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n° 19077Fiche technique25045 caractères25045
Temps de lecture estimé : 15 mn
11/07/19
corrigé 06/06/21
Résumé:  Après s'être donné du plaisir mutuellement à tour de rôle, elle doit s'absenter pour le boulot, mais elle a préparé un jeu pour préparer son homme progressivement.
Critères:  fh couple campagne amour pénétratio
Auteur : BVT      Envoi mini-message

Série : Cinquante ans

Chapitre 03 / 08
Jeu des souvenirs

Résumé :

Après le beau réveil (voir Un réveil inattendu)) qu’a offert Pola à son homme, Luc a pris soin de sa femme (voir Un moment très intime)) selon son souhait. Elle est partie au boulot et il a pour mission de préparer l’intendance pour le week-end.




Je me retrouve donc, une fois de plus ce matin à poil et en érection, mais cette fois-ci, je suis seul, elle vient de partir sauvagement pour le travail.


La douche fraîche me permet de retrouver mes esprits et de me calmer. Les dossiers du boulot sont expédiés rapidement. Comme ça j’ai l’esprit libre pour vaquer aux tâches domestiques, la balade avec le chien, les courses, le ménage. J’allais préparer le repas quand je me rends compte que j’ai un message sur mon portable. Je ne suis pas de la génération toujours le pouce sur l’écran.


« Je suis coincée à Nantes avec ma cliente. Un gros projet qui me tend les bras. Je ne peux pas refuser l’invitation à manger avec elle ce midi, désolée, je te tiens au jus dès que possible. »

« OK, bon courage et à tout à l’heure. »


C’était bien la peine de speeder ce matin, me dis-je rageusement. Mais en même temps, cela va me laisser du temps pour préparer les repas du week-end. Il n’y aura qu’à réchauffer ou finir de cuire. Je repense au fait que dimanche nous serons trois ! J’ai beau me creuser la tête, je ne comprends pas, ce qui ne m’empêche pas de fantasmer un peu ou trop.


Allez, un petit repas tranquille en terrasse, une petite sieste dans la chambre que je remets en ordre en me levant et je me mets en cuisine. Vers 17 h, tout est prêt quand je reçois un nouveau message :


« Je pars de Nantes, mais il y a du monde.

Je ne pense pas être à la maison avant une heure minimum d’après le GPS, si tout va bien.


Comme tous les vendredis à cette heure-là, je ne peux m’empêcher de penser. Je commence à taper une réponse quand mon téléphone sonne :



Pour ceux qui suivent depuis le début de la série, vous avez compris quel ton elle a employé.



Étape 1 : Tu reconstitues les ensembles.

Étape 2 : Tu en sélectionnes un que tu poses sur notre lit.

Je m’engage à le porter ce soir !

Comme je sais ce que tu vas choisir, je vais marquer sur un papier avant de rentrer ce que je pense que tu auras retenu et si j’ai bon, tu as un gage !



Elle a raccroché et ne répondra plus à mes relances.


Une fois dans la chambre, ma mémoire bouillonne en inspectant les tenues, un jean en cuir, une petite robe noire, une longue robe rouge, un short de randonnée. Je comprends vite cette histoire d’ensembles en voyant les sous-vêtements, un slip brésilien blanc, un shorty violet, un string fendu rouge, et un string bijou noir. Il ne me faut que quelques minutes pour reformer les couples. En effet chacun symbolise un souvenir érotique et intime important, plus ou moins vieux. Historiquement, voilà ce que mon cerveau me renvoie.


La petite robe noire va avec le slip brésilien blanc. Je sais que ce ne sont plus les vêtements d’origine. Ceux qui sont devant moi sont neufs, alors que les autres ont bien été usés. Mais il m’est très simple de me souvenir, puisqu’il s’agit de nos premiers moments ensemble, il y a presque vingt-sept ans. À l’époque, j’avais une intervention à faire dans l’usine où elle travaillait. Ma mission devait durer deux semaines. Bien que ne venant pas de très loin, j’avais obtenu de ma direction une chambre d’hôtel pour ne pas perdre de temps sur la route. Je peux donc profiter du coin puisque je suis un célibataire endurci depuis des années déjà.


L’intervention se faisant début août, l’entreprise était à l’arrêt, seuls le service de maintenance et un peu de logistique restaient présents. J’ai tout de suite repéré cette très jolie fille, côté expédition. Elle m’impressionnait, autant par sa beauté que par sa nature. Je me dis tout de suite que la personne qui l’avait dans ses bras devait être bien heureuse.


