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02/03/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Aurélie doit partir pour la Suisse.
Critères:  fh hplusag hagé extracon douche fsoumise hdomine vidéox fellation cunnilingu 69 fgode préservati pénétratio fsodo fouetfesse
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : Canicule

Chapitre 02 / 03
Les vacances d'Aurélie

Résumé de l’épisode 1 :

Suite à de petits bobos, Aurélie finit par demander à Bernard, un ami de sa tante, de la caresser avant de le sucer. Celui-ci, marié, ne résiste pas, mais le départ de la jeune femme vers la Suisse le soulage, malgré le plaisir qu’il a eu.



**********



Le soir en rentrant, la porte n’est pas fermée à clef. Elles sont posées en évidence sur le meuble de l’entrée. Aurélie a dû préférer les laisser. Après ce qui s’est passé la veille, peut-être a-t-elle jugé préférable d’éviter de revenir dans dix jours.

Avant toute chose, il se précipite sous la douche. De se retrouver seul, il se sent plus apaisé. Ne pas avoir à gérer Aurélie y est pour beaucoup. Quel plaisir de sentir l’eau ruisseler ! Il sifflote. Brusquement, il sursaute et pousse un cri. On lui frotte le dos.



Il se retourne d’un bond. Aurélie en tenue d’Ève l’a rejoint sous la douche.



Sans lui laisser le temps de dire un mot, d’une main elle l’agrippe par le cou et l’embrasse, tandis que de l’autre elle lui caresse le sexe. Bernard, l’esprit en fusion, est si surpris qu’il met un temps à réagir. Il se dégage doucement du baiser, mais La jeune fille ne le lâche pas pour autant.



Elle lui ferme la bouche d’un baiser. Il n’y répond pas, mais ne la repousse toujours pas. Elle reprend en faisant remarquer la queue qui s’est raidie dans sa main :



Elle le rembrasse avec fougue et… l’esprit en ébullition, il répond à son baiser. Il n’y a pas que son esprit qui surchauffe, son sexe aussi :



Ils se lavent mutuellement, en insistant largement sur certaines parties de leur anatomie. Ils s’essuient sommairement ; avec la chaleur ce n’est pas un problème, et sortent de la salle de bain. Ils vont dans la chambre d’ami. Il la pousse sur le lit et commence longuement par la couvrir de baisers et de caresses sur tout le corps, évitant dans un premier temps les zones les plus sensibles. Ce n’est que dans un second que la poitrine entre dans le parcours et dans un troisième seulement qu’aussi il lui bouffe la chatte et la doigte. De temps en temps, il égare même un doigt inquisiteur dans l’autre trou. Il trouve rapidement le point G de la demoiselle, mais n’insiste pas trop, car il veut faire durer. Et il y réussit fort bien. Il fait monter la pression, la relâche un peu sans la laisser retomber, puis la fait repartir, ainsi à maintes reprises. Ce petit jeu rend Aurélie de plus en plus frénétique. Elle frissonne, son bassin s’anime, elle geint, elle râle, elle perd la notion du temps. Soudain c’est l’explosion, son corps frémit et s’arc-boute, un long feulement rauque s’échappe de ses lèvres. Elle retombe sur le lit, l’esprit embrumé. Elle reste ainsi inerte en sueur et haletante. Bernard en profite pour boire un peu d’eau avant de s’assoir sur le lit et la regarder cuver son plaisir. Quand elle émerge, elle lui sourit et l’embrasse. Elle lui fait ensuite une petite gâterie, mais s’interrompt rapidement, le laissant assez frustré, pour fouiller dans son sac. Elle sort fièrement une petite boîte.



Elle en prend un et entreprend de le mettre… avec la bouche. Elle y réussit fort bien… sans s’aider des mains. Elle est douée pour les gorges profondes, pense Bernard. Fort satisfaite elle explique :



Elle rosit presque de contentement en entendant cela. Elle croit bon d’ajouter :



Elle se retient d’ajouter : et pourtant la sienne est même un peu moins grosse et longue que la vôtre. Elle le pousse. Une fois qu’il est allongé, elle l’enjambe, s’empare de sa queue, l’ajuste et la fait entrer en elle sans se presser, goûtant chaque moment de l’insertion. Elle fait une longue pause en le gardant au fond de son con, puis lentement elle monte et descend. Après l’avoir laissée œuvrer, Bernard ne veut pas rester entièrement passif. Il lui prend les seins pour les cajoler, les caresser, les pétrir un peu. Il a hésité, Bernadette est très sensible de la poitrine, déjà ce qu’il fait à celle d’Aurélie, elle ne l’aurait pas supporté. Voyant qu’elle apprécie, il pince légèrement les pointes. Sans rien changer à son rythme elle souffle :



Ses doigts se resserrent davantage sur les tendres appâts. Ils étirent davantage les tétons.



Il insiste, il les malaxe, les pince et même les tord, sans déclencher d’autres réactions qu’une accélération du rythme et des « Oui » à répétition. Sur un dernier qui semble ne jamais finir, pour la seconde fois, elle prend son plaisir. Il était temps. Bernard était à bout. Il ne pensait pas pouvoir encore résister aussi longtemps. Aurélie se laisse aller sur le côté, reste un moment à reprendre son souffle, avant de le prendre par le cou pour l’embrasser. Quand elle abandonne ses lèvres, c’est pour ôter le préservatif et entreprendre une pipe où elle n’hésite pas à user de sa « belle capacité d’absorption ». Il lui faut peu de temps pour le faire exploser dans sa bouche. Elle se blottit contre lui. Il met un moment à atterrir. Alors de nouveau les scrupules l’assaillent :



Ce n’est pas niable.



