n° 19329 | Fiche technique | 18949 caractères | 18949Temps de lecture estimé : 11 mn | 25/11/19 |
Résumé: De retour à Paris, Laura va devoir voyager pour signer un contrat. Elle emmène avec elle son jeune collaborateur. | ||||
Critères: fh fplusag jeunes collègues hotel hsoumis fetiche nopéné gifle -hsoumisaf | ||||
Auteur : Cortes Envoi mini-message |
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Résumé du chapitre précédent :
La relation de Laura avec Henri de Germont s’est consolidée à la suite du week-end qu’elle a passé chez lui dans sa propriété bordelaise. De retour à Paris, Laura reprend ses activités d’avocate d’affaires.
Depuis quelque temps, Laura sent que l’attitude de Jean-Pierre à son égard a changé. Elle avait toujours senti qu’il fantasmait sur elle. Mais il y avait quelque chose de nouveau ou plutôt son attitude avait évolué. Sa manière de l’observer, sa gêne quand elle l’approchait de trop près. Ses regards sur son corps, ses jambes, jusqu’à ses pieds et ses chaussures deviennent plus accentués.
Elle pressent aussi que le jeune homme aime qu’elle soit directive avec lui, qu’elle lui parle avec autorité, voire qu’elle le réprimande. Il s’excuse plus souvent, est plus humble et ne fait rien pour dissimuler ses faiblesses, ses erreurs. Sa fascination pour elle au lieu de l’agacer, l’émeut, la trouble aussi peut-être. Elle n’arrive pas à trouver pesante l’attitude du jeune homme que, par ailleurs, elle trouve séduisant, beau gosse. C’est par hasard qu’elle découvre ce qui se passe vraiment dans son esprit.
Elle est restée tard au cabinet ce soir-là. Il doit être vingt et une heures. Elle va dans le bureau de Jean-Pierre chercher un dossier. C’est lui qui, avant de partir, lui a indiqué que si elle en avait besoin, l’un des dossiers sur lequel il travaillait se trouvait dans le meuble bas qui est à côté de son bureau, sur l’étagère du haut. Les indications sont claires. Elle ouvre la porte du meuble. Le dossier est bien là à l’endroit annoncé. Mais sur l’étagère du dessous, son œil est attiré par un livre ou plutôt le bout d’un livre, une bande dessinée, semble-t-il, enfouie sous une pile de revues juridiques qui dépasse légèrement, mais qui ne peut pas échapper à celui ou celle qui est pourvu d’une vision normale.
Laura ne peut s’empêcher de sortir l’ouvrage de dessous de son camouflage bien maladroit. Il s’agit bien d’une bande dessinée dont l’auteur est Bernard Montorgueil. Machinalement elle ouvre le livre et tourne quelques pages. Les dessins sont de bonne qualité. Ils sont aussi très éloquents. Des femmes de tous âges, élégamment habillées, ou très dévêtues, dans un style de la mode des années 30. Elles sont très belles et torturent avec délectation des hommes plutôt jeunes et athlétiques.
Les victimes, dans des positions parfois humiliantes, se font fouetter, piquer, pincer. Leurs sexes souvent en érection sont étirés, battus, traits comme des pis de vache. Ils crachent souvent des jets de sperme que les jolis bourreaux regardent avec gourmandise. Leur anus est parfois pénétré par des objets les plus divers. Les visages des hommes expriment à la fois la douleur et le plaisir. Laura connaît la domination féminine, mais elle n’a jamais autant approché l’aspect pratique de la question. Elle est troublée par les images qu’elle a sous les yeux. Elle note le titre de l’ouvrage qu’elle compte bien se procurer afin de le lire tranquillement.
Les jours qui suivent sa découverte, elle observe Jean-Pierre avec plus d’attention. Les dessins du livre qu’elle a pu examiner à loisir chez elle défilent dans son esprit. Elle ne peut s’empêcher de plaquer le visage du jeune homme sur les têtes de ces hommes soumis à leurs maîtresses si belles et si cruelles.