Les premiers jours, j’en appris beaucoup sur elle, car elle faisait souvent la « une » des conversations de l’équipe de maintenance, entre fantasme et réalité. C’est comme ça que je sus qu’elle était opératrice de saisies intérimaire depuis six mois pour la mise en route d’un logiciel informatique et pour passer du papier à l’informatique, c’est tout un programme. Qu’elle est en couple, mais qui semble battre de l’aile et que le chef du service des expéditions avait des propositions indécentes à lui faire dès que possible, interdisant à tous la moindre tentative d’approche sous peine de représailles professionnelles. Du haut de mes vingt-trois ans tout frais, j’étais bien jeune devant tous ces gars sûrs d’eux et pourtant, j’étais là pour les former.


Le vendredi midi de la première semaine, nous étions tous présents au barbecue préparé pour fêter le départ en retraite d’un ajusteur. Pola était là et aujourd’hui elle avait quitté ses jeans pour une très jolie robe noire, moulante, mais pas trop, courte, mais pas trop, décolletée, mais pas trop devant, par contre, l’arrière ne laissait aucun doute sur l’absence de soutien-gorge. Sur ses hanches, très haut, on pouvait apercevoir en fonction de ses gestes, la marque d’un sous-vêtement. J’essayais de m’imaginer ce qu’elle pouvait avoir en dessous quand soudain elle se retourna et me grilla. J’ai senti mon visage chauffer et devenir tout rouge quand elle s’est approchée de moi.


Elle a engagé une conversation des plus classiques. Elle veut tout savoir, d’où je viens, comment je suis arrivé à ce métier, mon âge et, tout doucement, elle est passée à des questions plus privées. Béatement je réponds à tout sans aucune retenue. Non, je ne suis pas marié, pas de copine, ni de copain d’ailleurs, pas d’enfants, juste un petit logement en ville et beaucoup de travail. Oui, mon hôtel est sympa, la chambre est immense avec toutes les commodités et, oui, je reste ici ce week-end, je vais faire du tourisme…


Elle se fait ensuite très intrusive :



En disant cela, elle pose sa main sur mon avant-bras et se rapproche de mon visage pour parler moins fort, presque tendrement.



Elle posa son autre main sur l’épaule du même côté que l’avant-bras déjà en prise avec elle et me murmure très près de ma joue.



Je n’ai pas le temps de relever, qu’elle part. Je la vois se diriger vers son espace de travail. L’après-midi fut bien longue, impossible de remettre les gars au boulot, à l’époque l’alcool faisait encore partie de ces moments conviviaux et même si je n’en avais pas bu, mon esprit était plus du côté des courbes de la miss que du côté de mon travail. Inutile d’insister, je rentre à l’hôtel, les hanches qui me font tant rêver ayant disparu de l’usine depuis un moment.


À peine la porte de ma chambre d’hôtel refermée qu’un toc-toc résonne. Quelle surprise, elle est là ! Jamais je n’aurais cru cela possible, elle me semblait tellement intouchable pour moi ! Après quelques secondes sans réaction, je me reprends. Il ne faut surtout pas laisser passer une telle occasion.


Je lui propose de rentrer, mais je n’ai rien à boire hormis une bouteille d’eau. Je l’invite à prendre un verre au bar après ma douche si cela ne la dérange pas. Elle accepte avec beaucoup d’enthousiasme alors je file sous une douche bien fraîche pour deux raisons, il fait chaud et je bous. Je ressors tout frais. Elle s’est déchaussée et allongée sur mon lit, sur le ventre les jambes vers moi, la tête posée sur les mains. Ne voyant que ses cheveux, je ne sais pas ce que son visage exprime.


Après quelques secondes à contempler le tableau, je m’allonge à côté d’elle en posant une main dans son dos sur les ouvertures de la robe, le bout de quelques doigts directement en contact avec sa peau. Elle tourne la tête vers moi et notre premier baiser commence, très timidement au départ, puis de plus en plus profond. Jamais je n’ai ressenti ça uniquement par un baiser, elle m’apprendra bien plus tard que la réciproque était vraie.


Mes caresses se font plus précises. Nos bouches multiplient les rencontres. Je ne peux plus me retenir, je dois toucher son cul, déjà parce qu’il m’a attiré toute la semaine, mais aussi parce que je veux savoir ou surtout voir ce qui le recouvre. Elle me laisse faire durant de longues secondes.


