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Temps de lecture estimé : 22 mn
21/07/18
Résumé:  Valy veut gagner le jeu en rasant son sexe dès ce soir. Elle le fait magistralement avec les suites inévitables.
Critères:  ffh fbi collègues fépilée vacances caférestau exhib noculotte photofilm rasage anulingus 69 fsodo hdanus init -initff
Auteur : Penn Sardin            Envoi mini-message

Série : Les 50 limites de l'amitié H/F

Chapitre 12 / 15
Une soirée rasante

Résumé de l’épisode précédent : Pour se remettre de leurs émotions, Stéph a offert aux deux filles une soirée de rêve dans un restaurent chic. Cette soirée a été une lente dérive sensuelle qui a dépassé toutes les espérances les plus folles de son instigateur. Et, la sortie du restaurent, la soirée n’est pas terminée.



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Val se lève pour donner le mouvement mais aussitôt se souvient du caractère particulier de sa tenue. Du coup, elle est moins pressée et se rassoit en serrant les jambes.


Elle reste figée un peu bizarrement mais, comme je me présente derrière elle pour lui tenir sa chaise et lui faire une bise pour lui réaffirmer ma protection, elle se décide à se lever. Véronique est hilare et la pauvre Valy doit aussi gérer la moquerie de sa consœur dans l’impudeur.



Je suis toujours fier d’être aussi bien accompagné. J’ai, en plus ce soir, la gloire de savoir que ces deux magnifiques créatures sont aussi des coquines qui me font l’honneur de partager leur impudeur avec moi seul.


Le personnel est très serviable avec les jeunes femmes le temps que je règle la note. Le principal majordome donne des explications concernant l’architecture du lieu aux deux jeunes femmes. Elles font semblant de trouver intéressant alors que leur angoisse est de se savoir debout en pleine lumière au milieu du vestibule, en surplomb de la salle du restaurant. Ici tous les hommes qui passent ne voient qu’elles, tellement elles sont belles et sensuelles.


Le voiturier nous rapporte la voiture et les portes arrière sont ouvertes pour les charmantes dames. C’est ainsi qu’elles s’installent toutes les deux ensemble, loin de moi. C’est aussi bien, je serais perturbé en ayant l’une ou l’autre à côté de moi avec leur jupe qui dégagerait les cuisses jusqu’à l’indécence. Cela pourrait affecter la qualité de ma conduite.


Une fois partis, le silence s’installe dans la voiture. Dans la pénombre, je sens que les filles communiquent avec les yeux et je veux m’inviter dans leur duo :



Véro répond avec mystère :



La route est longue, je roule doucement. J’ai orienté le rétroviseur intérieur vers la banquette arrière et, épaule contre épaule, les filles jouent à me montrer leurs cuisses à la lisière de leur jardin secret et même un peu au-delà par moment. La lumière est faible, je ne vois presque rien, mais le jeu de séduction fatale est terriblement troublant.


Arrivés à la maison, Valérie demande tout de suite à Véro un rasoir, elle a de la suite dans les idées. Elles vont toutes les deux dans la salle de bain. À mon habitude, je m’occupe du feu, article indispensable à une bonne ambiance de soirée.

Véro sort avec tout le nécessaire et Val à sa suite :



Valy ne sait pas sur quel pied danser. La pudeur n’est certainement pas sa première obsession ce soir en particulier. Le déroulement de la soirée conduit naturellement vers une dérive très coquine et la tendresse très sensuelle qui est partagée entre nous trois rassure chacun sur le consentement et même l’envie de tous à lui donner un point d’orgue érotique. Mais, même si nous lui avons largement ouvert la porte de notre amitié, Véronique a une relation intime exclusive avec moi. Valérie doit avoir peur de devenir une voleuse d’amant si elle prend des initiatives déplacées.