Peu après ces découvertes, Laura doit partir pour Madrid afin de négocier et signer l’acquisition d’un groupe alimentaire espagnol pour l’un de ses clients français. L’opération de grande envergure nécessite la présence d’au moins deux avocats dans la capitale espagnole. Elle décide de se faire accompagner par Jean-Pierre. Départ de bon matin à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle.
Laura est élégante en tailleur pantalon sombre, foulard de marque. Elle retrouve Jean-Pierre devant le comptoir Air France. Il s’empresse de l’aider à porter ses bagages, mais de manière maladroite et gauche. Dans l’avion, ils examinent un dossier côte à côte et souvent leurs coudes et leurs mains se touchent. Laura sent le trouble de Jean-Pierre. Elle est avec lui à la fois directive et amicale. Son empire sur le jeune homme l’excite et elle ne peut s’empêcher de penser encore aux gravures du livre qu’elle a trouvé dans le bureau de son collaborateur. Parfois elle lui donne un ordre anodin. Elle lui demande de rayer un mot ou de lui lire un document, mais sur un ton un peu plus appuyé. Elle note que son collaborateur rougit dès qu’elle élève un peu la voix comme si cette inflexion dans la sonorité des mots qu’elle prononce lui procurait du plaisir. Ayant toujours en tête les dessins de domination féminine, elle imagine avec délice que dans ces moments, ce petit crétin de Jean-Pierre est en érection.
La journée se passe en réunion chez le client avant la séance de signature qui doit avoir lieu le lendemain chez l’avocat du vendeur. La soirée doit être consacrée à la relecture rapide des contrats. Ceci a lieu dans la junior-suite que Laura occupe dans un bel hôtel de la Castellana, les Champs-Élysées de Madrid. Elle fait servir un dîner pour deux qu’elle prend rapidement avec Jean-Pierre tout en relisant les documents.
Vers vingt et une heures, le travail est quasiment terminé. Laura congédie son collaborateur un peu rudement et lui demande d’être prêt dès le lendemain huit heures pour discuter une dernière fois de la stratégie de négociation. Une fois le jeune homme parti elle enlève ses vêtements qu’elle n’a pas changés depuis le départ de Paris le matin et prend une longue douche chaude. Tandis que l’eau court sur son corps, elle sent le désir envahir son ventre. Elle a envie d’un homme. Elle passe sa main sur son sexe et le sent déjà humide. Difficile de sortir chasser dans cette ville qu’elle ne connaît pas bien. Puis elle pense à Jean-Pierre, à l’attitude soumise dont il a fait preuve toute la journée. Et elle repense aussi à cette bande dessinée. Aux images de soumission de ces hommes qui excitent probablement tellement Jean-Pierre.
Une idée, un fantasme germent dans son esprit et accroissent son excitation. Elle se coiffe, se maquille un peu, et revêt un peignoir de soie rose qui lui arrive à mi-cuisse. Dessous, elle ne porte qu’un body de dentelle noire qu’elle avait emmené, au cas où. Puis elle enfile une paire d’escarpins à hauts talons. Son regard fait le tour de la chambre et s’arrête sur un chausse-pied en plastique noir à long manche de bois qui est posé sur l’étagère d’un placard ouvert. Elle s’en saisit et frappe l’extrémité de l’objet sur la paume de sa main. Le bruit sec du plastique sur la peau lui plaît. Elle le pose sur le bureau de la grande pièce, bien en évidence. Puis elle décroche le cordon de tissu de l’un des rideaux et le range à côté du chausse-pied. Doucement elle approche sa main du téléphone sur le bureau.
À l’autre bout de la ligne, il y a un silence. Le jeune homme est surpris.
Laura prend un ton sec.
Quand Laura ouvre la porte, Jean-Pierre est subjugué. Elle est devant lui en peignoir court, de jolis escarpins à talons aux pieds. Il n’a jamais vu une si grande partie de ses cuisses magnifiques. Elle est fière, arrogante, sûre d’elle.
