n° 19468 | Fiche technique | 31899 caractères | 31899Temps de lecture estimé : 18 mn | 26/02/20 |
Résumé: Après une séparation rondement menée, grâce à un couple d'amis, un jeune homme découvre qu'il peut changer de vie. | ||||
Critères: fh fhh couple extraoffre collègues magasin douche massage intermast cunnilingu double fdanus fsodo -occasion -couple+h | ||||
Auteur : BVT Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Les mains chaudes Chapitre 03 / 04 | Épisode suivant |
Résumé de l’épisode précédent :
Après une séparation rocambolesque qui a engendré une cascade de conséquences (jusqu’aujourd’hui), Marco est hébergé par un copain qui découvre ses talents de masseur. Pierre veut que Marco utilise son don pour changer de vie. Pour le convaincre, il l’a invité à masser sa femme (à partir d’aujourd’hui).
Elle arrive, toujours nue, un magnifique sourire aux lèvres. Elle passe à côté de son masseur en lui faisant une petite caresse sur la tête comme tout à l’heure. Elle tend la main vers son homme. Sans un mot, elle l’entraîne dans leur chambre. Marco ne peut quitter des yeux les fesses de la jeune femme qui dandinent, en suivant les pas qui les éloignent de lui. Quelques minutes après cette scène très gracieuse, alors qu’il allait rejoindre sa chambre, Marco entend des gémissements venant du bout du couloir. Il se rend compte que la porte de leur chambre est restée entrouverte presque en grand. Il sait qu’il ne doit pas, il sait qu’il ne faut pas, mais il ne résiste pas à aller jeter discrètement un œil pas l’entrebâillement.
La scène qu’il découvre est très érotique. Son copain est allongé sur le dos au centre du lit, chevauché par sa femme. Elle lui tourne le dos, le visage vers la porte comme si elle attendait quelqu’un. Les mains en appui sur les genoux de son homme, elle utilise cet encrage et ses cuisses pour se faire monter et descendre sur le magnifique barreau de chair et de sang qui la pénètre. Marco apprécie la scène, c’est beau, elle est belle. Il reste longtemps en admiration le regard fixe sur les deux sexes qui s’emboîtent et se déboîtent à fréquence constante. Une odeur de sexe finit par arriver jusqu’à ses narines.
Ces effluves conjugués avec des petits cris de plaisir le sortent de son expectative. En retrouvant ses esprits, il remonte les yeux sur les seins de la cavalière. Ils se balancent lentement suivant les mouvements réguliers du corps qui les soutient. Il se souvient de leur fermeté, mais surtout de la sensibilité des tétons lors du massage. Marco doit se forcer pour quitter des yeux les magnifiques masses et continuer de remonter son regard sur le visage de cette si belle femme. Le visage est radieux, plein de bonheur et de beauté, les lèvres sont luisantes, entrouvertes et elles laissent passer sans retenue des gémissements synchronisés avec les mouvements de son corps. Quand leurs regards se croisent, elle lui sourit. Elle en est encore plus belle. Au bout de quelques minutes, elle accentue l’amplitude de sa montée, s’arrête et subitement se laisse tomber, recevant le plus profondément possible le gland de son homme. Après un nouveau temps d’arrêt qui lui permet de profiter du plaisir qu’elle prend, elle recommence exactement la même manœuvre à plusieurs reprises.
Marco n’arrive pas à partir, il se sait voyeur, mais la scène est bien trop belle pour qu’il n’en profite pas, surtout qu’elle accélère la cadence. Les gémissements du couple redoublent de puissance, mais pour autant elle ne le lâche pas des yeux. Marco se demande à qui elle fait l’amour, car là, il ne s’agit pas d’une baise, mais vraiment d’un acte d’amour. Est-ce qu’elle s’imagine que c’est lui sous elle ou elle veut juste augmenter son plaisir, en lui dévoilant l’amour qu’elle a pour son homme ? Il n’a pas le temps de trouver la réponse qu’elle crie violemment son plaisir en fermant les yeux puis en s’écroulant sur les jambes de son mari. De peur d’être découvert par son copain, il est grand temps pour le voyeur de laisser les amoureux à leur bonheur et de retrouver son studio dans le garage.
