n° 18788 | Fiche technique | 98083 caractères | 98083Temps de lecture estimé : 55 mn | 20/01/19 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Il m'est venu une idée, un fantasme à assouvir. J'ai resongé à l'épisode de la fessée dans les rochers et je me suis dit que ce ne serait pas une mauvaise idée que d'aller lutiner Émilie à cet endroit. | ||||
Critères: fhh hagé fagée vacances plage exhib photofilm fellation anulingus pénétratio fdanus fsodo échange partouze -occasion | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Switch à Saint-Tropez Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Dernière section d’une petite histoire en trois parties, juste pour la détente…
Voici venir la suite de ce séjour plutôt particulier.
Installez-vous confortablement que je vous narre la chose.
Mais avant, un résumé :
Nous sommes deux couples ayant échangés nos partenaires pour quinze jours.
Nous habitons tous les quatre dans la même villa, près de Saint-Tropez, et Émilie (la vraie épouse d’Étienne, mon copain d’enfance), qui est ma nouvelle femme temporaire, se révèle être très chaude (ce qui n’est pas pour me déplaire), alors qu’elle traînait auparavant une réputation de coincée du cul (appelons un chat un chat). Quant à Léa, ma vraie femme, elle ne déteste pas trop sa nouvelle condition avec Étienne…
De plus, sur place, nous avons rencontré Martial qui nous a proposé de venir samedi à une soirée un peu spéciale. Cette soirée fut une franche réussite, si on considère qu’Émilie s’est laissé royalement aller, et si moi-même, j’en ai fait de même dans une moindre mesure.
De plus, ma femme, Léa, joue les Cruella avec Antoine. Bref, il y a eu du changement !
Voilà, vous savez tout, ou presque…
Sinon, (re)lisez les deux épisodes :)
« Arrivée » et « Dans le vif du sujet »
Il m’est venu une idée, un fantasme à assouvir. J’ai resongé à l’épisode de la fessée dans les rochers et je me suis dit que ce ne serait pas une mauvaise idée que d’aller lutiner Émilie à cet endroit. Je mets deux serviettes épaisses dans un sac et j’annonce à ma femme :
Je la prends par la main, elle se laisse faire. Assez vite, nous arrivons près de la plage, mais nous obliquons avant vers la partie rocheuse. Après une cinquantaine de mètres de marche malaisée, je scrute les alentours.
Ici, derrière ces rochers, ça devrait être bon. Je pose deux serviettes, l’une au-dessus de l’autre, puis je demande à ma compagne de s’allonger sur le ventre, une jambe dans l’axe de son corps et l’autre non, afin de mieux accéder par la suite à son petit trou, ma convoitise finale.
Je jette un rapide coup d’œil circulaire : personne. Alors je m’installe à mon tour pour être en position optimale et pour disposer aussi sous mes doigts de sa fente déjà bien humide, car elle sait ce qui va lui arriver. Ma langue agile commence un enchaînement de caresses autour de la cuvette de son petit trou, tandis que de l’autre côté, je titille doucement un clitoris qui ne demande que ça.
Émilie soupire d’aise :
Elle se laisse aller à ma caresse insidieuse, elle gémit tout doucement. En fond sonore, le bruit des vagues…
Écartant délibérément ses fesses, je m’insinue délicatement à l’entrée de son puits sombre. Comme toutes les autres fois, elle se laisse faire, me facilitant la tâche. De mes doigts agiles, j’accentue l’excitation de son clitoris en feu. Elle vibre, elle ondule, elle tangue, signe évident que sa jouissance ne va plus tarder à éclater. Elle réagit vite à mes stimulations, aidée sans doute par l’excitation d’être nichée dans un coin de la plage, peut-être surprise par des promeneurs imprévus…
À présent, des petits cris rauques sortent de sa bouche. Impitoyable, j’accentue l’assaut sur son mignon bouton rose et sur son sombre petit puits. Son anus se desserre de plus en plus, acceptant aisément l’intrusion de ma langue. Alors j’y vais de bon cœur, léchant, titillant, farfouillant cet endroit insolite, ma salive qui glisse lentement sur sa peau pour venir ensuite s’enfouir dans cette obscure cavité interdite. C’est un délice de voir ça !
Soudain, Émilie explose, jouissant de façon dantesque de mes doigts souillés de cyprine et de ma langue saliveuse. Oh que j’adore voir son anus palpiter au rythme de ses vagues de jouissance, ses fesses accompagnant les ondes de plaisir !
C’est alors que je plonge deux doigts dans ce puits tremblotant et lubrifié, je m’enfonce dedans avec aisance tandis qu’elle continue de jouir. Son sphincter enrobe les deux intrus et je sens à présent les palpitations de son plaisir sur mes doigts enfouis en elle. C’est divin comme sensation ! Les ondes de son plaisir se diffusent dans son corps, telles des vagues, telles que celles qui s’échouent à quelques mètres de nous…
Émilie s’apaise petit à petit. Au bout d’un certain temps, elle finit par dire :
À ce prénom, elle rougit :
Néanmoins, je lui obéis, je retire délicatement mes doigts fichés en elle. Elle soupire au moment où ceux-ci sortent. Intrigué, je me demande si elle soupire de soulagement, d’aise, ou de quoi d’autre ? Plus je fréquente les femmes, plus mes certitudes à leur sujet s’effondrent.
Je lui tends celle qui vient de l’explorer. Elle saisit mon poignet :
Et à ma grande surprise, elle baise cette main !
La nuit fut agitée, très agitée, ce qui ne fut pas du tout déplaisant. Émilie était comme un petit animal qui a soif de câlins, de cajoleries, de turpitudes et de sexe. C’est très gratifiant, mais épuisant d’avoir ce genre de femme dans son lit !
Émilie est sous la douche, je trône au milieu du lit. Étant au calme, je me remémore ce qui s’est passé ces derniers jours. Je me dis que la soirée d’hier a fait sauter un autre verrou, je m’en doutais, mais pour parler comme les militaires, il y a eu des dégâts collatéraux, de doux dégâts, je me vois mal reprocher à ma femme d’être encore plus libérée ! À bien y réfléchir, c’est moi qui fais sauter le premier verrou. J’ai alors en tête une piste de ski. La pente était encore douce, il y a deux jours, mais maintenant, on dirait qu’elle est devenue plus forte.
Toute trempée, sans aucune serviette autour d’elle, Émilie revient dans la chambre. Il n’y a pas à dire, j’adore son petit corps tout mouillé !
Je profite de son corps tout nu pour embrasser et dévorer ses seins trop appétissants !
