n° 18914 | Fiche technique | 40261 caractères | 40261Temps de lecture estimé : 23 mn | 26/03/19 |
Résumé: Avec mon copain Badou, on a décidé de mettre notre talent à la disposition des femmes mûres qui veulent pimenter leur vie sexuelle. Mais lorsque c'est un mari qui nous contacte, la rencontre se complique, car l'épouse ne joue pas le jeu. | ||||
Critères: fhh fplusag cocus amour photofilm fellation pénétratio double confession | ||||
Auteur : Faustine |
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Résumé épisode 1 : « Deux tu l’auras…! »
Par hasard, j’ai découvert que mon copain Badou était l’amant de ma voisine, femme mûre séparée de son mari. Cette femme m’a, non seulement invité dans son lit, mais a organisé une rencontre où, Badou et moi, avons été ses amants. Le hasard a fait que le même scénario s’est reproduit avec une femme qui s’est révélée être une prof à moi.
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C’est vrai que j’ai assuré pour mon contrôle de maths appliquées, mais je ne m’attendais pas à une note si élevée. Mais après tout, pour le bac, certains accumulent des points par des épreuves comme le sport, des langues étrangères et plein d’autres choses. Alors pourquoi moi, je n’aurais pas un bonus pour « service rendu» auprès de ma prof. J’ai encore à l’oreille ses cris de plaisirs alors que Badou et moi on la prenait en sandwich…
Mais, s’il y en a un qui n’apprécie pas le « service rendu» , c’est bien son mari qu’il m’arrive de croiser. Pas de doute qu’il m’a reconnu sur la vidéo que sa femme lui a offerte en guise de vengeance. Mais je m’en fous, il enseigne à la Fac, pas à l’IUT.
Avec mon copain on a si bien apprécié nos deux rencontres en trio qu’on s’est dit qu’il y avait « un marché» pour ce genre de service. Les réseaux sociaux sont un lieu de chasse permanent. Il nous a suffi de nous inscrire en précisant qu’on avait une très bonne expérience pour être capable de satisfaire toute femme qui aimerait améliorer son quotidien en essayant des plaisirs qu’elle n’avait pas à la maison.
Et cela marche. Cela marche au point que je reste en ville pendant les grandes vacances et que Badou ne fait le livreur que pour éventuellement trouver un « cœur solitaire» à satisfaire. Nous avons assez de demandes pour pouvoir sélectionner des partenaires bien faites et bien motivées.
Mais tout récemment, un homme a pris contact avec nous. Il cherchait une opportunité pour sa femme. Cela faisait longtemps qu’il lui proposait de varier les plaisirs avec un autre homme, mais elle refusait. Et il y a quelques jours, elle a fini par accepter, mais en posant deux conditions. La première c’est qu’il n’assiste pas. La seconde c’est qu’elle voulait essayer avec deux hommes. D’après lui, cela ne lui ressemblait pas et elle avait exigé cela pour lui faire refuser. Mais il avait dit oui. Elle avait essayé de tergiverser, mais finalement cela avait tourné au défi.
Il fait reposer sur nos épaules tous ses espoirs.
Et nous voici au pied du mur. L’homme nous attend en bas de l’immeuble. Il est inquiet.
On le rassure. On sera soft. Un mot de la part de sa femme et on arrête aussitôt. Promis ! Juré ! Craché ! De toute façon, il ne va pas s’éloigner. Juste au coin de la rue, au café.
Un dernier conseil intime pour nous donner un avantage au cas où…, et il disparaît.
Décidément en quelques semaines nous en avons vu de toutes les couleurs. Et finalement je me demande si de tous les cas, de la femme seule à la femme mariée qui cocufie son mari, je ne préfère pas cet homme et ce couple. Oui, ce qu’il demande est certainement pour assouvir son propre fantasme, mais en s’assurant que son épouse en profite aussi. On sent son amour à toutes ses recommandations au moment où ils vont sauter le pas.
Nous la suivons.
Le canapé nous attend. Un moment de silence. Et puis :
On sent une gêne à cette évocation. En guise de « pub », nous donnons accès au contact intéressé à une vidéo avec des morceaux choisis. Bien entendu, le visage de la partenaire est flouté. Merci au logiciel de traitement vidéo professionnel de mon IUT.