Il passe par sa petite cabine de douche. Sous l’eau, il se rend compte que son sexe semi-bandé bave son liquide transparent, signe d’excitation importante. Pour autant, il n’a pas envie de se soulager. Il diminue la température de l’eau pour se calmer. Une fois dans son lit, il a du mal à trouver le sommeil, il se pose beaucoup de questions. Que va-t-il faire de son avenir ? Est-ce que cette idée de devenir masseur pour femme est une bonne idée ? Mais surtout, comment sera demain avec ses amis ? Ce n’est qu’une heure plus tard, qu’il s’endormira, la queue gonflée, son cerveau repassant les images de la scène qu’il a volée à ses hôtes.
Dans son rêve, il sent une bonne odeur de café, par magie sa couette se retire et une main empoigne son sexe bien dur. Une masturbation très agréable commence comme par magie. Dans son rêve, il est là, allongé sur son lit, les deux mains derrière la tête et une troisième main qui le branle très agréablement, un café fumant sur la table de nuit l’attend et peut-être même un croissant encore tiède…
Il fait un petit bon de surprise dans son canapé-lit, ce n’est pas un rêve. Son copain est là en peignoir léger, un plateau à la main lui proposant un déjeuner au lit. Sa femme est assise sur le bord du lit, une main agrippée au pénis bandé. Elle est aussi en déshabillé très léger sur les épaules, mais il n’est pas fermé. Deux tétons le provoquent fièrement.
Bien en peine, il fait ce que lui demande son ami, toujours avec une main ne lui appartenant pas, manipulant son organe masculin. Marina, sans lui lâcher la queue, s’allonge à côté de lui sur son côté la tête en appui sur sa main libre. Elle a le visage à cinquante centimètres du gland qu’elle s’amuse à couvrir et à laisser reprendre l’air en cadence. Son copain, vient s’asseoir de l’autre côté posant le plateau sur la table de nuit, lui tend son café et reprend la conversation, toujours aussi détendu :
Sans attendre de réponse, elle embouche le gland rouge vif gonflé à l’extrême. Elle descend sa main ne gardant que le pouce et l’index autour de la tige, les autres doigts malaxant les testicules. Elle l’embouche profondément puis remonte serrant le gland fortement entre sa langue et son palet. Elle recommence une multitude de fois tout en accélération tout en s’occupant des testicules et même plus bas. Il ne faudra pas longtemps pour que la pression devienne trop forte, Marco bouge pour faire comprendre à la suceuse qu’il est au bout. Pour toute réponse, Pierre pose une main sur la tête de sa femme, l’encourageant à continuer.
Marco serre les dents, il sent la pression monter dans son ventre, il serre fermement les draps au risque de les déchirer. L’inévitable arrive, il se déverse à grands flots dans la cavité chaude qui s’occupe de lui. Une fois la fin des giclées, Marina se lève tout en légèreté. Elle fait le tour du lit et vient se mettre entre les cuisses de son homme qui les a écartées largement pour lui laisser la place. Pierre glisse les mains sous le voilage qui couvre encore un peu le dos de sa femme et les pose sur les fesses bien chaudes. Il lève la tête et tend ses lèvres vers la bouche au-dessus de lui. Marco voit son sperme passer d’une bouche à l’autre. Une fois le transbordement terminé, les lèvres de la bouche maintenant pleine se posent sur un téton juste devant elles. Une langue sort déposant d’un mélange de salives et de sperme sur le sein en partant de sa pointe et en tournant longuement. Le deuxième sein sera lui aussi badigeonné de ce mélange crémeux. Durant l’opération, Marina n’a pas lâché du regard le fournisseur du jus, la bouche entrouverte, lâchant des gémissements quand la tension sur ses tétons est trop forte. Pierre se recule pour admirer son œuvre en silence. Marina lance gaiement :
Pierre tourne la tête vers le pénis de son copain et avale ce qui lui reste en bouche avant de prendre à son tour la parole.
Tout en parlant, il a fait tomber le peignoir de sa belle et il lui caresse généreusement les fesses et le dos. De son côté, elle lui caresse les cheveux. Marco est troublé par l’annonce et par le spectacle. Pierre retourne la jeune femme et indique de l’index, sans le toucher, l’orifice caché entre les deux globes fessiers, tout en continuant son explication.
Marco cogite, il se rappelle bien avoir pourtant longuement massé hier l’anus de la jeune femme et il avait même l’impression qu’elle était totalement détendue et qu’elle appréciait beaucoup. Pierre le coupe dans sa réflexion :
On en a parlé tous les deux ce matin au réveil et elle m’a dit que tu avais trouvé sur ses fesses une zone très spéciale que tu as massée avec énormément de précision, la rendant complètement offerte. Et qu’ensuite, quand tu t’es approché de son anus, elle était dans un état second. Pour la première fois, elle appréciait cette caresse à tel point qu’elle avait envie de plus, mais elle n’a pas osé te le demander. Elle aurait voulu qu’un de tes doigts tente de rentrer et pourquoi pas, deux.
