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Temps de lecture estimé : 15 mn
29/05/18
Résumé:  La levrette promise.
Critères:  fh inconnu collègues travail fellation cunnilingu pénétratio fouetfesse -bureau
Auteur : Balbon      

Série : Histoire de bureau

Chapitre 03
Et maintenant ?

Et maintenant ?


Résumé de l’épisode 1 : « Promotion »

Bombardé directeur de ma boîte suite au décès de mon oncle, j’ai du mal à prendre mes marques. Un soir, je me lance dans une masturbation au bureau, mais mon assistante, Marie, me surprend. Elle finira par me faire une gâterie…


Dans l’épisode 2 : « Plus qu’une assistante »

Marie décroche un plan cul, mais me prête une main salvatrice. Encore un intermède sexuel, réciproque cette fois avec une fellation et un cunnilingus.



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Lundi 8 h 30. J’arrive en retard. Tiffany est déjà là.



J’entre dans mon bureau et je décide d’aérer cinq minutes pendant que je m’installe. Mon ordinateur est toujours en train de démarrer quand Marie arrive. Elle s’assied et attend pendant que je ferme la fenêtre. Tiffany m’apporte un thé avec le sourire.



Il me semble que ses joues rosissent un peu, mais je n’en suis pas sûr. Je rougis en pensant à la matinée de samedi.



Je regarde mon agenda électronique.



Marie me regarde d’un air surpris.



Elle sourit en pensant à la semaine dernière.



Le reste de la journée se passe normalement jusqu’à la visite de notre client qui s’est montré odieux. Notre niveau de qualité est très insuffisant, blablabbla. Toujours les mêmes problèmes dont nous sommes conscients et sur lesquels nous travaillons dur.

La journée se termine et il est tard. Tiffany est partie et Marie travaille encore.



Je la suis en notant que les talons noirs ne sont pas assortis aux lunettes roses. Étrange, enfin pour moi, mais je ne ferai pas de remarque. Elle s’approche de l’armoire à côté de la table ronde où nous déjeunons tous les midis. Elle se penche et ouvre la porte pour en sortir une bouteille de whisky.



Elle ressort et revient avec une bouteille de Perrier quelques secondes plus tard. Je me suis servi un verre en l’attendant.



Je la remercie et nous avalons une gorgée. Le whisky me brûle la gorge et je manque de m’étouffer. Je n’ai pas l’habitude de ce genre d’alcool. Marie éclate de rire en me tapant dans le dos.



Elle verse une rasade de Perrier et j’avale le mélange.



Elle prend mon verre et le pose sur la table. Une partie de mon cerveau me dit « Pourvu qu’elle te saute dessus » tandis que l’autre me dit « Saute-lui dessus ». Les problèmes de la boîte, bien qu’étant toujours là, me semblent moins lointains. Elle me sourit et va fermer la porte à clé. Marie revient en me regardant comme une proie, puis commence à dégrafer son chemisier.



Marie pose son chemisier sur une chaise, retire sa jupe et pose ses mains sur la table en se cambrant au maximum.



Après réflexion, la secrétaire soumise, c’est vraiment nécessaire. En une seconde, je deviens un animal assoiffé de sexe. Mon cœur tape tellement fort que je sens les pulsations dans ma nuque. Mon sexe ne demande qu’à s’échapper du caleçon. La vue de la cambrure de ses reins et de ses fesses tendues m’hypnotise. Marie me regarde, contente de son effet. Je m’approche et pose une main sur son épaule. Elle descend lentement le long de la colonne vertébrale, passe sur la cambrure des reins et s’arrête sur ses fesses.



J’embrasse ses fesses et retire sa culotte. Elle écarte les jambes et je commence à lécher son sexe. Elle gémit pour m’encourager. Je me relève et me déshabille. Marie se redresse et s’approche de moi. Elle pose ses mains sur mon torse et m’embrasse dans le cou. Je pose mes mains sur ses hanches et descends sur ses fesses. Nos respirations s’accélèrent. Sa bouche descend sur mon torse, s’attarde sur mes tétons et les mordille. Je caresse ses cheveux. Elle descend sur mon ventre et commence à me sucer doucement. Je gémis :



Marie rit en gardant ma bite dans sa bouche.



Je la rassure en lui répondant que j’en ai dans le tiroir de mon bureau. J’en récupère un et je l’enfile. Marie attend, offerte, les jambes écartées. Je donne quelques coups de langue et la pénètre. Sa chatte est chaude et humide. Je commence les va-et-vient.



J’augmente l’amplitude et l’attrape par les hanches.



Je tape de plus en plus fort.