Véro a dû sentir comme moi, la gêne de notre amie et elle sait qu’elle seule, puisqu’elle cède son privilège d’amante, peut inviter Valy à un prolongement voluptueux au scénario incroyablement tendancieux de cette soirée. Il faut qu’elle prenne l’initiative ici et maintenant :



Valérie voit cette porte qui s’ouvre et décide de la franchir sans hésiter :



Rien n’est écrit. Véro qui n’est pas attirée par les femmes le moins du monde et qui se propose de raser son amie était déjà une surprise incroyable donc rien ne semble plus ni impossible, ni prévisible. J’évoquais ma présence de voyeur à cette séance de rasage coquin sans oser l’espérer. Pour sceller le franchissement de cette nouvelle limite et décontracter un peu la tension de ce basculement inopiné, j’argumente sur les aspects techniques :



Le seuil est franchi : Valérie est devenue une amie totalement débridée à notre égard et nous trouvons cela parfaitement normal. Sans que je ne discerne le déclic générateur, il est maintenant parfaitement possible que nous fassions l’amour tous les trois ce soir. Aucun de nous trois n’envisageait vraiment cette dérive rapide de notre relation, mais elle semble naturelle et ne pas avoir de sens majeur au-delà du plaisir qu’elle nous donnera.


Je m’empresse de préparer la scène sans que Véronique ne réagisse, je suis sur un nuage. J’ajoute l’étole de Véro ici, des verres et une bouteille de champagne là, j’active le feu pour avoir de belles flammes. En un tour de main, nous sommes dans un endroit intime et chaleureux.


Valérie s’est installée au milieu du sofa et attend que Véro prépare la crème et les ustensiles. Je prends déjà quelques photos, la jupe de Val est très courte dans cette position, et ses cuisses sont largement dénudées. Même si son mont de Vénus est encore dissimulé, l’image dégage un érotisme torride.


Quand Véro s’installe à son tour devant elle, Valérie attrape sa jupe et la remonte sur le ventre avec un naturel pragmatique. Sa forêt luxuriante apparaît entre ses cuisses. C’est l’image d’avant la déforestation, elle est précieuse entre mille.



Véro vient de faire une révélation, elle a changé sa coupe intime pour ces vacances. J’aurais voulu en savoir plus, mais son changement de sujet immédiat a clos le sujet.



Véro utilise une paire de ciseaux pour commencer et, juste après, couvre de mousse le mont de Vénus de son amie. Je fais des photos de chaque opération, tout cela a un énorme potentiel érotique. Véro met un soin particulier dans l’application de la mousse. Elle caresse l’intimité d’une femme pour la première fois de sa vie, et cela à l’air de lui plaire. Elle n’a aucune hésitation comme une professionnelle dans un hammam, mais déploie un zèle sensuel qui nous émeut tous les trois. Je prends quelques photos mais je limite les prises de vue : le flash ne convient pas à l’image feutrée et je préfère déguster ce moment avec mes yeux en filmant avec le téléphone de Véro. Quand la mousse couvre bien la zone à raser jusque entre les cuisses, Véro s’arme de mon rasoir et officie avec minutie.


Le crissement de la lame est régulier. La peau blanche, cachée depuis si longtemps, apparaît en bande derrière le rasoir. Valérie suit l’opération avec attention et n’a aucun mouvement de renoncement. Au contraire elle écarte plus encore les jambes pour ouvrir toujours plus d’accès au rasoir. Elle est tellement concentrée sur le rasage qu’elle ne se rend pas compte qu’elle montre une image totalement indécente de son sexe à Véronique et à mon regard de mâle.


Très vite, Véronique a dégagé complètement la vulve, Valérie a un nouveau sexe, complètement différent. Elle est rayonnante.



Valérie passe ses mains derrière ses genoux et offre à son esthéticienne un champ d’action qui va au-delà même de son petit anneau plissé. Les photos d’une telle attitude seraient triviales, je renonce à l’immortaliser mais cela me laisse le loisir de me passionner pour cette scène débridée qui augure une soirée diablement chaude et passionnée.


