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Temps de lecture estimé : 17 mn
30/03/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Le mari vient aux nouvelles. Il va en avoir et il n'y aura pas qu'une seule messagère.
Critères:  fhh fplusag couple cocus fellation cunnilingu pénétratio hsodo confession -cocucont
Auteur : Faustine      

Série : Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des..

Chapitre 03 / 03
Deux tu l'auras, valent mieux qu'un tiens !

Résumé épisodes précédents : « Deux tu l’auras…! » et « Deux tu l’auras valent mieux…! »


Alain et Badou ont découvert par hasard qu’en joignant leurs efforts ils pouvaient apporter un plaisir inconnu à certaines de leurs partenaires. Ils ont été contactés par un mari qui voudrait que sa femme, épouse fidèle, connaisse un autre homme que lui. Elle refusait, mais a fini par accepter en exigeant non pas un, mais deux partenaires.

Elle pensait que son mari refuserait, pourtant, il a accepté.

Elle voulait faire semblant, mais Alain l’a piégée en parlant de photos demandées par l’époux commanditaire.

Prise à son propre jeu, elle s’est laissé embarquer bien plus loin qu’elle ne pensait.




*********************





J’hésite une seconde :



Trop tard. Lise s’est dégagée de la queue de Badou pour parler, mais il a déjà décroché.



Le copain me fait signe de reprendre la baise que j’avais stoppée.



Je le vois tendre le téléphone vers moi. Je comprends alors qu’il veut faire entendre les claquements de ma possession. Il reste quelques secondes, et puis porte le téléphone à son oreille.



Nos regards se tournent vers Lise qui semble atterrée. Elle fait un signe catégorique de la tête. Elle ne veut pas. Badou se tourne vers moi. J’ai alors une idée, décidément la situation m’inspire. D’une main que je place vers ma bouche, je fais signe d’une bite branlée tout en déformant ma joue.

Il comprend et, un instant, j’ai peur qu’il n’éclate de rire.



Lise qui n’a pas vu mon geste l’interroge du regard.

Ce qu’elle voit, c’est Badou qui lui fait un chut de la main avant de pousser sa bite vers le visage interrogateur. Il pousse le gland. Elle entrouvre ses lèvres.



Et, à nouveau, il tend le téléphone, mais c’est vers Lise, le visage de Lise, les lèvres de Lise. Le téléphone est tout contre une joue. L’homme ne peut qu’entendre des bruits caverneux d’autant que Badou se lâche un peu. Cela doit faire un drôle d’effet. Il faudra qu’un jour j’écoute aussi.



Il raccroche.



On ne demande pas vraiment son avis à la femme. Moi aussi, la surprise passée, savoir que le mari nous entendait de façon si intime a été très fort.

Je jouis. Putain, je l’ai bien mérité. Badou qui ne peut pas cracher dans la gorge de la femme se vide dans ce qu’il trouve à portée de main… un coussin.



Je demande à Lise alors que mon complice et moi on l’a libérée de nos bites. Elle semble anéantie. Effondrée sur le canapé, toujours à genoux, mais le corps maintenant en appui contre le dossier.



Je l’aide. Badou est allé chercher un verre. Elle le boit goulûment.

L’action terminée, la tension retombée, je me demande si je n’ai pas été trop loin. Après tout, elle avait pris une décision, celle de ne rien faire, enfin juste nous recevoir pour faire croire à son mari qu’elle avait couché avec nous et refuser de recommencer sous le prétexte qu’elle n’avait pas trouvé cela extraordinaire comme il lui avait sans doute vanté.

Et moi j’ai triché, j’ai menti.



Un long silence.



Elle rit.



Lise nous regarde tout en écoutant ce que lui dit son mari. Son regard marque sa surprise.



Lise pose sa main sur le téléphone et nous regardant :



Lise rabroue son mari en dégageant puis recachant le micro.



Elle enlève sa main.



Elle raccroche.



Je cherche à la rassurer.



Je vais chercher l’appareil.



Je lui tends la carte mémoire. Elle la prend.



Je commence à remettre mon slip. Badou fait de même. Elle nous regarde.



Je vais répondre, mais la porte s’ouvre déjà. Le mec a vraiment fait vite. D’accord, le café est à deux pas, mais des pas qu’il a franchis avec des bottes de sept lieues. Mari impatient ! Mais mari cocu content ou mari cocu pas content ? Et si pendant son attente, il avait flippé. Si, au pied du mur, il avait réalisé qu’il ne voulait pas vraiment ?