Marco se souvient bien d’avoir senti une très forte chaleur juste sous l’arrondi d’une de ses fesses et aussi des vibrations quand il avait taquiné le trou sombre au milieu de ces fesses.
Marina se retourne et elle s’approche de Marco. Il peut bien voir les traces des résidus de son sperme sur les seins justes devant lui maintenant.
Elle ne s’occupe plus de la conversation qui continue entre les deux copains et elle force son homme à se lever, tire sur les jambes de Marco pour qu’il se retrouve les fesses au bord du lit, les jambes au sol et allongé sur le dos. Elle empoigne la queue qui s’offre à elle et la branle pour lui redonner toute sa splendeur. Sitôt l’appendice bien raide, sans prévenir, elle s’empale sans retenue sur la tige tournant le dos au porteur de l’engin et en prenant appui sur ses jambes comme hier soir avec son homme. Elle gémit immédiatement quand le gland arrive au plus profond de son corps. Après quelques secondes pour encaisser le coup, elle commence de très légers mouvements de bassin durant de longues minutes. Puis elle demande à Pierre de lui verser de l’huile sur le bas du dos et enfin supplie Marco de s’occuper de ses fesses. Celui-ci n’en revient pas, il a du mal à comprendre ce qui se passe, mais finalement le moment est tellement agréable qu’il se laisse faire. Avec la complicité de son copain, il récupère l’huile et commence à triturer le cul qui s’offre à lui. Rapidement, il retrouve la fameuse zone très chaude.
Elle amplifie ses mouvements de bassin jusqu’à une première jouissance qui la cloue sur le pieu en elle. Elle s’allonge sur les jambes de Marco qui reprend ses caresses, il sent bien le corps sur lui se détendre. Elle gémit doucement :
Lentement, il entame une série de grands cercles autour de l’anus tout en se rapprochant du centre progressivement. Son autre main n’est pas en reste sur la fameuse zone. Pierre n’en perd pas une miette, il tente de bien tout enregistrer dans sa mémoire, s’il veut un jour réussir seul à reproduire la scène.
Un doigt est maintenant pile sur l’anus, mais ne force pas. C’est elle qui se redresse et d’un geste sûr, elle vient poser deux doigts sur celui qui est devant son gouffre vierge. C’est encore elle, d’une très légère poussée, qui permet à une première phalange d’entrer sans problème. Elle laisse maintenant son « sodomiseur » reprendre sa progression. Non seulement elle n’a aucune réaction négative, mais bien au contraire, elle aime ses nouvelles sensations. Elle gémit de plus en plus fort. Après de longues minutes de mouvements dans tous les sens pour détendre les muscles, Marco tente de mettre son index en plus du majeur. Encore une fois, ce ne sera qu’une simple formalité.
Elle ne le laissera pas faire longtemps. Elle se redresse, tourne la tête vers Pierre qui bande dur, son sexe sortant des pans de son peignoir. Elle tend une main vers lui, il avance un peu, elle enlève sa ceinture et attrape sa bite. Lentement, elle l’attire pour le sucer amoureusement. Une fois l’outil bien lubrifié, elle se lève, se libérant de toute pénétration, se retourne et immédiatement s’empale de nouveau sur la queue de Marco. Elle se tourne sur le côté pour attraper son homme et positionner le gland sur son anus ouvert. Elle lui attrape la hanche et le fait avancer en elle à son rythme. Elle l’arrêtera plusieurs fois pour reprendre son souffle, avant de recommencer la lente progression et qu’enfin les poils de pubis de Pierre rentrent en contact avec les muqueuses de son anus. Elle s’allonge sur le torse de Marco et réclame aux hommes de se synchroniser pour la conduire vers de nouvelles sensations. Il leur faudra plusieurs minutes pour que tout soit parfait. Elle atteint subitement un orgasme fantastique. Sans se concerter, les deux hommes s’arrêtent, la laissant profiter de ce moment si particulier. C’est elle qui, après avoir retrouvé une petite partie de ses esprits, donnera un nouveau signal de départ.
La tension est telle, que l’enculeur ne peut plus tenir bien longtemps avant de se libérer dans les entrailles qui lui sont offertes pour la première fois. Marina sentant les fluides gicler dans sa caverne crie sa jouissance provoquant l’explosion de Marco par effet domino.