Un peu plus tard, nous allons à la plage. Cette fois-ci, Émilie se la joue moins provocante avec un bikini plus classique, mais assez échancré quand même ! Je ne pense pas qu’il faudra que je joue les gros bras pour la défendre de la convoitise des autres mâles de la plage !
On dirait qu’elle souhaite faire une petite pause avant d’attaquer la nouvelle soirée qui aura lieu dans quelques heures. Ce que ne m’empêche de profiter d’elle, en bon affamé que je suis !
Que dire de la journée ? La routine avec plage, petit restau très sympa, sieste légèrement coquine, re-plage, petite balade avant de revenir à la villa. Une journée qui s’est hélas trop vite passée…
Puis petit à petit, le soir arrive, une autre soirée spéciale s’annonce. Émilie change de tenue, elle met une robe-bustier dont le haut est élastique. Ce qui dégage agréablement ses épaules offre un commencement de décolleté. De plus, ses seins en poire bien fermes tendent le tissu, laissant deviner son anatomie. J’admire le tableau qu’elle m’offre :
Puis, sur ces étranges paroles, en riant, elle me prend par la main pour sortir de la villa.
Comme il y a quelques jours, nous nous dirigeons main dans la main vers la villa de Martial. Une fois de plus, c’est moi qui sonne. Peu après, nous sommes dans le salon où se tiennent peu de personnes. Je constate avec un certain plaisir que Carla est présente. D’ailleurs, elle vient me faire la bise sous l’œil amusé d’Émilie. J’aurais plutôt cru qu’elle aurait été jalouse. Je préfère ça que d’avoir affaire à une tigresse !
Martial prend la parole :
Il regarde avec attention ma femme qui lui répond par un sourire charmeur. Il continue :
Puis il quitte la pièce, disparaissant dans le couloir latéral. Je constate que ma femme est intriguée. De mon côté, Carla me colle de plus en plus, elle balade de temps à autre ses mains sur moi, sans se soucier de la présence des autres personnes et surtout de celle qui est quand même sensée être ma femme légitime.
Ma femme s’exclame quand elle découvre Hugo aux côtés de Martial. Il est indéniable que ces deux-là sont frères, presque des clones. Mais il est aussi flagrant que le petit frère possède une allure plus artistique et un brin plus racée. En tout cas, ma femme est assez surprise, et agréablement surprise par Hugo, son expression parle pour elle. Quand il est tout proche d’elle, Martial prend la parole :
Émilie bafouille, ne sachant pas quoi faire de ses mains :
Le petit frère semble être amusé par la situation. D’un geste élégant, il capture la main de ma femme et la porte à ses lèvres :
La même voix, c’est assez curieux. Mais pas tout à fait avec les mêmes intonations. Martial reprend la main, mettant carrément les pieds dans le plat :
Déstabilisée, rougissante, Émilie proteste :
Puis placidement, il se tourne vers son petit frère :
Avec un petit sourire, Hugo regarde ma femme avec attention :
Comme s’il examine une statue gréco-romaine ou un vase antique, il tourne lentement au moins trois-quatre fois autour d’Émilie qui ne sait plus sur quel pied danser. Puis se plantant devant elle, il lui demande avec un naturel désarmant :
Déboussolée, elle se tourne vers Martial, quémandant muettement son aide. Sollicité, celui-ci s’approche posément d’Émilie :
Et sans attendre une réponse de la part de ma femme, il abaisse posément sa robe bustier, révélant ainsi sa belle poitrine. Émilie pousse un petit cri de surprise, mais elle ne cherche pas à cacher ses seins, tandis qu’Hugo refait plusieurs fois le tour de sa petite personne, se voûtant pour être à la hauteur des tétons dévoilés. Amusée et intriguée par ce qui est en train de se dérouler sous ses yeux et les miens, Carla arrête de me peloter. J’en profite pour m’approcher. Une fois de plus, ceci fait, le petit frère se plante à nouveau devant elle :
Ayant repris de l’assurance, Émilie lui adresse un sourire ambigu :
S’il y a bien une chose qu’il faut rarement répéter deux fois à un homme, c’est de toucher une femme avec son accord. Ne se faisant certainement pas prier deux fois, Hugo se fait un plaisir de palper les seins offerts. Néanmoins, je constate qu’il s’y prend d’une façon différente, comme s’il est en train de toucher une œuvre d’art, pour en dénicher les secrets. Et je pense que cette façon de procéder n’est pas passée inaperçue aux yeux d’Émilie. Je dirais même qu’elle est fière d’être traitée ainsi.
Émilie en profite pour remonter sa robe-bustier afin de cacher ses seins. Le petit frère s’approche du visage de ma femme pour mieux l’examiner, le contempler. Émilie rougit un peu, mais se laisse toujours faire. Quelques instants plus tard, Hugo déclare à ma femme :
Prestement, il se tourne vers son frère :
Puis, comme s’il négociait un contrat, Hugo s’adresse à nous deux en même temps :
Bousculée par ce programme, ma femme s’exclame :
Carla s’approche et propose :
À ces mots, le visage d’Hugo s’illumine :
Et il happe ma femme pour l’entraîner avec lui. Elle n’oppose aucune résistance ; tout juste m’adresse-t-elle un dernier regard avant de disparaître. Assez interloqué, je les regarde partir, puis je demande à Martial :
Martial se fend d’un sourire qui me fait un peu froid dans le dos. Me capturant par le bras, Carla en profite pour m’entraîner avec elle. Alors que nous sommes près de sa voiture, je lui demande :
Elle sourit, se pressant un peu plus mon bras, me faisant bien sentir l’arrondi de son sein lourd :
Nous montons dans sa voiture blanche, et nous partons à notre tour chez Hugo, qui habite à une vingtaine de kilomètres de la villa de Martial. D’une seule main, Carla conduit avec aisance, elle doit connaître par cœur la route.
Quand Carla et moi arrivons à la villa d’Hugo, celui-ci est en train de faire visiter les lieux. Celle-ci est visiblement sous le charme et de la maison et de son propriétaire. Manifestement, il n’a rien entrepris d’incongru envers ma femme. Je dois reconnaître que c’est meublé avec goût, sans luxe tapageur. Tout pour plaire à Émilie, je parie.
Un coin de la vaste salle à manger-salon est visiblement son atelier. Je m’étonne que tout soit impeccablement rangé, sans aucun désordre. J’avais une vision plus bohème des artistes.
