n° 19462 | Fiche technique | 23259 caractères | 23259Temps de lecture estimé : 15 mn | 21/02/20 |
Résumé: Enfin, on vit ensemble ! Je ne peux m'en empêcher, j'ai des amants avec l'accord de mon chéri. | ||||
Critères: fh fhh hagé extracon inconnu voisins copains fsoumise fellation cunnilingu anulingus double fsodo -couple -extraconj | ||||
Auteur : Pierre Charmand (J'aime vous lire, j'aime vous raconter) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Ma femme m'a tout raconté, je l'ai écrit Chapitre 03 / 05 | Épisode suivant |
Résumé des épisodes précédents :
Je suis sortie huit mois avec Nico, par deux fois je l’ai trompé. Pendant deux ans, j’ai repris ma liberté et j’ai connu quelques amants qui m’ont perfectionnée dans ma sexualité. On s’est retrouvés et on s’aime…
Je ne sais pas comment, à l’époque où les portables n’étaient pas inventés, on faisait pour se contacter, il y avait un téléphone chez mes parents, mais Nico devait aller jusqu’au taxiphone au coin de la rue, mais ça ne nous empêcha pas de nous retrouver dès le premier jour de la rentrée. On passa la soirée ensemble sans endroit pour s’isoler, nos retrouvailles étaient trop récentes pour aller chez ma mère et c’est dans notre ancien coin de la forêt voisine que Nico gara sa voiture. Aussitôt on s’est embrassés, ma petite culotte s’est retrouvée sur la planche de bord, mais elle n’était pas jaune, j’ai mis ma main sur sa braguette, il a soulevé ses fesses, j’ai descendu son pantalon et son slip j’ai commencé à le caresser puis en me penchant je l’ai sucé, enfin ! Il n’a pas eu l’air surpris de mes talents, connaissant mes liaisons avec mes amants et surtout les deux de quarante et cinquante ans, il se doutait que j’y avais pris goût, ensuite, on retrouva nos habitudes de deux ans en arrière, le dossier incliné et il me pénétra. Cette première baise de notre nouvelle relation fut tout en douceur, on ne cherchait pas la jouissance, mais le plaisir d’être l’un dans l’autre.
Depuis plusieurs mois, Nico était en formation dans sa future entreprise et partait à des heures irrégulières, mais avait aussi des repos n’importe quand ce qui nous permettait de passer du temps ensemble, ça tombait bien, mes cours n’avaient pas encore repris. La première fois où il n’y eut personne chez moi, Nico est venu me rejoindre, nous étions assis sur le canapé et après un échange de baisers, il me coucha en long les jambes pendantes au niveau des genoux, se plaça à mes pieds ouvrit mon jean et le descendit entraînant ma culotte, il se pencha et posa sa bouche sur mon minou, ses mains écartèrent mes lèvres et sa langue vint laper mon clito. Mes mains appuyaient sur sa tête pour guider son exploration, je m’aperçus qu’il pouvait se guider tout seul ; on de déshabilla on fila dans ma chambre et une fois couchés, on s’est retrouvés en 69, ça y était, on avait rattrapé des années sans caresses buccales et depuis, il ne se passe pas un jour de gros câlin sans avoir son sexe dans ma bouche et sa bouche collée au mien. Quelques jours plus tard, ne voulant pas avoir fait des choses que je n’avais pas faites avec lui, je me plaçai devant lui et lui demandai de me sodomiser, il écarta mes fesses tendit la langue et titilla ma petite étoile puis l’enduisit de gel, approcha son sexe et s’enfonça dans mon anus, deuxième homme qui avait l’honneur de mon cul et c’était l’homme que j’aimais.
Ses parents me recevaient, ma mère l’accueillait les bras ouverts, mon père un peu moins, bref, pour tout le monde nous étions un couple même si nous n’habitions pas ensemble, ses revenus actuels ne lui permettant pas d’assumer un loyer ni moi en tant qu’étudiante.