Tous les trois restèrent sans bouger pendant de très longues minutes. Marco sentait du sperme couler sur ses testicules se demande à qui appartient cette crème. Pierre finit par sortir du fourreau qui vient de l’accueillir et tous les trois se retrouvent sur le dos la femme au milieu, reprenant difficilement leurs souffles.
C’est Marina qui brise le silence après de très, très longues minutes.
Elle ne les laissera pas répondre.
Elle s’assoit sur le bord du lit, attrape les deux queues qui viennent de la combler et force les hommes à la suivre. Elle les emmène jusque dans leur chambre qui possède une grande douche, celle du garage étant trop petite. C’est dans une humeur très bon enfant, loin de ce qu’ils viennent de vivre, qu’ils se retrouvent à se frotter mutuellement sous l’eau chaude. Enfin, les deux hommes s’occupent de la femme et elle fait de son mieux pour rendre présentables les deux mâles. Elle s’attarde longuement sur les deux boudins de chairs qui viennent de la pénétrer de tous bords, puis sur leurs deux amies qui les accompagnent. Marco toujours en admiration devant les deux masses de la femme en profite largement, se concentrant sur les tétons, pendant que Pierre nettoie avec énormément de précautions l’orifice qu’il vient de dépuceler sans que Marina ne trouve à redire. Après la douche, chacun retourne à ses occupations se donnant rendez-vous pour l’apéro du soir devant la cheminée.
Marco en profite pour aller en ville se balader. Il ne sait pas trop quoi faire. Il sait qu’il n’aura pas de mal à trouver du boulot dans son domaine, mais la proposition de son copain de changer de vie et les moments qu’il vient de passer avec le couple lui brouillent le cerveau. Pour s’occuper, il décide de faire le tour des agences immobilières pour se trouver un logement. En allant d’agence en agence, il tombe sur une boutique fermée et qui semble abandonnée dans une petite rue discrète proche du centre-ville. En regardant par la vitrine, il voit une jeune femme à l’intérieur. Quand elle le voit, elle se précipite dehors et l’interpelle méchamment :
Surpris par ces propos, il ne peut pas répondre tout de suite. Il en profite pour détailler l’agresseuse. Une trentaine d’années, petite avec une poitrine bien proportionnée, short, sweat et baskets, cheveux courts, tatouages et piercing… Il finit par se reprendre.
L’abruti en question arrive juste à ce moment-là, fier comme un paon. La conversation ne durera que quelques secondes. Elle l’envoie promener violemment :
Le professionnel repart en baragouinant dans sa moustache (qu’il ne porte pas) certainement quelques insultes, incompréhensibles heureusement. Une fois la tension retombée, la jeune femme se calme rapidement. Elle parle beaucoup, dit se prénommer Mathilde, vient d’avoir trente-deux ans et d’hériter de sa marraine, une amie de sa maman qui n’a jamais eu d’enfant et qui lui a tout légué sans qu’elle soit au courant auparavant. Elle aimerait bien garder la maison, mais elle n’a pas de quoi payer la succession, alors elle espère vendre rapidement son ancien local professionnel pour régler cette affaire. La marraine était esthéticienne jusqu’à sa maladie, depuis trois ans, rien n’a bougé.
Marco lui propose d’aller manger un morceau ensemble, puis de faire la visite avant de tirer des plans sur la comète. Ils trouvent facilement un petit restaurant et une table un peu en retrait pour pouvoir discuter. Le serveur est très sympathique et efficace, le repas est vite servi et les denrées sont très agréables. Elle lui raconte toute sa vie, elle se cherche encore entre les garçons et les filles, ou plus exactement, elle ne veut pas choisir, ce qui désole ses parents. Elle a un boulot qui l’éclate et maintenant elle va être à l’aise financièrement si tout va bien. Elle a chaud et enlève son sweat pour se retrouver en chemisier ; Marco ne peut s’empêcher de détailler la jeune femme. Elle est très bien proportionnée, dommage que les marques de soutien-gorge gâchent un peu l’ensemble.
Elle s’est mise à le tutoyer comme ça, tout naturellement, comme elle est. Marco, lui raconte tout ou presque, il garde pour lui la soirée et la matinée avec ses amis. Il se concentre sur son projet de salon de massage spécialisé pour femmes.
Le serveur les interrompt !
Les deux convives se regardent quelques secondes et éclatent de rire. Le serveur ne comprend pas, mais en professionnel ne se démonte pas et débarrasse la table en attendant le retour au calme.
Quand elle revient à la table, bien qu’elle se dépêche de remettre son maillot, Marco est presque certain que le soutien-gorge a disparu.
