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Temps de lecture estimé : 13 mn
01/10/19
Résumé:  Laura répond à l'invitation d'Henry et va passer le Week end dans sa propriété bordelaise.
Critères:  fhh hagé campagne fsoumise humilié(e) vengeance contrainte uro sm attache fouetfesse
Auteur : Cortes            Envoi mini-message

Série : Laura

Chapitre 07 / 11
Week-end découverte

À la gare de Bordeaux, le chauffeur d’Henri, le beau métis, l’attend. Il s’avance vers elle sans hésitation dans le hall. Elle s’engouffre dans un gros quatre-quatre noir très confortables. Le chauffeur n’est pas bavard. Ils roulent très vite dans la campagne. Laura est pensive, un peu inquiète, toujours pas très sûre d’avoir pris la bonne décision. Au bout d’une cinquantaine de kilomètres, ils atteignent une zone boisée.


La voiture pénètre dans un chemin de terre dont l’entrée est encadrée par deux plots de bois blanc. Cinq cent mètres plus loin apparaît la propriété d’Henri de Germont. C’est un petit manoir blanc probablement édifié au milieu du dix-neuvième siècle, sans prétention, mais cossu. La bâtisse est entourée de quelques beaux arbres et de prés enclos de barrières blanches où s’ébrouent des chevaux. La voiture s’arrête devant la porte d’entrée et à peine Laura est-elle descendue qu’Henri sort de la maison pour l’accueillir. Il porte une culotte de cheval, des bottes d’équitation et une chemise noire. Il a le teint hâlé de l’homme qui a passé ses journées au grand air.



Elle aime le contact de ses lèvres sur sa peau. Il la détaille quelques instants en silence, d’un regard précis et un peu indiscret.



Avant qu’elle n’ait pu répondre, il reprend :



Laura est en jean, mais porte tout de même des talons. Il la détaille sans aucune pudeur et reprend un peu moqueur :



Derrière le manoir se trouvent les écuries, un grand bâtiment du même blanc que celui-ci, dans lequel s’alignent plusieurs box, une sellerie et une buanderie. Parfaite et confortable installation pour un amateur de chevaux. Un peu plus loin, un potager soigné et travaillé, entouré d’une haie de petits arbres qui le dissimulent de l’extérieur. Enfin, à côté du manoir, un peu en retrait, une grande et belle piscine protégée des regards par des murs blancs. Une propriété entretenue et où il doit faire bon vivre.


Quand il en parle tout en la faisant visiter à Laura, Henri est clair, précis, rentrant presque dans des détails techniques. Laura est émue par son assurance. Il la précède, lui montre le chemin, mais l’effleure à peine. Il est trop courtois. Une fois le tour du domaine effectué, Henri raccompagne Laura à sa chambre et lui annonce que le dîner est servi vers vingt et une heures et qu’il reçoit quelques amis.


La chambre de Laura est confortable et meublée avec goût. Meubles anciens, rideaux, tableaux de prix contrastent avec l’esthétique design de la salle de bains attenante. Le temps qui reste à Laura avant le dîner est assez long pour lui permettre de prendre un long bain et de s’habiller très lentement. Ne pas se presser est un luxe pour Laura qui a toujours un emploi du temps chargé. Elle flâne, caresse les meubles, les bibelots. Elle regarde par les fenêtres la cour et les écuries qui lui font face. La lumière se voile petit à petit en cette fin de journée et commence l’heure où la soirée s’annonce avec son lot d’espoir et de désillusions possibles.


Son regard s’arrête sur Henri dont la silhouette s’insère dans son champ de vision. Il sort des écuries toujours vêtu de sa tenue de cheval. Il semble hésiter un peu et se dirige vers un arbre sur le côté du bâtiment. Il s’arrête à moins d’un mètre d’un très vieux chêne. Il descend la braguette de sa culotte. Il est à cent mètres tout au plus de Laura qui regarde la scène, intéressée. Il est de profil. Réalise-t-il qu’elle le regarde ? Il sort son sexe qu’il décalotte d’un geste de la main. Le cœur de Laura accélère ses battements.