En l’embrassant dans le cou et derrière son oreille, je me rends compte qu’elle sent bon, bien que la journée ait été longue et chaude. Elle sent la douche, le savon et ses cheveux sont encore légèrement humides. Elle a déjà pris une douche, ce n’est donc pas un hasard si elle est là, elle n’agit pas par impulsion, elle a prémédité sa venue. De ce fait, même si je ne comprends toujours pas, pourquoi moi, je me lâche. Je remonte ce tissu noir qui cache ce que je convoite. Elle bouge légèrement pour m’aider.


Mes lèvres commencent un voyage, déposant tout au long du chemin des baisers des épaules jusqu’à un élastique blanc qui barre ses reins, tout en caressant ses fesses le plus largement possible de ma main aventureuse, les doigts passant même parfois sous le voilage. Je découvre ce fameux brésilien, enfin, je ne savais pas son nom, avant qu’elle ne me l’apprenne. Je couvre ses fesses de baisers, j’écarte le voile et je continue ma découverte. Je vois des frissons sur sa peau jusqu’au bas de son dos.


Après avoir longuement profité de la situation, je la guide pour qu’elle se retourne, je me mets à genoux au sol entre ses jambes et je reprends ma découverte en posant ma bouche sur son ventre. Je la caresse avec mes lèvres le long au-dessus puis de part et d’autre du triangle blanc. Mon initiative provoque une accélération de sa respiration et une ouverture encore plus grande de son compas. J’en profite pour écarter le voilage par une aine, c’est bien pratique cette culotte très échancrée. Je découvre un liquide abondant et très tentant qui macule ses lèvres intimes et les poils autour.


Je dois goûter, je dois lécher, je dois sucer. L’intrusion de ma langue sur ses lèvres, entre ses lèves et finalement sur son clitoris déclenche une forte jouissance très, très, très rapidement. Violemment, elle me bloque la tête avec ses jambes et je sens son bassin rentrer en vibration. Je m’étonne de la vitesse et de la puissance de son orgasme et je ne bouge plus. Une fois que je sens qu’elle reprend une respiration mieux contrôlée, je dégage mon visage de ses cuisses. Remontant mon regard le long de son corps, je constate qu’elle pleure doucement, je m’inquiète, je la questionne. Elle finira par me dire le visage serein que c’est la première fois qu’un homme la lèche et qu’elle n’a pas réussi à se contrôler. Je suis surpris, mais je pense qu’il est inutile de continuer de discuter, nous avons bien d’autres choses à aborder pour le moment, on en reparlera plus tard. Elle passera la nuit avec moi, puis tout le week-end et jusqu’à aujourd’hui.



Le jean en cuir façon 501 retrouve le string bijou. Cela faisait déjà plusieurs années que l’on vivait ensemble, on était très cuir. Elle l’a porté lors du mariage d’une connaissance, motard, avec une de ses collègues de boulot. Le thème étant bien entendu la moto. Elle voulait impressionner ses collègues présents durant le vin d’honneur (nous étions invités au repas, car ces deux imbéciles se sont rencontrés chez nous, ils nous disent avoir une dette envers nous).


Avec ce jean et ce string, elle avait mis un boléro lui serrant un peu la taille, lui aussi en cuir, mais marron. Très vite durant les essayages, il a fallu se rendre à l’évidence, elle devait être nue sous ce petit haut. Elle avait à peine trente ans, elle pouvait se le permettre. Le résultat était extraordinaire de grâce et de beautés pour moi.


Dès qu’elle bougeait, son ventre ou son dos, voire les deux, devenait plus ou moins visible. Le décolleté ne permettait pas non plus, beaucoup de fantaisies dans les mouvements. La surprise a été de taille pour ses collègues de la voir ainsi, complètement en décalage avec ses habitudes. Les hommes étaient envieux et les femmes plutôt jalouses. Tout c’est bien passé, jusqu’aux jeux de fin de repas. Embarqué dans un de ces trucs un peu mouvementé, le string a cassé côté cul. Une petite chaîne n’a pas résisté à la pression.


Elle est venue discrètement m’expliquer la situation. Le truc devenant plus gênant que protecteur, on en a conclu qu’il fallait l’enlever. Une première sans culotte dans un jean et en public. Personne, à notre connaissance, ne s’est rendu compte du changement, certainement grâce à l’alcool, la fatigue, les lumières plus sombres… Mais moi, je le savais, je l’ai donc particulièrement chauffée durant la fin de la soirée.


En rentrant à la maison, j’étais en forme et très excité, de plus surtout qu’étant chauffeur, je n’avais pas abusé du tout, enfin pas encore, car j’avais bien l’intention de profiter au maximum d’elle maintenant. Nous avons fait comme d’habitude, chacun va-et-vient réaliser les petits trucs pour passer la maison en mode nuit et on se retrouve dans le salon. Tendrement je l’ai prise dans mes bras et après un bon baiser les mains sur ses fesses, j’ai ensuite déboutonné lentement son boléro couvrant de baisers et de caresses la peau mise à nue.