Une autre pièce tout aussi soigneusement rangée avec des grands placards muraux coulissants. Hugo fait glisser un panneau, dévoilant diverses tenues féminines suspendues. Il se penche dessus, puis se redressant, déclare :
Il ressort de la penderie un cintre sur lequel est accrochée une robe improbable en lamé or qui scintille de mille feux. En la voyant, Émilie s’étonne :
Hugo sourit :
Il lui met la robe sous le nez :
Et laissant ma femme sur place, Hugo nous entraîne avec lui hors du dressing.
Quelques instants plus tard, Émilie sort à son tour. Je suis scotché par l’effet ! Elle est vêtue d’une robe assez courte lamée or, dont le décolleté plissé est vertigineux ! Les bretelles sont tellement fines qu’on pourrait croire que le tissu tient par simple gravité sur les seins arrogants de ma femme ! Quant au bas, il fait très mini-jupe, mettant en valeur de bien belles gambettes. Quant au dos, il est réduit à sa plus simple expression, c’est-à-dire presque rien. Si le but du jeu est d’attirer l’œil sur Émilie, c’est totalement réussi !
Hugo exulte :
Je demande à notre hôte :
Puis il s’adresse à nouveau à Émilie :
Il passe ensuite dix minutes à shooter ma femme sous divers angle. Elle se prend manifestement au jeu. Durant ce temps, Carla a repris ses caresses insidieuses, et moi, je ne sais pas trop quoi faire. Puis Hugo annonce :
Nous prenons cette fois-ci la voiture de Carla pour aller tous les quatre sur le port.
J’ai déjà vu des beaux bateaux, mais je dois avouer que j’en vois beaucoup d’un seul coup en arrivant au port de Saint-Tropez ! Après avoir garé la voiture, nous avançons à présent tous les quatre sur un ponton puis un autre. Nous arrivons vite aux abords d’un yacht plutôt grand, mais sobre. De la musique s’en échappe. Hugo explique :
Je place le mot concerné :
De son côté, Émilie ouvre de grands yeux. Hugo s’en amuse :
Il la prend par la main et lui dit :
Docile, Émilie se laisse faire. Carla en profite pour se coller à moi :
Et sans préambule, elle capture mes testicules à travers le tissu du pantalon et me roule une pelle. C’est du direct, clair et net ! Quand nos lèvres se séparent, je proteste mollement :
Hugo présente ma femme à presque tout le monde. Je constate qu’elle éveille de la curiosité et de concupiscence. Il faut dire que son décolleté est carrément le présentoir de ses charmes ! Je vois le couple nouvellement formé par Émilie et Hugo se mélanger à plusieurs personnes. Ma femme est aux anges, elle s’amuse follement, elle est parfois ébahie de se retrouver nez à nez avec une personne connue. Hugo s’amuse beaucoup de l’émerveillement d’Émilie. Lui, il doit être blasé. Mais pas au point ne pas passer son bras autour de la taille de ma femme comme si elle lui appartenait.
Mais Carla ne me laisse pas trop le temps de réfléchir à tout ça, car depuis notre arrivée, elle me fait un joyeux rentre-dedans, auquel je réponds avec tact, mais avec plein de sous-entendus.
À un moment, j’arrive enfin m’isoler avec Émilie. J’avoue avoir des difficultés à la regarder dans les yeux tant mon regard est attiré par son très profond décolleté ! Elle lève vers moi son visage radieux, ses pupilles brillent de mille feux. Je ne peux que constater :
Elle me regarde d’un air un peu étrange :
Je hoche de la tête :
Elle se jette à mon cou et m’embrasse :
Puis elle s’échappe de mes bras pour replonger dans le monde que je ne connais pas. J’entends alors une voix féminine derrière moi :
Carla m’attrape par le revers de ma veste :
Elle prend son smartphone et envoie un court message. Une minute plus tard, elle reçoit une réponse. Elle me fait voir l’écran :
Je peux voir sur l’écran un selfie montrant Émilie et Hugo, joue contre joue, accompagné d’un court message : pas de problème, amusez-vous !
Je trouve qu’Émilie m’a abandonné un peu vite. Réalise-t-elle qu’elle me jette dans les bras de Carla ? Ou bien, elle est trop aveuglée par ce qu’elle est en train de vivre. Passer la nuit avec Carla, est-ce un mal ? Samedi dernier, j’ai passé la majeure partie de mon temps avec elle. Elle a quelque chose qui m’attire, elle est charnelle, dévoreuse ; je n’ai jamais vraiment pu côtoyer ce genre de femme, un genre vers lequel tendait peu à peu Émilie…
Je me tourne vers Carla, m’inclinant un peu :
Pour toute réponse, elle s’empare de mon bras qu’elle presse copieusement contre son sein, puis elle m’entraîne hors du yacht. J’en déduis que ça veut dire oui.
Ce matin, je me réveille, non pas avec Émilie, mais avec Carla, dans son appartement, face à la mer. Nous avons fait l’amour avant de nous endormir, et j’avoue que c’était très bon ! Carla s’y connaît très bien dans les joies du sexe, je sens que je vais apprendre bien des choses avec elle. Mais est-ce que je pourrais exploiter ces nouveautés avec Émilie ?
Après avoir un peu lutiné avec mon hôtesse, nous sommes en train de prendre le petit déjeuner dans sa cuisine avec vue sur la mer. Un peu intrigué par tout ce qui m’arrive, je demande à Carla :
Elle pose son couteau à beurrer :
Elle croque dans sa longue biscotte :
Je hoche de la tête :
Elle fait un petit geste du genre « pas grave » :
Après avoir croqué à nouveau dans sa biscotte, elle se fend d’un large sourire gourmand :
Je tombe des nues ! Je m’exclame :
Elle me regarde attentivement, puis finit par dire :
Ceci dit, après le petit déjeuner, je fais le plaisir d’entraîner Carla vers le lit pour lui expliquer que je commence par l’épisode sexe, et que ça ne se limitera pas qu’à un seul.
Puis nous partons à la plage, Carla ayant revêtu un bikini blanc. Je me dis qu’elle est plus sage qu’Émilie. C’est quand nous sommes dans l’eau que je réalise que le blanc permet de révéler bien des choses, à tel point que j’en bande illico, ce que Carla remarque. Elle s’approche de moi, se frottant délibérément sur mon sexe bien raide :
Sans aucun complexe, elle plonge sa main dans mon maillot de bain, puis en ressort mon sexe déjà bien dur. Comme si de rien n’était, elle l’astique dans l’eau, emprisonnant bien ma tige. L’effet est redoutable. Avec un sourire pervers, elle me confie :
Sous l’effet de ce traitement, je sens que ça va vite venir ! Je me pince les lèvres, il y a un peu trop de monde autour de nous pour que je me permette de gémir de plaisir. Pivotant un peu sur elle-même, Carla continue toujours sa bonne branlette, je reconnais là la femme qui a l’habitude du bâton des mâles. Puis elle plonge son autre main dans mon maillot pour venir me capturer les boules. Elle commence à les câliner, puis à les faire se déplacer dans le scrotum. C’est diablement efficace !