Un après-midi après avoir fait l’amour, Nicolas m’a dit un truc incroyable : « Je t’aime, tu es la femme de ma vie, mais tu ne m’appartiens pas, la première fois où on était ensemble tu as eu besoin d’aller voir ailleurs, on a mis deux ans pour rependre une relation sérieuse, alors, si tu as envie d’avoir des aventures, tu peux à condition de ne pas passer pour un cocu ou un pauvre con et de me le dire avant si c’est prévu ou après si c’est inopiné»,
Il m’a dit que c’était parce qu’il m’aimait et avait confiance en mon amour qu’il me laissait cette liberté. Je lui ai dit que je n’avais pas l’intention de le tromper, mais que si ça devait arriver, je respecterais ses souhaits. J’étais avec lui depuis un an et les autres hommes ne m’intéressaient pas, j’étais très amoureuse. Nous étions quelques couples dont Martine et Jean-Marc devenus des amis proches. Souvent le samedi on allait au resto puis en boîte de nuit. C’était l’époque des minijupes et la mienne était très courte, assise, je montrais ma culotte à tout le monde, sans me vanter, j’avais et j’ai toujours des jambes magnifiques et en boîte les hommes me reluquaient.
Lors des séries de slows, fréquentes à cette époque, on changeait souvent de cavalier et Jean-Marc n’était pas le dernier à me faire danser et à me frotter. Lors d’une danse en été, il réussit à me rouler un patin, sa main passa sous ma petite robe d’été et il parvint à passer un doigt dans mon slip. Lorsqu’il toucha mon clito, j’ai eu une décharge électrique dans le sexe, j’ai serré les cuisses pour l’empêcher de continuer et la fin du morceau m’a permis de retourner m’asseoir. Malgré notre promesse, je n’ai osé rien dire à mon chéri, comme c’était avec un ami.
Pour mon anniversaire, nous étions tous les quatre au restaurant et nous étions à trois-quarts d’heure de notre boîte où nous allions finir la nuit et Jean-Marc proposa de m’amener, Martine irait avec Nico, je n’ai pas su comment refuser. On suivait la voiture de Nico de loin ; au bout de quelques kilomètres, la main de Jean-Marc caressa mon genou, il me dit garder avoir un excellent souvenir de notre danse de l’été précédent. À chaque fois, je repoussai sa main et à la quatrième je la laissai en place. Pas pour longtemps, car elle reprit sa progression, arriva au niveau de mes bas et à nouveau un doigt rentra en contact avec mon clito. Instinctivement, j’avançai mes fesses en bout du siège et écartai les cuisses, son doigt passa sur ma fente et s’introduisit dans mon vagin. Il retira sa main et guida la mienne sur sa braguette, il rentra un peu son ventre et j’ai pu facilement dégager son sexe. J’ai commencé à le caresser puis de sa main droite, il amena ma tête devant son sexe et son gland est venu en contact avec ma bouche, elle s’est ouverte et j’ai commencé à le sucer. Après quelles succions elle était au fond de ma gorge, j’ai continué un moment puis je me suis dégagée et j’ai tout arrêté. Tant bien que mal, en conduisant, il s’est rafistolé. Arrivés à destination, nous étions sagement assis chacun à sa place dans la voiture.
Quelques jours plus tard, me sachant seule chez ma mère, il est passé, je n’ai pas pu résister et on a fait l’amour, j’ai repris ma fellation, il m’a fait plus que de me caresser en me tétant le clito et en dégustant ma chatte jusqu’à la limite de ma petite rondelle puis il s’est mis sur moi et son sexe est entré d’un coup tant je mouillais. Sitôt terminé, je lui ai dit de partir et le lendemain, lorsque Nico est passé après son travail, je n’ai toujours pas osé lui raconter. J’avais son feu vert pour coucher avec des mecs et je n’ai pas osé lui avouer mon premier amant. Quelques mois plus tard, Jean-Marc m’a contactée pour nous inviter à son mariage et il m’a dit que j’avais le pouvoir de l’annuler et trois mois plus tard, il épousait Martine.