Le barbier émérite reprend de la mousse et l’étale sans hésitation autour des grandes lèvres, et puis plus bas, partout où il y a des poils. Elle en met même sur et autour de l’anneau culier en le massant délicatement, c’est soit par jeu, soit pour voir la réaction de sa patiente, soit par expérience. Valérie dévore son raseur des yeux et rougit mais ne s’oppose en rien aux facéties de Véro. Le rasoir reprend son office, mais plus doucement, plus précisément. Véro explore tous les recoins de l’aine, du sexe et des fesses de son amie, bientôt, elle a vraiment l’entrecuisse aussi lisse que le jour de sa naissance. Véro essuie toute trace de mousse et d’humidité et contemple son travail :



Valérie ne cherche pas à retrouver sa pudeur définitivement disparue, elle se plie autant qu’elle peut pour observer son sexe et puis fait un sourire de grande tendresse à son amie :



Véro a la joue contre le mollet de la belle exposée. Comme pour se donner une contenance ou pour vérifier la qualité du travail, elle pose délicatement le bout de ses doigts sur sa vulve.


Elle sait aussi que le Rubicond est franchi, que la soirée terminera en une bacchanale qui lui fera franchir des frontières qu’elle n’imaginait pas explorer de toute sa vie. Il faut juste ne pas éteindre la flamme sensuelle qui nous habite tous les trois pour nous lancer dans cette aventure. Véro minaude donc logiquement pour prolonger la posture indécente de Valy et son geste ambigu :



Véro est concentrée sur le sexe féminin offert à ses yeux, sur ces cuisses douces qu’elle caresse, sur ce corps de femme qui s’offre à elle et que, contre toute attente, elle désire !

Pendant ces révélations de tendresse plutôt ambiguës, Véro n’a pas cessé de caresser la chatte nouvellement glabre. Maintenant, celle-ci est très humide. Cela fait plusieurs minutes que le rasage est fini, le constat du résultat n’est plus un prétexte crédible pour rester exposée ainsi.


Les jeux de l’amour sont déclarés ouverts !

Nous allons faire l’amour à trois ce soir !

Et la relation sexuelle entre femmes en sera une composante importante !


oooOOOooo


En lui caressant ouvertement le sexe, Véronique a ouvert la porte des jeux lesbiens, Valy a la main pour la prochaine étape. C’est évident que la situation la tente et la trouble tout à la fois. Elle ne veut pas la perturber, risquer de perdre cette occasion mais elle a aussi peur de ce monde peut-être inconnu pour elle aussi. Ma caution « hétéro » lui est certainement nécessaire, je m’approche un peu, comme pour mieux voir, mais surtout pour la rassurer que cela se jouera à trois ce soir.


Elle me tend la main, puis m’attire vers elle et me tend ses lèvres. Je ne refuse pas cette offrande, je lui donne un long et doux baiser. Notre premier baiser amoureux entre elle et moi. Je lui caresse le ventre et remonte vers ses seins par de petits gestes enveloppants. Véro nous a vus donner le signal qui lui manquait, elle couvre la cuisse de Val de petits baisers tandis que sa main masse maintenant sa vulve clairement pour lui donner du plaisir.


Je glisse ma main dans le dos de Val pour dégrafer sa robe et la baisser un peu. Puis mes mains reviennent lui caresser les seins. Mes baisers vont sur le haut des seins découvert par le décolleté et ma main caresse le bas des seins en se glissant dans le vêtement. C’est un encerclement mais cela ne doit pas durer. J’interromps mes caresses pour nous débarrasser de cette robe inutile et je reprends mon hommage à cette poitrine magnifique.


Les baisers de Véro, eux, remontent la cuisse pour s’approcher inéluctablement de la zone qui fera d’elle une femme qui aime une femme. Je sais que mon amie n’a jamais eu de relation homosexuelle, ni même l’envie d’en avoir. Pourtant, elle franchit le Rubicon sans hésiter.


