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n° 19358Fiche technique25713 caractères25713
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Temps de lecture estimé : 19 mn
11/12/19
corrigé 05/06/21
Résumé:  Aïcha est mariée, mais ne s'interdit pas un faux pas.
Critères:  #adultère fh hplusag couleurs poilu(e)s danser voir odeurs fellation cunnilingu
Auteur : Vopicek            Envoi mini-message

Série : Aïcha

Chapitre 02 / 05
Aïcha coquine

Dans l’épisode précédent :

Aïcha, au sortir de la maternité, est embauchée par Pierre comme nourrice. Pierre et sa fille, Aïcha et son fils s’installent ensemble et le courant passe mieux que bien entre les deux nouveaux jeunes parents.

Le récit ci-dessous débute avec un come-back, une scène essentielle qui ne figurait pas dans le premier épisode.





Ma première nuit d’amour avec Aïcha



De retour au bercail, après une bonne douche réparatrice que nous partageons. Elle se dirige vers sa chambre.



Quand elle arriva en déshabillé… Mon cœur a tapé plus fort que d’hab. C’était un vrai marteau piqueur. Tok ! Tok ! Tok ! (*1)

Certes, j’avais vu son corps, mais je ne l’avais que dévorée des yeux et encore, trop rapidement. Je n’arrivais à croire que cette beauté allait me faire connaître le paradis sur terre.


Telle une liane, elle remonte le long de mon corps, le frôlant du sien, ses lèvres parcourent mes jambes, remontent mes cuisses, arrivent au droit de mon sexe, bandé comme un arc de Parthes (*2), elle fait une petite pause pour reprendre son souffle, continue sa progression vers ma tête.

Elle s’allonge à mes côtés et me tend ses lèvres et nous unissons nos bouches dans un baiser profond, j’aime son haleine fraîche à la saveur Colgate. Je ne peux m’empêcher de commencer à la caresser, son visage tout d’abord, puis arrêtant le baiser, rassasiées, mes lèvres se promènent sur son cou si délicat s’arrêtant derrière l’oreille que je mordille doucement. Dans le même temps, mes mains empaument sa poitrine, mais je ne veux pas trop titiller pour éviter de devoir réveiller les enfants si la source lactée se met en route.


Toutefois, je ne peux éviter de goûter ces bourgeons si fascinants et je pose mes lèvres sur les tétons remplis de lait. Cela ne rate pas, je déclenche l’inondation du siècle. Ça y est, je vais me remettre à biberonner grave.

Elle, de son côté, a pris en main mon imprimante 3D (*3) et me murmure :



Et se dégageant, elle me grimpe dessus et sans attendre, s’empale sur moi. C’est chaud, délicieux, excitant, tout mon bas-ventre participe à la fête, elle est déchaînée, un vrai ascenseur montant, descendant et remontant sur mon phallus tel un mobile perpétuel. Je sens les parois de son vagin, comprimant mon sexe comme une main de fer dans un gant de velours. Elle sait ce qu’elle veut et moi je me laisse guider telle la feuille dans la bourrasque.


Après le délire des premières minutes, la tempête se calme un peu, elle se penche vers moi, la lippe quémandeuse, la poitrine offerte à ma convoitise, mais ce qui m’intéresse, juste maintenant, c’est son petit bonbon d’amour que je trouve en interposant ma main entre son ventre et le mien. Délicatement, en rythme avec ses mouvements répétitifs, je le cajole avec les deux doigts en V.


La machine s’emballe, la cadence s’affole, maintenant, en plus des mouvements en haut en bas, elle se bouge d’avant à en arrière, à la recherche de sensations plus fortes. Je n’arrive plus à solliciter son clito, mais cela devient chaud pour ne pas dire brûlant. Je sens que mes testicules se contractent et je ne suis pas loin de ne plus pouvoir retenir mes troupes. À force d’aller à l’eau, la cruche se casse et Aïcha, après un ultime enfoncement, s’affale sur moi, les yeux brillants d’amour. Je suis sauvé par le gong, c’est pas moi qui ai lâché en premier.