Le membre d’Henri est magnifique. Long, puissant, non circoncis. D’où elle est, elle peut presque discerner les veines qui le parcourent. Un puissant flot d’urine jaillit de la bite qu’Henri tient d’une main. Laura est fascinée, troublée. Instinctivement elle a glissé une main dans son pantalon et laisse ses doigts se glisser vers son sexe. Henri a une queue magnifique. Une queue qui lui va parfaitement. La queue que Laura imaginait pour lui. Ses doigts sont immergés dans sa fente mouillée tandis que le gland d’Henri expulse les derniers jets de pisse. Il secoue maintenant doucement sa bite comme pour l’égoutter. Il lève la tête vers la fenêtre de Laura. Sait-il qu’il est observé ? Laura se dissimule derrière le rideau. Lentement, Henri recalotte son membre, le laisse sorti quelques instants comme pour le montrer plus longtemps et le rentre avec soin dans sa culotte. Il regagne ensuite la maison à pas lents, l’œil toujours fixé sur la fenêtre de la chambre de Laura.


Son pantalon sur les genoux, elle agite frénétiquement ses doigts dans son sexe. Elle regagne son lit s’y étend et continue sa masturbation. Elle a dans les yeux le membre d’Henri qu’elle a découvert il y a quelques instants. Elle imagine son contact dans sa main, dans sa bouche, elle rêve de le sentir en elle. Elle se dit que, dur et dressé, il doit être encore plus beau. Elle revoit le jet d’urine qui s’en échappe et pense au jet de foutre qu’une telle pine pourrait aussi expulser. Elle n’aurait jamais pensé que la vue d’un sexe d’un homme de l’âge d’Henri pouvait autant l’exciter. Elle adore la bite de Yannick, plus jeune et certainement aussi puissante. Chaque fois qu’il la sort et qu’elle l’aperçoit, elle a toujours un moment d’émotion. Mais la queue d’Henri la trouble comme jamais elle ne l’a été. Elle râle doucement tandis que sa main termine son œuvre de plaisir. Elle s’assoupit quelques instants. Assommée par la jouissance. Quand elle se lève, sa tête tourne encore légèrement.


Le dîner du soir était fin. Les vins merveilleux. Les convives choisis avec soin. Un couple d’autochtones et un couple d’industriels de la région parisienne possédant une résidence secondaire dans la région. Les femmes élégantes les hommes attentionnés et faisant preuve d’esprit. Henri avait placé Laura à sa droite et à sa gauche une jolie blonde, la femme de l’industriel. Laura porte une robe noire mi-longue, moulante, décolletée et fendue très haut mettant parfaitement en valeur sa silhouette. Elle sent le regard des hommes et elle aime cela. Henri la regarde et ses yeux parlent. À la fois voyeurs et dominateurs. Elle ne peut s’empêcher de penser à ce sexe qu’elle a aperçu presque par hasard et qui l’a tant troublé. Envie de le toucher, de l’apprivoiser, de le sucer, de se l’introduire dans ses cavités les plus intimes. Henri semble comprendre ses pensées tandis qu’il la dévisage sans ambiguïté.


Son regard la transperce et l’interroge à la fois comme s’il disait : Veux-tu vraiment de moi ? Tu es bien sûre ? Avec ses yeux, elle lui répond qu’il doit la prendre qu’elle n’attend que cela, être ravie par lui comme les Étrusques ravirent les Sabines, les saisissant par leurs cheveux sans même descendre de cheval, pour les emmener et abuser d’elles sans limites. Comprend-il cet appel indécent ? Son sourire semble lui répondre. Il est malgré tout prévenant avec sa voisine. Elle lui plaît incontestablement. L’a-t-il baisé ? Cela n’est pas impossible. Henri est un homme à femmes, cela est évident. Elle le sait. Cela ne la gêne pas d’ailleurs. Cela ne fait qu’exciter son désir d’être à lui.