Une fois entièrement ouvert, je me suis attaqué au bas. J’ai encore pris plus de temps, à chaque bouton je traîne mes doigts dans les espaces libérés. Une fois les fesses dégagées du cuir, je l’ai assise sur notre fauteuil de l’époque, je me suis baissé pour finir d’enlever le pantalon. Un mélange d’odeurs de cuir et sexe a envahi la pièce et surtout mes narines. Ma femme avait pris beaucoup de plaisir à se promener si peu couverte toute la journée. Je lui ai dévoré énergiquement le sexe et tous les recoins qui l’entourent.


Après plusieurs minutes de ce traitement plutôt viril, inhabituel entre nous, elle a fini par crier son plaisir sans retenue. J’ai relevé le buste, et avancé toujours sur les genoux la pénétrant profondément en une seule fois. Les yeux dans les yeux, il ne fallut pas beaucoup de va-et-vient plutôt musclés pour que nos jouissances arrivent. La tension de la journée était trop forte. J’ai encore un profond souvenir de ce moment et bizarrement, sachant que c’est le même pantalon, je ne peux m’empêcher de sentir la zone de l’entrejambe. Elle l’a toujours porté sans aucun sous-vêtement par la suite, mais aujourd’hui il y a bien encore l’odeur du cuir, mais pas celle du mélange qui est gravée dans mon cerveau. Cela fait trop longtemps qu’il reste dans le dressing. Un jour peut-être…



Le short de randonnées se porte avec le shorty en coton violet. Ils me remémorent une partie de sexe lors d’une ballade dans les chemins, je ne suis pas surpris de ce choix, car il y a eu un drôle d’évènement ce jour-là !


Nous avons toujours marché beaucoup, mais depuis que nous avons emménagé dans notre dernière demeure, nous avons augmenté la fréquence de nos balades, il y a dix ans, nous étions à au moins deux sorties par semaine d’une dizaine de kilomètres minimum à une vitesse importante, quand Pola a eu des problèmes d’échauffements de l’entrejambe. Le médecin du sport rencontré lui a conseillé de porter pour le sport des vêtements en coton, moulants et bien enveloppants, pour limiter les déplacements entre la peau et les tissus. Je lui ai trouvé son bonheur sur internet un site sur un site spécialisé. À l’essayage, il faut reconnaître que même avec ce truc, elle avait un beau cul qui donnait envie. Rarement elle portait de short pour marcher, elle préférait les leggings plus ou moins longs, mais elle voulait cacher ce nouveau sous-vêtement qui avait des coutures trop présentes sous les vêtements moulants et en plus il valait mieux éviter cette matière.


Elle était d’humeur joyeuse. On décide quand même de prendre un parcours qui nous permettra de couper au besoin. Départ de la maison, on descend vers le fleuve, un bon bout le long de l’eau, tout va très bien, elle est parfaitement à l’aise. On quitte la Loire pour remonter par un petit chemin dans un bois très peu fréquenté. Après une heure de marche, on fait une petite pause. Un besoin naturel se faisant pressant. Pour moi pas de soucis, bien qu’elle n’a jamais eu de gêne à se soulager dans la nature, nous prenons un peu de précautions. On s’enfonce un peu dans le bois.


Bien à l’abri des regards, elle ouvre son short, baisse les deux couvre-fesses dans le même mouvement, se baisse et se soulage. Pendant ce temps, je récupère un mouchoir en papier dans le sac. Elle se relève, cherche de quoi s’essuyer dans sa poche, j’en profite pour m’avancer. J’avais devancé ce besoin et je tends la main avec mon mouchoir pour l’essuyer. L’étonnement passé, elle me laisse faire. Je prends bien entendu tout mon temps pour mener à bien ma mission. Non seulement elle me laisse faire, mais elle écarte même au maximum ses cuisses. Le mouchoir devient inutile et même gênant. Je continue avec mes doigts, son visage montre son plaisir naissant, sa bouche s’entrouvre, des sons excitants sortent d’entre ses dents. Un doigt la pénètre facilement tellement, elle est humide et je cale mon pouce sur son bouton déclencheur d’émotions.