Lentement, après avoir récupéré un peu son souffle, elle remet son mouvement en marche. Je sens qu’elle a vraiment envie que je me libère en elle, mais j’ai d’autres intentions, peut-être que le cunnilingus n’est pas à la mode chez les Afghans et on va le vérifier. Je me désengage doucement, mais fermement et la couche à son tour sur le dos. Je veux l’explorer et, après avoir fait un bref arrêt au paradis et salué les deux saints, je continue mon escapade en direction du sud brûlant. Je m’attarde sur son nombril, centre du monde avant de continuer vers son trésor de corail.



Je commence à sucer ce bonbon d’amour, l’odeur et le goût me rappellent le passé quand je lichais mon épouse, là c’est plus épicé, j’aime beaucoup. Je prends ses lèvres d’amour pour lui faire un baiser profond, entraînant une valse de ses reins, ses deux mains fixent ma tête sur son nid et je m’applique à faire remonter la pression de cette merveilleuse machine, non pas à vapeur, quoique, mais d’amour. Finalement, me prenant par les oreilles, elle me tire sur elle pour que je m’introduise dans son temple, elle veut que je jouisse en elle pour marquer notre union, afin qu’elle soit complète.


À telle demande, je ne peux me soustraire, « frais tendu, rien n’est si chaud que le bas de ma femme » (*5). Tel Hannibal Barca, je m’enfonce dans les délices de Capoue, pressentant que cette guerre est perdue et que très bientôt je devrai rendre les armes et arroser sa plaine du Pô. Encore un effort et je m’épanche dans mon nouvel amour. Amoureuse, elle me serre contre elle, ses jambes passées sur mes reins, malgré une diminution de la « pureté de mon dollar » (*6), nous restons encastrés l’un dans l’autre, le temps qu’elle trouve mon poids désagréable.


Nous nous désunissons et elle vient se blottir dans mes bras, plaçant ses cheveux à l’odeur du bois de santal sous mon nez et son joli fessier tenant mon organe au chaud. Nous nous endormons, apaisés et repus.




Suite


Le lendemain, je me précipite chez un joaillier et lui achète une bague de fiançailles.



Deux jours après, à peine remis de nos émotions, voilà que Fleurop frappe à la porte avec un magnifique bouquet de roses et une carte :


« Pour me faire pardonner

Mamadou »


Là, il y va fort, le Mamadou en question. Enfin, je sais que même si son pays est un des plus pauvres, il y en a quelques-uns qui ne sont pas à plaindre.

Rouge de plaisir, Aïcha est sensible à cette marque de politesse, mais moi, je ne sais si c’est la jalousie, je n’apprécie vraiment pas. Enfin on verra bien.

Le bouquet de roses trouve vite le vase qui convient et il trône au milieu du salon. J’espère qu’il sera bientôt fané. Il faut dire que je me sens un peu en faute, je ne lui ai jamais offert de fleurs et encore moins de roses. Ce n’est pas que je veuille copier Jacques Brel en pensant que les fleurs sont périssables, mais quand même un peu. C’est pas trop dans mes habitudes.

Comment a-t-il fait pour connaître notre adresse ? Cela ne me plaît pas.



Pour le mariage, je ne sais comment faire avec sa famille. Je lui pose la question si on fait venir des membres de sa famille.



Aïcha est rattrapée par le passé. On dit que les jours des gens simples s’écoulent comme un fleuve tranquille, ils passent comme l’eau sur la peau d’un poisson. Mais c’est maintenant que je vois que nous ne sommes pas des gens simples. Hier, Aïcha a reçu un téléphone de Zurich, d’abord, heureusement surprise, puis contrariée et enfin franchement fâchée. Après son téléphone, je lui demande ce qui se passe.