Le dîner se poursuit sans incident. L’après-dîner a lieu sur la belle terrasse qui prolonge le salon, presque sous la fenêtre de la chambre de Laura. Quand Henri lui tend un verre d’armagnac, elle ne peut s’empêcher de poser ses doigts sur les siens insistant la pression. Il la regarde curieusement d’un air étonné presque courroucé. Elle voit ses yeux la regarder de haut en bas presque méprisant. N’aurait-elle pas dû lui faire sentir son désir ? Est-elle allée trop loin ? Le verre à la main elle s’assoit et laisse la fente de sa robe remonter très haut sur ses cuisses bronzées regardant toujours Henri dans les yeux. Il se détourne d’elle pour engager la conversation avec le couple dont la jolie blonde semble captivée par lui. Ce n’est pas de la jalousie qu’elle ressent, mais un désir encore plus fort d’éveiller l’attention de cet homme de le pousser à la regarder. Elle se lève et s’avance vers le groupe. Elle a un peu abusé des excellents vins qu’Henri de Germon a servis à ses invités. Et le grand verre d’armagnac qu’il lui a donné n’arrange rien. Elle titube un peu. Est-ce visible ? La discussion porte sur les rachats de société par les fonds d’investissement. L’industriel parisien la prend à témoin :



Tout en prononçant ces mots, elle regarde Henri comme si elle s’adressait à lui. Les autres ont-ils compris ? Comme pour éviter tout dérapage Henri prend la parole :



L’industriel reprend sur un ton légèrement narquois :



Ses invités se demandent certainement quel type de relation unit Henri à cette jolie avocate parisienne. C’est une question qu’ils s’étaient d’ailleurs posée dès que Laura leur avait été présentée. Laura reprend toujours provocatrice :



Elle réalise qu’elle a la voix un peu pâteuse et que cela se remarque. Henri la regarde bizarrement. Petit à petit les invités prennent congé et Henri les raccompagne les uns après les autres laissant Laura dans le salon. Ils se retrouvent seuls. Laura est assise sur le canapé un peu avachie.



Peu après Henri et Laura longent les stalles des chevaux qu’Henri lui présente un par un comme s’il s’agissait d’amis. Il a revêtu la culotte de cheval qu’il portait dans la journée et une paire de bottes de cavalier. Il a gardé sa chemise de smoking ouverte jusqu’au troisième bouton. Laura se tord un peu les pieds en marchant sur les pavés avec ses fins escarpins de Parisienne.



Laura s’approche du box et remarque la beauté du regard de l’animal qui lui tend son museau. Elle s’apprête à le caresser.



Le cheval agite la tête de haut en bas et souffle un peu.



Son ton est soudain devenu plus dur.



Plaisante-t-il ? se demande Laura. Est-il sérieux ? Mais le mot cravacher l’excite, de même que l’idée d’être châtiée par Henri.



Henri se saisit d’une cravache qui pend, attachée à la porte du box. Il ôte la ceinture de son pantalon.



Laura tend docilement ses deux mains vers Henri qui lui saisit les poignets.



Laura obéit presque malgré elle. Elle se laisse attacher les mains à un barreau d’acier. Henri passe derrière elle. Elle sent l’excitation monter en elle. Sans hésiter, il soulève sa robe sous laquelle elle ne porte qu’un minuscule slip de soie qu’Henri arrache. Puis il se recule. Elle sent son regard sur ses fesses nues. Elle les cambre un peu comme pour l’appeler. Le premier coup de cravache la surprend. Il est fort et cinglant. Elle pousse un léger cri de douleur.



Le second fut encore plus fort. Le troisième n’attendit pas. Puis elle espéra le quatrième. La douleur était mêlée d’excitation. Elle avait presque envie de ce quatrième coup. Elle allait lui demander de lui donner.