Durant l’hiver, Nicolas m’amena visiter une maison dont la vente venait d’être annulée, et il l’a achetée, trois mois plus tard, on s’est installés ensemble.
Quel bonheur de vivre enfin ensemble, partager le quotidien avec son chéri ! Nous étions dans une maison de trois chambres et nous avions en tout et pour tout, deux lits. Tous les débuts de mois on allait acheter de quoi équiper notre maison et notre vie s’est organisée. Trois mois plus tard, on a commencé à vouloir prendre un chien, l’annonce de ma grossesse a changé nos projets. En septembre, on s’est mariés, Martine et Jean-Marc étaient bien sûr présents, mais rien n’a laissé penser que J.M. avait été mon amant d’un jour.
Notre fils est né au printemps et leur fille au début de l’été, ils venaient d’acheter une maison et le temps des travaux, on les a hébergés tout le mois d’août, une fois, alors que Nico était en déplacement professionnel et Martine chez ses parents avec sa fille, Jean-Marc est rentré plus tôt que d’habitude et lorsqu’il m’a enlacée, j’ai su qu’il allait me baiser sans résistance. J’étais en tenue très décontractée, il m’a remonté ma robe, enlevé la culotte, couchée sur le canapé et plongé sa tête entre mes cuisses, léché mon minou puis m’a pénétrée d’un coup, j’ai eu un premier orgasme avec sa langue et un second avec sa bite. Lorsque Martine est rentrée, j’étais en train de préparer le repas et Jean-Marc devant son journal. J’avais honte de ma faiblesse, car c’était un ami, physiquement il m’attirait, mais ses idées me rebutaient. Toujours le silence avec Nicolas.
Je ne travaillais pas, mais de temps en temps je laissais ma fille chez une nounou ou chez ma belle-mère pour aller faire des courses. Dans un magasin, un homme très grand et baraqué m’a accostée on a discuté, on a été boire un pot et de fil en mesure on s’est retrouvés chez lui. Sitôt à l’intérieur, il m’a embarrassée et entraînée dans sa chambre, avant le deuxième patin, j’étais étendue sur son lit, lui, le pantalon baissé et je le suçais. Sa main est passée sous ma robe a descendu mon collant et ma culotte, en vitesse, j’ai retiré mes chaussures, le collant et la culotte ont suivi, il s’est mis à genoux entre mes jambes et a collé sa bouche sur ma fente, sa langue est partie aussitôt à la découverte de mon clito. J’avais sa langue dessus et un doigt dans le vagin j’ai eu un premier orgasme. Il me retourna à plat ventre sur le lit, le bassin sur le bord et les genoux par terre et il me prit en levrette. Calée sur le bord, et ne pouvant bouger, j’ai senti son sexe sur le bord de mes lèvres puis s’enfoncer dans mon vagin.
Il me pilonna, à chaque avancée son ventre cognait sur mes fesses et ses couilles sur mes jambes ; il éjacula avant que je jouisse une nouvelle fois. Lorsque je fus prête à partir, il me donna son téléphone me demandant de l’appeler lorsque j’étais libre. Bien décidé à raconter à Nico cette aventure, lorsqu’il rentra le lendemain, je lui ai demandé s’il connaissait un grand balèze rugbyman prénommé Henri, il me dit que c’était un ancien ami avec qui il était en froid depuis que, pendant la période où on n’était pas ensemble, il avait couché avec sa copine.
Fini, je ne pouvais pas lui dire que la veille on avait baisé ensemble, car j’ai compris qu’à travers moi, Henri s’était vengé de mon Nico. Une nouvelle fois, je ne respectai pas notre promesse. Le réveillon arrivant, on organisa un repas chez nous, nous étions sept couples dont Martine et Jean-Marc. Au cours de la soirée, on discutait avec Martine dans la cuisine, on lui certifiait qu’on n’était pas jaloux et lorsqu’une autre copine est rentrée, Nico l’a attrapée et lui a roulé un patin ; du coup, j’ai fait la même chose avec le premier mec venu nous rejoindre. Après les douze coups de minuit et les échanges de baisers parfois très chauds, on est tous partis en boîte ; cette fois, je montai avec mon mari.