Puis elle me les malaxe très suavement, en intensifiant le mouvement de va-et-vient de ma verge, et en serrant un peu plus. Après un dernier effort pour me contenir, je dois lâcher prise en silence ! Je sens un premier jet fuser de mon canon sous eau. Du coin de l’œil, je constate que ma partenaire est fière de son coup. Je me laisse aller, expulsant mon sperme dans la Méditerranée.
Puis nous revenons à la plage, où j’en profite pour récupérer un petit peu. Car depuis que Carla est avec moi, mon service trois-pièces ne chôme pas ! Je me disais qu’Émilie n’était pas triste depuis que je l’avais débloquée, je dois avouer que Carla, c’est l’étage supérieur…
Alors que je suis en train de me reposer, je constate que la plupart des hommes mâtent ma compagne de jeu. Il faut dire qu’avec son bikini blanc mouillé et donc devenu transparent, elle est assez indécente. Mais petit à petit, le soleil, en séchant les tissus, devrait rectifier le tir.
Mais comme nous sommes souvent retournés dans l’eau, le tissu est resté transparent. Entre deux baignades, j’en profite pour envoyer un SMS à Émilie pour savoir comment ça se passe. Mais je ne reçois pas de réponse. Elle répondra plus tard, je suppose.
Alors que nous plions bagage pour aller manger, je fais remarquer à Carla :
Bonne réponse. La journée se déroule très bien, même si j’aimerais bien savoir ce que fait Émilie qui ne m’a toujours pas répondu. Mais avec Carla, le temps passe si vite, trop vite ! Surtout quand on fait une longue sieste crapuleuse, durant laquelle elle me vide plusieurs fois. Une véritable affamée !
Il est presque dix-sept heures quand je reçois un coup de fil d’Émilie. Elle répond enfin à mon SMS envoyé vers onze heures ! Sans parler des autres. Je suppose qu’elle a été très occupée. Moi aussi, il est vrai…
Perfidement, j’ajoute :
Elle n’a quand même pas cédé à Hugo parce que j’étais avec Carla ? Pour ma part, je pensais qu’elle voulait se le faire, peut-être par reconnaissance, peut-être aussi par désir, comme ce fut le double cas avec Martial. Je préfère ne pas lui poser directement la question. Elle revient sur ce qu’elle m’a déjà dit :
Elle change carrément de conversation :
Et sans attendre ma réponse, la communication s’achève. Je suis assez étonné, Émilie a valsé dans les bras d’Hugo, sans trop de difficultés, avec aisance même. Sa façon de le remercier d’assouvir son fantasme de grande vie ? Quoique, moi-même, je me suis surpris à céder facilement à Carla. Ces derniers temps, Émilie et moi, nous nous offrons de grosses parenthèses dans notre vie ! Je peux même parler de parenthèses dans les parenthèses !
C’est vrai que Carla est une femme très… tentante ! Je me demande combien d’amants elle a pu avoir dans sa vie. En parlant de Carla, elle a disparu de la circulation. Elle m’a juste dit qu’elle avait une petite course à faire. Mais avec les femmes, quand elles réclament cinq minutes, ça peut parfois durer une bonne heure.
Après s’être enfermée dans sa chambre depuis dix bonnes minutes, Carla m’appelle :
Déjà maquillée, vêtue d’un léger peignoir, Carla me tend un costume sorti de je ne sais où, m’annonçant :
Je comprends maintenant l’absence de Carla en milieu d’après-midi, c’était pour le costume. Il faut dire que Carla et Martial habitent à moins qu’un kilomètre à vol d’oiseau. Je pars dans la chambre d’ami. Après ma douche, une fois dans la chambre d’amis, je revêts l’habit en question, tout me va sans problème, le pantalon est impec, la chemise légèrement saumon aussi, peut-être que la veste est un peu large d’épaules. Je me regarde dans la glace : c’est vrai qu’un costume, ça vous pose un homme ! Pour un peu, je m’admirerais !
Je me retourne pour découvrir la tenue de Carla :
Sa robe est ornée d’un motif très psychédélique noir et blanc, et elle est en effet plutôt moulante. De plus, cette tenue fait mal aux yeux quand Carla se déplace, ce ne l’empêche absolument pas de souligner les courbes de sa propriétaire. Un œil exercé déniche facilement deux petites protubérances au niveau de la poitrine qui me semble plus agressive encore.
Carla et moi partons pour Fréjus, direction le théâtre Le Forum où se tient une soirée thématique. Alors que nous sommes en route depuis deux-trois minutes, je demande à ma conductrice :
Je pose ma main sur le genou dénudé de Carla. Petit à petit, au fil des kilomètres, je remonte sur sa cuisse, pour finir dans sa petite culotte. Elle finit par protester en gloussant :
Deux minutes plus tard, nous avons échangé nos places, c’est moi qui ai le volant. Carla va nettement plus vite que moi, elle est déjà en train de déballer mon sexe qui est bien dur. Sans complexe, elle l’utilise comme levier de vitesse puis elle me branle délicatement.
C’est très bon d’être masturbé tandis qu’on conduit. Je suis aidé par le fait que nous roulons sur l’autoroute qui est nettement plus droite que les petites routes sinueuses que nous avons quitté, il y a quelques minutes. J’essaye de reste zen.
Mais Carla décide de passer à la vitesse supérieure : décrochant sa ceinture de sécurité, elle se couche pour venir sucer et lécher mon mandrin bien raide, et là, ma « zénitude » chute d’un cran ou deux ! Elle descend encore quand elle avale posément ma bite afin de la sucer longuement et lentement. Par précaution, je roule moins vite.
Cette belle garce sait s’y prendre, sans compter l’excitation liée à la situation et le défi ! Je suis en train de vivre le fantasme de pas mal d’hommes, et je commence à avoir quelques problèmes de concentration. Elle s’occupe suavement de mon pieu qui est bien au chaud dans sa bouche humide, câliné par une langue agile et taquine !
Je commence à avoir comme des étoiles qui dansent sous mes yeux, je ralentis un peu plus, restant la bande la plus à droite de l’autoroute, soyons prudents !