Sans attendre, je saisis le téléphone et je fais le numéro de la police fédérale des étrangers, je veux savoir comment réagir dans des cas comme celui-là. Je tombe sur une employée qui dans un français fédéral, mais très compréhensible, me dit qu’il faut porter plainte à la gendarmerie ou à la police cantonale des étrangers, mais qu’ils vont prendre note de mon téléphone et que les réfugiés ne croient pas qu’ils peuvent faire n’importe quoi. À la fin de la semaine, je dois partir en mission pour quinze jours, cela m’embête vraiment avec ce bonhomme qui traîne dans les environs.




Le faux pas


Cela fait une semaine que mon homme est parti, cela ne me gêne pas trop. Les après-midis pendant que mère garde les enfants, je fais les courses et souvent je me paie un peu de bon temps au bar à café. Il y a des gens avec qui je commence à avoir des liens d’amitié simple, on fait par exemple des parties de baby-foot. C’est assez drôle, car il y a un joueur qui me convient particulièrement comme adversaire, en principe, dans les barres d’attaque, c’est une vraie terreur à part avec moi, je ne lui laisse rien passer quand je suis gardien de but.

Hier, j’étais en train de jouer quand Ashkan s’est pointé, tout sucre, il m’a même payé un café en me demandant comment va sa fille.



Quelques maisons plus loin, on marche tranquillement et brusquement, il me prend la taille. Je me dégage.



C’est à ce moment-là que nous croisons Mamadou.



Ashkan sort à ce moment un long couteau dans l’idée de faire un malheur.



À ce moment-là, il me prend par le bras et me met le couteau sur la gorge.



Comment il a fait ? Brutalement, Ashkan se retrouve avec le bras à l’envers cloué au sol. Il y a eu un bruit plus que désagréable au niveau de l’épaule de mon agresseur. Rétrospectivement, je tremble comme une feuille et, de peur, j’ai pissé dans mon pantalon.



Il me prend mes courses et me soutient jusqu’à son studio. D’avoir vu la mort de si près, je suis toute remuée, une boule se noue au niveau de mon ventre.



Après, il me montre où se trouvent les commodités et avec délice, je passe sous la douche, c’est là que je commence à gamberger. Après-demain, il rentre dans son pays, diplôme en poche, pour devenir ministre. D’avoir passé à deux doigts de la mort m’a complètement bouleversée, et mon mari, absent encore une semaine, n’est pas là pour me réconforter et en plus, j’éprouve un besoin animal de rapport sexuel, mon bas-ventre est crispé dans l’attente du mâle qui va le détendre. J’ai envie de goûter à l’exotisme, l’occasion est trop belle, les amants noirs faisant l’objet d’une belle publicité.


Sous la douche bien chaude, toutes ces idées trottent dans ma tête, mais je me souviens de l’avoir pratiquement mis KO, voudra-t-il ? J’ai le sexe qui me démange et a vraiment envie de voir si c’est vrai que les noirs sont de bons amants. Je trouve un grand peignoir qui a une odeur musquée assez marquée, mais pas désagréable, bien virile, ce qui n’arrange rien à mon excitation, c’est clair, ce soir je ferai une folie. Je sors de la douche.



Il ouvre l’armoire et là, je vois la moitié de la collection de Coco Chanel. Du beau, que dis-je, du très beau linge. Lui, pendant ce temps-là, déguste son whisky de vingt ans d’âge avec un petit sourire en coin. Il s’est mis à l’aise aussi, torse nu et pantalon colonial, il fait une belle température.



Je m’assois à ses côtés et il me dit en se penchant vers moi :



Et je vois son visage s’approcher, ses grosses narines palpiter.



Je ne suis pas en mesure ni trop en envie de résister vu que j’ai envie de lui. Il plonge sa tête vers le peignoir en respirant bruyamment :



Moi de mon côté, je sens qu’il dégage aussi une odeur très virile qui me fait un peu tourner la tête et je vois clairement son désir qui déforme son bermuda, c’est vrai que cela semble un gros morceau. Certainement le plus gros que je n’ai jamais vu. Bon, mon expérience est plutôt limitée.