J’étais habillée d’une robe longue noire fendue sur un côté très haut, sans soutien- gorge, une petite culotte et des bas Dim-up. On dansa beaucoup et lors de la série de slows, le mec qui dansait en face de moi en me dévisageant m’invita à danser. Ce fut rapidement très serré et il m’entraîna à l’opposé où Nico dansait, il me serrait de plus en plus et lorsqu’il vit que personne de mon groupe ne pouvait nous voir, il m’embrassa, sa bouche collée â à la mienne et sa langue enroulée avec la mienne. À la fin du morceau, il me proposa d’aller prendre l’air, je lui ai dit de m’attendre à la sortie, j’ai été voir Nico et lui ai demandé si ça ne le gênait pas si j’allais dehors avec un type. Il m’a donné son accord en me demandant d’être discrète à cause des autres copains.
Le temps était particulièrement doux pour un premier janvier à 4 h du matin, il m’amena dans le parc de la boîte en m’embrassant jusqu’à un arbre où il m’appuya dessus me téta les seins qu’il avait réussi à dégager pendant qu’une de ses mains remontait sur ma cuisse le long de la partie fendue de ma robe, dépassait mes Dim-up et qu’un doigt passait sous ma culotte pour caresser mon clito. Il attrapa l’élastique et la tira vers le bas puis me faisant soulever les jambes une à une, il me la retira. Sa main revint se poser à plat sur ma chatte et son doigt reprit ses caresses. J’ai ouvert sa braguette, baissé son slip et dégagé son sexe puis le tenant, je l’ai mis en contact avec ma fente, j’ai soulevé une jambe et l’ai enroulée autour de la sienne puis il s’est enfoncé dans ma chatte. La position n’était pas évidente, il a éjaculé sans parvenir à me faire jouir, on s’est remis présentables, il m’a donné son téléphone et a gardé ma culotte en me disant qu’il me la rendrait chez lui ; Nicolas m’attendait, il m’a demandé si ça s’était bien passé, je lui ai dit que je voulais rentrer, après le bonsoir aux copains, au passage, Jean-Marc faisait la gueule, on est partis et Nico m’a demandé ce qu’on avait fait, j’ai soulevé ma robe, il a vu mon sexe nu et gluant de sperme et m’a dit que ça l’excitait, du coup, je me suis penché et après avoir dégagé son sexe, je l’ai sucé.
Dès notre arrivée chez nous, on s’est déshabillés dans l’entrée et il m’a baisée sur le tapis du salon. Avant d’aller récupérer notre fils chez mes beaux-parents, il m’a demandé si je voulais le revoir, j’ai répondu oui s’il était d’accord, toujours à condition qu’il ne passe pas pour un cocu ou un con et que ça ne soit pas au détriment de notre famille. Mon amant travaillait dans la restauration, était libre le lundi et les après-midi pendant trois heures, notre fils étant à la maternelle. Lorsque Nico était au travail, je passai mes lundis à me faire baiser par Gérard et de temps en temps les après-midi en semaine. Notre liaison a duré quatre mois, on a tout fait, il a éjaculé dans ma gorge, m’a enculée deux ou trois fois et m’a brouté la chatte à chaque fois. Il n’avait pas mon numéro de téléphone et le jour où je me suis lassée, il n’a pas pu me retrouver. Je racontais à Nico chacune de mes baises et ça l’excitait, on n’a jamais autant fait l’amour que pendant les périodes où j’avais des amants.