On va vite le savoir. Il est essoufflé. Pas de colère dans son regard lorsqu’il nous voit en slip. Un peu de surprise lorsqu’il découvre que sa femme porte encore ses bas.



Sa femme le prend par la main. Il se laisse guider. Arrivés devant le téléviseur, elle lui montre la carte mémoire.



Il obéit. Lise met l’appareil en marche et quelques secondes plus tard la première photo apparaît.

Lise, Badou et moi les avions déjà vues, mais c’était avant. Avant que j’arrive à faire céder Lise, qu’elle abandonne sa réserve pour se laisser emporter.

Le début de la vidéo commence par le « C’est bientôt fini. Juste encore quelques poses » que je dis pour l’encourager. Puis la vidéo prend tout son sel lorsque j’insiste par le : « Voilà. C’est fini ». On voit bien que Lise perd pied et que ses protestations ne sont plus en réalité qu’une défense vite balayée par le : « Le salaud… Il l’aura voulu… Continue… Oui… Encore… Prends-moi… Prends-moi… Le salaud… »


La suite est évidente. Si son mari doutait, ce que Lise lui montre est une preuve flagrante. Je ne suis pas mécontent de mon travail. Mieux, la chance est avec moi. Lorsque j’ai posé la caméra sur la table, non seulement je ne l’ai pas arrêtée, mais l’objectif était dirigé vers le canapé. On me voit très bien faire le tour et aller posséder sa femme. Sa femme dont le visage est assez proche pour qu’on puisse voir son plaisir, puis l’appel téléphonique, puis, puis… Lise coupe après que Badou éjacule dans le coussin abandonnant un visage ravagé de plaisir.

Le silence est impressionnant. Mais Louis se tourne vers sa femme qui est restée debout à côté du fauteuil.



C’est totalement surréaliste. Un mari à qui on montre sa femme se faire prendre par deux mecs et qui s’excuse. Il s’excuse d’avoir douté de sa femme ! Douté, non pas de son infidélité, mais qu’elle ait vraiment baisé avec ces deux mecs.

Entre parenthèses, deux mecs qui se révèlent à la hauteur de leur réputation. (Un peu d’autosatisfaction ne fait jamais de mal, surtout aujourd’hui où il a fallu aller chercher la femelle à force de persuasion.)



Louis est surpris.



Un long silence. Lise me regarde. D’un geste des mains, accompagné de mon sourire type « petit ange », j’essaie de m’excuser de mon audace.



La femme semble hésiter ? Son regard passe de l’un à l’autre. Elle est sérieuse et puis une lueur dans le regard la fait soudain apparaître décidée.



Cette question est plus posée à son mari qu’à nous.



Elle nous prend par la main. Nous montons, suivis par Louis qui paraît aux anges. Voilà un mari qui réalise son rêve. Il voulait que sa femme découvre un homme autre que lui. Il est comblé, car c’est avec deux. D’abord en vidéo et maintenant, il n’a pas de raison d’en douter, en vraie grandeur, dans la réalité de leur chambre, lieu chargé de tant de souvenirs.

Sa main nous montre le lit. Badou et moi, après un regard complice enlevons notre slip avant de nous asseoir.



L’homme s’y dirige.



Le « tout ça », ce sont ses habits.

Cela fait un peu mise en scène, mais dès que la femelle s’agenouille devant nous et se saisit de nos mandrins, il lui faut juste quelques caresses pour que la vigueur nous revienne.


Tout à l’heure, dans une position similaire la bite de Badou était un bâton de chair qu’elle repoussait. Maintenant la seule chose qui la repousse, c’est lorsque sa gorge demande grâce alors que le gland sombre chatouille ses amygdales.

C’est la position préférée de nos conquêtes d’un soir : saisir de leurs douces mains nos mandrins, des mandrins qu’elles imaginent déjà les posséder.

Comparer les bites. La sombre, large, longue et pourtant bien proportionnée. La blanche et rose, plus petite, mais avec une dureté qui comble leurs ego. Deux hommes bandent pour elle.