Nous nous dévisageons. Elle est habillée simplement. Robe noire légèrement moulante, mais sans ostentation, rien à voir avec certaines tenues de nos candidates, qui descend au-dessous du genou. Les épaules sont dénudées, sans bretelle, uniquement serrée en haut des bras. Nous aussi avons eu droit à quelques photos, pas de vidéos, pour nous la faire connaître un peu. Photos en maillot de bain, seins nus, sur une plage.
Elle est pas mal du tout. L’âge ne l’a pas encore marquée et elle ne fait pas ses cinquante ans. Quand je pense que c’est seulement maintenant que ce couple cherche à se « dévergonder » .
On l’aide à ouvrir la bouteille de champagne. Les premières minutes sont laborieuses. Ce n’est pas comme avec nos rencontres classiques ou souvent, par envie ou pour éviter de trop réfléchir, notre partenaire nous invite à rapidement passer à l’action.
Elle remplit nos verres une seconde fois. Elle cherche à se donner du courage.
Je me charge de lui répondre sans entrer dans le détail si ce n’est que c’est, pour lui et pour elle, une première fois.
Je consulte Badou du regard. On ne va pas en mourir. C’est plutôt drôle comme situation !
Je ris.
Nous rions.
Elle quitte le salon. Peu de temps après elle revient avec une nouvelle bouteille et par un nouvel aller-retour un grand plateau chargé de petits fours.
On n’était pas venu pour ça, mais on va être obligé de s’en contenter. Comme il faut bien occuper le temps, elle nous demande comment à notre âge nous sommes devenus des « spécialistes » de trio. Moi, comme cette conversation me gonfle un peu et que je suis tout de même vénère, je laisse Badou raconter. Je ne sais pas s’il le fait exprès, mais sa narration de notre première fois avec la voisine, puis la seconde avec ma prof est plus que chaude. Mais il est vrai qu’il est difficile de l’éviter. Il est évident que cela perturbe la femme, Lise, pour les intimes que nous ne serons pas. Ses yeux brillent et elle ne cesse de bouger sur son fauteuil tirant régulièrement sur sa robe qui a tendance à remonter.
Quel dommage ! Elle est vraiment pas mal. Elle est bronzée. Ils rentrent de vacances.
Merde, j’ai un début d’érection.
Et puis j’ai une idée. Pourquoi ne pas essayer ? interrompant Badou, je dis :
Tous les deux disent ensemble :
Je me lance :
Ce con ne comprend pas.
Il rit.
La femme réalise.
Je sors l’appareil photo que j’ai toujours avec moi, bien plus facile et efficace qu’un smartphone à manipuler. Et que je n’ai pu faire que des photos.
Elle hésite et puis sourit.
Ils s’exécutent. Badou me fait un clin d’œil. Il a compris mon petit jeu. Lise est raide, crispée.
Mouillez-vous les lèvres avec votre langue… Bien… Passez une main sur le visage de Badou… Bien… Lentement vous cherchez le premier bouton de sa chemise… Voilà… Vous les détachez un par un… Regardez son torse… Lentement… Lentement… Bien, très bien… Maintenant il faut lui enlever sa chemise… Non, pas en la tirant hors du pantalon… Passez une main de chaque côté de ses hanches… Avec plus de sensualité… Pensez que c’est votre futur amant… celui que votre mari a choisi… reconnaissez qu’il a bon goût…
J’entends à peine le « C’est vrai » et Badou, lui, me jette un regard qui m’encourage.
Passez bien vos mains sur ses hanches… Vous découvrez sa peau… Maintenant, tirez sur la chemise… Bien… Enlevez-lui… Voilà… Il est beau… Regardez-le… Je veux voir votre regard briller… Bien. Parfait.
Maintenant à toi, Badou. Tu vas passer derrière elle. Tu vas faire descendre sa fermeture Éclair. Lise, peut-il ensuite poser un baiser dans votre cou avant qu’il repasse devant pour découvrir votre beauté ?
Le silence est pesant. Même l’appareil photo est silencieux, car j’enlève toujours le clic sonore pour le faire oublier.
Je suis Badou lorsqu’il va derrière la femme. Avec un sourire pour moi et un « pardon pour la femme », il pose ses mains sur les épaules, mais je sais que ce n’est pas une erreur.
Je félicite Lise, alors que dans un geste de pudeur et pourtant terriblement excitant, elle cache sa poitrine et entre ses cuisses avec ses mains.
Je vais demander à Badou, mais il me devance.
Son baiser sous l’oreille qui dure et glisse le long de la nuque fait son effet. Elle frissonne.