Notre voisin travaillait à la mairie et par son intermédiaire on a sympathisé avec le maire, veuf de 60 ans qui venait de prendre sa retraite. On mangeait régulièrement avec lui, nos voisins et quelques autres élus. Le maire avait des yeux bleus magnifiques, un sourire charmeur et lors de ces repas, il me plaçait toujours à ses côtés, il avait une conversation très intéressante et un jour où je l’ai croisé, il me proposa de boire un verre à l’auberge de notre ville pour discuter. Pendant le pot, il m’avoua qu’il avait en permanence une chambre â sa disposition et me proposa d’aller la voir, je me doutais de la suite, mais je l’ai suivi, j’avais vingt-cinq ans et lui soixante. Bien sûr, il devint mon amant.
Pendant 6 mois j’allais régulièrement le rejoindre, une entrée discrète m’évitait les rencontres gênantes, il était très doux, passait de longs moments sa bouche sur ma chatte, il n’y a pas un morceau qui n’ait été visité par sa langue et ses doigts, sa langue a fouillé mon anus, je n’avais aucune pudeur à écarter mes cuisses pour lui laisser l’accès à mon intimité ; lorsque je le suçais, il m’expliquait ce qu’il aimait et lorsqu’il me pénétrait, il prenait son temps et me faisait jouir à chaque fois. Au bout de six mois, j’ai eu peur d’être découverte par mes copines et je lui ai dit que j’arrêterai de le voir, d’autant plus que j’avais caché cette liaison à Nico ; couchant avec le maire, j’avais peur qu’il le prenne mal.
Il nous fallut acheter une nouvelle voiture et le président des copropriétaires, un vieux con de cinquante-cinq ans bourré de fric nous proposa de nous en prêter. Il vint un après-midi où j’étais seule m’apporter le chèque, me dit combien j’étais belle, s’approcha de moi et me serra contre le mur, il voulut m’embrasser sur la bouche, mais je tournai la tête et ses lèvres se posèrent sur mon cou, il commença à me caresser la poitrine et là , j’ignore pourquoi, je l’ai laissé faire, il m’amena sur le canapé, défit ma robe en un tour de main, fit sauter mon soutif et me retira le slip, il se plaça devant mon sexe et me fit un cunnilingus puis me mit son sexe devant la bouche et je l’ai sucé. Dans ma tête, je me demandai comment j’en étais arrivée à sucer ce connard et lorsqu’il me pénétra j’ai joui conne une folle. Le paradoxal, même sa bite au fond de moi, il me vouvoyait et me donnait du « madame ». Il s’est rhabillé sans un mot en me disant que le remboursement n’était pas pressé, je fis un point d’honneur à lui rembourser rapidement et j’allais lui apporter les chèques toujours devant sa femme. J’étais tellement gênée d’avoir baisé avec ce type que je n’ai pas osé le dire à Nico.
Un samedi, on est allés en boîte avec Richard, le meilleur ami de Nico. Vers cinq heures du matin, on l’a raccompagné chez lui, on est monté boire un coup puis deux et il nous a proposé de dormir chez lui, le temps de retrouver nos esprits. Son lit qu’il nous prêta était séparé du canapé par une cloison sans porte , on a commencé à faire l’amour, Nicolas a attaqué un cunnilingus puis il s’est relevé, m’a pénétrée et dans mon oreille m’a demandé si je voulais qu’on propose à Richard de venir nous rejoindre, je l’ai appelé en lui demandant s’il voulait venir dans notre lit. Il a franchi le seuil de la chambre, a ôté son slip, s’est couché à mes côtés, m’a embrassée et a immédiatement mis sa main sur mon sexe. Pendant que je suçais Nico, il s’occupait de mon minou, ensuite, on a inversé, on s’est mis en 69, une fois lui, une fois Nico. Ensuite, je me suis mise sur le dos il est venu sur moi, au moment où sa verge me pénétrait, j’ai serré fort la main de mon chéri, je pense qu’en fonction de la pression, il pouvait mesurer la pénétration de mon amant dans mon vagin, ensuite, j’ai appuyé sur ses fesses pour le sentir au fond de moi. On s’est rhabillés et on est rentrés chez nous, une fois au lit, on a refait l’amour en amoureux.
