n° 18969 | Fiche technique | 19548 caractères | 19548Temps de lecture estimé : 11 mn | 27/04/19 |
Résumé: Mylène a enfin quitté son mari. Libre, elle se donne entièrement à François, pour un plaisir partagé. | ||||
Critères: fh amour vidéox fellation fdanus fsodo yeuxbandés fouetfesse | ||||
Auteur : Clovis |
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Résumé des épisodes précédents :
C’est plus fort qu’elle, Mylène ne parvient pas à oublier François, celui qui l’a consolée dans un train de nuit alors qu’elle voyageait avec son mari obséquieux. François victime d’une agression, c’est sur un lit d’hôpital qu’elle retrouve sa trace. Les retrouvailles ne sont que plus belles.
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Les visages accolés, ils rirent de bon cœur, puis, un peu plus tard, s’embrassèrent de nouveau. Elle finit par se lever, fila se doucher. Elle revint dans la chambre, vêtue d’une simple nuisette. Elle n’en avait pas fini, avait un cadeau à lui offrir. François s’était endormi sur les draps, nu comme un vers. Un voile de déception traversa son visage. Qu’importe, elle plaça un trépied devant le lit, y fixa son appareil photo qu’elle mit en mode vidéo. Elle s’assit à califourchon aux côtés de son amant, veilla sur son sommeil pendant plusieurs heures. Fatiguée d’attendre, elle se releva, brancha la vidéo, puis se décida à plonger sa bouche en direction d’un sexe qu’elle entendait faire durcir à coups de langue.
Les cours de médecine de Mylène étaient lointains. Mais elle se souvenait de tout ce qui concernait le pénis, organe constitué de deux corps caverneux et d’un corps spongieux se terminant par le gland qui s’ouvre en son centre par le méat urinaire et qui est naturellement recouvert par le prépuce. Le gland étant très innervé, il constituait pour cette raison l’une des principales sources du plaisir sexuel.
S’appuyant sur les coudes, elle débuta par de tendres baisers sur l’aine, lents, silencieux, délicats, puis, serpent qui se faufile, approcha ses lèvres des testicules endormis, les frôlant et les effleurant. Elle leva la tête, François dormait toujours. Elle se redressa, observa le cylindre de chair, le tracé irrégulier de l’artère dorsale, le capuchon recouvrant le gland, elle le renifla et se leva. Elle revint avec deux bougies allumées, les positionna sur les tables de chevet. Elle prit son smartphone, chercha une musique d’ambiance, baissa le son au minimum, se faufila de nouveau sur le lit. François n’avait pas bougé. Sa bouche retrouva le chemin, ses lèvres s’ouvrirent, sa langue apparut pour flirter de nouveau avec la peau, celle des testicules, celle du pénis, celle du prépuce. François soupira profondément, bougea, imperceptiblement. Elle jeta un œil, ses yeux étaient toujours clos. Elle poursuivit son manège, léchant et lapant chaque parcelle de peau. Le membre semblait s’étirer, le gland se libérait du prépuce, elle appliqua sa langue sur l’ourlet de peau, nouveau soupir, le sexe tressauta, François se retourna sur le ventre.
Mylène sourit. Le côté face était magnifique, il avait un cul à se damner. Elle se lança à son assaut, l’embrassa et le lécha à grands coups de langue, sur chaque lune, du bas vers le haut. Elle l’entendit gémir, une jambe se mit légèrement à l’équerre comme la fois où elle l’avait doigté en profondeur dans son cabinet médical. François devenait une offrande, il s’ouvrait, elle ne demandait qu’à le manger, sa langue, sa bouche, son nez plongèrent en même temps dans le vallon. François ouvrit la bouche, il haletait, son visage s’irradia, des yeux s’ouvraient, une main tendre vint saisir la chevelure de Mylène. Elle la rejeta, lui demanda de se retourner, il bandait, elle se plaça à califourchon sur lui, positionna ses mains en appui de chaque côté, se remit à embrasser sa tige qui ne cessait de durcir et de se dresser.