Je deviens fou. Je donne une première claque, puis une autre.



J’aimerais dire que les mots ont dépassé ma pensée, mais à cet instant, je ne pense pas beaucoup… J’y vais à fond et je claque franchement son postérieur qui rougit. Puis, j’attrape ses hanches et j’envoie des coups de boutoir. Marie est coincée entre la table et mon bassin. Elle gémit. Son sexe dégouline de plaisir. Je commence à fatiguer, mes reins et mes mollets se raidissent sous l’effort.



Je l’attrape par les épaules et la force à se cabrer. Mes couilles battent sur son clito, je ralentis un peu le rythme et je donne un coup de reins plus fort à chaque fois. Au bout de quelques instants de ce traitement, j’éjacule en maintenant son bassin sur le mien. Mes yeux sont rivés sur son cou.



On rit ensemble. Marie se relève et me donne un baiser que je lui rends aussitôt.


Mardi 11 h 30. Tiffany frappe à mon bureau et entre.



Je rencontre un homme charmant avec une assistante qui pourrait être mannequin. Elle est habillée d’un tailleur-jupe noir très près du corps. La jupe est presque une minijupe. L’assistante, Sonia, est plus grande que moi, blonde platine avec une poitrine généreuse. Elle est un peu trop maquillée et sourit en permanence. Les filles me regardent partir sans commentaire. Mes hôtes m’emmènent déjeuner dans un hôtel quatre étoiles en ville.


À aucun moment, on ne parle de travail. Ils posent beaucoup de questions sur moi. Au bout de quelques minutes, je leur demande de me parler un peu plus de leur société. L’homme me parle de lui, le directeur, de sa femme, de ses voitures, de sa maison et autres signes ostensibles de sa réussite. Ensuite vient le tour de la blonde. Le repas est excellent, l’alcool coule à flots. Je m’absente aux toilettes et quand je reviens la blonde a enlevé sa veste et son chemisier a deux boutons défaits. Je me dis que je suis tombé dans un traquenard. Le repas suit son cours, mais j’arrête l’alcool pour garder les idées claires. Après le dessert, le directeur me propose de continuer l’entretien dans sa chambre à cause de la chaleur dans la salle sans climatisation. Nous montons.


Sa chambre comporte un grand lit double et un coin salon avec une petite table ronde et trois fauteuils. Le portable du directeur sonne, il décroche et s’isole dans le couloir. Trente secondes après, il nous dit qu’il doit s’absenter une heure, mais que son assistante restera avec moi. À peine la porte fermée, la blonde commence son numéro.


Elle a chaud même avec l’air conditionné. Elle me dit que chez elle, elle est toujours pieds nus en lingerie et me demande si elle peut se mettre à l’aise. Je lui dis que je ne préfère pas, mais elle enlève quand même son chemisier et sa jupe. La voilà en lingerie et porte-jarretelles devant moi. La situation est étrange, mais j’avoue que le corps de la blonde est magnifique. Elle m’explique qu’elle est célibataire après le départ de son ex et que les hommes la fuient parce qu’elle est trop belle et que la plupart des hommes ne se sentent pas à la hauteur. Elle rame, car je ne dis rien donc elle enchaîne en me disant qu’elle est vraiment en manque et qu’elle trouve me charmant. Sonia me demande juste un peu d’attention avant de retourner dans sa solitude.


Elle me supplie de coucher avec elle en me disant qu’elle fera tout ce que je lui demande, vraiment tout. Elle est sexy et ses gros seins m’attirent, mais la situation me dérange. Est-ce une call-girl engagée par le directeur ? Elle n’a pas l’air d’avoir envie de moi. Bizarrement, je pense à Marie. Je me lève et je lui dis que je ne peux rien faire pour elle. Je sors de la chambre et je demande à la réception de m’appeler un taxi.


Une fois de retour à la boîte, je passe devant le bureau des filles, perturbé par ce qu’il vient de se passer. Aucune ne m’adresse la parole. Je rentre dans mon bureau et sors la bouteille de whisky. J’en verse un fond dans un verre puis sors demander un Perrier à Marie.



Je regarde Marie qui semble absorbée par son dossier.



Je n’ai pas envie de faire les frais de leur jeu, je ne suis pas d’humeur. Je me sens mal. Je retourne dans mon bureau pour boire mon whisky. Après une longue réflexion, je décide d’envoyer un mail au directeur en lui expliquant que j’ai apprécié le repas, mais que son assistante s’est montrée insistante et que j’ai préféré partir.