Il rit.



Elle ne veut pas penser à l’avenir. Elle sait qu’il n’y en a pas, elle ne peut ignorer Bernadette, la différence d’âge et tout ce que cela implique. Elle ne veut pas penser plus loin que les jours à venir aux plaisirs que peut encore lui donner Bernard. Quant à ce dernier, il est contrarié et malgré cela, au fond de lui, il n’est pas mécontent. Inconséquence humaine. Il préfère ne rien ajouter. Après être resté quelques minutes pensif auprès d’Aurélie, il se lève et retourne dans la salle de bain pour de rapides ablutions. Celles-ci faites, il retourne dans sa chambre.


Aurélie, déjà somnolente quand Bernard s’est levé, est endormie profondément avant même qu’il ne quitte la salle de bain.

Le lendemain matin, il se lève le plus discrètement possible et part rapidement au travail. Il préfère, l’esprit perturbé, éviter de la croiser, bien que sachant qu’il ne pourra l’éviter le soir.

Aurélie de son côté émerge plus tard, Elle part faire quelques courses et déjeuner avec Martine qui s’étonne de sa présence à Paris. Celle-ci après quelques minutes de discussion sent qu’il y a quelque chose de changé chez son amie. Elle la trouve rayonnante.



Ce disant Martine a une intuition et s’exclame :



Aurélie rougit en bafouillant :



Aurélie hésite à raconter son aventure, appelée à être sans lendemain, avec un homme plus âgé et marié. Son amie insistant, elle finit par se décider et dit combien elle a eu de plaisir avec Bernard, sans le nommer. Martine l’écoute et quand Aurélie s’arrête :



Aurélie se confie, ne cachant plus à son amie son rôle moteur dans cette aventure.



Aurélie, sur sa lancée, narre par le menu à son amie ébahie la suite de la soirée et conclut qu’elle a prétexté une indisposition pour ne pas accompagner sa famille en Suisse pour le retrouver. Elle enchaîne sur le récit de la veille et conclut :



Les deux amies papotent encore un moment. Aurélie part ensuite faire les magasins et rentre attendre le retour de son hôte, assez satisfaite de ses achats. En arrivant elle va, soigneusement, se laver sous la douche. Ablution faite, elle juge inutile de se rhabiller et reste en tenue d’Ève, prête à l’action.


Quand Bernard rentre, en voyant Aurélie s’approcher, point ne lui est besoin d’être grand clerc pour comprendre la manière dont elle envisage la soirée. Il n’a d’ailleurs pas le loisir de pouvoir prononcer une parole, qu’elle se suspend à son cou pour l’embrasser, et pas sur la joue. D’ailleurs, il n’est pas mécontent de la sentir palpiter contre lui. Il s’épargne le ridicule d’avoir l’air de vouloir protester. Inutile d’ajouter l’hypocrisie au dévergondage. Il aide activement la jeune femme qui a entrepris de le déshabiller, en pensant qu’il a eu une bonne idée de téléphoner à Bernadette avant de quitter le bureau.


Bien qu’étant déjà passée par la salle de bain, elle y accompagne Bernard, pour un savonnage réciproque. Malgré l’envie qui le tenaille, et elle aussi d’ailleurs, ils passent par la case dîner, mais sans perdre le temps de s’habiller. C’est assez rapidement expédié. L’attente fait partie du plaisir, mais point trop n’en faut.


Bernard, par un reste de scrupule, préférant éviter la chambre conjugale, tous deux se retrouvent dans celle d’ami. Il commence par un broute-minou qui met des étoiles dans les yeux de la demoiselle. Elle s’applique ensuite à lui mettre une capote, avec la bouche bien sûr. Elle se met ensuite à quatre pattes, bien cambrée en tendant les fesses. L’invite étant claire, il la saisit par les hanches, s’ajuste et la pénètre d’un coup. Elle ne s’attendait pas à un tel abordage qui la projette en avant. Il poursuit quelque temps sur cette lancée. Puis ne voulant arriver trop vite, il prend un rythme plus posé.

Quand il sent que cela commence à approcher, il se retire et la fait s’allonger sur le lit les fesses au ras du bord. Il s’agenouille sur la carpette et prend les jambes sur ses épaules et la pénètre de nouveau. Il caresse ses seins. Se rappelant qu’elle apprécie, il se met à les malaxer, pincer, étirer. Bingo, elle aime toujours autant. Elle prend son plaisir une nouvelle fois avant qu’il ne se vide dans la capote. Elle retire cette dernière pour lécher et sucer le sexe de Bernard.