Il est revêtu d’une robe de chambre bleue sur un pyjama jaune. Aux pieds, il porte des pantoufles.
Il s’exécute timidement. Laura s’est assise dans un fauteuil et croise les jambes. Jean-Pierre ne peut s’empêcher de regarder ses cuisses et cela le fait bredouiller.
Le jeune homme reprend d’une voix timide. Ses yeux ne se détachent toujours pas de ses cuisses… Mais vous ne regardez pas le texte.
Elle décroise les jambes et se lève. Elle se campe devant lui, le regarde avec un air provocant, les jambes légèrement écartées, les mains sur les hanches. Le jeune homme ne soutient pas le regard et baisse les yeux. Laura lui prend le menton pour lui relever le visage et accentue sa pression vers le haut de manière à ce qu’il se lève face à elle.
Puis sans attendre, Laura le gifle de toutes ses forces. Le jeune homme pousse un petit cri autant de douleur que d’étonnement. Au lieu de se rebeller de protester, il recule légèrement et se tenant la joue murmure :
Laura sait maintenant qu’il est entré dans son jeu. D’un ton sec, elle lui ordonne :
Jean Pierre semble hésitant.
Le jeune homme s’exécute. Doucement il enlève sa robe de chambre puis ôte son pyjama. Lorsqu’il en baisse la culotte, il s’arrête un instant comme gêné. Il faut que Laura, campée devant lui, arrogante, lui ordonne :
Une fois le pantalon baissé, Laura constate avec ravissement que le jeune homme a une magnifique érection. Il a une belle et jeune queue, dressée comme un i sur des bourses rondes et fermes. Il a aussi un beau corps, Jean-Pierre, un corps que Laura, qui sait apprécier les beaux garçons, contemple avec délectation.
Laura s’approche de lui, le gifle encore une fois. Le jeune homme reste silencieux. Elle approche son visage du sien très près, comme si elle allait l’embrasser :
D’une poigne ferme, Laura s’empare de la bite du jeune homme et la serre, la tord tout en continuant à lui parler. Elle sent le membre chaud et tendu dans sa main. Elle redouble sa pression.
Laura va chercher le cordon des rideaux qu’elle avait laissé sur le bureau et attache les mains de Jean-Pierre derrière son dos. Puis le prenant par la bite, comme elle l’aurait fait d’une poignée, le tire dans la chambre et lui ordonne de se mettre sur le bord du lit, à quatre pattes, la tête baissée. Se reculant, elle contemple le spectacle : les fesses du jeune homme légèrement surélevées, légèrement ouvertes. Entre ses jambes, ses couilles bien en vue. Ses mains sont liées derrière son dos. Laura s’empare du chausse-pied à longue tige de bois et commence à en passer l’extrémité sur ses fesses, comme une caresse. Elle suit la raie qu’elle viole légèrement puis tapote quelques coups sur les bourses du jeune homme qui remuent légèrement sous les petits chocs. Et puis, elle assène un premier coup sec sur le fessier. Le jeune homme pousse un petit cri.
Puis elle frappe le second coup encore plus fort que le premier. Au troisième puis au quatrième, les fesses de Jean-Pierre commencent à se zébrer de raies rouges ce qui excite Laura qui frappe encore plus fort. Sous chaque choc, le dos du garçon ondule du cou jusqu’aux fesses. Ses couilles branlent de droite à gauche, ce qui excite terriblement Laura. Elle sent sa chatte mouiller et ses seins se durcir. Après le dixième coup, elle pose le chausse-pied sur le lit et caresse le dos de son collaborateur avec des gestes presque tendres. Elle descend sa main vers les testicules qu’elle soupèse, puis continue entre les cuisses du garçon entre ses jambes et va saisir son sexe qui est toujours tendu.
Doucement elle le relève. Il se dresse debout devant elle, la bite toujours dressée vers le ciel. Elle le détache. Puis le regardant dans les yeux :
Laura ôte ses escarpins pose un pied sur la tête du garçon.