Elle poursuivit ses caresses buccales, remonta millimètre après millimètre en direction du gland pointant vers le plafond, titilla le frein de la pointe de sa langue. Le membre avait doublé de volume, elle était fière, Mylène prenait son temps, elle continua de maltraiter la languette de chair liant le prépuce au gland, redescendit vers la base, léchait, suçotait, mordillait, et fit demi-tour jusqu’à apercevoir une goutte de liqueur qui perlait du méat. Mylène redressa la tête, fixa François qui observait ses seins gonflés à travers l’échancrure de la nuisette, elle lui sourit, elle voulait son bien, se redressa, s’empara du membre délicat avec ses mains, finit de libérer son gland, et, langue ouverte, tendue, assoiffée, arracha d’un cou d’un seul la perle d’eau qui suintait.
François haleta, Mylène poursuivit, lui aspira la pointe, glissa le bout de sa langue dans le méat à lui faire mal. Que c’est bon ! il en redemandait, il voulait se saisir de ses seins, l’en empêcha, elle lui ordonna de se taire, de la laisser faire, elle lui mordilla le bout du gland, de plus en plus fort, sans jamais l’avaler, Putain que c’est bon ! pendant que ses mains le branlaient tendrement, lentement, pendant qu’elle lui caressait les testicules du bout des ongles. Elle abandonna le méat, lécha la hampe dans toute sa longueur, revint sur le dessus du gland, le patina avec une langue qui l’entourait et le cajolait, qui apprivoisait la chair à vif libérée par le prépuce, et ça durait, et ça durait, le gland coulissait entre ses lèvres, jamais plus que quatre ou cinq centimètres, c’est la langue qui travaillait, c’est ce muscle qui le rendait dingue.
François l’observa se lever. Où allait-elle ? Reviens ! Elle revint, sourire tendre, elle l’aimait, elle dissimulait quelque chose dans sa main. Il aperçut le trépied, ne chercha pas à comprendre, il découvrit un ruban en satin, couleur rouge, elle revint à ses côtés, tira sur les extrémités, cinquante centimètres de longueur, pas plus, se pencha de nouveau sur le membre de son amant, l’entoura sur la base, l’enroula, le serra et le noua. François aimait cette attention, il n’a pas débandé, bien au contraire, son gland violacé, marbré, gonfla encore, Mylène le reprit en bouche, son cul relevé, ouvert dans le champ de la caméra, elle y mit plus d’intensité, succions plus profondes, plus rapides, coups de dents plus sévères, les pouces aidaient la langue à maltraiter le gland, et voilà que ses dents s’accrochaient, la pointe immobilisée, et ses deux mains coulissaient de bas en haut, de haut en bas, et sa bouche ne demandait qu’à accueillir son jus d’amour.
Le ventre de François se contracta, sa respiration se fit saccadée, il syncopait, souhaitait se retenir, elle donnait tellement, elle est belle, il n’a plus de ressource pour lui crier son amour, elle ne désarçonnait pas, il ne pouvait résister, elle ralentit. Quel supplice ! Un quart d’heure qu’elle s’activait, elle se redressa, se contenta des mains, dessinait du bout de l’index, recopiait le suivi des veines, François récupérait, elle jouait à le découvrir, à l’apprivoiser, elle désirait connaître chaque centimètre carré de son sexe. Elle bougea, changea d’axe, se mit à la perpendiculaire, la tête reposant sur le ventre de son amant, à distance raisonnable de son gland, faisant ainsi face à la caméra. Elle sortit la langue à nouveau, l’approcha du méat, l’agaça de la pointe, le phallus de François s’allongea de nouveau. Il tendit son bras, posa sa main sur son flanc, la glissa sous la nuisette, elle le laissa faire, pour la première fois, il finit par s’emparer d’un sein, passa son index autour du mamelon, vérifia la dureté du téton, de l’acier, un réservoir de sang dont il voulait s’abreuver, alors que son gland était de nouveau à la merci de la bouche de Mylène.