Elle y met une belle ardeur, tant et si bien qu’il retrouve une raideur de bon aloi. Elle s’applique ensuite à lui remettre, toujours avec le même savoir-faire, une nouvelle capote. Elle regarde le sexe dressé, satisfaite de son œuvre, puis regarde Bernard dans les yeux pour lui dire :



Ce disant devant un Bernard étonné, elle fouille son sac et en sort un tube et lui tend :



Bernard installe son Canon sur pied en trois quarts arrière et garde le petit compact à portée de main, tandis qu’Aurélie se met à quatre pattes et positionne son portable en face d’elle en précisant :



Elle obéit. Il prend le lubrifiant et en répand généreusement sur ses doigts et la raie d’Aurélie. Il referme le tube et prend son compact. De l’autre main il étale l’onguent en la caressant longuement, il introduit un doigt dans l’étroit conduit, le fait sortir et entrer et sortir et entrer… La demoiselle tend un peu plus les fesses. Ainsi encouragé, il entreprend en même temps un lent mouvement circulaire. La rondelle se détend. Bientôt il peut, après l’index introduire le majeur et poursuivre son va-et-vient. Quand il juge la pastille suffisamment relâchée, il retire ses doigts pour pointer sa queue vers l’orifice ouvert qui a l’air de l’appeler.

Il s’ajuste et pousse légèrement. Ça entre doucement. Il entend Aurélie haleter plus fort. Il s’inquiète :



Il continue. Bientôt il est complètement emmanché dans le petit cul et son ventre vient buter contre les fesses. Elle demande presque étonnée :



Elle trouve l’idée bonne et se met à se cajoler le minou, tandis qu’il lui pistonne le troufignon. Il fait ça en souplesse. Avant de sentir sa résistance commencer à faiblir, il propose :



Elle ne répond rien, mais se redresse et lui laisse la place. Il s’installe. Trouvant qu’il ne s’est pas bien placé par rapport à l’appareil, elle le fait se mettre dans l’axe, avant de l’enjamber. Tandis que d’une main elle le guide vers ses entrailles, de l’autre elle récupère le compact et filme l’intromission en gros plan. Elle commence lentement à jouer les ludions sur sexe dressé, en se caressant la chatte. Puis son mouvement s’accélère. Elle met un bel enthousiasme tant à se cajoler le bouton qu’à se faire labourer le cul.


Bernard est surpris de cette ardeur à presque se défoncer la rondelle pour une première. Certes son expérience n’est pas énorme en ce domaine et elle est assez ancienne ; Bernadette, les rares fois la sodomie a été évoquée, affichait une réelle répulsion qui l’avait incité à ne même pas insister. Cela remonte donc à avant leur rencontre. Il avait opéré avec deux copines. L’une avait de la pratique et avec l’autre c’était une inauguration. La première malgré son habitude de la chose ne mettait pas une telle impétuosité, quant à la seconde, l’opération s’était révélée délicate et après quelques essais peu plaisants, ils avaient renoncé.


L’impétuosité d’Aurélie vient à bout de la résistance de Bernard. Après que le sexe ramolli eut été chassé du doux fourreau, elle continue à se branler frénétiquement jusqu’à ce qu’elle s’écroule repue contre Bernard.

Elle ne met pas longtemps à récupérer. Elle l’embrasse et retire la capote pour le nettoyer avec tant d’application que, malgré sa fatigue, il finit par rebander. Visiblement satisfaite, elle fait un bisou sur le nœud et reprend son sac qu’elle retourne. Outre quelques affaires personnelles il en tombe deux blisters.



Elle s’abstient de répondre, occupée à son déballage. Elle extrait du premier un plug et du second un gode double de bonne taille. Elle les regarde les yeux brillants et les tâte.



Ce disant, elle tend à Bernard le second, avant de se remettre à quatre pattes. Il regarde l’objet en caoutchouc couleur chair. Il jette un coup d’œil à l’emballage qui précise :


Dimensions du godemichet (vaginal) : 15. 3 cm — Ø 3. 8 cm

Dimensions du godemichet (anal) : 14. 5 cm — Ø 2. 4 cm

Longueur totale : 20 cm.


Bien que pensant que ce soit inutile à la vue de l’entrecuisse de la donzelle, il met un peu de lubrifiant sur l’engin. Il reste un moment à regarder le postérieur de la belle, hésite un moment et le plonge d’un seul geste dans les deux trous offerts et bien ouverts. Elle ne s’y attendait pas et a un hoquet de surprise. L’ignorant il se met à la pistonner vivement.

Nullement rebutée par cette entrée en matière énergique et sa suite qui ne l’est pas moins, elle tend les fesses à l’envahisseur. Il la besogne longuement. Plusieurs fois elle prend son pied avant de finir par s’écrouler haletante à plat ventre. Il retire le gode, le pose et reste à la contempler quelques instants. Son regard tombe ensuite sur le plug noir qui est formé de trois boules. Il regarde l’emballage :


Longueur totale : 20 cm

Longueur insérable : 17 cm

Ø minimum : 4 cm environ

Ø maximum : 8 cm environ

Matière : vinyle sans phtalate

Pensant au tempérament ardent dont fait preuve Aurélie, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Il saisit l’objet et ordonne :



Comme elle ne bouge pas, il lui applique une solide claque sur le postérieur.



Elle se redresse sur le coude et tourne la tête. Elle aperçoit ce qu’il tient.



Il l’interrompt d’une nouvelle claque sur les fesses en disant :



Il appuie ses paroles d’une troisième claque. Elle obtempère sans barguigner plus, se met à genoux et écarte ses deux ravissants globes.

