n° 19655 | Fiche technique | 23668 caractères | 23668Temps de lecture estimé : 14 mn | 10/06/20 |
Résumé: Après sa séance intense avec Mathilde et Françoise, ces dernières ainsi que leurs époux suggèrent à Jean de se rapprocher de la barmaid qui a profité et participé à leurs ébats. | ||||
Critères: fh jeunes boitenuit amour préservati pénétratio -initiatiq | ||||
Auteur : Hisoka02 Envoi mini-message |
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Récit de l’épisode précédent : Jean a découvert les plaisirs partagés avec Eve et son époux Pascal. ces derniers l’envoient vivre sa première expérience en club libertin. Après une séance intense, Jean tente de se rapprocher de Sabrina, la jeune barmaid du club.
Jean rejoignit le couple qui avait fini par le rejoindre dans ce club. Ils étaient tous deux en grande discussion avec la jolie Sabrina, la barmaid qui avait veillé à ce qu’il connaisse le fonctionnement de l’établissement.
Les propos du quatuor qu’il venait de quitter le laissaient perplexe. Il ne savait plus comment se comporter. Selon Mathilde, il était évident que la jeune employée avait été sensible à ses ébats avec Françoise. Thierry et Éric étaient donc d’avis qu’il devait se lancer à l’assaut de la belle demoiselle. Mais Jean doutait que cela puisse être si simple. D’abord il n’aimait pas l’idée de pouvoir se considérer d’office comme le conquérant, vainqueur par avance. Ensuite il ne croyait pas avoir fait tant d’effet. Et puis réduire cela au simple défi de faire ce que ni Thierry ni Éric n’était parvenu à faire le rebutait encore plus. Cela lui semblait un manque de respect vis-à-vis de la jeune femme. Il ne pouvait se faire à ce genre d’idée.
Il abandonna donc cette idée et arriva vers Pascal et Ève qui ne l’avaient pas encore vu, pris en pleine conversation avec Sabrina. Cette dernière en revanche leva les yeux vers lui, lui adressa un joli sourire tout en préparant un verre alors qu’il était encore à quelques mètres du bar.
Pascal et Ève se tournèrent vers Jean, légèrement étonnés mais souriants. Aucun des deux ne dit mot, afin de laisser la situation s’éclaircir d’elle-même. Jean les en remercia intérieurement. Il n’aurait pas aimé être questionné ainsi et c’était tout à fait le genre de choses qu’il savait ne pas pouvoir leur venir à l’esprit. Leur sérénité et le respect le leur interdisaient, cette sérénité qui les assurait qu’ils finiraient par savoir ou comprendre en temps voulu, ce respect qui épargnait la timidité de Jean.
Il n’aurait su dire pourquoi, mais il redoutait que le couple cherche à en savoir davantage auprès de la jeune serveuse. Et paradoxalement il ne se voyait pas annoncer avec une fierté puérile ce qui s’était passé avec Françoise, Mathilde et Sabrina. Cette dernière le devança.
Les regards de Pascal et de son épouse convergèrent vers lui et Jean réalisa qu’ils savaient très certainement qu’il avait eu des relations sexuelles en présence de la jeune barmaid. Pour la troisième fois de la soirée, Jean ressentit un nouveau choc en réalisant à quel point il était futile de se montrer si gêné. Aussi, il décida de parler sans fard devant ce couple qui lui apportait tant.
Ce dernier prit pour la première fois la peine de détailler son visage et se demanda comment il n’avait pu le remarquer plus tôt. Sabrina était belle. Ce n’étaient pas simplement ses traits, doux, harmonieux, ses grands yeux brun clair où se devinent de fines nuances de vert, ses cheveux d’un blond foncé dont certaines mèches semblaient ornées de reflets roux, tombant délicatement sur son cou, ses jolies lèvres étirées en un sourire charmeur où il sentait poindre un soupçon de timidité, un joli corps que l’on devine sous un haut gris clair ample laissant dénudé des épaules fines et musclées. Non, tout simplement Sabrina était pourvue d’un vrai charme qui ne s’arrêtait pas au seul physique, un petit quelque chose qui donna soudain envie à Jean de discuter davantage avec la jeune barmaid.
