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n° 19667Fiche technique21085 caractères21085
Temps de lecture estimé : 13 mn
16/06/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Jean, Pascal et Ève emmènent la jolie Sabrina dans le camping-car. Ève, puis Pascal décident de s'occuper de la jeune barmaid en la présence de Jean. Pour la première fois, Jean va découvrir ce que signifie « être un couple libertin ».
Critères:  fh ffh 2couples hplusag fplusag jeunes couple couplus extraoffre vacances bus amour fellation cunnilingu préservati pénétratio échange init -libercoup
Auteur : Hisoka02      Envoi mini-message

Série : Vacances sans frontières

Chapitre 06
Un changement de trajectoire

Résumé des épisodes précédents : Jean a découvert les plaisirs partagés avec Ève et son époux Pascal. Ces derniers l’envoient vivre sa première expérience en club libertin. Après une séance intense, Jean tente de se rapprocher de Sabrina, la jeune barmaid du club. Après sa séance intense avec Mathilde et Françoise, ces dernières ainsi que leurs époux suggèrent à Jean de se rapprocher de la barmaid qui a profité et participé à leurs ébats.



***



Ève, Pascal, Jean et Sabrina sortirent du club et prirent la direction du camping-car. Jean ne savait pas vraiment ce qu’il devait faire. Pascal et Ève avançaient quelques mètres devant lui, ce dernier prenant son épouse par l’épaule tandis qu’elle-même semblait se blottir contre lui, comme pour se réchauffer en dépit de la douceur de la nuit. Il regarda Sabrina qui marchait près de lui et qui lui rendit son regard. Le cœur battant, il lui tendit une main qu’elle saisit. Ils marchèrent ainsi quelques mètres avant que Jean ne l’attire à lui, la prenant par les épaules tandis qu’il sentit la main de cette jeune femme, celle qui avait été il y a quelques dizaines de minutes encore, son amante, se frayer un chemin sous sa veste pour enserrer sa taille. Il la regarda, puis déposa sur ses lèvres un bref baiser. Un bref baiser qui fut prolongé par un second. Puis un troisième, chacun étant plus long que le précédent. Jean la prit dans ses bras tandis que Sabrina se serrait contre lui, tout en caressant la nuque de son amant pendant ces quelques secondes.

Ils furent interrompus par Pascal qui les appelait.



Le jeune couple interrompit leur baiser. Sabrina sourit à Jean, le regard brillant toujours de mille feux.



Cette phrase fit sourire Jean. Ils rejoignirent le camping-car main dans la main.


Quand ils entrèrent, Pascal et Ève étaient déjà tous deux attablés et avaient déjà disposé des verres.



Tous les trois rirent, même Jean qui se sentait tout de même assez mal à l’aise pour une raison qu’il ne parvenait pas à déterminer.

Ils continuèrent à discuter tout en vidant leurs verres. Très vite la discussion tourna autour de l’invitation dont Jean profitait avec Pascal et Ève puis s’orienta vers Sabrina. La jeune fille révéla qu’elle avait connu quelques périodes difficiles, ne voyant plus ses parents qui ne l’avaient en fait jamais aidée, elle s’était tournée vers une amie avant de s’émanciper et de devenir financièrement autonome grâce à de petits emplois. Elle avait quitté la région parisienne, avait rencontré un jeune homme dont elle était tombée amoureuse et avec lequel elle était partie s’installer non loin de Clermont-Ferrand où un cousin lui mettait un appartement à disposition et qui les faisait travailler tous les deux le temps de trouver quelque chose de plus stable. C’est ce dernier qui, après lui avoir fait découvrir le monde du libertinage, l’avait abandonnée un soir où la jeune femme avait refusé de s’offrir à plusieurs hommes. Il était parti subitement, ne la laissant rentrer à l’appartement que pour récupérer quelques affaires.

Le patron du club qui s’était pris d’affection pour Sabrina lui proposa de travailler pour lui et lui loua un studio qui lui appartenait afin qu’elle ne soit pas à la rue.

En entendant les malheurs de la jeune serveuse, Jean se sentit soudain pris de peur. Ce qui n’échappa pas à Sabrina qui était restée près de lui, la main dans la sienne.



Jean sourit, les regardant tour à tour.



Puis Jean regarda intensément Sabrina dans les yeux, ces si beaux yeux brillants.



Ils rirent tous cette fois de bon cœur.



Ève se leva puis se pencha vers Sabrina qu’elle embrassa du bout des lèvres.



Elle embrassa à nouveau la jeune serveuse, la fit se lever. Et la suivit vers le grand lit. Les deux femmes restèrent debout et s’embrassèrent longuement, les mains d’Ève se promenant sur le corps de Sabrina, sur ses seins, ses hanches, son cou qu’elle embrassa avec tendresse. La jeune fille ne resta pas inactive et caressa la douce nuque de sa partenaire, la regardant tandis qu’elle la débarrassait de son haut et de son soutien-gorge pour embrasser ses seins dont les pointes étaient déjà dressées, appelant aux baisers. Les yeux de Sabrina brillaient d’excitation, comme de véritables phares de désirs, appelant de nouvelles douceurs, de nouveaux gestes, de nouveaux plaisirs à se poser sur son corps. Ève savait manifestement s’y prendre aussi bien avec une femme qu’avec un homme. Elle embrassait partout sa jeune partenaire, se délectant de sa peau, souriant entre deux baisers de voir sa partenaire réagir à ses coups de langue.

