n° 19254 | Fiche technique | 16123 caractères | 16123Temps de lecture estimé : 9 mn | 18/10/19 |
Résumé: Le séjour de Laura dans la propriété d'Henri se poursuit et leurs relations deviennent plus tendres. | ||||
Critères: fh hplusag campagne fsoumise hdomine fellation pénétratio | ||||
Auteur : Cortes Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Laura Chapitre 08 / 11 | Épisode suivant |
Résumé du chapitre précédent :
Laura a accepté l’invitation d’Henri qui l’a invitée à venir passer le week-end dans sa propriété près de Bordeaux. Le vendredi soir, lors d’une visite des écuries, Laura a été châtiée par son hôte qui n’a pas apprécié son attitude arrogante et provocatrice au cours du dîner qu’il a organisé pour elle. Enfin, malgré le désir de Laura il a continué à rester distant et froid vis-à-vis d’elle.
Le lendemain, Laura dort très tard, fatiguée par la soirée de la veille. Encore frustrée de l’attitude d’Henri. Ce dernier, quand il la retrouve en fin de matinée, fait comme si de rien n’était. Il propose un programme très complet pour la journée. Visite de la région, déjeuner dans une auberge, promenade à cheval. Tout est minuté. Il n’y a aucun moment d’inactivité comme s’il fallait éviter à tout prix les instants d’intimité.
Jamais au cours de la journée Henri n’évoque, ne serait-ce que par une allusion, la séance de la veille dans l’écurie. Il a des gestes polis, amicaux envers Laura, mais ne manifeste aucune tendresse. Il ne la prend ni par la taille ni par la main. Quand ils rentrent à la propriété après la promenade à cheval, c’est Pierre, le palefrenier, qui respectueusement vient aider Laura à descendre de cheval et prendre sa monture. Elle ne peut s’empêcher de repenser au sexe puissant du garçon et ce souvenir l’excite un instant.
Le soleil est encore assez haut dans le ciel. Henri propose un plongeon dans la piscine, ce qu’elle accepte avec plaisir, car la promenade à cheval l’a fait abondamment transpirer. Ils se retrouvent en peignoir sur le bord du bassin. Laura laisse tomber le sien et apparaît dans un maillot une-pièce qui met parfaitement en valeur son corps athlétique, forgé par des heures de salle de gym. C’est la première fois qu’elle voit le corps d’Henri presque nu. Il porte un élégant bermuda assez prêt du corps. Il est mince et encore musclé, pas de ventre malgré son âge, des jambes de cavalier un peu arquées. Un bel homme.
Ils se retrouvent dans l’eau, côte à côte, silencieux. Puis Laura s’approche du bord et Henri la rejoint. Il la regarde dans les yeux. Il passe sa main sur ses cheveux, descend le long de sa nuque. Il colle son bas-ventre contre le sien, passe une main sur ses fesses pour la serrer plus fort contre lui. Son doigt qui s’insinue par l’échancrure du maillot rentre doucement dans la raie, descend un peu, effleure l’anus puis continue vers le début de la vulve. Il ne la pénètre pas et remonte en sens inverse jusqu’au bas du dos. Va-t-il l’embrasser ? Elle tend presque les lèvres. Mais rien ne se produit.
Déroutée, interloquée par cette attitude, Laura, restée dans l’eau, ne peut que hocher la tête et murmure un :
Elle se reprend.
Peu après vingt-et-une heures, Laura pénètre sur la terrasse située à l’arrière de la maison, au rez-de-chaussée de la maison. La nuit est déjà tombée. La température est agréable. L’endroit est éclairé par des lumières savamment placées et tamisées. La table pour le dîner est dressée dans un coin. Laura porte une robe noire, assez simple, mais très courte. Elle ne porte pas de bas. C’est inutile. La peau de ses cuisses est déjà bronzée en ce début d’été. Henri est élégamment décontracté : jean, blazer sur une chemise blanche ouverte au col. Il s’empresse de lui servir une coupe de champagne et trinque avec elle :
Pour dîner, ils sont assis tous les deux, côte à côte. Leurs jambes se frôlent et se touchent parfois, de même que leurs coudes et leurs mains. La lueur de deux bougies posées de part et d’autre de la table leur permet d’aller au fond de leur regard respectif. Le dîner est servi par le chauffeur, le beau métis qui pour l’occasion a revêtu une veste blanche. Imperturbable et impénétrable, il fait son service sans avoir l’air ni d’écouter ni de voir. Henri est prévenant, poli, presque mondain, mais jamais tendre. La conversation roule sur les affaires, les chevaux, la vie parisienne. Laura joue le jeu. En aucun cas elle ne cédera et ne montrera de la faiblesse, voire de la tendresse. Arrivé au dessert, Henri la regarde dans les yeux.