Valérie doit sentir l’événement lourd de signification, mais en s’abandonnant à mes caresses pour détourner la tension, elle tend son sexe vers cette bouche féminine qui s’approche. En écartant les cuisses, elle appelle Véro pour qu’elle ne renonce pas, pour qu’elle sache que sa bouche est attendue sur son sexe désirant.


Je surveille ou plutôt j’admire ce spectacle magnifique du premier amour lesbien de mon amie et peut-être de mes deux amies. Les baisers emmènent Véro vers sa cible. La bouche est attirée comme un aimant vers le haut du sexe, directement vers le clitoris qui se cache encore un peu entre les lèvres glabres et protectrices.


J’ai arrêté mes caresses et mes baisers pour admirer ce moment magique, mais Val nous veut tous les deux au service de son plaisir. Elle tend sa main vers mon sexe et le caresse à travers le pantalon de toile légère. Elle se rend compte que je n’ai pas mis de slip pour cette soirée spéciale. Elle peut mesurer mon érection sur toute sa longueur en palpant et enveloppant mon vit du tissu clair.


Tandis que Véro a perdu maintenant toute réserve et mange le sexe de son amie avec gourmandise, Valy me masturbe et se contorsionne de plaisir. Je bande ferme, la fermeture de ma braguette me fait mal, j’ouvre et laisse glisser mon pantalon pour offrir mon sexe à la caresse. Valy l’empoigne aussitôt et le branle avec de grands mouvements. Ma queue est sèche, cette caresse est un mélange de bonheur et de douleur.


Ma tortionnaire se donne à Véro, elle exprime le plaisir qu’elle ressent sous ses baisers efficaces, mais, soit elle ne veut pas m’oublier pour autant, soit elle veut ma caution hétéro et donc elle me tire par la bite, penche sa tête et commence une douce fellation enveloppante. Dans le même temps elle a encore accéléré sa branlette. Sa caresse est devenue divine grâce à l’abondante salive dont elle a lubrifié ma queue. Je suis aux anges ! Valérie est une pipeuse de première classe, ce petit bout de femme est surprenant.


J’ai toujours mon appareil photo, je fais quelques clichés hautement pornographiques. Les filles ne prêtent pas attention à ce vol d’image, la confiance est totale entre nous.

Je suis, encore une fois, impressionné par ma situation : je me fais sucer par une jolie femme que je ne connais que depuis deux jours mais qui est déjà une grande amie pour moi et j’observe mon amie hétéro de toujours lui faire l’amour.


Je fais de petits mouvements de hanche pour pourfendre cette bouche accueillante, c’est divin. Et j’observe Véronique qui dévore la moule de ma suceuse avec une langue qui doit faire des intrusions intimes ravageuses si j’en juge par les déhanchements délicieux de Valérie que cela provoque. Je ne vois pas tout, mais les mains de Véro ne sont pas inactives et donnent aussi des sensations fortes à sa proie. Nous continuons notre trio longtemps, c’est un plaisir sans fin, rien ne nous convaincra d’arrêter.


Pourtant, Véro en décide autrement. Elle se redresse, la bouche luisante de la mouille abondante, me caresse les fesses et décide d’interrompre la fellation qui m’unit à notre amie commune. Elle se penche pour prendre à son tour mon sexe dans sa bouche et puis donne un doux baiser à Valérie.


Enfin, elle m’attire pour venir prendre sa place à genoux entre les jambes offertes. Elle a pris l’initiative sans nous consulter mais ni moi, ni Valérie ne pensons à nous opposer à la volonté de celle qui nous aime également.


Je reprends aussitôt l’office de Véro en léchant le sexe nu de notre nouvelle amie qui m’accepte sans réserve. Je n’ai pas son talent mais j’essaie de copier l’art féminin de sucer un sexe féminin. Véro se lève et fouille dans son sac au pied du canapé. Elle en sort un préservatif dont elle déchire l’enveloppe d’un coup de dent décidé.