Le temps était arrêté, éloge de la lenteur, elle continuait de le goûter, il cuisait à petit feu sous la chaleur de ses lèvres ourlées, de ses coups de langue de chatte. Il abandonna son sein, sa main aveugle s’aventura sur la hanche, palpa le galbe de sa fesse, elle l’observa, le gland embroché dans sa bouche comme une sucette qui ne fond pas, il poursuivit sa caresse, glissa ses doigts plus loin, et…
Il marqua la surprise, elle lui rendit un sourire, un voile de vice sur le visage, une expression du genre « aujourd’hui, je suis une salope et tu peux tout faire de moi, tu le mérites », elle baissa les yeux, reprit en cadence sa pipe, jamais plus de trois ou quatre centimètres, il gonfla à bloc, très vite, phallus démesuré, il ne pensait qu’à son cul, d’un geste adroit elle dénoua le ruban, il caressait le bijou anal qu’elle s’était glissé dans l’anus, appuyait dessus pour la faire gémir, mais c’est lui qui cria, qui jouit le premier, qui se libéra en elle, dans sa bouche qui resta aimantée tandis que son regard était rivé sur l’appareil photo.
Le sexe en feu, elle finit par se relever, disparut avec le ruban, revint avec deux tasses de café, sa nuisette cachait son pubis. Il récupéra, elle laissa tourner la vidéo, vérifia l’angle.
Elle hésite.
Il avait raison. Elle se lâcha.
François ne sut que répondre. Il ne s’attendait pas à ça.
Elle l’aida.
Elle vida sa tasse, puis, l’air mutin, s’empara de celle de François qu’elle posa sur la table de chevet.
Il avait repris des forces, bascula sur elle, se mit à lui caresser le dos, elle ronronna. Le regard vissé sur le bijou fiché dans le cul, son sexe reprit belle allure. Il regarda ailleurs, se concentra sur son massage. Elle se retourna.
Elle prit l’une de ses mains, se saisit du majeur, le glissa dans sa bouche jusqu’à la garde et le suça. Regard évocateur, attitude lascive, elle savait ce qu’elle voulait. Il se pencha, saisit un téton entre ses dents, le pinça, l’aspira, tira dessus, Aïe, le libéra.
Il recommença. Dix fois, cent fois, il la martyrisa. Et elle en redemandait.
Ce fut à son tour de se lever. Il s’absenta, elle entendit un cagibi s’ouvrir, il remuait des objets, il tenait une baguette fine et rigide à son retour. Elle ne pipa mot, resta immobile.
Elle opina du bonnet, timidement, comme une vilaine fille prise en faute.
Léger mouvement de tête.
Il garda la tige en main, la posa sur une cheville, la fit glisser et remonter, lentement, sur ses formes appétissantes, la cuisse, le bassin, le ventre, le contour des seins, et, désir d’anticiper la surprise, elle ne le quittait plus des yeux. Il s’éloigna à nouveau, revint très vite avec un foulard qu’il lui noua autour du visage. Elle ne dit rien, ouvrit la bouche, ses lèvres ourlées étaient si belles. Il recommença son manège, glissa sa baguette de longues minutes sur ce corps à sa merci, souleva la tige, la reposa à même la peau, elle avait peur, elle se crispait, il la rassurait, il jouait avec elle, il la cingla, elle hurla. Une marque rouge se figea sur sa cuisse.
Il hésita.
La tige reprit son balai, Mylène respirait de manière saccadée, son cœur pulsait, ses seins s’agitaient. Une larme perla le long de son nez lorsque le second coup atteignit ses côtes flottantes.
Il acquiesça, lui refusa le droit de porter ses mains sur son pubis, y fourragea la pointe de sa baguette, lui ordonna d’écarter le compas de ses jambes, lui chatouilla le blanc des cuisses, abattit fermement son outil sur un sein. Elle cria comme une folle.
Elle obéit. Son plug anal n’avait pas bougé, François bandait dur, Mylène était dure au mal, elle en redemandait, elle était plus forte que lui, avait une capacité de résistance hors du commun, il lui donna des petits coups de badine sur les fesses, cadencés, elle l’insulta, il réduisit le débit, augmenta l’intensité, il la corrigea, elle marquait, il la flagella, elle adorait, il la cingla, elle haleta.
Il abandonna son instrument de torture, se précipita dans la salle de bains, revint avec un produit hydratant alors qu’elle essuyait ses larmes contre ses avant-bras, lui appliqua du lait de toilette sur les fesses et les massa doucement. Sa respiration était redevenue régulière, elle se laissait cajoler, elle aimait qu’on s’occupe d’elle.