Bernard est quand même un peu surpris de la facilité avec laquelle Aurélie se soumet à son injonction. Il n’est pas le seul, la jeune fille, elle-même, est étonnée de sa conduite. Jamais elle n’aurait toléré que Mathieu lui claque les fesses et la commande ainsi. Jamais non plus elle n’aurait pensé à faire des achats dans un sex-shop. Mais là, avec cet homme…


Voulant continuer à immortaliser la suite des événements, il remplace les batteries de ses appareils, puis il lubrifie l’objet. Durant tout ce temps Aurélie tient la pose, fesse tendue et écartée. Il décide de ne pas utiliser tout de suite le gode illico. Il caresse les fesses de la demoiselle et les embrasse, il parcourt la fente juteuse, joue avec le bouton, titille le petit trou. Elle apprécie et en oublie de tenir ses fesses écartées. Une tape sur le postérieur le lui rappelle. Point n’est d’ailleurs besoin d’explications supplémentaires pour qu’aussitôt elle empoigne ses fesses pour les mettre dans l’état voulu.


Bernard décide d’en venir au fait. Après des dernières câlineries appuyées à l’œillet de la belle, il ajuste l’engin et appuie. La première boule est acceptée sans problème. Il joue un peu à le faire tourner et aller et venir pendant deux bonnes minutes, avant de pousser de nouveau. La seconde boule de 6 cm de diamètre est un peu plus ardue à faire entrer, mais l’opposition est légère et Aurélie n’émet aucune protestation, même si sa respiration est plus saccadée. Elle finit par disparaître. Avant de poursuivre, il recommence à manipuler le plug. Il remet un peu de lubrifiant, sur la partie émergée, avant d’engager la phase finale.

Il pousse précautionneusement. Il sent de la résistance. Aurélie émet un long soupir. Il s’inquiète :



Bien qu’il sente qu’elle n’est pas à la fête, il poursuit. La petite y met du sien. Ses mains ouvrent son cul au maximum. Il avance, il recule, il avance, il recule… Petit à petit l’anus se dilate. À chaque fois le gode s’enfonce un peu plus et bientôt l’acmé est atteint et presque d’un coup l’olisbos disparaît dans les entrailles d’Aurélie qui a un hoquet de saisissement. Il s’enquiert de nouveau :



Aurélie est troublée d’entendre Bernard parler ainsi, mais elle doit reconnaître qu’elle ne peut le contredire, car depuis ce fameux soir où elle a eu le dos griffé, elle se conduit comme une salope et pas une petite. Qu’est-ce qu’il lui prend de se conduire ainsi ? Elle accepte des choses qu’il y a peu elle a ou aurait refusées à ses petits copains avec hauteur. Et pour être honnête, même plus qu’acceptées, réclamées souvent. Bernard la tire de ses pensées :



Bernard ne se reconnaît pas à presque malmener la jeune fille, mais il est curieux de voir jusqu’où elle va obéir. Et il voit, Aurélie ne discute pas plus avant et se glisse dans son lit sans même se laver, ni passer une chemise de nuit et s’allonge sur le côté, sur le dos doit être un peu délicat. Il lui donne un baiser sur le front et lui souhaite bonne nuit. Il retourne sous la douche avant de rejoindre sa chambre.

Il est couché depuis deux heures quand on frappe à sa porte. Dans un demi-sommeil, il répond :



Aurélie, toujours nue, pénètre dans la pièce. D’une voix un peu altérée elle demande :



Il ne veut pas la tourmenter si elle ne consent, ni surtout qu’elle risque des lésions, aussi répond-il :



Il se lève et la suit. Elle avance d’un pas circonspect. Arrivée à destination, elle s’agenouille et écarte ses fesses. Par précaution, il fait couler un peu de lubrifiant et commence par tourner un peu le plug. Puis, toujours le faisant pivoter, il tire doucement. L’anneau se distend graduellement, laissant partir comme à regret l’intrus. Il finit par laisser sortir la première boule. Les deux suivantes suivent dans la foulée. Bernard est fasciné par l’anus dilaté qui se resserre lentement. Il regarde s’il n’y a pas de saignement. Non, il est rassuré. La miss a des dispositions. Elle se redresse lentement et lui dit :



Il lui conseille :



Elle se lève. Il lui tend le gode en lui disant :



Elle s’empare de l’objet et se dirige vers la salle de bain d’un pas plus assuré. Il la laisse ablutionner et retourne se coucher.

Le lendemain matin, il a un peu de mal à émerger quand le chat, trouvant que décidément il traîne trop, réclame à manger. Sur sa lancée, il prépare le petit déjeuner. Il commence à boire son thé, quand Aurélie, toujours nue, pointe le bout de son charmant minois. Elle l’embrasse. Il demande :



Il s’en doutait un peu en voyant son air rayonnant.



Lorsque Bernard part faire son tour en vélo, elle préfère s’abstenir. Passer la matinée le cul sur une selle de vélo ne lui paraît pas une bonne idée. Elle préfère le réserver à autre chose. Après le repas, tandis qu’il va réapprovisionner le frigo, elle rejoint sa copine.