Toujours sans nous demander notre consentement, elle déroule le latex sur ma tige tendue et se met derrière moi. Sans me suggérer d’arrêter mon travail sur le sexe de Valérie, elle me débarrasse de mon pantalon qui m’entravait les mollets et retire ma chemise pour finir de me déshabiller.


Tout en restant derrière moi, elle empoigne enfin ma queue, la branle un peu et me pousse de son ventre sur mes fesses vers le sexe luisant devant moi. Quand le bout de mon sexe atteint la vulve de Valérie, Véro utilise ma queue pour la caresser. Son geste est précis, elle semble faire ce qu’elle aurait fait pour elle, comme si elle ressentait les sensations qu’elle prodigue à Valérie. Après quelques minutes de ce traitement qui nous plaît à tous les trois, toujours en me poussant de son bassin, elle fait entrer mon sexe dans celui de Valérie. Comme si c’était elle qui possédait notre amie !


Maintenant, c’est moi qui prends le contrôle de la situation. Je sens bien le vagin qui accueille mon vit. Je me glisse doucement et délicieusement dans cette caverne humide et quémandeuse. Véro se met alors à genoux à côté de Valérie. Elle fait passer sa robe par-dessus sa tête et apparaît merveilleusement nue dans la lumière rouge du feu. Elle se penche sur Valérie, lui donne un baiser passionné et lui caresse les seins. Valy s’offre à son amie et à moi avec la même passion que tout à l’heure quand les rôles étaient inversés.


C’est le premier baiser de Véro pour une femme et certainement aussi pour Valérie, mais les deux femmes s’y engagent avec passion et assurance, il faut dire qu’après le broutage de minou en règle auquel elles se sont livrées, ce n’est pas une révélation de leur bisexualité. Le cadre de cette soirée, de cette journée incroyable a supprimé toutes les frontières de nos univers sensuels et seules comptent les inspirations du moment.


Je glisse dans le sexe offert lentement et profondément. Quand je suis au fond de l’antre paradisiaque, je me penche sur le corps de mon amante pour rejoindre Véro dans ses caresses. Nous sommes à deux, complémentaires et partenaires, pour faire l’amour à notre amie montagnarde. Par ses frémissements, ses mouvements, ses gémissements, elle nous encourage, nous guide. Elle se donne entièrement et exige tout de nous en même temps.


Je me sens aussi intime avec les deux femmes. Nous faisons l’amour à trois et la dissymétrie apparente de la situation n’affecte aucunement l’harmonie du moment.


Naturellement, le corps de Véro attire ma main. Je lui caresse le dos, les fesses, les cuisses et entre les cuisses. Je trouve l’humidité qui témoigne de son émotion. Je remonte le flux de ce jus le long de la cuisse pour aboutir au sexe inondé. Le bout de mes doigts explore l’entrée de sa grotte qui palpite, puis ils reviennent répandre ce jus partout entre les fesses pour rendre la zone propice à des caresses glissantes et voluptueuses. Quand ma main remonte sur la vulve en s’insinuant entre les cuisses, elle trouve la main de Valy qui s’active, elle aussi, à donner du plaisir à mon amie.


Mes doigts rejoignent ceux de Val pour synchroniser nos mouvements et définir leur complicité. Puis chacun de nous se spécialise : la main féminine pour une caresse douce et enveloppante sur la vulve et le petit bout si sensible ; la main masculine pour la prise de la grotte ruisselante. Seule une femme a la sensibilité pour procurer du plaisir à un clitoris sans maladresse et seul un homme a l’impétuosité pour pénétrer profondément dans un temple avide d’envahissement.


Je pénètre les deux femmes avec le même délice, avec le même esprit de possession. Mes mouvements sont synchrones et les deux croupes ondulent de la même façon pour s’offrir, pour en demander plus. Val a saisi la main de Véro pour la déplacer sur son sexe, et elle lui donne un tempo rapide et appuyé. Elle veut aller plus loin, son corps est agité de spasmes fébriles.