Henri contemplait avec délectation ses fesses marquées par trois raies rouges. Le quatrième coup lui fait mal, mais lui donne du bonheur. Au cinquième coup, elle jouit. Les larmes coulent sur ses joues. Son ventre est en feu.



Elle le sent hésiter.



D’un coin sombre de l’écurie sort un jeune homme qui a au plus vingt-cinq ans. Un grand garçon bien charpenté aux cheveux noirs. Un visage carré un peu rustre, mais pas sans charme. Il porte un jean des bottes de caoutchouc et une chemise du même tissu que son pantalon, un peu grossier. Sa braguette est ouverte.



Tout en parlant, Henri passe la cravache sur les fesses de Laura. Le garçon rougit, baisse la tête. Henri s’approche de Laura et lui chuchote à l’oreille :



Laura ne répond rien.



Pierre s’approche, penaud. Il glisse ses doigts dans sa braguette et en ressort un sexe long et large qui petit à petit se lève, grossit encore et se tend. Il s’approche de Laura qui a les mains toujours attachées. Il décalotte son membre laissant apparaître un gland gonflé et rougeaud. Il s’astique doucement en regardant la scène.



Laura nage dans une sensation d’excitation et de désir. C’est Henri qu’elle veut, mais la situation la trouble et elle n’est pas indifférente à la grosse bite que Pierre agite à ses côtés.



Pierre vient derrière Laura et lui tâte les fesses des deux mains. Il passe un doigt entre ses lèvres intimes et pénètre légèrement son vagin. Il constate qu’elle est trempée. Prête à être visitée par son gros sexe qui n’attend que cela. Il enfile le préservatif que lui tend Henri. Laura se cambre et s’offre au garçon qui appuie son gland contre l’entrée de sa chatte comme hésitant, puis d’un coup puissant la pénètre jusqu’au fond. Laura pousse un gémissement et halète doucement tandis que Pierre commence son va-et-vient. Tandis qu’il la besogne, lui tenant les hanches, il grogne doucement comme un animal. Laura le sent tout au fond d’elle, large et vigoureux. Cette queue la remplit totalement. Le plaisir l’envahit.


Sur le côté elle voit Henri qui regardant la scène, a sorti son sexe et se masturbe lentement ne perdant pas une miette du spectacle qui se déroule devant lui. La vision de la bite d’Henri qu’elle a déjà pu admirer au repos, mais qui est maintenant fièrement dressée, longue et puissante augmente son plaisir. Le jeune Pierre est rouge de plaisir et laboure avec rage ce beau cul qui lui est offert. Il ne se contiendra pas longtemps. Rapidement, ses couilles se vident dans la capote tandis qu’il accélère le mouvement en ronronnant de plaisir. Henri a lui aussi accéléré son mouvement masturbatoire. Laura voit son membre magnifique expulser de longs jets de foutre qui s’abattent sur le sol poussiéreux de l’écurie. Elle jouit en hurlant et peut-être, elle ne sait pas, elle ne sait plus, en prononçant le nom du maître des lieux.


Une fois la folie passée, le plaisir assouvi, Pierre s’en va un peu penaud. Henri détache Laura et la prend dans ses bras.



Tendrement Henri la raccompagne dans sa chambre. Il la déshabille comme une enfant. L’emmène dans la salle de bain où il la lave avec soin dans la baignoire. Il nettoie toutes les parties de son corps, n’hésitant pas à passer sa main entre ses jambes et mettre ses doigts dans sa chatte, dans son anus. Laura se laisse faire encore sonnée par le plaisir. Elle a envie de la tendresse d’Henri maintenant. Elle a envie de ses mains sur son corps, de son sexe en elle. Il la couche dans le grand lit comme un enfant. Puis il l’embrasse sur le front. Doucement il quitte la pièce la laissant frustrée et épuisée.