévoila pas la véritable raison de son envie de le revoir, nous verrions au fil du temps si le feeling passe, notamment en ce qui me concernait.


Nous avions convenu d’un rendez-vous dans un pub de son choix pour le samedi suivant.


Kevin nous avait dit qu’il viendrait directement après son boulot. Il est commercial dans l’automobile et il était en déplacement hors du département pour la journée, qu’on ne lui tienne pas rigueur s’il avait un peu de retard.


En fait il était déjà là à notre arrivée, dans un beau costume sombre et avec cravate siou’plaît. Les lieux semblaient pourtant avoir un code vestimentaire différent, sobrement décoré, mais avec goût, c’était une belle alliance de style urbain et traditionnel. Une musique lounge était diffusée, et il y régnait une ambiance détendue. Dans le fond se trouvait un recoin un peu à part, peut-être réservé aux habitués ou VIP, et qui n’avait jamais dû être tenu au courant de la loi antitabac vu les nuages de fumée qui en émanaient. C’était effectivement un endroit sympa que nous avait suggéré Kevin.


Malgré le temps passé, je ne trouvais pas ce dernier beaucoup changé par rapport à ce que j’avais vu de lui sur la sextape. Nous avions d’ailleurs convenu avec Mél de lui taire le fait que j’avais eu connaissance de leur vidéo. Mélissa préférait ainsi et ça ne me dérangeait pas outre mesure. Officiellement, il serait pour moi un de ses ex, demi-mensonge puisqu’ils étaient effectivement sortis ensemble pendant quelque temps, mais plus comme sexfriend qu’autre chose.


Ils se sont tapé la bise, et même si d’aventure il nous arriverait à lui et à moi de nous voir prochainement nus, je ne lui serrai que la main.

Nous prîmes place à sa table, tous les deux assis face à lui. Je ne pus m’empêcher de le détailler : brun, d’à peu près la même taille que moi, il me dépassait cependant en carrure d’épaules. Il se dégageait de lui une aura d’assurance, mais aussi de confiance et de sérénité. Ses yeux bleus éclairaient son visage anguleux bordé d’une barbe collier. J’émis pour moi un avis positif à cette première impression, puisque c’est celle qui compte…


On a commandé des verres – enfin, surtout leur contenu – rien de bien fort, et avons parlé de tout et de rien ; eux évoquèrent quelques souvenirs et anciens amis communs. Il s’intéressa à mon travail, mes hobbies. Je lui donnai le change.


Lui est un passionné de rallye automobile qu’il pratique en compétition amateur. Mélissa devait le savoir, car elle lui demanda s’il avait toujours la même voiture qu’à l’époque, ce à quoi il répondit par la négative, celle-ci ayant fini dans un ravin lors d’un accident, qui d’ailleurs coûta la vie de son copilote, nous apprit-il, et d’où il réchappa lui-même de justesse, mais qui lui valut au passage deux mois de fauteuil roulant.


Voilà, beau travail ! Ambiance bien plombée, ma chérie va aborder maintenant le sujet du cul…


Visiblement gênée, Mél s’excuse de sa maladresse et se tortille sur place d’embarras.

Kevin nous rassure, et nous explique avec philosophie que même s’il a perdu un ami cher, la blessure est refermée, et qu’il a depuis ce jour-là, une vision différente de la vie. Il nous dit désormais la mordre à pleines dents, conscient qu’il faut la préserver et en profiter tant qu’on le peut, sans se prendre la tête à l’excès. La vie revêt pour lui une grande valeur et par exemple, il nous dit mettre un point d’honneur à souvent donner son sang, afin que d’autres puissent être sauvés comme il l’avait été ce jour-là.


Ça, c’est un bon point pour lui, un donneur doit régulièrement faire des tests pour les MST, et vu notre arrière-pensée, c’est de bon aloi.


C’est ce moment que choisit Mélissa pour aller aux toilettes, m’abandonnant lâchement au milieu de cette lourdeur qu’elle avait installée.


Avec un peu l’air d’un con et ne sachant que dire au risque de confirmer, je vois son petit cul s’éloigner et l’embarras approcher. J’en profite pour changer de sujet quand Kevin semble avoir la même idée :



Kevin réprime un sourire, et se dit que je n’étais sûrement pas au courant de beaucoup de choses.