Les deux amies se retrouvent à la sortie du métro pour aller prendre un pot à la terrasse d’un café près du château. En voyant approcher Aurélie, Martine lui demande :



Aurélie raconte à son amie médusée, la soirée de la veille. C’est tellement « trop » que Martine a des doutes quant à la véracité de tout ça :



Aurélie pense qu’elle s’est peut-être montrée trop bavarde. Elle hésite et puis se décide. Elle va clouer le bec à sa si sceptique amie :



Aurélie sort son portable et… plus de batterie. Son amie éclate de rire.



Les deux amies discutent encore un bon moment, mais de sujets moins brûlants, avant de se quitter.

Quand Aurélie rentre, c’est pour trouver Bernard prenant l’apéritif avec un couple. Il fait les présentations. C’est Yvon le frère de Bernadette et Mélanie, sa femme, qui viennent du Tarn et vont en Alsace pour voir la sœur de cette dernière qui vient d’être hospitalisée. Il a essayé de la prévenir, mais il est tombé directement sur la messagerie. Elle explique :



Aurélie est déçue. Ce n’est pas la soirée qu’elle avait espérée. Elle fera contre mauvaise fortune bon cœur. Ces gêneurs ne vont pas rester. De fait le lendemain on se met à table à 11 h et le couple part dès la dernière bouchée avalée. À peine ont-ils tourné les talons qu’elle demande à télécharger sur son ordi les films pris l’avant-veille. Cela est fait rapidement, sans même jeter un coup d’œil, car Bernard doit se rendre à la réunion d’une association de numismates. Se retrouvant seule, un peu frustrée malgré tout, Aurélie téléphone à sa confidente pour l’inviter, si elle est libre, à venir. Elle l’est.

Martine, pour dire vrai, avait prévu autre chose, mais subodorant qu’Aurélie allait vouloir lui prouver la véracité de ses dires, elle préfère changer de programme. Si cela s’avère vrai, ça risque d’être croustillant. C’est une chose qu’elle ne veut pas rater. Comme après elle ne sait pas si elles pourront se revoir avant le départ d’Aurélie, car elle va devoir partir en mission pour la semaine.

Trois quarts d’heure plus tard elle arrive chez Bernard. Après qu’elles se sont fait la bise, Aurélie commence à parler de choses et d’autres. Au bout de vingt minutes de bavardages, Martine, assez déçue et se demandant si elle n’a pas renoncé à l’après-midi avec son chéri, inutilement lance :



Aurélie qui était prise de scrupules et s’était lancée de discussions en digressions aussi diverses que variées, se retrouve brutalement au pied du mur. Elle a un moment de flottement et puis juge qu’il n’est plus temps de reculer. Elle s’exclame :



Encore hésitante malgré tout, elle va chercher son ordinateur. Une fois celui-ci ouvert, ses états d’âme s’envolent pour céder la place à un certain émoi en constatant l’air gourmand de sa copine. Celle-ci en voyant les images n’est pas déçue. Elle ne regrette plus d’avoir reporté Romain, d’autant qu’Aurélie a synchronisé les trois prises de vues pour qu’elles soient affichées en même temps. Elle voit à la fois un plan général, les expressions de sa copine prise avec son portable et des gros plans de l’opération. La totale !


Ça vaut ce que l’on voit sur Internet. Et que c’est son amie qui en est la protagoniste y ajoute du piment. Elle reconnaît volontiers qu’Aurélie n’a pas exagéré. Elle était même en dessous de la vérité. La chevauchée déjà l’impressionne, de même que le gode double, mais le plug la laisse baba.

Aurélie qui découvre aussi les images est aussi impressionnée que Martine de ses prestations. Elle réalise en les voyant ce qu’elle a fait.

Quand les vidéos s’arrêtent, le silence dure plusieurs secondes avant que Martine ne lâche :



Sans hésiter Aurélie va chercher l’objet :



La conversation est interrompue par l’arrivée de Bernard qui rentre de sa réunion plus tôt que prévu. Aurélie a à peine le temps de faire disparaître le plug. Heureusement que l’ordi n’était pas resté ouvert. Ça aurait pu éveiller des doutes chez son hôte. Elle ne sait s’il apprécierait qu’elle montre leurs exploits intimes à des tiers, même si c’est sa meilleure amie. Cela lui fait penser que les regarder avec lui serait une bonne mise en condition à la soirée.


Malgré cela Bernard, en voyant d’une part l’air exagérément détaché de sa jeune maîtresse, et d’autre part le regard en coin et malgré tout un peu trop appuyé et brillant d’une lueur qu’il juge par trop espiègle de son amie, est pris de sérieux doutes quant au silence d’Aurélie sur leurs rapports. Il s’abstient malgré tout de tout commentaire, il réserve une éventuelle explication pour plus tard, quand cette Martine que lui présente Aurélie sera partie. Sa conviction se renforce quant à des confidences de celle-ci. En effet, durant la conversation certaines remarques de Martine ont un caractère ambigu ou allusif qui lui laisse de moins en moins de doute.


Celle-ci part après l’apéro, elle a refusé l’invitation à dîner, vivement encouragée par une mimique d’Aurélie, qui le fait sourire intérieurement. Quand ils se retrouvent en tête à tête, Aurélie lui propose de regarder les vidéos après le dîner qu’elle se propose de préparer. Il accepte et va noter dans son tableau les échanges qu’il a faits durant la rencontre et ranger ses nouvelles acquisitions et se doucher. Tandis qu’elle l’imite, pour la douche, il en profite pour passer un coup de fil à Bernadette, à laquelle il ne dit mot des dernières évolutions de ses relations avec Aurélie. Il avisera plus tard.