Jean s’apprêtait à demander où ils allaient, mais il se retint, repérant un couple qui les invitait du regard à les accompagner sur la piste de danse. Très vite Ève et Pascal furent rejoints chacun de leur côté par un couple sensiblement du même âge. L’homme s’approcha rapidement d’Ève qui ne tarda pas à se laisser entraîner par son nouveau partenaire, tandis que Pascal saisit la femme de ce couple par la taille.
Le jeune homme ressentait une pointe de nervosité devant l’aisance de son couple d’amis puis se retourna vers la barmaid qui, après avoir servi plusieurs clients, revint vers lui.
Jean se dirigeait vers les salles, un peu étonné de cet échange, mais ressentant surtout une pointe de déception. Il ne comprenait pas pourquoi la belle Sabrina l’avait ainsi congédié. Il espérait sincèrement ne pas avoir été déplacé. Peut-être qu’il s’était une fois de plus emballé, alors qu’il s’était juré de ne pas la considérer ainsi. Il avait été heureux de se sentir un instant si proche de la jeune femme, peut être assez proche pour qu’ils se rapprochent… peut-être que… non, il ne devait pas espérer. Non pas qu’il ne le désirait pas, mais il devait éviter de se poser des questions, ne pas se compliquer la vie, ne pas gâcher ce qui doit d’abord se vivre en l’analysant comme il l’avait toujours fait. Tout à ses réflexions, il parcourut à nouveau le couloir d’où des soupirs émanaient cette fois plus ostensiblement qu’à son premier passage.
Il put observer plusieurs couples qui s’offraient les uns aux autres. Il s’arrêta dans un recoin contigu à une chambre où il put observer une femme aux formes généreuses à quatre pattes tandis qu’elle subissait les assauts d’un homme tandis qu’un autre se masturbait près d’eux. Il vit un autre couple en pleine action tandis que plusieurs couples les regardaient, certains hommes embrassant leur femme. L’une d’entre elles se mit à genoux et entama une fellation sur les deux hommes qui quelques secondes plus tôt lui caressait lentement les seins et l’entrejambe.
Jean se sentit émoustillé par ce spectacle, sentant son sexe durcir doucement. Il s’approcha de chambres fermées par de lourds rideaux opaques. Là encore une pièce ouverte y était contiguë et Jean regarda ainsi le miroir sans teint par lequel il pouvait contempler, malgré l’obscurité qui y régnait, deux femmes faire l’amour avec deux hommes tout en s’embrassant langoureusement.
Jean reconnut le visage d’Ève qui prenait manifestement beaucoup de plaisir avec son partenaire tandis que Pascal était chevauché par la femme qu’il avait invitée à danser.
Cette fois Jean se mit clairement à sentir son sexe dur, dressé, l’extrémité s’humidifiant des premières gouttes d’excitation. Il se mit à se masser le sexe au travers son pantalon en regardant ses amis dans leur plaisir pendant plusieurs minutes puis ne voulant pas s’éterniser, s’apprêta à sortir.
Il se retourna et fit face à Sabrina qui le regardait, le sourire aux lèvres. Elle s’approcha de lui sans dire un mot, ses jolis yeux brillants, même dans cette obscurité. Jean saisit ses mains tandis qu’elle approcha son visage du sien, effleurant ses lèvres pour y déposer un premier baiser. Jean fut touché par la douceur de ses lèvres, il lui rendit ce baiser, laissant la jeune femme se livrer à cette caresse. Un long baiser, tendre, plein de promesses suivit tandis que les mains de Jean remontaient vers les épaules de sa partenaire. Il les caressa puis posa ses mains sur le cou de Sabrina qui frémit. Elle l’attira contre elle, se pressant contre ce jeune homme dont elle sentait l’excitation contre son ventre. Imperceptiblement, elle entama une caresse de tout son corps contre celui de son partenaire. Jean ne pensait plus, il ne voulait que la sentir, la ressentir, la découvrir. Il quitta ses lèvres, laissant glisser ses lèvres sur son cou, ses épaules, les couvrant de baisers, goûtant chaque centimètre de sa peau parfumée. Il entendait les soupirs de la jeune femme à chacun de ses baisers tandis que ses bras étreignaient la nuque de Jean et que son autre bras le pressait contre ses hanches.