Je m’étonne moi-même de ma facilité à mentir et d’avoir pu dire de manière si naturelle l’exact inverse de ce que je pensais. Je note dans un coin de ma tête de m’essayer un jour au théâtre ou à la politique.



Je regarde ce mec, tout sympathique qu’il était à vouloir me rassurer, mais ne peux m’empêcher de me dire à moi-même : « Tu sais que mon souhait est de jeter ma femme dans ton pieu ? Voire même l’inverse ? » et j’en riais intérieurement.



Et comme si un exemple était nécessaire, elle vide son verre, cul sec.


Nous avons passé une excellente soirée avec Kevin, pendant laquelle nous avons échangé, elle et moi, quelques regards complices, comme pour donner notre assentiment réciproque à une suite avec lui. À part quelques blagues graveleuses, mais qui n’engagent à rien, nous n’avons pas abordé le sujet du sexe, préférant en rester à une première approche réussie. Mais la prochaine étape devra se passer avec plus d’intimité que dans un pub où il peut être malaisé de parler sans ambages.


C’est ainsi que nous l’invitâmes à venir dîner un soir à la maison.




oOo




Kevin arrive avec une bonne bouteille dans une main et un bouquet dans l’autre, comme il sied à un invité parfait. Nous l’avions prévenu que la soirée serait décontractée et qu’il oublie cette fois-ci le costume et la cravate.


C’est pourquoi, simplement, mais correctement vêtu, il est un peu surpris de voir la tenue de Mélissa quand elle lui ouvre la porte. Longue jupe noire échancrée sur le côté et un bustier blanc moulant offrant à la vue un très beau décolleté. Elle était passée chez le coiffeur et son carré plongeant est parfait, encadrant à merveille son visage avec ses beaux yeux bleus mis en valeur par un simple eye-liner noir, seul artifice qu’elle porte sur son visage. Ses pieds nus sont la seule preuve qu’elle ne s’apprête pas à partir en soirée.


En ce qui me concerne, c’est un simple pantalon de toile et une chemise cintrée, ce qui colle davantage au côté décontracté voulu pour cette soirée.


Nous nous installons à la table du salon / salle à manger, où Mélissa a préparé toute sorte de mignardises, tout aussi appétissantes qu’elle. Des petits hors-d’œuvre et bouchées chaudes arrosées d’un cocktail au rhum ambré dont Mélissa a le secret.


L’ambiance est détendue et l’on rigole autant que l’on philosophe.


Néanmoins l’alcool nous donne chaud, et j’enlève mon pull pourtant léger, ce en quoi Kevin m’imite. Je soupçonne aussi un peu Mél d’avoir monté le chauffage en douce.



Moi, ce que je vois surtout c’est qu’en deux minutes Mélissa s’est débrouillée pour savoir s’il était clean et récemment dépisté, si son cœur était pris et en prime s’il n’était pas un peu en manque ! Chapeau ma chérie, une vraie cheffe !



Sous la table à l’abri des regards, je sens la main de Mélissa qui caresse ma cuisse et déborde largement sur mon entrejambe, ce qui commence gentiment à me faire bander. Elle en est à son troisième cocktail et je sais que c’est la limite haute avant qu’elle ait du mal à retenir la cochonne qu’elle sait être.


Elle se penche vers moi et m’embrasse langoureusement, comme pour se donner en spectacle à notre frustré d’invité. Je regarde discrètement Kevin, qui déglutit avant de nous dire en plaisantant que si on compte continuer de lui torturer les yeux comme ça, il préfère nous laisser !


Mélissa s’écarte un peu de mes lèvres et le regard que l’on échange alors est lourd de sens. Ça y est, elle attend que je lui donne le top départ, si je suis d’accord. Son sourire malicieux ne laisse aucun doute sur le fait qu’elle-même en a envie.