Il se place en face d’elle et doucement se saisit des deux mains pour laisser la nudité apparaître. Seins nus, beaux lobes lourds, mais manifestement encore bien fermes, aréoles peu marquées avec de beaux tétons. Petite culotte faite de deux triangles juste reliés par des ficelles.
Putain, elle est bandante dans sa timidité.
Mais Badou guide les mains vers son pantalon pour montrer ce qu’elle doit faire.
Elle me regarde :
Elle attendait que je justifie ce geste, mais je ne fais que préciser la façon de le faire. J’insiste :
Elle accepte. Je mitraille. Ses seins oscillent lorsqu’elle s’agenouille. Badou doit en avoir une vue plongeante. Elle est un peu fébrile. Pour la ceinture, cela va encore, mais la braguette n’est pas un zip, mais des boutons. Nul doute que ses doigts ne sentent ce que le tissu cache.
Elle me regarde. Je lui fais un sourire avec un « très bien, continuez » à peine prononcé.
Enfin elle arrive à descendre le pantalon. Badou l’aide à enlever le bas. Il est en slip. Un de ces slips moulants, pas de boxer lâche. Un de ces slips qui ne peut pas cacher la réalité. Et Badou est comme moi, pas du tout blasé de nos aventures, avec une libido qui démarre au quart de tout.
Il bande. Le tissu moule ses bourses et la longue tige dont l’extrémité est bloquée par l’élastique.
Je me dis : « C’est gagné, il suffit de la regarder. Elle est fascinée par ce qu’elle voit. Pensez un jeune qui bande déjà ! » pourtant elle ne bouge pas. Juste son regard vers moi et vers le mandrin :
« Bon, il faut encore la guider », je pense.
Mais elle semble se réveiller. J’ai fait une erreur, je n’aurais pas dû parler de Louis. J’ai évité le mot « mari » qui pouvait la ramener à « mariage, époux, fidélité, etc. », mais Louis est porteur des mêmes symboles pour elle.
Je la rassure :
Elle le fait. Elle se rend bien compte que de glisser les doigts entre l’élastique et la peau est chargé de tant de fantasmes. Des mains qui ne sont pas si loin de ce qu’elle ne veut pas dévoiler.
Il obéit. Lise ne bouge pas. En face d’elle, le sexe est bien présent. Pas un sexe monstrueux, juste un peu plus long et plus large que le mien qui est dans la norme. Mais un sexe dont la couleur est chargée de beaucoup de fantasmes. Aucun poil. Ce sont des bourses domestiquées qui servent de base à la tige si dure qu’elle se tient verticale. Un mouvement de Badou et elle oscille un peu cherchant son équilibre.
Lise est de nouveau fascinée.
Un regard vers moi. Les lèvres s’entrouvrent. Les yeux ne quittent plus ce qu’elle va prendre en bouche… Elle se penche un peu. Elle n’est plus qu’à quelques centimètres. Elle doit sentir l’odeur discrète du parfum de mon copain.
Merde. Elle recule, se relève.
C’est moi qui suis sidéré.
Quelques secondes pour que je reprenne mes esprits.
Nous formons un étrange trio. Moi, au milieu. La femme à ma gauche qui ne porte qu’une petite culotte et Badou à ma droite, tout nu et dont la queue semble montrer des signes de faiblesse. Il pense comme moi. C’est foutu.
Les photos défilent. Elles ne sont pas mal du tout. Très suggestives. Très érotiques. D’ailleurs Badou repart à la hausse et Lise ne peut que le constater.
Je ne m’avoue pas vaincu. J’ai bien vu que la femme aussi est troublée par ce qu’elle voit sur le petit écran.
Elle demande :
Badou met le pied dans le plat. Ça se complique, mais cela me donne une idée.
Un silence. Je la regarde.
La scène est grandiose. Digne d’un film érotique.
En réalité, le visage de la femme montrait une nuance de plaisir et d’étonnement.
Lui dire qu’elle peut se forcer ne peut que la libérer un peu plus.
Non seulement elle ne proteste pas, mais il me semble la voir bouger un peu ses fesses comme si elle cherchait à mieux sentir ce qui doit se frotter à elle. Si la queue de Badou ne la pénètre pas, elle se frotte de toute sa dureté sur le tissu de la culotte, tissu si fin qu’elle ne peut qu’en ressentir des effets sur son minou.