Durant le repas, Aurélie excitée comme une puce se montre très volubile, parlant de tout et de rien, mais pas de ce qui est censé se passer après. Il ne peut placer un mot. Malgré ce flot de paroles, le repas est rapidement expédié et elle l’entraîne devant la télévision à laquelle elle connecte son Mac. Les réglages de synchronisation étant déjà faits les vidéos sont rapidement lancées. Tandis qu’elle va pour s’assoir, Bernard lui demande :



Tandis qu’elle le fait, il enchaîne :



Point ne lui est besoin de le dire deux fois. En un clin d’œil elle est nue et vient s’assoir sur les genoux de Bernard. Qui lui ordonne :



De nouveau point n’est nécessaire de le répéter. Elle obéit illico. Tandis que le film se déroule, alors qu’une de ses mains caresse des seins, avant d’aussi les étirer et pincer, l’autre s’active sur la chatte complaisamment offerte et commençant déjà à suinter. Comme ces demoiselles tout à l’heure il trouve que les performances d’Aurélie, et les siennes aussi d’ailleurs, n’ont rien à envier à ce qu’il a pu voir sur la toile. Elle y met une bonne volonté et une ardeur évidentes.


Malgré l’émotion qu’ils ont à voir ces images de leurs prouesses, ils passent en avance rapide de temps à autre, trouvant que voir c’est bien, mais pratiquer c’est encore mieux. Quand la projection est finie, c’est un bis repetita de l’avant-veille qui se déroule, avec cunni, mise de la capote avec la bouche, baise, doigté du petit trou, enculage, gode double. C’est alors qu’il est en train de la ramoner énergiquement qu’il demande :



Aurélie, qui est sur son petit nuage, répond naturellement :



Aurélie réalise que dans le feu de l’action elle a avoué ce qu’elle aurait voulu taire. Cela calme ses ardeurs. Elle se fige et bredouille :



En disant cela, elle repense à ce que lui a dit celle-ci avant l’arrivée de Bernard. L’idée ne l’effarouche plus autant. Elle la trouve même assez tentante. Après tout elle n’avait pas détesté lorsqu’il lui avait administré ces quelques tapes sur le postérieur. Elle enchaîne :



Voyant qu’il n’a pas saisi la perche qu’elle lui tendait, maintenant qu’elle est décidée, elle insiste :



Une lueur se fait dans le cerveau de Bernard.



Pour Bernard le doute n’a plus guère de place. Eh bien puisque la demoiselle se déclare prête à « expier »… Il retire le gode des endroits où il était fiché, la redresse et l’attire sur ses genoux. Elle n’oppose aucune résistance et participe même. Il regarde le derrière rebondi, le caresse longuement. Elle frissonne. Brusquement la première claque s’abat. Malgré tout surprise elle sursaute et lâche un petit « Oh ! », mais ne manifeste aucune velléité à se soustraire.


Les claques suivantes se succèdent, tantôt fortes, tantôt plus légères, tantôt crépitantes, tantôt espacées. Le cul de la donzelle rosit et même rougit un tant soit peu. Bien que cela la cuise un tantinet, elle prise la chose. Elle éprouve un certain plaisir à se faire ainsi tanner les fesses, le côté quelque peu humiliant de se faire traiter ainsi, y participant.

Jugeant que la coloration du cul d’Aurélie suffisante, il cesse la « punition ». Sa main qui commence à chauffer aide à cette décision :



Cette réponse le laisse dubitatif. Il se demande si la donzelle ne laisse pas la porte ouverte pour renouveler ce genre d’exercice. Ça a dû lui plaire, en conclut-il, mais il ne veut pas trop s’avancer. L’avenir devrait apporter des réponses :



Toujours fort obéissante, elle s’installe à quatre pattes et écarte ses fesses à deux mains. Il fait couler un peu de lubrifiant sur l’objet et sur la rondelle offerte. Il titille celle-ci de la main, avant de le faire avec le plug. La première boule pénètre avec aisance. Il la fait entrer et sortir longuement, avant d’enfoncer la seconde. De nouveau il fait faire allers et venues. Il appuie un peu plus quand il juge le sphincter bien souple. Celui-ci s’ouvre sous la poussée et absorbe sans difficulté les huit centimètres de diamètre de la troisième boule. Le va-et-vient qu’il entreprend ne pose pas de problèmes. Aurélie a même l’air là aussi d’apprécier. Elle a vraiment un tempérament de feu, pense-t-il. Il l’enfonce une dernière fois en disant :



Elle se redresse et l’embrasse :



Sans discuter plus avant, elle va vers sa chambre et se couche en chien de fusil et s’endort rapidement. Il rejoint aussi la sienne, assez perplexe. Aurélie l’étonne. Elle fait preuve d’un appétit et d’un petit côté maso, qu’il n’aurait pas soupçonnés. Il se demande si elle ne se lâche pas en sachant que leur relation est sans avenir.