19 h 30. Je ferme la porte de mon bureau et je mets une chaise derrière la poignée. Je quitte mon pantalon et cherche sur un site porno une blonde à gros seins pour évacuer ma tension et fantasmer ce que je n’ai pas fait dans l’après-midi. Soudain, mon téléphone sonne, c’est Marie. J’enlève mes écouteurs :



Marie est troublée et sent la conversation lui échapper :



Je la coupe, agacé :



Elle marque un point et je luis dois bien ça. J’accepte. Je me rhabille, ferme mon navigateur. Après avoir enlevé la chaise, j’ouvre la porte. Marie est un peu perturbée, mais moins que moi.



Je l’écoute pendant un quart d’heure en prenant conscience du malaise depuis la mort de mon oncle, de la surcharge de travail.



J’ai envie de l’embrasser. Mais je ne veux pas me planter une fois de plus. On se regarde pendant quelques secondes puis je retourne à mon bureau pour prendre une gorgée de whisky-soda.



Je la regarde sans répondre puis je reprends une gorgée du mélange. J’hésite à lui dire oui, mais il serait plus professionnel de dire non. Elle s’approche de moi et m’embrasse.



Je lui rends son baiser et la serre contre moi. Je l’embrasse dans le cou. On se regarde en souriant et chacun déshabille l’autre. On s’embrasse encore et Marie attrape mon sexe qui commence à grandir. Elle se met à genou et commencer à me sucer.



Marie reprit sa fellation avec une grande application. Je lui propose de lui rendre la pareille, mais elle me dit qu’elle préfère que je la baise sur mon bureau. Elle s’assied les jambes écartées et me dit qu’elle veut que je la baise à fond. Mon assistante sait sur quel bouton appuyer. Je la pénètre après avoir enfilé une capote. Elle s’accroche à mes épaules et m’embrasse. Mon bassin s’active et Marie gémit. Elle s’approche de mon oreille et me dit :



Mon excitation augmente et j’accélère.



Je la repousse sur le bureau et attrape ses hanches. Je donne des coups de boutoir en regardant ses seins battre la mesure. Elle gémit de plus en plus fort et ça m’excite encore plus. Je tape le plus fort possible, ça me fait mal à la base du sexe, mais je suis trop excité. Nous nous regardons et je sens que je vais jouir. Marie commence à crier et me regarde. Son regard chargé de plaisir déclenche mon éjaculation, longue et saccadée. Je m’allonge sur elle et l’embrasse avec tendresse. Elle me serre contre elle. On profite de ce moment avant de se rhabiller sans un mot. Avant de partir, elle me gratifie d’un merveilleux sourire.

Mon assistante devient plus qu’une assistante pour moi.


Mercredi 8 h 10. J’arrive au bureau fatigué, je me suis retourné dans le lit jusque tard dans la nuit. Je suis stressé, c’est normal de l’être un peu, mais cela prend des proportions qui me mettent mal à l’aise. Je salue Marie, puis viennent les politesses d’usage et la liste des rendez-vous de la journée. Après quelques secondes de silence, je trouve le courage de me lancer :



Elle sourit.



Marie me regarde, je n’arrive pas à interpréter l’expression de son visage.



La terre s’effondre sous mes pieds. J’essaie de garder une contenance.



Elle rit, puis se reprend.



Le manque d’entrain de Marie me glace. Je me suis fait un film sur elle. C’est juste une histoire de cul. C’est vrai que notre relation se limite au sexe… Ma déception me surprend.

Aujourd’hui sera un jour gris. Je me plonge dans le travail pour penser à autre chose. Pendant le déjeuner, je suis en retrait, les filles parlent de leur ex respectifs.


19 h. Je sors du bureau et Tiffany me dit qu’elle prendra sa voiture. Je lui propose de dîner au « Plaisir italien » où nous avions déjeuné. Elle accepte.

Ce soir nous échappons à Giovanni. Nous échangeons à propos de différents sujets. Je suis mal à l’aise, mais je veux quand même profiter de l’occasion pour en savoir plus sur elle. Nous parlons de nos loisirs, de notre parcours professionnel.



Je ne sais pas quoi dire. Marie me regarde pendant quelques secondes puis regarde son assiette.



La serveuse amène les desserts ce qui me permet de changer de sujet de conversation : les desserts !

Nous nous quittons sur le parking, Marie me fait la bise. Je suis déçu par la tournure des choses, sans pour autant souhaiter une relation classique que je fuirais sûrement. Je ne sais pas quel type de femme il me faut, ni si je veux être avec Marie, mais je sais deux choses : un, je ne veux pas que Marie soit avec un autre, deux, je veux caresser ce corps et embrasser cette bouche capable de me transformer en obsédé décérébré d’un langoureux « Monsieur »…