Je passe de « photo » à « vidéo » . La facilité avec laquelle Lise s’adapte à cette séance tout de même bien plus que suggestive me donne de l’espoir. Et puis si cette dernière tentative ne marche pas, alors il suffira d’extraire quelques photos de la vidéo pour compléter le « dossier » de cette femme décidément réfractaire à tout faux pas.
Il le fait. Comme un réflexe, cela provoque des coups de reins plus prononcés. Lise va protester. Maintenant le ventre de Badou est en contact parfait avec les fesses de la femme, fesses dont le triangle laisse assez de peau libre…
Nous échangeons un regard, mais j’attire son attention en posant une de mes mains sur ma poitrine en faisant le geste de la caresser. Ce geste doit lui remettre en mémoire ce que le mari nous a dit avant de nous séparer, un dernier conseil :
« Si Lise est un peu « froide » au début, ce qui ne m’étonnerait pas vu les circonstances, il y a une caresse à laquelle elle ne peut pas résister. Elle est très sensible de la poitrine, les tétons en particulier. Même lorsqu’elle n’est pas très motivée avec moi, cela la conduit immanquablement à l’exciter et la chauffer assez pour se laisser aller.
Badou simule parfaitement et parler distrait la femme alors qu’il pousse ses mains vers les seins.
Trop tard, les deux seins qui pendaient et se balançaient sous les mouvements du couple se retrouvent emprisonnés par des mains brûlantes.
Les doigts se sont saisis des tétons et les caressent. De longues secondes où la femme se laisse faire. Ce n’est plus la même. Son visage montre une sensualité évidente, des crispations qui parlent de son plaisir. Son corps semble vivre en se tortillant. Badou se colle encore plus à elle. Il la couvre. Sous sa pression, Lise se laisse aller contre le dossier, seule sa tête lui sert d’appui maintenant. Je vois un bras se tendre pour aller vers sa culotte, mais elle renonce.
Badou est contre elle. Il bouge comme s’il la possédait. Il lui caresse les seins. Il l’embrasse maintenant dans le cou, juste sous l’oreille dans ce triangle si subtil et sensible chez les femmes.
C’est moi qui enlève l’enveloppe d’une capote. La femme me voit la tendre à Badou. Un instant je crains que pendant ce court instant où il cesse ses caresses, elle retrouve ses esprits. Mais non.
Le mandrin brille du lubrifiant. Badou repousse le tissu, place sa queue, la fait se frotter au minou, caresser le clitoris.
Mais oui, il vient. S’il hésitait encore de peur d’un regret tardif de Lise et éviter une possession pas vraiment autorisée, la permission le libère.
Je filme. L’homme ne m’avait rien demandé. J’ai tout inventé. Mais je me dis que Lise sera peut-être bien contente d’avoir un souvenir, et si elle décide de la montrer à son mari elle pourra lui apporter la preuve qu’elle n’a pas cédé si facilement. Si moi j’étais à la place du mari, bien que demandeur de ce fantasme, après tant d’années de mariage, je ne sais pas si j’aurais apprécié que ma femme se jette sur les partenaires qu’elle a demandé et se comporte en salope et chienne de désirs inavoués.
Il devrait être satisfait. C’est un couple, un vrai couple, amant et maîtresse qui se montre. Plus de simulation, que du vrai. Au moins la vidéo s’accompagne de l’enregistrement sonore. Lise se laisse aller et j’adore ses « oui ! oui » . J’aime aussi la respiration forte de Badou qui accompagne maintenant une possession qui est devenue puissante et profonde. J’aime filmer sa bite qui ressort du conduit, mandrin en majesté et qui disparaît d’un coup de rein accompagné du claquement des peaux.
Je fais le tour du canapé. Lise a replacé ses mains sur le dossier pour se retenir des ardeurs de son amant. Elle me voit arriver.
Son visage est luisant de sueur, les traits tirés, la bouche entrouverte pour expulser les soupirs que lui arrache son amant.
D’une main, je détache ma ceinture. Heureusement c’est un zip et en quelques mouvements j’arrive à repousser pantalon et slip sur les genoux. Je sais que ce n’est pas élégant, mais je veux tout filmer. Pour elle ! Pour son Louis ! Pour nous, un souvenir de notre première fois, mandatés par un mari.
Elle ne peut que voir mon mandrin tendu. Il est temps de passer aux choses sérieuses et de fournir à Madame ainsi qu’à son Mari assez de souvenirs pour leurs vieux jours. À moins que ce ne soit que le début du libertinage comme le souhaite l’homme qui nous a fait part de son envie de continuer si son épouse apprécie nos services.