Elle continue de plus belle. Une ultime résistance, une ultime contraction, puis un premier jet fuse, me libérant de la tension accumulée ! Je me laisse aller, essayant de garder la tête froide pour cause de conduite. Plus bas entre mes jambes, c’est le feu d’artifice ! Je sens nettement mes couilles se vider, tandis que cette bonne cochonne de Carla avale tout ce que je lui envoie en bouche ! Une femme comme ça, il ne doit pas y en avoir beaucoup ! Je me demande si Émilie l’aurait fait…
Et je crois pouvoir répondre que je ne serais pas étonné qu’elle le fasse aussi…
Je récupère petit à petit, maintenant de Carla s’est redressée. Elle réajuste sa coiffure avant de dire :
Elle rit de bon cœur ! Je ne sais pas si elle dit la vérité ou pas, mais je serais tenté de la croire. C’est elle la spécialiste. J’imagine ce que ça pourrait donner si c’était Carla qui initie Émilie.
À un moment, c’est Carla qui reprend le volant, car elle sait où se déroule la soirée d’aujourd’hui. À la foule qui se presse autour d’un assez haut bâtiment rond complètement illuminé. Carla gare la voiture un peu plus loin puis elle donne un rapide coup de téléphone. Celui-ci finit, elle me prend par la main :
Nous nous hâtons, et arrivés près de l’entrée du théâtre, je me fige sur place : c’est bien Émilie que je vois dans cette robe rouge ? Égayée, Carla émet un petit sifflement :
Et quand elle veut, le moins que je puisse dire, c’est que ça en met plein les mirettes !
Émilie porte une robe rouge dont le décolleté en V plonge joyeusement jusqu’au nombril, un peu comme la robe en lamé or d’hier sur le yacht, mis à part qu’il y a un peu plus de tissu au niveau des bretelles et autour de son cou, et que c’est moins plissé. Bien sûr, il est évident que le soutien-gorge est absent… Quant au dos, on dirait deux grosses bretelles rouges partant des épaules jusqu’à sa chute de reins partielle révélée. Je soupçonne que quelques adhésifs empêchent la gravité de tout dévoiler !
Ça, c’est pour le haut. Pour le bas, la robe descend à ses chevilles, mais est largement fendue sur les côtés jusqu’à son tour de taille. Là aussi, il est évident que la culotte comme le string sont absents. Mis à part, une fois de plus, des adhésifs, je ne vois pas comment cette tenue peut tenir !
À notre tour, nous nous aventurons sur le tapis, les flashes crépitent nettement moins, Carla n’a pas l’attrait de la nouveauté, je suppose. J’ai confirmation de sa petite notoriété locale par le nombre de personnes à qui elle adresse ses salutations ou ses bisous.
Accrochée à mon bras, elle rit. Nous sommes entrés. Parfois ci et là, je crois reconnaître des visages déjà vus dans divers magasines ou émissions de télévision. Le buffet étant à notre portée, j’en profite pour me sustenter un peu. Puis Carla se fait happer par une joyeuse troupe.
Resté seul, je recherche ma femme. Quelques minutes plus tard, je crois comprendre que l’attroupement sur la droite doit être lié à sa présence. Je m’approche : gagné, c’est bien elle. Je suis surpris de l’assurance avec laquelle elle accueille les compliments, les œillades et diverses salacités à peine déguisées. Sans parler des photographes qui la mitraillent, cherchant visiblement le bon angle pour obtenir un maximum de chair fraîche et dénudée de la part de cette sexy inconnue. En arrière-plan, Hugo s’amuse visiblement, nullement contrarié de ne pas être la cible de cette agitation.
Soudain, j’ai l’impression de sentir une présence à mes côtés. Avant que je me retourne pour vérifier, j’en ai conformation quand Carla me tire par la manche :
M’entraînant un peu plus loin, Carla me présente diverses personnes dont j’oublie aussitôt le nom, mon esprit est ailleurs, auprès d’Émilie qui est en train de vivre son fantasme, mais moins moi, alors que je suis si près d’elle.
Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés là-bas, et ni même quand je suis rentré. C’est Carla qui me fournira l’oubli en m’offrant son corps voluptueux, son magnifique corps tout en courbes dans lequel il est si facile de perdre la notion de la réalité…
Je reconnais qu’avoir Carla dans son lit compense largement Émilie, même si ce ne sont pas les mêmes saveurs. Il convient de comparer ce qui comparable, comment comparer un melon avec une cerise ? Tous les deux sont délicieux. À la réflexion, je crois que j’ai trop en tête l’ancienne image d’Émilie, car si ma pseudo-femme continue comme elle est partie, elle en arrivera au même degré que Carla.
C’est à ça que je songe tout en caressant les fesses et les cuisses de celle qui sommeille à côté de moi. Une bien belle cochonne, dont je me demande quelles sont les limites…
Un peu avant midi, je reçois un coup de fil très enthousiaste d’Émilie :
Je reste dans les contes de fées :
Je n’apprécie pas trop ce genre de révélation ! En clair, ils ont couché ensemble et par-dessus le marché, Hugo est mon double, mis à part qu’il est plus riche, plus connu et plus racé que moi ! Charmant ! Pourquoi avons-nous été à cette soirée ? Pour vivre heureux, vivons cachés, je commence à mieux comprendre le sens de ce proverbe.
Sa réponse me surprend par son ton joyeux :
Fronçant des sourcils, je persifle :
Et peut-être déçu aussi. Elle survole ma réponse :
Elle me cite deux noms qui m’évoquent vaguement quelque chose, des chanteurs, vaguement acteurs. Ça me revient : deux bellâtres, l’un brun et l’autre blond qui balancent des sucreries mielleuses et dégoulinantes à grands coups de violons, des sous-clones de Modern Talking. Sans attendre une quelconque réponse de ma part, elle poursuit sur sa lancée :
Et plus, elle ne va quand même pas me raconter ses exploits d’hétaïre de haut vol avec ses trois bonshommes ? Décidément, Émilie change à toute allure, elle explose littéralement, et le pire, c’est moi qui ai allumé la mèche !
Soudain, après son cri de surprise, je l’entends glousser. L’explication arrive très vite :
Je n’ai pas le temps de répondre, la communication est interrompue. Il ne faut pas demander ce qui est en train de se passer à l’autre bout ! Non, ma chère Émilie, je ne m’ennuie pas avec Carla, et je vais de ce pas m’ennuyer encore moins avec elle !