Jean caressa les jambes de Sabrina, remontant vers ses hanches, caressant son dos tandis qu’il l’embrassa à nouveau langoureusement. Sabrina le devança et saisit la main de son partenaire, la passant sous sa jupe, Jean se mit à pétrir ses cuisses, remonta vers son entrejambe, puis finit par atteindre une zone, brûlante humide qui tira un gémissement de la gorge de la belle lorsqu’il l’effleura. Sabrina leva sa jambe pour faciliter les caresses de son amant. Elle entreprit de lui masser la queue au travers de son pantalon qu’elle ouvrit et fit tomber sur les genoux de Jean. Elle saisit le sexe tendu d’où s’échappaient des gouttes de sécrétions, le caressa tendrement.
Jean n’avait jamais senti une caresse si douce. Il éloigna son visage de celui, tremblant, de Sabrina, la regarda et lui sourit. Sabrina lui rendit son regard, lui rendit son sourire. Il s’approcha d’elle à nouveau et l’embrassa, avec douceur, avec tendresse tandis qu’il écartait les bords de sa culotte. Sabrina approcha ses hanches, tenant toujours le sexe de Jean qu’elle recouvrit d’un préservatif et le guida aussitôt en elle.
Jean la pénétra avec facilité, sentant son humidité recouvrir sa queue tendue. Elle gémit, ondulant des hanches à la rencontre de cette tige de chair.
Jean la pénétrait avec force, la sentant vibrer sous ses coups de reins. Il sentait son odeur, il goûtait sa peau et ses lèvres, et léchait son cou, le téton de son sein qu’il avait désormais libéré et qu’il caressait tout en l’embrassant. Il la regardait prendre son plaisir et sentait ses mains sur lui, sur son torse, ses bras si frêles l’enlaçant, s’accrochant à lui au rythme de sa queue tendue qu’il continuait de faire aller et venir dans son antre humide, ses gouttes de cyprine coulant le long de son sexe. Il baisait la jeune femme avec toute la fougue dont il se sentait capable, chaque nouvelle entrée dans sa chatte lui arrachant un soupir de plaisir.
Jean accéléra, sentant le plaisir monter. Sabrina ondulait de plus en plus vite tout en se pressant contre lui, enfouissant sa tête dans le cou de son partenaire. Jean embrassa également le cou parfumé de la belle qui fut prise d’un spasme et releva la tête. Jean l’embrassa tandis qu’elle gémissait puis Sabrina poussa un gémissement qu’elle ne put retenir, jouissant tandis que Jean l’étreignait et poussait sa queue au fond d’elle, déversant son sperme au fond du préservatif.
Ils restèrent quelques minutes ainsi, soudés l’un à l’autre avant que Sabrina ne le regarde, les yeux brillants. Elle s’éloigna, se réajusta et l’embrassa de nouveau.
Jean s’apprêtait à répondre, mais s’arrêta subitement puis la retint par la main, l’attira à lui et l’embrassa langoureusement. Elle lui sourit, les yeux brillants, ne se retournant vraiment que lorsqu’elle dut lâcher sa main.
Quelques instants plus tard, de retour au bar, Jean se sentit envahi par un sentiment confus de bonheur et de gêne. Qu’était-il en train de faire ? Qu’allait-il se passer entre elle et lui s’il devait reprendre la route le lendemain ?
Il s’installa au bar, attendant le retour de la belle, accaparée par les commandes des clients au bar et aux différentes tables, tandis qu’Ève et son mari revinrent manifestement réjouis de leur intermède.
Il jeta un regard vers Sabrina qui était occupée à servir le couple qui venait de faire l’amour avec Pascal et Ève. Voyant qu’ils étaient revenus, elle se rendit près d’eux :
Le compliment alla droit aux oreilles de la jeune barmaid, qui s’approcha en souriant, les yeux plus brillants que jamais.
Jean en était certain maintenant. Sabrina était un cadeau. Il devait tenter quelque chose. Mais Ève le devança :
Elle quitta un instant la salle, après un regard furtif à Jean dont le cœur faisait des bonds dans sa poitrine. Il jeta un regard au couple qui lui souriait, sans dire un mot.
Sabrina revint quelques minutes plus tard, une veste et un sac à la main tandis qu’elle salua et remercia son patron d’une bise, un homme d’une cinquantaine d’années au regard sévère qui s’adoucit subitement en voyant Sabrina regarder Jean et le couple qui l’accompagnait.
Tous les quatre sortirent de l’établissement et prirent la direction du camping-car.