La jeune femme est réveillée, gênée par l’occupant de son cul. Après s’être tournée, plusieurs fois avec précaution, ne retrouvant pas le sommeil, elle se lève et va frapper à la porte de Bernard. Il lui répond d’entrer d’une voix ensommeillée. Avant qu’elle ouvre la bouche, il lui dit :



Arrivée dans celle-ci, elle se met à quatre pattes sur le lit. Il extrait le gode, mais en prenant son temps. Il le fait aller venir un bon moment avant de l’ôter. Il l’embrasse en lui recommandant d’aller nettoyer le plug et va se coucher. Il ne lui faut pas oublier que le lendemain c’est turbin et qu’il n’a plus vingt ans depuis longtemps, comme dit la chanson de Serge Reggiani.


Bien que ses amis, la tante d’Aurélie et son mari, rentrent ce lundi, il ne parle plus que la demoiselle parte chez sa tante. Elle n’en fait pas état non plus d’ailleurs. Tous deux, d’un tacite accord, ont décidé qu’elle resterait jusqu’au retour de sa famille, suivi du départ vers sa province le dimanche suivant.


Les soirées de la semaine se passent de la plus agréable des manières et ressemblent aux deux précédentes, à quelques nuances près. Bernard ne fesse Aurélie de nouveau que le jeudi et certain jour il essaie le plug dans la chatte qui se montre aussi accueillante que le cul, mais il s’abstient de lui demander de le garder jusqu’au matin, préférant ne pas être réveillé au milieu de la nuit pour l’extraire.


Le samedi matin ils vont faire un tour en vélo, Bernard ne voulant pas déroger. La famille d’Aurélie rentre de Suisse dans l’après-midi et ils sont invités à venir les retrouver chez ses amis pour le dîner du soir.

L’idée taraudait Bernard de pousser Aurélie dans ses retranchements. Il se décide après le déjeuner. Il lui propose d’aller passer son dernier après-midi à se promener dans Paris, avant le dîner. Il lui suggère de mettre la robe qu’elle a essayée devant lui. Elle va s’habiller. Quand elle revient, il lui dit :



Elle ôte l’intrus, bien que se doutant des réflexions de son père.



Elle obéit. Il sort un plug qu’il a soigneusement choisi la veille. Il est de taille beaucoup moins imposante que celui acheté par Aurélie. Il ne mesure que douze centimètres de long dont dix insérables, pour un diamètre maximum de cinq centimètres. Il l’oint de lubrifiant, trousse la jupe et ajuste l’objet sur la rosette. Il vrille doucement. Les chairs s’écartent obligeamment et il faut à peine cinq minutes pour qu’il disparaisse dans les entrailles d’Aurélie. Il essuie soigneusement la place, ne voulant que la robe soit décorée d’auréoles suspectes, et rabat la jupe.



D’un pas résolu, elle se dirige vers la porte et sort. Il la suit et ferme la porte. Ils se dirigent vers le métro. Alors qu’ils traversent un bout du Bois de Vincennes, Aurélie sursaute et lâche un « Oh ! » de surprise en portant la main à ses fesses.



Aurélie reste quelques instants songeuse, avant de répondre :



Ils reprennent le chemin. Dans le métro, elle n’est pas très à l’aise pour s’assoir. Elle se dandine un peu. Ils descendent à Champs-Élysées-Clémenceau pour aller visiter le Musée des beaux-arts de la Ville de Paris au Petit Palais. Alors qu’ils sont dans la queue, il déclenche des vibrations. Elle ne s’y attendait pas et sursaute de nouveau, mais réussit à ne pas porter la main à son postérieur. Elle rougit et regarde d’un air éperdu Bernard, qui sourit. Elle se ressaisit et lui sourit en retour. Au cours de l’après-midi, au musée, puis quand ils se promènent, de temps à autre, il déclenche les diaboliques vibrations. Aurélie n’est plus surprise, mais elle ne peut s’empêcher de tressaillir ou de frissonner, surtout lorsqu’il fait durer la chose.


Le temps passant, il est bientôt l’heure de rejoindre Montreuil pour le dîner avec la famille d’Aurélie. En arrivant elle se rend aux toilettes. Après avoir satisfait ses besoins naturels, elle pense ne pas remettre le plug, elle se sent mal à l’aise de l’avoir au milieu des siens. Le problème c’est qu’elle ne sait qu’en faire. Son sac est trop petit et elle ne peut le mettre dans le réservoir d’eau car celui-ci est encastré et il lui faudrait des outils pour y accéder et avec ses circuits électriques et ses piles elle a des doutes quant à une immersion. Le placard des toilettes est trop aléatoire. Il y a trop de risques qu’il y soit trouvé. Elle n’ose imaginer la réaction paternelle en cas de découverte. Déjà qu’il a fait une allusion quant à son absence de soutien-gorge. Elle opte donc pour le remettre dans son nid.


Bien sûr Bernard ne se prive pas de déclencher les vibrations. Heureusement, le bourdonnement est pratiquement inaudible. Aurélie parvient à garder bonne contenance, malgré les sensations qu’elle ressent au fond d’elle-même et même au fondement d’elle-même. À plusieurs reprises elle doit presque se mordre les lèvres pour ne pas laisser échapper des soupirs. Elle a hâte que le repas finisse, pour enfin rentrer avec Bernard pour cette dernière nuit.