Véronique branle la vulve offerte avec hargne : ses ongles meurtrissent mon bas-ventre quand je suis enfoncé profondément dans la chatte de Valérie mais cela me plaît. Nous baisons tous les deux la même femme avec fougue : nous sommes alliés pour emmener conjointement notre amante commune au plaisir, ce sera une victoire à deux.


Bientôt, Valérie se laisse envahir par une vague qui la submerge. Tout son corps se crispe, ses cuisses m’enserrent, son bras attire Véro contre elle, elle veut que tout mouvement cesse, que les étreintes se figent à leur zénith. Valérie a un petit cri strident qui suspend définitivement le temps et tous mouvements de nous trois. C’est enfin, le relâchement après l’extase pour Valérie. Véro et moi abandonnons ce corps assouvi, il a besoin d’un répit après cette tempête des sens où il a exigé d’être martyrisé.



Véro fait taire la belle bavarde en lui donnant un long baiser. C’est une douce manière de lui signifier que tout n’est pas fini, que nous allons continuer à faire l’amour pour le plaisir de chacun.


Dans le feu de l’action, nous avons abandonné les caresses de Véro mais c’est naturellement que nos mains recommencent leur ballet sur son sexe, ses fesses et ses cuisses. Les filles ne cessent de se donner des baisers et se frottent leurs poitrines glissantes de sueur. Je bande encore, la croupe de Véro qui ondule sous nos caresses est un spectacle très provocateur.


Je ne pénètre plus Valérie, je me débarrasse de la capote et je me positionne derrière Véro qui est toujours à genoux près du canapé. J’étreins mon amie enfin nue pour la sentir de tout mon corps. Dans notre nouvelle position, les cuisses de Véro se sont refermées, je ne peux plus atteindre ses nymphes de mes doigts avec autant de facilité. Aussi, je vais chercher l’aide de ma complice.


Mes doigts vont caresser ceux de Valérie qui ont retrouvé le clitoris inondé pour un massage doux. Avec de petites pressions, j’appelle la main féminine à se déplacer plus bas et elle me suit en comprenant ce nouveau langage. Quand le bout des doigts de Valy est à l’entrée du gouffre trempé, j’appuie dessus imperceptiblement. La main douée d’une intelligence propre obéit et trois doigts se courbent pour envahir la grotte.


J’utilise mes doigts pour observer en détail la caresse que Valy lui prodigue : sa paume est plaquée sur la vulve et la masse avec force, les doigts se glissent entre les lèvres et font un va-et-vient pénétrant de plus en plus ample, de plus en plus profond. En se cambrant ou en se courbant, Véro contrôle parfaitement l’alternance entre le massage appuyé de sa vulve et la possession de son vagin par ces doigts/pénis. Ses mouvements de croupe sont un véritable appel à la lubricité la plus débridée ou, au moins, un appel aux caresses les plus passionnées.


Valérie ne me laisse plus de place sur le sexe de Véro mais j’ai tout son corps pour participer à son plaisir. De mes mains, je lui caresse les seins, le ventre, les cuisses. Mon corps se frotte à son dos, à ses jambes et je l’embrasse passionnément dans le cou. Mon sexe est dardé entre ses fesses huilées de cyprine et remonte entre les cuisses jusqu’aux doigts pénétrants de Valérie.


Nous avons atteint une nouvelle harmonie où Véro est maintenant la victime consentante d’une coalition diabolique de ses deux amis pour lui faire rendre grâce. Véro rend les armes, elle appelle avec nous le plaisir qui l’envahit mais ne la submerge toujours pas. La passion de notre étreinte à trois monte sans fin, nous sommes dégoulinants de sueur et de mouille.