Vais-je supporter ce qui est en train de se tramer en cet instant, Mélissa va se lancer et ne le fera sûrement pas qu’à moitié. Un retour en arrière sera compliqué…


Jamais je n’avais douté avant ce moment. Lorsqu’elle et moi en avions parlé, je n’avais comme référence que la vision d’elle en vidéo, de quelque chose de passé, qui n’avait pas de rapport avec nous, avec notre couple. Mais pour l’instant je bande comme un âne et n’ai qu’une seule envie, que ça se passe ! Si aujourd’hui il se produit quelque chose, la portée sur notre relation sera tout autre.


Tant pis, ou tant mieux, je ne sais pas, mais j’acquiesce discrètement de la tête et lui dis :



En train de boire une gorgée pour se donner de la contenance, il manque de s’étrangler en m’entendant.

Une fois remis de sa fausse route, il nous voit le regarder tout sourire, enlacés. Ne sachant si c’est du lard ou du cochon, le sourire de Kevin est incertain, appuyé par un regard benêt de gamin devant un gâteau à la crème.


Mais voir Mélissa se mordre la lèvre inférieure façon tigresse, faire le tour de la table en se rapprochant avec une démarche féline annihile tous ses doutes.


Elle prend appui sur la table, se penchant vers lui et lui offrant une vue plongeante dans son décolleté où il ne peut que remarquer l’absence de soutif. À quelques centimètres de son visage, elle articule de manière très suave :



C’est moi qu’il regarde, et il comprend très bien le chemin sur lequel il est, mais cherche quand même mon ultime approbation. Je la lui donne avec un clin d’œil.



Leurs lèvres se touchent, celles de Mélissa s’écartent et sa langue vient darder la sienne. Puis elle l’embrasse, fougueusement, glisse une main dans sa chemise et lui caresse sensuellement le torse, faisant sauter deux boutons au passage.


Il se recule de la table et, sans arrêter son baiser, Mél en profite pour venir à califourchon sur lui, tenant son visage carré entre ses petites mains.


Je me lève et viens derrière elle, mes mains croisent celles de Kevin sur ses seins, seulement séparés par le tissu de son bustier qu’il a écarté pour mieux empaumer ses deux mamelons à même la peau.


Elle ondule du bassin et se frotte sans pudeur sur la belle bosse que Kevin a désormais entre les jambes.



Elle se lève, nous prend par la main pour nous tirer jusqu’à la chambre où elle nous jette littéralement sur le lit. D’un geste, elle quitte sa jupe et fait voler son bustier, nous exposant sa nudité la plus totale, seulement rehaussée par un « ticket de métro » rasé très court.


Ok, c’est consommé. Nous avons atteint le point de non-retour et je me sens comme un puceau sur le point de perdre sa virginité, tremblant devant l’inconnu.


Mais j’ai commencé à bander dur en voyant ma copine peloter un autre mec, un autre mec avec qui elle a déjà baisé, qu’elle a déjà pompé, qui lui a déjà giclé dessus, dedans, avec qui elle a déjà joui encore et encore… Et cela va se reproduire sous mes yeux, en live, et pour mon plus grand plaisir.


Mélissa grimpe sur le lit et, la croupe en l’air, s’attaque à la ceinture et à la braguette de Kevin, qui n’opposent aucune résistance à ses doigts agiles.


Le sexe de Kevin, encore emprisonné du caleçon, est animé de petits soubresauts qui crient à Mélissa de tout libérer. Elle le fait juste glisser et son mandrin se dresse fièrement sous son nez.



Sans être hors norme, son sexe est de belle taille, peut-être un plus large que le mien, mais surtout plus long d’un ou deux centimètres, et entouré d’une légère toison brune dont on peut voir que Kevin l’entretient.


Elle le flatte du bout des doigts, des lèvres, le caresse avec ses joues, hume son effluve et le goûte en passant largement sa langue tout le long de cette colonne de chair terminée par un gland bien dessiné et presque violacé.


Je ne suis pas pédé, mais il faut avouer qu’il a ce qu’on appelle une belle bite.


Elle finit de retirer prestement ce qui entrave les jambes de Kevin, et une main sur ses bourses et l’autre autour de sa hampe, elle l’embouche et commence à le sucer avec délectation. Les bruits de succion et la vue de sa bouche humide qui coulisse autour me mettent dans un état sans précédent.