Après avoir été au téléphone durant dix minutes, Carla raccroche puis s’adresse à moi :
Un peu agacé, je m’étonne :
Ce Ramon doit en tenir une sacrée couche ! Carla pose la question :
C’est la dernière soirée que je passe avec Carla, autant en profiter. Après diverses agaceries et autres lécheries ayant pour but de lui offrir de la jouissance par de bons cunnis, je décide de me laisser aller à mon péché mignon : la feuille de rose, avec l’intention d’aller ensuite plus loin.
J’adore le beau fessier de Carla, elle a du répondant avec ses deux beaux monts bien dodus, sans parler d’une certaine vallée très accessible, ce qui facilite les choses et ce qui est très agréable. C’est avec facilité que je peux accéder à sa petite cuvette que je me fais un plaisir de titiller du bout de la langue, tandis que mes doigts s’aventurent dans une autre fente bien humide, taquinant un petit bouton rose qui n’attendait que ça. Allongée sur le ventre, se laissant faire, Carla ronronne de plaisir. Entre deux soupirs, elle me dit :
Pour toute réponse, j’enfonce délibérément deux doigts dans son entrée des artistes, elle se cabre un peu. Je caresse de plus belle son clitoris détrempé, tandis que j’explore vicieusement son petit tunnel. Voyant que l’incursion est facile, j’ose un troisième doigt. Elle gémit un peu. À ma grande satisfaction, je m’enfonce en elle profondément. Je me demande si finalement, je ne pourrais pas mettre la totalité de ma main entre ces belles fesses !
Carla vibre, gémit, se tord sous ma double torture. Mes doigts s’enfoncent encore plus en elle. Est-ce que cette salope s’est déjà enfilé deux bites dans le cul ? Elle en serait bien capable ! Pourquoi ce sont justement les salopes qui me font bander le plus ?
Ma réflexion est interrompue par un premier cri de jouissance, accompagné de divers soubresauts. Quand son plaisir la submerge, Carla ne fait pas les choses à moitié ! Je songe alors qu’il faut savoir être à la hauteur de ce genre de femme…
Crois-moi, ma grosse dévergondée, je vais te faire jouir !
Une bonne heure plus tard et diverses jouissances, à l’heure dite, Carla se connecte son portable sur le site web, puis quelques secondes plus tard, une image antique apparaît sur l’écran, on dirait que c’est un temple égyptien. Allongé à côté de ma compagne de jeu, je m’exclame :
Peu après, une petite procession arrive, diverses personnes déguisées à la mode égyptienne s’avancent, ils sont huit, si je compte bien, je distingue d’abord des Nubiens, des serviteurs, un vizir, un pharaon, et surtout une reine, ma reine, mon Émilie !
Je ne sais pas si elle incarne Néfertiti ou Cléopâtre, mais le costume lui va très bien ! De plus, elle est fardée comme une Égyptienne, les yeux soulignés de khôl, perruque noire. Quand la caméra zoome sur elle, il est flagrant qu’elle s’amuse comme une petite folle, son sourire carmin est lumineux. Je suppose que c’est Ramon qui incarne le Pharaon, et il est clair et net qu’il est content de lui. Plus réservé est Hugo qui joue le vizir, placé sur le côté en plein de s’en mettre plein la vue.
Quant au costume, il incarne à lui seul ce qu’on retient des belles Égyptiennes, version péplum : une robe blanche et longue quasi transparente, retenue par des bretelles tout aussi blanches que tendent deux mignons seins en poire. On n’ignore pas grand-chose de l’anatomie d’Émilie ! Et les lourds bijoux en or qu’elle porte autour de son cou et de ses poignets la transforment en prêtresse mystérieuse ou en incarnation de déesse.
Franchement, je n’avais pas l’œil sur les Nubiens, mes préférences sont ailleurs ! Néanmoins, je comprends que Carla ait l’œil sur l’œil sur eux, car ils sont athlétiques et bien bâtis. Ce qui ne m’empêche pas de caresser le beau cul de ma voisine, autant profiter jusqu’au bout !
Sur un ordre du pharaon, les deux Nubiens font glisser doucement les bretelles le long des épaules de la reine, puis la robe blanche glisse lentement le long de son corps, révélant toute sa plastique à la caméra. Une fois tout le tissu au sol, d’un geste gracieux, Cléopâtre l’enjambe puis se tient toujours bien droite, hiératique, habitée par son rôle.
Après que la caméra a fait le tour de ma pseudo-femme par deux fois, l’un des Nubiens ceint sa taille d’une sorte de ceinture composée de fines cordelettes, dont l’une des extrémités pend, longeant sa cuisse.
C’est dingue ! Bien qu’elle soit carrément nue, si on excepte l’espèce de ceinture en fins cordages qu’elle a autour de la taille, et les bijoux lourds à son cou et à ses poignets, Émilie garde une classe folle. Cet étrange épisode auquel elle participe vaut la peine d’être vécu, je le conçois. Très peu de personnes peuvent concrétiser ce genre d’événement, même qu’une seule fois !
Le pharaon s’assied sur une sorte de trône, tandis que son vizir reste debout à ses côtés. Les serviteurs réaménagent autrement l’espace entre le trône et le trio composé des Nubiens et de Cléopâtre. Puis la caméra prend un plan d’ensemble pour venir zoomer un peu plus sur le trio.
Les deux Nubiens ont laissé tomber leur pagne, et il est évident qu’ils sont en pleine forme, leurs sexes bien dressés. Ceux-ci sont de belle taille, mais pas à faire peur. Émilie semble fascinée par la nudité de ses accompagnants. Et il n’y a pas qu’elle, car Carla s’exclame :
Les Nubiens s’amusent à tourner autour d’elle, la frôlant souvent de leurs verges. Puis ils s’arrêtent, l’un d’eux vient carrément poser son tuyau de chair contre la cuisse de la pseudo-Cléopâtre. Sans trop d’hésitation, elle caresse le ventre de l’un des hommes et le torse de l’autre. Peu de temps après, ses mains ayant glissé vers le bas, elle capture les deux gros mandrins, elle en apprécie la forme, le volume, la dureté. Puis elle commence à les branler délicatement tous les deux. Lors d’un mouvement de caméra, on peut voir que les autres protagonistes ne perdent rien de la scène.
Devant ce spectacle, même s’il m’excite, je m’agite :
Un peu dépité par la tournure des événements, je regarde Cléopâtre qui s’agenouille avec grâce devant ses deux Nubiens. Elle marque une légère hésitation avant de donner un premier coup de langue sur l’une des deux verges bien puissantes. Puis elle se prend visiblement au jeu et commence une fellation endiablée et alternée sur les deux braquemarts mis à sa disposition ! Avec surprise, je la vois engloutir suavement la totalité d’une queue, alors que celle-ci n’est pas précisément courte !