Il fait une photo non compromettante que j’accepte et ensuite, il pose ses grosses lèvres sur les miennes et je sens sa langue qui cherche à s’introduire dans ma bouche, je cède et ouvre ma bouche à son intrusion, elle est douce et crée des frissons, délicatement, il ouvre mon peignoir et recule pour voir ma poitrine qui vient de sortir du sevrage des enfants. Ses yeux, très grands, la regardent avec envie.



Délicatement il attrape le sein gauche dans ses grandes lèvres et sa langue épaisse passe et repasse sur le bourgeon. C’est bon, je commence à me liquéfier et son peignoir sera bon pour passer à la blanchisserie. Il aspire avec conviction et voilà qu’un reste de lait commence à couler. Non ! Il ne va pas me traire ! Mais rien n’y fait, il déguste ma poitrine et même il a mis sa langue sous mon bras en respirant à nouveau bruyamment. Je ne tiens plus, j’ai besoin qu’on s’occupe de ma minette. Pour le décider, je crois qu’il faut que je prenne les choses en main et comme on dit à la boulangerie, que je mette la main à la pâte. Je pose ma main sur la bosse que fait son bermuda.



On se retrouve tous les deux nus comme au premier jour. C’est vraiment un très bel homme, des muscles saillants et surtout un très beau sexe, bien rigide, il dégage aussi une odeur virile pas déplaisante, mais je veux le sentir dans mon ventre.



Je pense que c’est bien ce qu’il faut, à ce que je vois. Il s’habille le sexe et s’approche du mien, il me soulève les deux jambes pour les mettre sur ses épaules et présente sa matraque à l’entrée de mon sanctuaire. Doucement, il pénètre, il pénètre, encore plus loin, ça y est, il est au fond, je sens qu’il tape au fond, cela crée des vagues de plaisir que je ne connaissais pas.



En cadence, il fait entrer et sortir son sexe dans ma minette et en même temps, il me triture les seins, malgré le lait qui coule.

Ça valait la peine d’essayer. C’est vraiment super, des sensations comme ça je n’en ai jamais ressenti. Je sens que l’orgasme est en train de venir déjà, Dieu que cela va vite. J’ai envie encore plus profond, je décolle mon cul du canapé et je suis en arc pratiquement à la recherche de sa queue. Ça éclate de toute part. Un feu d’artifice géant, je me frotte contre le pieu qui me perfore et Mamadou n’est pas en reste, il change d’angle de pénétration à chaque mouvement. Après un dernier raidissement, je m’écroule apaisée, mais lui n’a pas encore dit son dernier mot et il continue à piocher jusqu’à ce qu’il se tende aussi au maximum remplissant son préservatif, je repars dans un nouvel orgasme quand je sens le fluide taper le fond de mon vagin, à travers la paroi fine du préservatif.


Il se retire, fait un nœud au condom et, contents et heureux, on fait une petite pause, mais je sens que l’expérience n’est pas complète, tant qu’à faire, je l’ai sous la main, je veux en profiter au max et délicatement. C’est mon tour de caresser sa poitrine, je prends ses tétons dans ma bouche et les suce comme si c’était une femme, bien que je ne l’aie jamais fait avec une femme. Je ne sais si c’est mes suçons, mais le monstre est en train de reprendre vie. Je suis aussi curieuse de savoir le goût qu’a son sexe, je n’en ai jamais dégusté. Je le prends en main et tire un peu sur la peau pour découvrir le prépuce et me penchant vers lui, je dépose d’abord un petit baiser sur le bout, ensuite je tire la langue et comme une crème glacée, je le déguste, c’est un goût nouveau pour moi, avec mon mari, je ne me permets pas de le faire.


Ici j’ose et je promène ma langue le long de cette tige qui grandit de plus en plus, jusqu’à atteindre une bonne dimension pour recommencer une partie de cul. Il veut se lever, mais je le plaque à plat sur le canapé et je grimpe sur lui pour à nouveau m’emboucher sur son manche de pioche. Je me laisse glisser à nouveau. Mummm… c’est bon de se sentir bien remplie, elle est bien rigide et en me penchant en avant, c’est encore meilleur, il frotte bien et même j’arrive à compresser mon bouton d’amour. Je me penche sur lui pour prendre sa bouche pour un baiser, il en profite pour me malaxer les seins, à ce rythme, je ne vais pas tarder à grimper à nouveau aux rideaux. Délicatement, il me caresse les fesses, j’aime bien quand il les empoigne à pleine main, mais que fait-il à me chatouiller le trou du cul. Enfin, c’est pas désagréable, je vais le laisser jouer un peu avec mon cul, il m’a l’air de l’aimer.