Après une éternité, c’est Valérie qui décide de prendre le taureau par les cornes. Tout en s’allongeant complètement, elle oblige Véro à relever une jambe et à venir se mettre sur elle sur le canapé. Elle se glisse sous le corps offert de son amie et sa bouche atteint son sexe. Valérie veut rendre à Véro la caresse totale qu’elle lui a donnée. Elle se lance à corps perdu dans l’acte du soixante-neuf qui fera d’elle une vraie gouine, une brouteuse de gazon, une goudou accomplie. Elle le fait sans hésiter, et elle le fait bien.


Les femmes sont en position et Véro met délicatement sa main sur le sexe assouvi de sa tortionnaire. Elle a les yeux fermés et se concentre sur les sensations dispensées par la bouche de sa compagne qui envahissent son corps. J’observe les deux femmes et je ressens chacun de ses frémissements. Je peux mesurer les sensations intenses que Valérie donne à son amante avec sa bouche et elle est terriblement efficace : Véro est prise de tremblements et ondule de la croupe pour donner plus encore sa vulve à la bouche dévorante. Je pourrais me sentir exclu mais il n’en est rien. Je me replace derrière Véronique pour lui confirmer que notre jeu est à trois.


D’abord je couvre les fesses exposées de baisers enveloppants qui complètent les caresses dévorantes de son amante. Mes baisers se font fureteurs comme les lèvres féminines qui dévorent les grandes lèvres et rapidement se concentrent sur le petit trou délaissé que Valy ne peut atteindre. Deux bouches dévouées et inquisitrices travaillent de concert pour son plaisir : Véronique l’apprécie et le manifeste de tout son corps.


Je bande à en avoir mal, je change donc de posture : je vais participer à notre trio avec mon chibre et je suis certain qu’il sera bien accueilli. Je me redresse et me mets en position. Ma queue se glisse entre ses fesses et fait de délicats va-et-vient. Elle s’engage quelque fois plus bas et la coquine de Valérie lui donne alors un coup de langue bouleversant. Je ne veux pas faire concurrence à Véro, la bouche de son amante lui est dédiée.


Je m’incline un peu pour que mes incursions se glissent entre ses lèvres intimes. Ainsi je ne gêne pas Valy dans son massage buccal sur la vulve et le clito de mon aimée.


En remontant le long de son sexe le gland se glisse entre les lèvres humides et béantes jusqu’à tenter des toutes petites incursions à l’entrée de la grotte de Véro. Si Véro se positionnait différemment je pourrais la pénétrer. Par moments, elle en exprime le désir, elle se cambre un peu et le bout de mon vit pénètre alors dans son sexe. C’est une torture, je désire maintenant concrétiser cette levrette. J’attire ses hanches contre moi de toutes mes forces pour enfoncer mon dard en elle et réaliser ce que mon corps et mon cœur exigent de moi.


Nous en avons bien le droit, maintenant que, par l’entremise de Véro, je suis l’amant de ma si récente deuxième meilleure amie. Mais Véro en décide autrement. Elle ne veut donc pas que nous fassions l’amour pour de bon, elle se courbe pour écarter son sexe de ma bite et l’offre ainsi à la bouche de Valy qui la suce voluptueusement.


Je sens que Véro va vite être submergée par le plaisir : plaisir dont Valérie sera l’auteur unique. Je respecte son choix : le plaisir que Valérie lui donne est nouveau pour elle – et je suis sûr que Valy est très douée – et nos règles ne permettent pas que je la prenne.


Une nouvelle fois, Véro décide de me surprendre. Alors qu’elle aurait pu se laisser aller sans agir au plaisir qui s’annonce, elle passe son bras derrière sa cuisse, empoigne mon vit et le guide vers son petit trou trempé. Elle continue à se frotter sur la bouche de Valy et en même temps se branle le trou du cul avec ma queue.