Le mois suivant, Richard est venu passer la soirée chez nous, une fois couché, lui dans la chambre d’amis, j’ai été le chercher et on a attaqué notre deuxième trio. Après les premiers patins et caresses du minou, j’étais couchée sur le dos, les deux hommes face à face et j’ai entrepris une fellation de leurs deux verges, gland presque contre gland, une bite dans chaque main, ils avaient chacun une main soit sur un sein, soit dans ma chatte qui ruisselait. On a varié les positions, Nicolas sur le dos, moi par-dessus, aussi de dos et Richard en troisième couche. Notre première fois en double pénétration vaginale, quelle sensation !
Plus tard, j’étais sur le côté face à mon mari en train de câliner, il a soulevé ma jambe et m’a pénétrée, Richard, placé dans mon dos est venu se frotter a caressé ma rosette puis a positionné son gland recouvert de salive et m’a sodomisée, cette fois, nouvelle première, mais avec double pénétration dans la chatte et dans mon cul, n’étant pas très fan de la sodomie, j’ai préféré l’autre version. Richard faisant mine de rester dormir à nos côtés, on lui demanda de repartir dans sa chambre, on ne voulait pas que notre fils me trouve au lit entouré de deux hommes, même avec son père parmi l’un d’eux.
Richard a téléphoné quelques jours plus tard, j’ai décroché et il m’a fait comprendre qu’il aimerait bien continuer, parfois seul avec moi, j’en ai parlé à Nico et pendant de nombreux mois, lorsque j’étais seule, il arrivait le soir, on rentrait sa voiture dans notre garage, puis on se mettait au lit et on baisait, je sentais qu’au fur et à mesure, son comportement changeait avec moi, parfois il m’appelait « ma chérie « et lorsque je lui ai annoncé la fin de notre liaison, il n’a pas compris. Avec mon chéri, on voulait un deuxième enfant et je voulais avoir plusieurs mois sans amant avant de tomber enceinte. Notre fille est née treize mois après la fin de ma liaison avec Richard, il a fallu lui expliquer qu’une grossesse ne durait que neuf mois, il se prenait pour le futur papa, notre amitié en a un peu souffert.
Ma grossesse, l’achat d’un terrain dans le sud-est, la naissance de notre petite fille, tout ça avait mis de côté mes envies de regarder ailleurs et je me consacrais exclusivement à Nicolas, notre fusion sexuelle était toujours aussi forte et jusqu’à quelques jours de mon accouchement, nous faisions toujours l’amour. Pour commencer la construction de notre nouvelle maison, on a mis en vente la nôtre et en deux jours, elle avait trouvé un acheteur, trois mois plus tard, on a mis tout en garde-meuble et ma mère nous a hébergés.
Le lendemain de notre déménagement, je suis retournée nettoyer la maison vide et lorsque j’ai déballé les seaux, aspirateur, balai et autres accessoires, un voisin m’a aidée à tout rentrer, on le connaissait sans le fréquenter. Une fois à l’intérieur, il me dit que j’allais lui manquer, qu’il me trouvait très belle, ensuite, il s’est approché, m’a embrassée et il m’a fait l’amour sur la moquette de la chambre du rez-de-chaussée , on a enlevé le minimum, moi mon slip, minijupe remontée sur la taille et lui son bermuda et son slip, avant de me pénétrer, il m’a tout de même fait un cunnilingus puis on a baisé sans sentiment, mais avec ardeur. Avant de partir, il m’a dit qu’il aurait dû tenter sa chance plus tôt, je lui ai répondu qu’il aurait certainement eu un refus, que je venais de lui faire mon cadeau de départ. Le soir, lorsque Nico est rentré, en cachette de ma mère pour ne pas la choquer, je lui ai raconté mon après-midi ; le soir, je lui ai donné des détails et on a baisé. Les mois suivants ont été calmes, et au début de l’année, on est partis vers notre nouvelle maison.