Les goûter de la langue, enfin les moins goinfres, celles qui veulent prendre leur temps et profiter de chaque instant qu’elles savent avoir peu de chances de se reproduire. À moins qu’elles y prennent goût.

Les envelopper de leurs lèvres. En comparer la texture, la forme, la dureté.

Les gober avec de profonds va-et-vient.

En tenir une alors qu’elle pompe l’autre.

Sentir sa chatte se mouiller en prévision de ce qui va suivre.



Évidemment que ça lui plaît. Il bande. Pendant toutes ces longues minutes, il a vu son rêve se réaliser. Son rêve, oui, mais certainement un rêve qui en cache un autre.

Il a « vendu » à sa femme la présence d’un autre homme pour qu’elle se réalise totalement.

Mais probablement que ce n’est pas qu’une demande altruiste et que son fantasme est tout simplement celui de nombreux mari, le candaulisme.



L’homme se lève, avance et en trois pas est à côté d’elle.



Combien de fois ? Ils se connaissent depuis, quoi, vingt, trente ans. À raison de, disons, deux ou trois fois en moyenne, peut-être plus au début, et moins maintenant, bien que Lise nous ait confié qu’ils aimaient bien baiser, cela doit faire au moins… mon Dieu, comment ne pas se lasser ! Toujours avec le même partenaire ! Même en variant les positions, les lieux et tout ce qui peut se changer, cela fait tout de même beaucoup.


Mais elle ne semble pas le faire par automatisme. Oh, que non, l’épouse se révèle bien coquine aussi. La queue de son mari est sa friandise. Les couilles qu’elle caresse, des bonbons qu’elle a dû bien souvent chauffer dans sa bouche et je devine même une main qui se projette vers l’anus du mari.


Parfaite démonstration d’un talent que la femelle conservait jusqu’à maintenant dans le secret de l’alcôve familiale, mais qu’elle nous dévoile comme si elle voulait nous apporter la preuve qu’il n’était pas nécessaire d’être infidèle pour avoir du plaisir.

J’ai cru un instant qu’elle allait le faire juter dans sa bouche. Mais non, elle ne nous oublie pas, d’autant qu’elle a toujours une main baladeuse qui vérifie notre présence.

En abandonnant la bite de son mari, elle demande :



Merde, nous les avons laissés en bas.



L’homme et sa queue horizontale quittent la pièce.



Que veut-elle dire ? Mais Badou est plus vif que moi.



Là encore, il me faut quelques secondes pour réaliser ce que cela signifie.



Badou ! Se faire sucer par un homme ! Prendre un homme ! On ne connaît jamais ses amis !



Mais Lise s’interrompt, car son mari entre déjà. Il la voit avec le gode.



Lise abandonne le gode-ceinture sur la commode pour se rapprocher de son mari.



Elle s’allonge.



L’homme, manifestement heureux de changer de sujet, plonge entre les cuisses de sa femme. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle gémisse. Manifestement il connaît parfaitement comment est fait un clitoris. Ce n’est pas comme moi qui n’en ai pris conscience que tout récemment par une série de publicité par affiches retransmise à la télé.


La femme est totalement ouverte pour laisser chemin libre à son lécheur. On voit bien l’insistance du travail des lèvres et de la langue sur le petit bouton que tout le monde connaît, mais aussi les caresses tout autour de la fente, stimulant les ramifications dissimulées du clitoris.

C’est fou ! Oui, c’est fou ! Qui ne connaît pas le sexe de l’homme, sa forme, sa sensibilité, sa taille, son éjaculation, sa résistance ou pas et tous ces détails que l’on peut trouver partout.

Mais celui de la femme ? Son vagin avec ce point G qui fait fantasmer, à la rigueur. Le clitoris probablement. Mais combien de femmes savaient que leur clitoris n’était pas que cette petite bite encapuchonnée ?

Un comble !


Égalité homme-femme. Je vote pour. Ma jeunesse m’y encourage. Nos mères se sont battues pour l’entrevoir. Salaire, travail, responsabilité.

Mais le sexe, pas encore. Combien de ces femmes qui nous ont invités reconnaîtront devant des amies qu’elles se sont fait prendre par deux jeunes mecs ? Alors que les mecs se glorifieront d’avoir pris une femme en sandwich.

Finalement Badou et moi sommes à la pointe du progrès. Un sacerdoce, voilà notre mission.

Et que c’est beau !