L’allusion est brutale et sans détour. Laura est troublée. Elle ne sait pas si elle doit faire preuve d’enthousiasme ce qui dévoilerait sa sensibilité.
Henri sourit et regarde les cuisses de Laura dévoilées pas sa robe si courte.
Laura sent que le terrain devient glissant et qu’il va falloir dévoiler son jeu.
Henri pose sa main sur la cuisse de Laura et de l’autre ouvre sa braguette. Il en sort une queue déjà en érection, prête à servir. Laura sent les battements de son cœur s’accélérer. Elle a déjà vu cette bite, en a rêvé, a fantasmé avec ce qu’elle pourrait en faire, mais jamais elle ne l’a même touchée. Elle sent la main d’Henri se poser sur sa nuque et y imprimer une pression presque insensible d’abord. Pourquoi ne pas céder ? Elle en a tellement envie de la queue d’Henri ! Qu’est-ce qui la retient ? La main d’Henri toujours sur sa nuque, elle s’incline doucement et approche ses lèvres du gland bien gonflé, rouge écarlate dont elle sent déjà le goût dans sa bouche. Et puis, elle laisse aller son désir.
Elle prend la bite en bouche et la suce, doucement d’abord, faisant aller ses lèvres de haut en bas tout en donnant de petits coups de langue. Elle est experte, Laura. Elle sait sucer. Elle aime sucer. Et cette queue l’émeut plus que les autres. C’est la queue d’Henri qui la déconcerte et la trouble. Elle accélère son rythme le long de la hampe de chair où très vite coule de sa salive. De sa main libre, elle va chercher les couilles qu’elle prend à pleine main et malaxe avec sensualité. Henri a toujours sa main sur sa nuque et contemple ce magnifique spectacle. La jolie tête de Laura qui va-et-vient entre ses jambes, ses belles lèvres autour de sa bite et le plaisir, la joie, l’appétit dont elle fait preuve en le bouffant à pleine bouche.
La scène plus que la caresse l’excite et il sent le plaisir monter en lui. Il sait qu’il ne va plus tenir très longtemps et qu’il va bientôt cracher son foutre dans le gosier de Laura. Saisissant sa natte, il lui tire la tête vers le haut.
Laura le regarde. Ses yeux sont brillants. Ses lèvres sont humides. Henri lui tend son verre.
Prenant le sien, il avale quelques gorgées du très bon Bordeaux qui a accompagné le repas. Sa queue à moitié dressée dépasse encore de sa braguette. Puis il prend Laura par la main et ils se lèvent tous les deux. Il l’entraîne vers le rebord de la terrasse. Il lui pose les mains sur la rambarde. Puis il vient derrière elle. Il relève sa robe et la retourne sur ses reins de manière à ce que les fesses de la jeune femme restent offertes, dévoilées. Puis il se recule et regarde le tableau.
Laura est courbée sur le rebord de la terrasse. Elle est perchée sur de jolis escarpins qui rehaussent la beauté de ses longues jambes musclées, légèrement écartées et au-dessus, deux globes ronds et fermes où s’imprime la marque blanche d’un petit slip. Sous ces globes s’ouvre, à peine dévoilée, aspérités et ombres prometteuses, sa chatte probablement trempée de désir. Laura cambre le dos où se pose sa natte noire et tressée. Elle se sent offerte dans cette position. Du coin de l’œil elle aperçoit au fond de la terrasse, dans le coin opposé le beau métis qui les a servi à table. Son regard est toujours impénétrable. Les mains derrière le dos, attendant les ordres, il regarde aussi la scène, mais ne montre aucune émotion.
Ce regard accentue l’excitation de Laura. Henri caresse son sexe comme pour le faire durcir encore plus. Puis il approche des fesses de Laura et s’accroupit entre ses jambes. Il respire l’odeur de femme, de cramouille et de sueur qui émane de son entrejambe. Il avance sa tête et y enfouit sa bouche. Il lèche goulûment les lèvres intimes, puis du bout de la langue entre un peu dans cette merveilleuse grotte chaude et odorante. Laura tend encore plus son arrière-train pour que la langue d’Henri puisse aller plus loin. Elle pousse quelques gémissements ou plutôt des grognements de chienne qui rassurent et confortent Henri sur le désir de la femme qu’il a devant lui.