Il s’arrêta, ne comprenait pas.
Elle pivota la tête. François vit apparaître son visage. Plus de vice, plus d’air coquin, juste un regard doux empreint de chaleur et de tendresse.
Il garda le produit hydratant dans une main, plongea son autre main en direction du rosebud qu’il retira délicatement. Les sphincters, épuisés par des heures de cohabitation forcée, se refermèrent tout doucement. François fit couler de nouvelles perles de lait dans le sillon, fit coulisser un premier doigt, puis un second qui glissèrent et tournoyèrent sur l’œillet brun de Mylène. Elle donna un petit coup, elle voulait plus et plus vite. Impatiente, l’une de ses mains vint couvrir son pubis par-devant. Elle sentit les doigts jumeaux de François progresser. Enfin. Un centimètre, deux, puis trois, la frontière du premier anneau était franchie. Nouveau coup de bassin, continue mon amour, mais François ressortit, préféra lui inonder l’anus d’une nouvelle dose de lait. De l’autre côté, elle se mordait les lèvres, se pinçait et se caressait le bouton, avec douceur et lenteur, surtout ne pas brûler les étapes, ne pas gâcher la magie de l’instant, vibrer à deux, pour deux, elle le sentit s’allonger sur elle, de tout son long, guider son gland, celui qu’elle avait tant léché et mordillé, celui qui lui avait inondé sa bouche de plaisir, le caler, le positionner contre le passage étroit, le récalcitrant, l’indomptable, celui qu’elle n’a encore jamais offert à personne, pas à même à son mari incapable et maladroit, si ce n’est à ses doigts experts en recherche de plaisirs solitaires.
Il voulut lui répondre, n’y arriva pas. Son gland progressait, il la perforait, elle venait à sa rencontre. Il s’arrêta, lui demanda si tout allait bien, elle pivota la tête, parvint à joindre ses lèvres aux siennes, à lui rouler une pelle brève, mais intense. Elle enfonça de nouveau la tête dans le matelas, bomba encore les fesses, vas-y, pousse, fiche-toi en moi, j’ai mal, mais ça fait du bien, je veux sentir tes couilles battre contre ma vulve. Il la rendait chienne, progressait encore, se mit à coulisser, c’est elle qui donna le tempo, et son cul s’écarta encore, ses sphincters avaient trouvé leur maître, ils rendaient l’âme, François la tenait jusqu’à la garde.
Il n’a pas entendu, elle compléta :
Hors du temps, elle était ailleurs, elle n’était nulle part. Le bassin lové contre les fesses de Mylène, François se redressa sur les membres supérieurs. Épaules et bras bandés, il se mit délicatement en mouvement, de peur que le contact ne se rompe, puis entama un léger va-et-vient qui prit plus d’amplitude au fil des secondes. Ils gagnaient en expérience, ils se découvraient, s’apprivoisaient, testaient les limites du raisonnable, les mouvements devenaient coups de boutoir, ils retrouvaient une forme de violence, elle acceptait de souffrir, il visitait un territoire vierge et interdit, le cratère d’un volcan que l’on croyait à jamais éteint, il se branlait dans un conduit étroit qui mettait tous ses sens en éveil, qui lui vidait le cerveau de son sang. Il s’agita encore, coulissa, ahana, elle s’astiquait le clitoris avec violence, frotta sa vulve qui pulsait, le désir grimpait dans les deux camps, les phéromones virevoltaient dans toute la pièce, ils voulaient mourir maintenant, Mylène tomba la première, François rendit les armes dans l’instant.
Ils mirent un certain temps à récupérer. Mylène finit par se lever, s’essuya, coupa la vidéo.
Elle n’en dit pas plus. Le soir même, elle adressait la longue séquence, intitulée ma vengeance, à son ex-conjoint ; pas pour le rendre jaloux, plutôt pour lui faire comprendre que le plaisir du partenaire était primordial dans une relation de couple.
Ce ne fut peut-être pas la meilleure idée qu’elle ait eue.
À suivre