J’adore cette lueur dans le regard des femmes alors que déjà possédée par une belle bite, elle découvre la possibilité qu’une seconde qui se présente. Lise ne l’avait peut-être pas vraiment envisagé, mais en tout cas elle est comme les autres, comme celles qui, si elles font appel à nous, à deux hommes ce n’est pas que pour s’assurer un amant toujours en forme, mais surtout deux qui peuvent jouer avec elles en même temps.
Voilà, mon gland effleure ses lèvres. La langue rose me paraît le comble de l’érotisme. Elle s’enroule tout autour, mais laisse la place aux lèvres qui me gobent.
Que pense la femme ? Après tout, à part son mari, elle n’a jamais connu d’autre queue. Lise cumule les premières fois. Première fois possédée par un autre. Première fois qu’une bite non maritale trouve le chemin de sa gorge. Mieux, première fois pour les deux en même temps.
J’avance dans la gorge qui ne se refuse pas. Avec Badou nous échangeons un regard complice. Il n’y a pas meilleure victoire que celle arrachée de haute lutte. Et nous avons bien failli ne pas réussir.
Persévérer ! Ne jamais se croire vaincu ! Toujours se relever lorsqu’on est mis à terre ! Travailler ! Mettre tout son cœur dans la plus petite chose…
Si mes parents me voyaient. Seraient-ils fiers de leur fils à qui ils ont inculqué cette force de vie ?
Mon esprit vagabonde. Et vous ? Quelle vie sexuelle avez-vous ? Avez-vous déjà tenté de sortir du quotidien ? Si oui, chacun de votre côté, adultère si commun ? Ou bien, alors que vous revenez de soirées chez des amis, vous reveniez en réalité de parties fines ? Toi papa, as-tu ce fantasme de voir maman avec un autre homme ? Et toi maman, as-tu déjà essayé comme celles qui nous contactent ? Je ne sais rien de ce qui se passe lorsque la porte de votre chambre se referme ou lorsque vous vous retrouvez seuls à la maison. Je ne peux que deviner. Deviner comment vous utilisez les jouets que j’ai découverts il y a peu dans votre chambre.
Mes aventures avec Badou m’ont questionnée sur mes parents. J’ai osé, alors que jamais je n’avais eu cette curiosité plaçant comme beaucoup d’enfants mes parents dans une bulle familiale totalement asexuée, oui, j’ai osé fouiller leur chambre. La honte passée, c’était comme une découverte. La lingerie de ma mère bien rangée, mais avec une séparation évidente du quotidien et de l’extra. Un extra qui montrait qu’elle savait mettre son corps en valeur et que son mari ou un autre devait apprécier. Mais aussi ce tiroir fermé à clé, clé trouvée, car à peine dissimulée dans la table de nuit de mon père. Des jouets, des accessoires. Manifestement des achats étalés dans le temps à en juger par les formes de certains godes. Jouets très répandus, vous allez me dire. Oui, bien sûr. Mais que dire de ces pendentifs qui manifestement ne sont pas prévus pour les oreilles. Ces boules accompagnées d’une télécommande. De ces objets qui n’ont qu’un but, celui de remplir un orifice que les études récentes montrent de plus en plus souvent utilisés, même pour leur génération, pour varier les plaisirs.
Ces découvertes, finalement, m’ont rassuré sur mes parents. Peut-être qu’avant « la voisine », j’aurais été choqué ! Mais elle et mes autres rencontres m’ont fait comprendre que dans un couple, rien n’est vraiment simple à mesure que le temps passe. Au moins mes parents s’amusent entre eux ou même peut-être avec d’autres. Mais l’important, c’est qu’ils le fassent ensemble.
Merde, perdu dans mes pensées, je me suis laissé aller à baiser la gorge de la femelle que Badou bourre. Coincée entre lui et moi elle n’a aucune échappatoire si ce n’est me pousser avec ses mains. Mais étrangement elle ne le fait pas. Je me retire. Elle reprend son souffle, tousse, laisse couler un flot de salive. Plus rien de la bourgeoise qui se la jouait fidèle. Son visage est trouble, mélange de larmes, de salive, de sueur. Sans m’en rendre compte, je lui ai mis bien profond. Mais, après tout, ce n’est pas parce qu’elle est fidèle qu’elle ne pompe pas son mari comme une salope qui lui fait une gorge profonde.