Alors qu’elle vient de vider le premier homme, ses lèvres maculées de sperme, elle se tourne vers le second avec une expression terriblement gourmande !
Délaissant la vidéo, je me jette littéralement sur Carla qui glousse, et je lui fais l’amour de façon dantesque, acharnée et vengeresse. Cette nuit-là, je réussis à puiser en moi des ressources insoupçonnées, comme si j’étais multiple, comme si j’étais plusieurs hommes en même temps.
Ce matin, c’est levrette ! Depuis une bonne minute, mes mains accrochées sur les amples hanches de Carla, je la pistonne joyeusement, ma verge entrant et sortant de sa grotte détrempée ! C’est animal, c’est bestial, mais c’est si bon ! Dommage que je doive mettre un préservatif, car je me serais bien vu remplir sa chatte de mon sperme jusqu’à ce qu’elle déborde !
En attendant, elle couine sous mes assauts, sans avoir besoin de se masturber. J’ai tout de suite compris que Carla est à la fois vaginale et clitoridienne, ce qui est génial ! Soudain, elle enfouit son visage dans l’oreiller, le signe qu’elle va jouir dans peu de temps !
Elle explose en mille cris tandis que je la tringle toujours comme un fou, mon plaisir qui arrive, irrésistiblement. Alors que son corps charnel est secoué de spasmes, je me vide, mes mains comme rivées à ses hanches, j’évacue, je me transvase, je me vidange, je m’assèche !
Peu après, tandis que Carla est allongée sur le dos, les bras en croix, j’enlève mon préservatif souillé, puis avec lenteur, je renverse son contenu entre les lourds seins avachis. Elle me sourit, perverse. Sans aucune hésitation, elle masse ses nichons poisseux à pleine main ! C’est avec une grande satisfaction que je vois ses lolos devenir luisants, accrochant la lumière, offrant des reflets plastiques à ces deux monts de chair. Puis en me regardant droit dans les yeux, elle lèche ses doigts, ses lèvres maculées de mon sperme ! Oui, Carla est une sacrée salope, mais j’adore les salopes dans son genre !
Amusée, elle se contente de me regarder, sourire aux lèvres. Puis d’un bond, elle se lève pour aller prendre sa douche. J’aurais aimé continuer un peu la conversation, mais il est vrai que cette nuit a été une fois de plus très agitée ! Un peu pour compenser celle qu’a vécu cette autre salope qu’est devenue Émilie.
Même si son comportement de ces derniers jours et de ces dernières nuitées prête à réprimandes, il me tarde de la serrer dans mes bras et de lui faire oublier à ma façon tous les mâles qui ont osé s’occuper de mon joujou préféré ! D’ailleurs, Hugo avait promis de la rendre ce midi. Je n’ai même plus une heure à attendre, et je sens que je vais occuper ce temps en lutinant Carla.
Il est midi, Hugo est là, planté devant moi. Je lui demande :
Eh merde ! Je sentais venir qu’un truc comme ça pouvait me tomber dessus, mais je pensais que ça n’arriverait jamais, comme gagner le gros lot au loto. C’est plutôt Émilie qui a décroché le gros lot et moi qui me coltine la poisse. Toujours flegmatique, Hugo poursuit :
Imparable ! Qu’est-ce que je peux répondre à cette évidence ! Oui, j’ai eu Émilie, mais si je la perds, c’est encore plus cruel que de la savoir coincée du cul alors que c’est une bombe !
Hugo compte en repliant ses doigts :
Cette phrase me rappelle quelque chose ! Je lui fais remarquer :
En effet. Ce salopard a de foutus arguments, il a servi la chanson qu’Émilie souhaitait entendre, et aplanit un à un tous les obstacles. Je m’adosse contre un mur, en soupirant :
Il ne s’offusque pas :
Puis il se tourne vers ma compagne de nuit :
Intrigué, je les regarde :
Pivotant sur elle-même, Carla part prendre ses affaires. Quand elle revient, je lui demande :
Affichant un sourire désarmant, Carla me caresse la joue :
Je crois que j’ai compris la leçon. Je m’incline devant elle :
Elle s’empare de mes lèvres pour m’offrir un peu de paradis pour la dernière fois. Puis elle part. J’entends une voiture partir. Cette garce aurait pu me prévenir plus tôt qu’elle n’était pas disponible ce soir, et elle aurait pu rester un peu plus !
C’est Hugo prend le relais en me disant :
Quelques minutes après, abattu, amorphe, je me laisse conduire sans résistance jusqu’à la villa. Sans aucune ironie dans la voix, Hugo me souhaite « bonne chance » ; oui, je vais en avoir besoin ! Puis sa voiture disparaît lors du premier virage.
Abattu, je suis affalé sur le sol, face au portail, me prenant la tête dans les mains. Je me suis fourré dans une situation de merde. Et ce n’est pas fini, loin de là ! Inutile de préciser que, quand je me suis retrouvé nez à nez avec Léa et Étienne, ça n’a pas été une partie plaisir ! Sans doute l’épisode le plus pénible de ma vie…
Alors que je suis au boulot, je reçois un SMS. Avec stupéfaction, je constate qu’il vient de la part d’Émilie, et non d’Hugo, qui se fait un malin plaisir depuis des mois de m’envoyer ci et là des photos par MMS pour me faire saliver. Celui-ci me demande si j’aurais la possibilité demain midi de la rencontrer pour qu’on déjeune tous les trois : Hugo, elle et moi.
Sur le coup, je ne sais pas quoi répondre, mais la curiosité est plus forte. Je réponds que je suis OK. Un autre SMS arrive alors, me demandant de ne pas en parler pour l’instant aux autres. Je comprends un peu pourquoi, le changement de vie d’Émilie a fait de très gros remous ! Pas de risque, mes relations avec Léa et Étienne se sont énormément espacées.
Depuis qu’Émilie et Hugo sont ensemble, je suis les aventures de mon ex sur le web, adresses souvent obligeamment et sadiquement communiquées par Hugo. De plus, j’ai eu confirmation très vite qu’elle a une bonne prof en la personne de Carla !
Une sacrée salope de première, celle-là aussi ! Et je parie que l’élève va dépasser la maîtresse, si ce n’est pas déjà fait !