Elle tourne sa tête vers moi et remue son petit cul, m’invitant à m’occuper d’elle. Je me lève, quitte sans ménagement mes vêtements et viens à genoux derrière elle coller ma bouche à son sexe, lui massant le clitoris d’une main et caressant tour à tour ses seins de l’autre. Elle pousse et force vers moi, comme pour mieux ressentir les assauts de ma langue. Elle lâche un court instant ce qu’elle suce pour m’ordonner de la prendre. Je ne me fais pas prier et j’entre sans mal dans sa chatte trempée.


Tournant la tête vers les grands miroirs de la penderie, j’observe la scène comme de l’extérieur, elle, à quatre pattes, une bite en bouche et une autre qui la pilonne. C’est un spectacle très excitant qui s’offre à moi et je sais que ces images, encore plus troublantes que les précédentes que j’ai pu voir d’elle sur un écran, resteront gravées en moi.


Je lui fais l’amour avec une telle fougue que Mélissa en arrête sa pipe comme pour mieux en profiter. Kevin aussi profite du miroir et entame alors une lente masturbation en nous regardant.


Ma belle Mélissa semble recouvrer ses esprits et fait volte-face, et nous nous trouvons avec Kevin à avoir échangé nos places sans avoir bougé pour autant. Je l’ai, il faut croire, bien préparée, car elle s’empale sans difficulté sur le sexe impatient de Kevin, et me pompe à mon tour.


Tournant le dos à notre invité maintenant fiché en elle, elle se met à bouger son bassin dans tous les sens, et cela me rappelle ses masturbations lorsqu’elle est sur le point de jouir.


Elle me lâche, et prend ma main qu’elle pose sur ma tige m’intimant de me branler. Elle se redresse un peu, les yeux fermés et gémissant de plaisir, elle accélère son mouvement, s’empalant presque avec violence sur cette large queue qui doit taper au plus profond de son vagin. Ses mains sont agrippées aux draps, celles de Kevin sur ses hanches qui accompagnent ses allers-retours, elle se tord de plaisir sous mes yeux grâce à un autre homme.



À peine son souhait exprimé qu’elle est enlevée par un puissant orgasme qui la fait s’affaler sur le matelas dans un cri de jouissance.


Kevin, comme moi, autour d’elle et toujours au garde-à-vous, n’avons pas encore joui, bien que cela me demande à l’instant beaucoup d’efforts.


Nous savons aussi très bien que Mélissa ne se contentera jamais d’un seul orgasme. Sur ce point, elle est constante tant à l’époque de Kevin qu’avec moi ! C’est une gourmande, une vorace de plaisirs sexuels et elle sait obtenir ce qu’elle veut. Même si, pour être honnête, elle n’a pas à beaucoup me supplier…


Elle se remet en levrette, le cul vers Kevin, qui réinvestit aussitôt sa place.



Ravi de me voir assigné à une autre fonction que ma branlette de spectateur passif, je m’avance vers Kevin qui va pour se retirer me laissant la place quand, une main derrière son dos pour le retenir en elle, Mélissa lui dit :



Un échange de regard avec Kevin, lui aussi semble interloqué. Il n’y a pas trente-six manières de procéder…


Je me glisse alors sous elle, en soixante-neuf, avec une vue imprenable sur sa petite chatte dilatée par la bite de Kevin à moitié cachée en elle. J’ai un gros plan sur ses grandes lèvres qui englobent et collent à son membre gonflé de désir et palpitant, de grosses veines saillantes sur toute sa longueur. Puis il recommence de lents va-et-vient, qui me laissent comme hypnotisé par ce que je vois à même pas dix centimètres de mon nez.


Mélissa me donne un à-coup, comme pour me sortir de ma torpeur et me rappeler à ma mission. Je prends vite son clitoris entre mes lèvres et le suçote comme elle aime, pendant que Kevin continue de la baiser avec une ardeur grandissante. Quelle drôle de sensation que cette position où, sous les coups de boutoir de Kevin, je sens ses balloches frôler mon visage.