Bras dessus, bras dessous, ils retournent au local comme deux gamins. Une fois sur place, par contre, ils retrouvent leur sérieux, l’endroit est plutôt glacial, tout est figé depuis des années. La visite se fait en silence. Marco arrive à se projeter dans le futur pendant que Mathilde navigue dans sa mémoire. Après presque une heure, ils se retrouvent devant un escalier double qui même au sous-sol et à l’étage.
Rapidement Marco fait le tour de la cave, elle est saine, elle pourra servir d’atelier, car, surprise, il y a un accès par l’arrière du bâtiment. En fait, il s’agit d’un garage en sous-sol avec un atelier dans lequel se trouvent des machines pour le linge. Marco remonte raconter ses trouvailles à la propriétaire ou future propriétaire. Ils s’engagent vers l’étage. Ils arrivent dans une grande pièce à vivre.
Il montre de la main une porte dans un coin de la pièce.
Ils se dirigent vers la porte, elle donne sur un petit couloir qui dessert trois autres portes, des toilettes, une belle salle de bain à rafraîchir qui donne sur l’arrière. Marco ouvre la dernière porte et tombe sur une pièce au milieu de laquelle se trouve une table de massage pleine de poussière, mais très haut de gamme, tout électrique. La vision est surprenante, car sur les quatre murs sont accrochés de grands miroirs. Mathilde ne peut rien voir derrière l’homme.
Il s’écarte, elle rentre. Elle fait le tour, regardant partout, mais sans ouvrir les deux meubles qui se trouvent dans la pièce. Après plusieurs tours en silence elle finit par ouvrir un album photo qui se trouve sur la commode. Elle tourne plusieurs pages, elle finit par rompre le silence.
Il avance derrière la jeune femme et découvre les photos. Ce ne sont que des femmes nues sur la table de massage. Visiblement, l’esthéticienne s’assurait des suppléments.
Mathilde se retourne et s’accroche au cou de Marco.
Elle lui cloue le bec en l’embrassant. Les bouches s’ouvrent et les langues se mélangent. Les baisers succèdent aux baisers. Ils sont de plus en plus voraces. Au bout d’un très long moment, ils ont besoin de reprendre leur souffle. Elle sera la première à parler.
Il s’écarte quelques secondes pour demander à son copain s’il peut venir accompagné, ce soir. La conversation ne durera que quelques secondes, Marco raccroche :
Elle lui cède et, après un court trajet en voiture, les voici maintenant dans sa garçonnière. Il la déshabille sans lui laisser le temps de contester. Il peut ainsi constater qu’effectivement sa poitrine est libre et de toute façon elle n’a besoin d’être soutenue. Une fois nue, il la fait tourner sur elle-même pour bien l’admirer. Elle se laisse faire comme s’ils se connaissaient depuis des années. Derrière son aspect rebelle, c’est une très jolie femme. Les tatouages sont nombreux, mais très féminins. Cette femme le trouble.
Il la conduit sous la douche, mais la laisse seule se laver et il se dévêt à son tour. Elle termine sa douche et sort une serviette sur la tête, il en profite pour se glisser à sa place et se décrasser à son tour. Mathilde ne se démonte pas, elle reste devant l’entrée de la douche à admirer le dos qui ruisselle. Elle s’enroule dans une sortie de bain, mais continue de mater le mâle. Marco se retourne, il est surpris de la voir là, mais continue son ouvrage en la fixant tendrement. Quand il avance les mains pour nettoyer son organe, elle lui attrape le sexe qui montre déjà des signes d’excitation.
Elle le branle doucement, puis une fois la caverne pleine de sang, elle accélère. Il doit prendre appui sur les flancs tellement le traitement qu’elle lui inflige est déroutant. Ses gestes sont d’une efficacité impressionnante et elle arrive à ses fins rapidement. Elle est aux anges quand la crème blanchâtre se répand sur sa main. Elle sent son propre sexe dégouliner.
Il se rince rapidement, sort et sans même s’essuyer il l’attrape et la porte jusque son lit. Il la dépose lentement, les fesses sur le bord et s’agenouille entre ses jambes. Ce sera avec sa bouche et surtout sa langue qu’il va lui rendre le plaisir qu’elle vient de lui donner. Comme lui, à cause des émotions de la journée, de la tension du moment, mais surtout de la technique employée par le lécheur, elle bascule rapidement dans le plaisir. Elle est obligée de l’arrêter tellement sa jouissance est forte.
À suivre !