Elle ne refuse pas de me reprendre. Je fais tout de même attention d’autant que je vois bien que Badou n’est pas loin de conclure et que ses coups de reins sont de ceux qui annoncent une délivrance prochaine.
Elle s’est installée à contrecœur sur ce canapé dans l’espoir d’en finir avec ces jeux qu’elle jugeait ridicules, mais pourtant indispensables pour duper son mari.
Elle a accepté de se placer ainsi, même si je ne doute pas qu’elle en connaissait la charge sensuelle, juste pour que son mari y croie vraiment.
Mais maintenant, coincée entre ces deux jeunes hommes, elle a quitté ses habits de femme fidèle pour ceux d’une femme emportée par ses sens.
Son cul qui se tortille, c’est le sien.
Cette main qui caresse son clito, c’est la sienne.
Cette bouche qui gobe une bite nouvelle, c’est la sienne.
Et je ne parle pas de ses grondements que ma queue étouffe.
Et du claquement des chairs alors que Badou se l’enfile au plus profond.
Un grondement plus fort qu’un autre. Un regard qui chavire. Un frisson qui balaye son corps. Elle jouit. Je me retire pour la laisser toute à son plaisir.
Un « Ahhhh » sans fin, perdu dans une respiration haletante qui parle pourtant si bien.
Autre jouissance en écho ! Badou qui se libère. Capote qui se remplit. Secousses salvatrices, libératrices apportant une impression de plénitude que la vie peut s’arrêter, que plus rien ne pourra égaler…
Mais si justement tout peut recommencer. Je sais qu’il ne lui faudra peu de temps pour que sa faim insatiable de sexe le reprenne. Mais pour l’instant, il se retire avec le pouce levé en signe de victoire. Il accompagne son geste d’une invite me montrant le cul qui m’attend.
Déposant l’appareil sur la table juste derrière moi, je bats tous les records pour enlever slip et pantalon qui pendaient ridicules sur mes mollets. Sous les yeux de la femelle, je montre ma dextérité pour m’envelopper de latex. Elle ne peut que comprendre ce qui l’attend. Je fais le tour. D’une main, je repousse la culotte. De l’autre, je guide mon engin. J’ai tant envie que je ne fais pas dans le détail. Il y a des pénétrations plus méritées que d’autres et j’ai bien gagné le droit d’en profiter.
La salope tourne la tête. Oui, c’est bien moi. Moi, qui t’ai bernée et encore tu ne sais pas tout. Tu ne sais pas encore que ton mari ne nous a jamais demandé de filmer ni même de photographier. Tu vois je suis encore plus manipulateur que tu ne pensais.
Tiens, prends ça. Je ne t’en veux même pas. Il y a des plaisirs qui ne sont que meilleurs si longtemps désirés. Et on peut dire que nous a fait tirer la langue, passant de l’espoir à la déception, pour enfin réussir à force de ruse et de persuasion.
Tiens, et ce coup-là ! Crois-moi tu ne vas pas le regretter. Et je ne parle pas de ton mari lorsqu’il saura, lorsqu’il verra la vidéo, voyant sa femme enfilée par l’un puis par l’autre et je ne parle pas de la suite.
Je questionne, mais je connais la réponse. Elle se tortille et je vois bien qu’elle vient au-devant de moi.
Pendant ce temps, Badou s’est servi à boire et propose un verre. Je cesse de bousculer Lise le temps de boire le mien alors qu’il en porte un à Lise et lui fait boire comme un enfant.
En souriant, il la provoque.
Elle boit goulûment. Un peu de liquide coule sur son menton.
La pause est finie. Je reprends avec délice mes mouvements. Mais, le verre posé sur une table derrière lui, mon complice décide de profiter de la gorge de notre désormais maîtresse. Il a enlevé sa capote, mais sa queue doit garder des traces de sa jouissance. Lise en accepte le don.
La boucle est bouclée. La voici à nouveau prise en sandwich entre Badou et moi.
C’est reparti.
Mais l’harmonie de notre baise est soudain troublée par une sonnerie. Merde le téléphone ! Cela ne peut être pour nous, car nous prenons bien soin de couper nos portables lors de nos rendez-vous pour éviter le désagrément qui se produit comme maintenant. La sonnerie vient de la table derrière Badou. Sans abandonner la gorge de la suceuse, il se penche pour l’attraper. Il regarde et :
À suivre.