Il se dégage une forte odeur de ces sexes accouplés au-dessus de moi. Quand ma bouche parcourt son bouton d’amour, que mes larges léchouilles en font le tour, je sais bien que ce n’est pas toujours qu’avec Mélissa que ma langue est en contact. Je me surprends à en jouer, et en profiter pour déborder sur la peau de cette bite occupée à donner du plaisir à ma chérie.


Kevin ne semble pas s’en apercevoir ou bien l’accepte bien volontiers…


Mélissa, haletante, s’occupe comme elle peut de ma bite avec sa bouche et sa main, tandis que les mouvements de chacun s’amplifient.



Dans une ultime accélération, je vois sa bite s’enfoncer profond en elle. Sa chatte accueille ce mandrin qui, accompagné d’un râle, se décharge soudain de sa douce et chaude semence au fond d’elle. Ma langue continue de parcourir ses lèvres parcourues de soubresauts. Mélissa est au bord de son second orgasme. Kevin donne encore de bons coups de reins pour purger son membre de ses dernières gouttes et cet effet de pompe ramène son sperme à l’extérieur, une pellicule blanchâtre jointant maintenant leurs sexes.


Mélissa se dégage enfin de cette bite qui vient de jouir en elle et se redresse pour me coller franco sa chatte toute grasse sur la bouche, sur laquelle elle commence à se frotter.


Je sais qu’elle adore les cunnis post-éjac, car elle me le demande souvent. Mais quand j’ai joui, je ne suis plus aussi entreprenant et si je lui fais, c’est surtout pour lui faire plaisir, n’y trouvant pas autant de satisfaction que si j’y pense avant. Mais à cet instant je n’ai moi-même pas encore éjaculé et je suis donc en pleine excitation. J’insinue alors ma langue dans son antre élargi.


J’en racle l’intérieur et y retrouve le goût fort et âcre de cette mayonnaise résultant du mélange de foutre et de cyprine. Je lape ce nectar épais et l’aspire lorsque je m’affaire sur son clito, quand son deuxième orgasme la ravit soudain et la fait se contracter de plaisir, ce qui m’envoie droit dans la bouche une coulée du sperme de Kevin qui s’échappait de sa vulve. C’est la première fois que j’ai autant de sperme dans la bouche, et ce n’est pas le mien qui plus est ! N’ayant d’autre choix, je déglutis péniblement et avale sa liqueur que je sens doucement couler dans ma gorge, me laissant une certaine acidité dans la bouche. C’est la première fois que je goûte un sperme autre que le mien, et n’y éprouve pas particulièrement de plaisir, mais dans le feu de l’action je dois avouer y trouver de l’excitation.


Continuant ses mouvements qui me barbouillent le visage, Mél se jette sur ma bite tendue à l’extrême et en dix secondes c’est plié, je me répands en de violentes saccades dans sa petite bouche experte.


Ma semence aux commissures des lèvres, celle de Kevin qui goutte de son sexe et qui macule encore ma langue, elle se tourne vers notre invité et l’embrasse goulûment afin de boucler cet échange de fluides intimes.


Puis c’est moi qu’elle embrasse, longtemps, le regard tendre et amoureux.


Kevin et moi, en revanche, n’osons pas tellement nous regarder. Ni lui ni moi n’avions jamais eu de contact aussi intime avec un autre homme et une sorte de gêne s’est comme installée. J’ai quand même léché sa bite et nous avons mutuellement goûté nos spermes…


Mélissa, quant à elle, nous regarde, amusée avec un grand sourire satisfait, visiblement ravie de nous avoir poussés à ça !



Et la voilà qui éclate de rire à son vilain jeu de mots, et finalement nous avec !


Après avoir proposé à Kevin de passer la nuit chez nous à cause de l’heure – ce qu’il refuse poliment – et alors que nous allions le raccompagner à la porte, Mélissa nous demande de l’excuser un moment.



Quand elle réapparaît quelques minutes plus tard, elle tient ses mains dans le dos et affiche un petit sourire coquin.



Et elle nous tend à chacun un DVD avec pour seule inscription la trace d’un baiser faite au rouge à lèvres.


Mélissa a enregistré toute la soirée… en caméra cachée !