Il se relève, la bouche et les lèvres pleines de sécrétions intimes et astique encore un peu sa queue. Puis, posant sa main sur l’épaule de Laura, il enfonce son membre dans sa chatte, faisant pénétrer d’abord doucement son gland puis y enfournant la totalité de sa bite. Laura répond par de petits grognements de bonheur. Elle attendait ce moment depuis si longtemps ! C’est si bon. Cette queue est si dure en elle, et c’est celle d’Henri, l’homme qui l’a châtiée hier soir dans son écurie et qui l’a fait saillir comme une jument par son palefrenier et qui l’a regardée se faire monter comme il devait regarder ses étalons monter ses juments. Qui l’a vu gémir et grogner de plaisir et en redemander. Cet homme-là est maintenant en elle qui a en quelque sorte réussi à l’apprivoiser.
Elle contemple devant elle à la hauteur de ses yeux l’ombre des grands arbres du parc. Sur sa gauche, derrière elle, elle aperçoit toujours la silhouette du chauffeur-maître d’hôtel qui n’a pas quitté son poste comme s’il devait surveiller que tout se passait bien. Il doit voir son maître aller et venir entre ces fesses magnifiques qui tremblent sous les coups de boutoir. Est-il excité ? A-t-il une érection ? Sa queue doit être énorme, il a une tête à avoir une grosse queue, pense Laura. Elle sent qu’elle va jouir. Les coups de bite d’Henri se font de plus en plus violents. Ses couilles frappent et claquent sur ses fesses, sensation délicieuse. Elle sent ses mains agripper plus fortement ses hanches.
Enfin la mer se déchaîne. Des images de toute couleur se succèdent dans son esprit. Son ventre entier s’embrase. Elle crie probablement des insanités. Elle feule comme un animal. Henri qui l’a sentie partir ne se retient plus et jouit également. Il éjacule des jets de sperme en elle. Le sent-elle ? pense-t-il. Sent-elle comme je jouis, comme je la remplis ?
Et dans le coin, le métis imperturbable regagne l’intérieur de la maison comme pour laisser la tendresse laisser la place à la bestialité. Henri est effondré sur Laura qui halète encore doucement. Il sort d’elle avec précaution, recule comme pour regarder encore ce corps magnifique qu’il vient de posséder. Il remonte son pantalon, le reboutonne, puis doucement il rentre dans la maison.
Quand Laura regagne le salon à son tour. Henri a sorti une bouteille d’armagnac et a disposé deux verres sur la table basse devant le canapé.
Cette dernière a réajusté sa tenue et essaie de faire bonne figure. Elle ne refuse pas le verre d’alcool qu’Henri lui tend.
Ce dernier sourit.
Il lui prend la main et la regarde dans les yeux. Va-t-il devenir tendre, pense Laura ? En ai-je envie d’ailleurs ? Comme pour répondre à ses interrogations, il lui dépose un baiser sur les lèvres tout en lui caressant la nuque et reprend :
Elle est remise de ses émotions. Elle a repris de la hauteur. Elle est de nouveau sûre d’elle. Et elle sent que cela plaît à Henri.
Une fois dans la chambre de Laura, Henri la déshabille avec tendresse et, comme la veille, la lave avec soin. Sauf que cette fois-ci il se déshabille aussi et va avec elle sous la douche. Il l’enlace sous le jet d’eau chaude et l’embrasse à pleine bouche. Il ne l’a jamais embrassée comme cela. Laura sent que son sexe a repris de la vigueur et se raidit contre son ventre. Une fois essuyés, ils s’étendent sur le lit et s’enlacent de nouveau. Henri lui fait enfin l’amour. Il ne la baise pas, il lui fait l’amour et il lui fait très bien. Tandis qu’il la pénètre, et qu’elle est sous lui, offerte, les jambes autour de ses reins, il l’embrasse dans le cou, mordille ses oreilles et prend sa bouche. Henri est plus long à venir que Laura qui jouit la première. Mais en la voyant tendre encore plus son bas-ventre vers le sien et serrer ses cuisses autour de ses reins en gémissant, il finit aussi par venir et se vider encore en elle. Ils restent enlacés quelques instants, puis Henri se lève et va chercher les verres d’armagnac. Laura s’est mise sur le ventre et le regarde, nu, revenir vers le lit. Sa queue est molle maintenant et pend le long de sa cuisse. Il est bien monté, Henri, pense Laura et il m’a bien fait l’amour après m’avoir baisée comme une chienne. Cette pensée l’excite. Henri sent son trouble dans son regard :
Il lui tend son verre d’armagnac.