Ce dernier qui discute avec ses parents et ses amis tarde un peu à donner le signal du départ. Aussi accepte-t-elle lorsque sa sœur Élise lui propose de venir voir ses achats. Elle lui demande son avis sur le pantalon et le chemisier qu’elle s’est achetés. Aurélie lui fait compliment en lui disant que cela lui va à ravir et qu’elle aime bien l’ensemble. Après l’essayage, Élise toujours en sous-vêtements demande :



Aurélie s’arrête au milieu de sa phrase en réalisant que sous ladite robe elle est nue, sans compter le plug dans le cul. Sa sœur la regarde avec surprise avant de rire :



Et joignant le geste à la parole elle commence à soulever la robe. Elle se fige :



Aurélie, au point où elle en est, préfère abréger. Faisant bien attention de bien rester de face, il ne manquerait plus que sa sœur remarque le plug, elle finit de retirer elle-même sa robe et la passe à sa sœur en disant :



Aurélie les enfile. Elle les trouve confortables. De son côté la sœur est convaincue d’aller se chercher une robe avant de rentrer au bercail, du même modèle, mais dans un coloris différent, s’accordant mieux avec ses cheveux plus clairs. Les frangines commencent à se déshabiller, quand Bernard fait fonctionner la télécommande, à tout hasard ne sachant pas si la portée est suffisante. Aurélie qui ne s’y attendait plus est surprise et ne peut s’empêcher d’émettre un grognement sourd. Élise lui demande :



Elles finissent de se dévêtir et remettent leur robe.



Élise plie et range le chemisier, puis s’attaque au pantalon. Elle s’arrête en rigolant :



Aurélie se sent rougir jusqu’à la racine des cheveux en voyant les taches révélatrices qui le maculent. Zut. Elle se rendait bien compte qu’elle mouillait, mais elle n’aurait pas cru que ce soit autant et c’est vrai qu’en plus ce fichu pantalon est particulièrement moulant.



La conversation est interrompue par la tante qui vient annoncer que Bernard va bientôt partir et désire savoir si Aurélie est prête. Celle-ci déclare qu’elle arrive, pas mécontente d’échapper à la conversation qui s’engageait sur un terrain fort glissant.

Dans le 115, Bernard déclenche les vibrations, mais contrairement aux fois précédentes, il laisse l’appareil fonctionner et ce jusqu’au retour à la maison, se contentant simplement d’augmenter progressivement l’intensité. Quand ils arrivent, Aurélie n’en peut plus. Sitôt entrée, elle s’agenouille pour défaire le pantalon de Bernard et le sucer. Elle n’a pas besoin de beaucoup s’activer pour qu’il soit raide. Elle se met alors à quatre pattes sur le tapis de l’entrée et implore presque :



Il ne se le fait pas répéter deux fois, la journée l’ayant lui aussi émoustillé. Elle n’est pas longue à prendre une première fois son pied, prise entre la queue qui lui ramone la chatte et le plug qui lui vibre dans le cul. Une deuxième suit bientôt, et la troisième survient quand Bernard se vide en elle. Ils s’embrassent et après qu’il a extrait le plug, partent se doucher.


À peine sont-ils séchés, qu’elle entreprend une nouvelle pipe. Après l’avoir enculée et joué avec les godes, Bernard malgré tout fatigué par cette longue journée déclare forfait et va se coucher. Elle rejoint les bras de Morphée presque sitôt son départ, vaincue par cette journée fertile en émotions.


Le lendemain matin, les deux amants ragaillardis repartent pour une ultime partie de jambes en l’air. Ils y mettent tant d’ardeur qu’ils ne voient pas le temps passer. Heureusement qu’Élise téléphone pour avertir qu’avec ses parents ils montent en voiture pour passer la chercher. Ils se lavent, ils en ont besoin, et s’habillent en un rien de temps. Aurélie range ses dernières affaires dans sa valise, dissimulant tout au fond les godes qu’elle a achetés. Au moment de descendre, elle lui tend le plug vibrant et du lubrifiant en lui disant :



Elle se retourne, trousse sa jupe, baisse son slip, se penche et écarte ses fesses. Il insère l’objet. Elle se rajuste, lui montre la télécommande qu’elle pousse à fond et sourit en ouvrant la porte. Ils descendent. La voiture arrive en même temps qu’eux. Bernard salue la famille qui le remercie chaleureusement de son hospitalité. Au moment de monter, Aurélie le serre dans ses bras, l’embrasse sur la joue et lui dit :



De retour chez lui Bernard se met à ses bagages, qu’il a un peu négligés. Il ne doit pas oublier que dans deux jours il part rejoindre sa femme. Après hésitation, il fait des demi-aveux à celle-ci, lui confessant qu’il a eu pendant un moment de faiblesse, une relation intime avec la jeune femme. Il ne donne pas de détails et se garde de préciser que le moment de faiblesse a duré plusieurs jours.


L’été passe, la chaleur diminue, Bernard et sa femme rentrent de vacances. Il reprend le travail. L’intermède avec Aurélie lui a redonné de l’allant et Bernadette n’est pas mécontente de ce retour de flamme, même si son origine, pour laquelle elle se doute, ne la ravit pas. Un jour leurs amis leur annoncent qu’Aurélie a trouvé un travail en Région parisienne et qu’en attendant qu’elle trouve un logement, ils l’hébergent. La jeune femme n’en avait pas parlé et n’avait pas prévenu Bernard. La parenthèse des vacances et son vent de folie est clos.