Je vais me tourner pour qu’il puisse d’autant mieux jouer avec et moi je vais pouvoir jouer avec ses bijoux de famille, de bons gros pruneaux. Hum, c’est intéressant, cet angle de pénétration, cela me chatouille de l’intérieur, j’aime quand je suis ressortie d’un tiers et que cela appuie fortement.



Alors je me déboîte et me couche sur le dos en tirant les genoux vers moi et ainsi je lui laisse tout à disposition.

Je ne savais pas, mais sa langue épaisse et ses grosses lèvres ont un effet dévastateur, surtout quand il suce mon bouton d’amour. Je n’en peux plus et à nouveau je me crispe dans un orgasme violent, et jusqu’à ce que je sois tout à fait calmée, il passe sa grosse langue sur les lèvres de mon sexe. Vannée, je tombe sur le dos :



Il fait le service, magnifique statue noire phallique à souhait. Heureusement qu’il part après-demain, je crois que sans cela, je tomberais amoureuse de lui et deux hommes à gérer, cela en fait un de trop.

Il me vient une drôle d’idée, je lui dis de s’approcher et de se pencher en avant et saisissant sa bite, je la plonge dans mon verre et après je commence à la sucer. Excellente, la queue au champagne. Il faudra encore que je déguste les pruneaux au champagne, c’est peut-être aussi bon, mais plus difficile à réaliser. Entre deux léchages, je lui demande s’il n’a pas une tasse assez large.



Finalement, je le prends en bouche, bien décidée d’aller jusqu’au bout, je n’ai jamais accepté de sucer mon mari et qu’il se répande dans ma bouche, je réalise que c’est toujours avec l’amant qu’on se permet des fantaisies.


L’heure avance et j’imagine en suçant cette magnifique sucette que ma mère doit un peu s’impatienter. J’essaye alors pour éventuellement accélérer la chose de lui caresser entre les testicules et le cul, très légèrement. Enfin, il commence à donner des signes que ça arrive et il veut se retirer, mais je lui fais comprendre que je veux le boire, je veux aller jusqu’au bout.

Heureusement que c’est la deuxième fois, sinon, je pense que j’aurais eu une indigestion de crème de pruneau libidineux. C’est un peu salé et avec une pointe d’ammoniac. Bon, la consistance c’est pas ce que j’aime le mieux, mais le goût est tout à fait bon après avoir bien tourné sa crème dans ma bouche pour bien m’imprimer de sa saveur, je l’avale d’un trait, cul sec.



On voit que la famille en affamant son pays lui a payé une magnifique Porsche.



Rhabillée de sec, d’une très belle robe très classe. Je rentre à la maison et en galant homme, il me raccompagne en précisant, on ne sait pas avec ce bonhomme, je n’ose te laisser aller sans autre, surtout que le jour est plus qu’avancé.



Très grand seigneur, en nous quittant, il me fait un baise-main d’anthologie, je ne savais pas que nos amis africains avaient de si bonnes manières.



Notes :


*1. Qui est là ? Ce n’était pas la petite souris d’Henri Dès.

*2. l’Afghanistan faisait partie du royaume des Parthes.

*3. Il faut reconnaître que le sexe est bien la première imprimante 3D, certes un peu rudimentaire, mais elle est capable de reproduire des enfants. C’est vrai que l’impression dure un peu, mais cela fonctionne depuis la nuit des temps.

*4. Je ne suis pas sûr qu’il y ait un nombre suffisant de i pour marquer l’événement, mais il y en avait beaucoup.

*5. Petite contrepèterie.

*6. Je voulais écrire la dureté de mon polar.