Beau à voir, beau à entendre. Grâce à notre présence, le couple se libère.

Elle rugit, guidant par ses mains sur la tête de son mari, la montée de son plaisir.



Sa tête oscille. Nous sommes de chaque côté du couple et ses yeux ne peuvent ignorer que son jeu nous inspire. On bande toujours.

Elle s’apaise. Elle a joui et c’est beau.



Le chéri ne peut qu’obéir à un ordre si doux. Il monte sur le lit, glisse ses genoux sous les jambes de sa femme pour la soulever et amener sa chatte vers son mandrin. Il entre dans une longue glissade. Nul ne doute que sa queue n’y croise sa propre salive et la mouille de sa femme.



La femelle est libérée. Notre présence ne la perturbe pas. Au contraire, elle nous sourit.



Elle l’enlace. Elle l’attire à lui. De cette façon les fesses de l’homme montrent une vision singulière.

La femme fait un geste à Badou. Elle, a déjà protégé sa bite avec une capote. Il se saisit de la fiole qui doit être un lubrifiant.

Les mains de Lise sur les fesses de son mari libèrent le sillon. L’huile coule généreusement. Je suis stupéfait de la façon dont mon copain étale le liquide, s’attardant sur l’anus.

On ne connaît pas vraiment ses amis. Pourtant, combien de fois avons-nous été des complices parfaits avec nos partenaires ?

Les fesses sont lisses comme celles d’une femme. Il dirige sa bite vers l’objectif qui brille maintenant de mille feux. Il se place. L’homme écarte les jambes pour lui laisser plus de place. On ne peut pas faire mieux comme accord. Le gland pointe. Un léger coup de reins et il disparaît.


Finalement, ce n’est pas différent d’avec une femme. Le gémissement est plus grave. Le « Ahhhh » qui accompagne la bite qui avance. Le « il est gros » est masculin, mais le « Oui, je sais » est la réponse de sa femme.

Badou lui a mis profond. C’est la première fois que j’assiste à ça. Il sourit, content de lui.



Badou commence à bouger. Il sait que son mandrin doit apprivoiser ce qu’il occupe. Toujours, il commence doucement. C’est à chaque fois le même spectacle. Cela tient à sa couleur de peau. Sa queue sombre tranche toujours, jusqu’à maintenant nous n’avons jamais rencontré de femme de sa couleur de peau, avec celle de sa partenaire et dans ce cas de son partenaire. Une tige sombre qui paraît sans fin jusqu’à ce que le gland d’un rose profond n’apparaisse. Un anus déserté et en manque qui baille silencieusement, mais c’est comme s’il implorait à grands cris : « Reviens ! Reviens ! »

Il revient, ouvre, avance, disparaît, pieu de chair qui fraie son chemin.



Badou va plus vite. Sa respiration trouve écho dans celles de ses amants. Son coup de reins provoque maintenant des soupirs. Mâle et femelle sont à sa merci. Il les tient dans sa main. Chaque avancée provoque des « Ohhh, des Ahhhh » dont bientôt je n’arrive plus à identifier l’auteur.


Je suis un spectateur. Mais pas un spectateur qui va quitter la salle une fois la pièce terminée. Oh que non, c’est une pièce en plusieurs actes.

J’ai participé au premier. J’en suis même l’auteur principal et n’en suis pas peu fier, même si j’ai partagé le rôle principal avec mon complice. Il a bien fallu s’y mettre à deux pour que l’actrice, l’ingénue se laisse convaincre par nos arguments.


Pour le second, je suis en retrait, mais c’est bien agréable de regarder. Regarder, écouter, entendre.

L’ingénue se révèle dans un rôle que je n’avais pas imaginé.

Et que dire du mari ?

Mari cocu. Mari lopette qui gémit sous les coups de boutoir de mon copain. Maintenant Badou ne se retient plus. Il laisse parler sa nature.

Les fesses sont les tam-tams d’une brousse qui clament sa nature sauvage.

Le lion gronde. Tout le monde obéit.



Déjà je pense à l’acte suivant. On va se faire la femelle en sandwich et son mari regardera. À moins qu’elle le suce… Oui, et il va lui balancer sa purée dans la gorge…


« Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras ! »


Moi je préfère : « Deux tu l’auras, valent mieux qu’un tiens ! »

Je n’ai pas raison ?