Ma deuxième main fonce s’occuper de ses fesses et surtout l’empêcher de se sauver, même si elle ne montre aucun signe dans ce sens. Elle jouit et ne compte pas en rester là, elle s’empresse d’ouvrir mon short et de sortir mon sexe dur comme de la pierre. Elle me branle rapidement puis se retourne et me tend ses fesses en se penchant en avant contre un arbre. Mon gland rentre aussi facilement que mon doigt vient de le faire. Le coït commence et se prolonge, je tente de faire de mon mieux, malgré le peu de confort de la position.


Après plusieurs minutes de ce traitement, elle jouit bruyamment. Je ne peux plus me retenir, je sors et lâche tout entre ses fesses. Après quelques secondes de récupération, elle remonte son shorty sur les traces de spermes sans rien essuyer et termine son habillage, je fais de même. Elle se tourne vers moi, je la vois regarder dans mon dos et son visage change, arborant de la surprise, voire de la peur. Je me retourne à mon tour et découvre… un voyeur, non, une voyeuse avec un grand sourire, la main dans la culotte, jupe relevée. J’allais intervenir, mais ma femme me retient. Notre curieuse se termine tranquillement dans nous lâcher du regard puis réajuste sa tenue et nous dis tout naturellement:



Ma femme a toujours plu aux femmes. Ce n’est pas la première fois qu’elle se fait draguer par une gonzesse, mais c’est la première fois de façon aussi directe. Une fois notre voyeuse partie, après quelques secondes pour retrouver nos esprits, on n’a pas retenu un rire nerveux. Nous ne prendrons pas la carte et ne reverrons jamais cette coquine. Est-ce pour la première fois qu’on se fait surprendre que Pola a choisi cet ensemble ou pour la drague de cette femme ?



La robe longue rouge et le string fendu rouge aussi sont faciles à appairer, l’histoire ne remonte qu’à trois ou quatre ans. C’était lors de l’anniversaire d’un copain. Nous connaissant très bien et depuis très longtemps, le copain nous avez demandé de faire un gros effort vestimentaire pour une fois, cette soirée lui tenant à cœur. Nous avions donc sorti nos plus belles tenues. J’avais un pantalon en toile, une chemise, la cravate et une belle veste en coton. Pour elle, cette fameuse robe rouge boutonnée sur tout l’avant avec un immense décolleté dans le dos qui, une fois de plus, n’autorisait pas de soutien-gorge. Elle voulait mettre un tanga pour être à l’aise, je la voulais nue pour être sexy. On a trouvé un compromis avec ce superbe string largement fendu, très érotique.


Nous avons bien profité de la journée, discutant avec les uns et les autres. Nous nous sommes finalement peu vus jusqu’à la collation du soir. En fin de soirée, un peu de musiques, je récupère enfin ma femme pour moi seul. Elle est très joyeuse, très contente de sa journée. Elle se colle littéralement à moi, j’ai le droit à des petits bisous sur le visage et dans le cou. Mes mains se font de plus en plus vicieuses. On se retrouve dans un coin de la salle très sombre.


Franchement maintenant, je lui malaxe les fesses plus que je les caresse de son côté sa main se pose sur mon sexe et le caresse à travers le tissu. Je fais de même et je finis par ouvrir deux boutons de sa robe pour plonger une main entre ses cuisses. La zone est très chaude et humide. Grâce à la fente du string, j’arrive rapidement à toucher ses lèvres, je la caresse, elle gémit dans mon oreille, je la pénètre d’un doigt, puis de deux, elle jouit le plus silencieusement possible dans mon oreille. Après avoir repris ses esprits, elle ouvre ma braguette, sort mon engin qu’elle dirige entre ses cuisses par l’ouverture de sa robe et pose le gland le long de son sexe. Tous les deux, engageons des petits mouvements de bassin. Heureusement que la série de slows a duré très longtemps au moins suffisamment pour qu’une nouvelle jouissance ne résiste pas aux frottements de ma queue sur son clitoris et il m’a fallu énormément de volonté pour ne pas éjaculer. Elle a bien compris quand je me suis retiré, que je n’en pouvais plus, elle m’a attrapé le gland me faisant éjaculer dans son autre main en trois pressions tout au plus. Une fois débarrassé de ce foutre et nos vêtements remis en ordre, on en a bien ri de ce moment de folie.



Je me rends compte que la particularité de tous ces moments, c’est qu’ils ont tous un lien avec une première entre nous, est-ce ce symbole qu’il faut retenir pour la suite du week-end ? Mais il me faut choisir maintenant. Rapidement, j’opte pour une robe, reste à choisir laquelle. Allez, ce sera la petite noire, mais comme je veux gagner le jeu, je ne prends pas le brésilien qui va avec, je ne descends que la robe dans notre chambre.



À suivre