Ses mouvements sont volontaires, le plaisir est sous son contrôle. Elle appuie fortement ma queue sur son anneau et se cambre effrontément comme pour m’ordonner de l’enculer. Je suis d’accord, ô combien d’accord, pour lui accorder cette pénétration : je pousse fort en écartant ses fesses, son anneau s’élargit, je m’enfonce lentement dans son cul lubrifié. Véro se crispe, elle doit souffrir un peu, mais ses hanches ne se refusent pas, au contraire elles s’offrent toujours plus. Elle plonge sa tête entre les cuisses de Valérie pour poser sa bouche sur son sexe.


De sa main posée sur ma hanche elle m’attire en elle jusqu’à ce que mes cuisses s’écrasent sur ses fesses. Enculée comme elle le veut, Véro reprend l’usage sa main pour aider sa bouche à caresser son amante.


Ma pénétration a suspendu les suçons et caresses de Valérie. Notre attention à tous les trois a été monopolisée le temps de cette intromission tragique et passionnée. Mes hanches pressées sur les fesses voluptueuses de mon amante, je ne bouge plus ! Par des infimes mouvements je sais que Valérie a repris son léchage du minou dégoulinant, mais maintenant elle a étendu ses attentions vers moi : ses doigts glissent voluptueusement sur mes bourses et entre mes fesses. C’est extrêmement cochon, ces petits doigts féminins qui vont où aucun doigts étrangers ne vont jamais, mais c’est aussi extrêmement bon.


Je sens que la bouche de Valérie est redevenue dévorante. Je sens que la langue doit pénétrer la chatte ouverte rien qu’en ressentant les spasmes du fourreau de Véro sur ma queue tellement cette langue lui procure des élans de jouissance incontrôlables. Je commence de petits va-et-vient que Véro encourage avec des déhanchements suggestifs.


Nous revenons vite vers la passion débridée d’avant la sodomie. Véro se donne à nouveau sans limite, et même encore un peu plus libérée. Tout en frottant sa moule sur la bouche de son amie, elle me donne son cul dans le même mouvement. Et part ailleurs, comme dédoublée, elle s’active sans mesure entre les cuisses de sa maîtresse.


En chef d’orchestre passionné, ma Véro adorée donne un rythme croissant à notre symphonie sexuelle. Le rythme va crescendo inlassablement, notre trio devient frénétique mais totalement synchrone sur le plaisir ressenti par celle qui en est au cœur. Je sais précisément ce que ressent Véro : les crispations de son anneau sur ma bite deviennent spasmodiques et intenses.


La main de Valérie se fait de plus en plus inquisitrice sur mon anus. Elle ramène du lubrifiant pris sur le sexe de Véro pour huiler l’endroit et ce que je commence à désirer en le redoutant arrive : elle m’encule d’un doigt fureteur comme moi j’encule son amante.


Au comble du plaisir, je serre Véro contre moi pour pouvoir m’enfoncer profondément dans son fondement, ses fesses agréablement moulées dans le creux de mes cuisses. Je ne bouge presque plus. Véro contrôle toute seule la caresse par des petits mouvements et en massant ma tige par la pression de ses parois secrètes.


D’un coup, Véro est prise par l’orgasme qui gonflait inexorablement en elle. Elle se tétanise et écrase son sexe sur la bouche de Valy. Son cul se crispe sur ma bite, elle tremble de tout son corps. J’étais moi-même au paroxysme, le doigt de Valérie planté au fond de moi et ma bite traie par les spasmes de l’anus de ma bien-aimée. Ces sollicitations suprêmes ont raison de mon contrôle de mes sensations. Je jouis abondamment dans les entrailles accueillantes de Véro en épousant son dos autant que je le peux.


Je me vide en elle avec délice, son cul pompe ma sève en caressant ma bite sur toute sa longueur. Je suis bouleversé de plaisir et d’amour pour mon amie. Je ne suis plus un jeune loup mais je découvre de nouveaux mondes de volupté et de plaisir d’une intensité bouleversante.


Une énorme lassitude s’empare de moi. Je suis encore appuyé sur Véro qui elle-même s’appuie sur le bord du sofa. J’aime bien sentir mon vit prisonnier tandis qu’il se ramollit lentement.