Émilie se fait maintenant appeler Mili, pourquoi pas. On ne peut pas dire qu’elle cache grand-chose de sa vie ni de son anatomie. Je ne vous raconte pas le nombre de followers qu’elle possède ! Il est indéniable que le fric aide la beauté, Mili est plus rayonnante que l’Émilie de mes souvenirs. Seule réelle modification physique, Mili a maintenant les tétons percés, et un peu plus de muscles…
Mili par ci, Mili par là, sa nouvelle robe, sa nouvelle voiture, fait du sport, fait du shopping, fait bronzette, du footing, à la mer, à la montagne, à la campagne, en croisière, aux USA, en Chine, et bientôt sur la lune !
Ah si, j’oubliais, le fameux clip vidéo avec les deux chanteurs à la noix, elle l’a fait ! Et pas un rôle riquiqui, sans parler du maillot de bain translucide, ce qui a entraîné ensuite bien des choses, mais passons…
Une semaine après mon départ de la villa, Martial m’a envoyé la vidéo égyptienne, je n’ai jamais réussi à la regarder jusqu’au bout. Une fois, j’ai été me mettre au milieu pour constater que ça avait viré à l’orgie. Je n’ai pas voulu continuer à voir ça.
De son côté, Hugo a explosé et expose à tout va. Son égérie l’inspire beaucoup, c’est un euphémisme, il la met à toutes les sauces, en long, en large et en travers, sortant de son domaine de prédilection qui est la gravure de médailles. C’est ainsi que le marché de l’Art a vu apparaître des gravures, des peintures, des statues représentant Mili dans toutes les positions. Sans parler des happenings, activité bien commode qui cache parfois bien des choses sous des prétextes artistiques et culturels… Surtout les trois premières lettres de culturel !
Un beau jour, j’ai déniché (non, Hugo ne m’a pas aidé) un autre site dans lequel j’ai découvert des vidéos carrément X. Bien qu’elle soit mentionnée sous un autre pseudo et que l’actrice principale mette un masque ou soit floutée, le contexte, les décors et surtout son corps, tout me fait penser que c’est bien elle. D’ailleurs quelques vidéos semblent fortement avoir été tournées chez Ramon-Ramsès. Je suis affirmatif, car j’ai la mémoire du moindre recoin de son anatomie, je ne suis pas prêt d’oublier tout ce que j’ai perdu avec elle ! Sans parler du fait que je pense avoir aussi reconnu Carla, au moins deux fois, et aussi l’inclination de l’actrice principale pour la feuille de rose reçue et donnée ! Ma touche perso…
Dans la foulée, j’ai pu constater au passage qu’en plus des tétons, Mili a aussi des anneaux aux lèvres intimes et un autre au capuchon. Je m’en doutais un peu…
En parlant d’oubli, j’essaye d’effacer son souvenir dans d’autres bras, mais c’est difficile. Ceci étant, ces diverses aventures passagères me font du bien, car depuis ce fameux séjour, ma vie personnelle a déraillé ! Ah oui, j’ai oublié de préciser que nos deux couples ont divorcé, et Léa s’est mise en ménage avec Étienne. Et j’ai cru comprendre que leur relation au lit est plutôt piquante, voire fouettante ! Au moins deux qui sont contents ! Moins contents sont les enfants. Je les comprends, même s’ils voient assez souvent leur mère. Tout ça à cause d’une idée polissonne que j’ai lancée en l’air lors d’une soirée…
Le lendemain, vers onze heures, après une nuit agitée à repenser à ce fameux séjour, je reçois un SMS m’indiquant l’endroit du rendez-vous, avec une précision utile :
Car l’adresse indiquée est celle d’un hôtel-restaurant très huppé, dont les prix ne sont pas vraiment compatibles avec mes moyens ! Même si le rendez-vous tourne mal, j’aurais au moins vécu une « riche » expérience en mettant les pieds dans ce genre d’endroit.
Il est midi, je me dirige vers l’endroit du rendez-vous. Si j’avais su où j’allais ce midi, j’aurais choisi une tenue plus adéquate, mais tant pis. Une sorte de maître d’hôtel se jette sur moi, prêt à me renvoyer dans la rue. Sans me démonter, j’annonce qui je suis et qui je dois rencontrer. Son attitude change totalement, et quelques instants après, il me dirige dans un recoin tranquille et isolé du restaurant.
Pour un changement, c’est un changement ! Bien que je suive plus ou moins son actualité sur le web, je reconnais difficilement mon Émilie dans cette femme fatale qui m’accueille. Sa coiffure a un peu changé, mais en mieux, son visage est nettement plus lumineux, son corps semble être devenu comme une œuvre d’art. Quant à sa tenue, je jurerais qu’elle a emprunté la fameuse tenue de Maryline Monroe dans « Sept ans de réflexion », la célèbre robe qui voltige au-dessus de la grille d’aération ! Mais en plus court et en plus fin, c’est dingue !
Devant l’expression (je suppose ahurie) de mon visage, Hugo s’amuse :
J’ai un mal de chien à détacher mon regard de mon ex-femme de même pas quinze jours :
C’est mon ex-petite amie qui répond, charmeuse :
Hugo rit doucement :
Puis il s’adresse à moi d’une voix plus grave :
Il pose sa main sur celle d’Émilie :
Elle proteste faiblement :
Un peu désabusé, je réagis cyniquement :
Avec désinvolture, il fait glisser une attache de la robe le long de l’épaule dénudée d’Émilie, dévoilant aisément un mignon sein en poire que je connais très bien. Je constate que le téton est orné d’un petit anneau en or qui le transperce :
Au lieu de s’offusquer d’avoir un sein à l’air en plein restaurant, Émilie sourit, toujours aussi lumineuse. Nonchalamment, Hugo joue à présent du bout du doigt avec l’anneau d’or qui est rivé dans le téton :
Je crains comprendre ce qu’il me suggère. Néanmoins, pour en avoir le cœur net, je préfère poser directement la question :
Un peu éberlué par la tournure des événements, je me tourne vers mon ancienne compagne de jeu qui me sourit toujours, les yeux brillants, adorablement vicieuse. J’ai quelques difficultés à détacher mon regard de son sein si appétissant qui hante toujours mes nuits et mes regrets. Néanmoins, j’arrive à lui demander :
Oui, la plupart des femmes sont en réalité des grenades prêtes à être dégoupillées !
C’est sur cette dernière constatation que j’arrête la narration.
La morale de cette histoire ? Il n’y en a pas…
Sauf peut-être celle-ci : quand on joue avec une grenade dégoupillée, même si ça peut être très profitable dans un premier temps, il faut s’attendre à un sacré effet secondaire…