Jean Pierre prend le joli pied de sa patronne dans ses mains et lèche doucement l’extrémité des doigts de pied. Laura a de très jolis pieds. Les ongles sont faits, vernis d’un rouge violet qui met en valeur ses beaux doigts de pied. Puis la langue de Jean-Pierre s’aventure jusqu’au talon, puis aux chevilles. Il lève un peu les yeux et aperçoit l’entrejambe de Laura sous le peignoir, dissimulé sous une culotte noire très fine qui laisse deviner… mon Dieu… il ose à peine y penser… ! Laura a vu son regard.
Le jeune garçon appuie les mains sur les pieds de sa patronne et commence à lui lécher les mollets. Puis il monte vers les genoux, lui lèche les cuisses. Laura sent la chaleur se répandre dans son bas-ventre tandis qu’elle perçoit la jeune langue s’agiter à l’intérieur du haut de ses jambes, puis plus haut vers le mince tissu qui couvre sa chatte. Elle voit la queue de Jean-Pierre qui est toujours levée.
Jean Pierre à genoux devant Laura a presque son nez entre ses cuisses. Il sent une odeur de femme, une odeur âcre qui le trouble. Laura relève Jean-Pierre prend sa queue dans sa main.
Elle le tire violemment par la queue jusqu’à la salle de bain et s’arrête devant la baignoire. Doucement elle le masturbe, puis accélère le rythme. Elle secoue avec force la pine du jeune homme qui est plus tendue que jamais. De l’autre main, elle lui pétrit les couilles. Elle ne le ménage pas. Elle aime sentir dans la main ce membre chaud et dur, ces bourses rondes et pleines.
Au bout de quelques minutes, Jean-Pierre éjacule de longs jets de foutre qui couvrent le mur de la salle de bain tant ils sont puissants. Puis les dernières gouttes tombent sur l’émail blanc de la baignoire. Pendant sa jouissance il regarde Laura, sent sa cuisse contre la sienne et monte en lui un immense désir d’être sa chose, son esclave. Après l’avoir bien trait, elle le congédie comme s’ils n’avaient passé la soirée qu’à travailler sur un dossier, après lui avoir rappelé qu’ils doivent se retrouver à huit heures au restaurant de l’hôtel pour un petit déjeuner de travail.
Quand Jean-Pierre a quitté la suite, Laura se sent à la fois excitée et frustrée. Excitée par la séance qu’elle a mise en scène. Elle n’a jamais joué ce rôle. La bande dessinée de Bernard Montorgueil et, bien sûr, l’attitude de Jean-Pierre ont probablement réveillé un instinct de dominatrice qui dort en elle depuis longtemps. L’idée d’avoir soumis sexuellement ce jeune homme qui la désirait tant lui plaît infiniment.
Mais elle est aussi frustrée. Frustrée, car personne ne l’a fait jouir comme une femme. Frustrée aussi de ne pas avoir été pénétrée par une queue d’homme. Avant de se mettre dans son lit, Laura va dans la salle de bain chercher dans sa trousse de toilette un petit gode en plastique noir qu’elle emmène toujours avec elle quand elle voyage. En passant devant la baignoire, elle y aperçoit les grosses gouttes de foutre gluant que Jean-Pierre a éjaculées. Elle en prend un peu sur le bout de son index et le porte à sa bouche, sur sa langue. Le liquide visqueux a une odeur inimitable qu’elle connaît si bien et qu’elle aime tant déguster. Nue sur son lit, elle fait aller et venir en elle son gode de voyage. Sa chatte trempée l’absorbe, le dévore comme l’aurait fait une queue. Celle d’Henry ?
Le lendemain matin, quand Jean-Pierre pénètre dans la salle de restaurant, il trouve Laura déjà attablée en train de consulter un dossier. Elle est maquillée, sa natte noire de jais tressée retombe sur son épaule. Elle porte un ensemble pantalon veste gris avec un chemisier bordeaux. Elle est divine, la reine Laura. Avec émotion il lui dit bonjour d’une voix timide.