Elle fit asseoir Sabrina sur le lit et continua à l’embrasser avant de la coucher, relevant sa jupe pour faciliter l’accès à son entrejambe qu’elle caressa doucement, ce qui fit tressaillir Sabrina qui rejeta sa tête en arrière, fermant les yeux pour goûter au plaisir de ces caresses. Ève se retourna vers Pascal et Jean qui regardaient tous deux la scène, leur sourit puis grimpa sur le lit tout en continuant de caresser la jeune serveuse. Cette dernière attira Ève à elle pour l’embrasser à nouveau, d’un baiser passionné, fougueux. Jean comprit qu’elle prenait beaucoup de plaisir et admira cette jeune femme qu’il avait serrée dans ses bras quelques instants plus tôt. Qu’elle est belle, pensa-t-il.


Elle gémit de plaisir lorsque Ève passa sa main sous la dentelle de sa culotte noire et sa respiration s’accéléra au fur et à mesure que les doigts s’y agitaient, tandis qu’Ève continuait lentement à embrasser, sucer et lécher la poitrine de sa jeune amante. Elle retira la culotte de la jeune femme, puis entama un long baiser sur ses cuisses tandis que ses mains lui caressaient le ventre. En de lents mouvements, la belle blonde s’approcha du sexe humide et ouvert de Sabrina, s’approcha pour le humer avant d’y déposer un baiser. Sabrina était si excitée que ce simple contact la fit se cambrer. Ève entreprit alors de la lécher, parcourant tout son sexe de sa langue, goûtant sa chaude liqueur, titillant ses lèvres intimes, puis se mit à butiner son clitoris, arrachant des gémissements, puis des cris de plaisir, à sa partenaire.

Pascal se massait désormais le sexe à travers son pantalon et Jean constata qu’il était désormais dans une belle forme. Lui-même était très excité par la situation. Tous deux sentaient que la jeune femme était sur le point de jouir. Pascal se pencha vers Jean.



Jean ne répondit pas, ce qui pour Pascal avait valeur d’approbation. En réalité, il s’y attendait mais ne savait pas s’il arriverait à la voir avec un autre. Il ne voulait pas tout gâcher. Il voulait attendre la réaction de Sabrina.

Cette dernière poussa un long gémissement, la langue d’Ève l’ayant menée à son orgasme. Ève l’embrassa à nouveau et se dévêtit à son tour. Sabrina se débarrassa de sa jupe qu’elle avait remontée puis se laissa attirer par Ève qui l’invitait désormais à s’occuper d’elle. Sabrina embrassa passionnément le corps de sa belle amante qui se laissait désormais caresser. Jean put constater l’expérience de Sabrina dans sa manière de caresser, de lécher et de sucer les tétons durcis d’Ève. Elle se mit à descendre doucement vers la fine toison d’Ève, la caressa doucement, glissa un doigt entre ses lèvres trempées d’excitation, avant de la masturber. Rapidement, elle descendit à son tour lécher le sexe de sa partenaire, à genoux sur le lit.

Ève jeta alors un regard à son mari qui se leva et s’approcha du lit tout en ôtant sa chemise.


Jean sentit un frisson parcourir son corps tandis que l’homme se débarrassa de son pantalon, révélant un sexe en très bonne disposition, et passa près de Sabrina dont il caressa le dos. Cette dernière le regarda tandis qu’il passait ses mains sur ses fesses, puis sur sa fente encore humide. Sabrina tendit sa croupe vers cette main si douce tandis qu’elle pénétrait de sa langue le sexe d’une Ève qui gémissait sans retenue, haletant sous l’imminence de son orgasme. Ève amena son mari près d’elle et prit son sexe tendu, l’enfouit dans sa bouche et jouit en un long gémissement, sans lâcher le sexe de son mari.

Elle se redressa ensuite, sourit à Sabrina qu’elle attira à elle dans un long baiser. Elle échangea avec sa jeune amante un sourire complice et lui tendit le sexe de son mari. Sabrina y déposa un baiser avant de le prendre à son tour dans sa bouche.


Ève jeta un regard à Jean qui sentait ses entrailles brûler, un horrible pincement lui déchirait le ventre en voyant la jeune serveuse faire désormais une fellation à Pascal qui gémissait de plaisir. Jean avait l’impression qu’une tornade se déchaînait dans son ventre, tordant, entremêlant et lacérant chaque organe dans son abdomen.

Pascal lui jeta à son tour un regard, puis caressa le visage de sa femme avec laquelle il échangea un regard. Cette dernière se leva et vint rejoindre Jean tandis que Pascal s’avançait davantage pour être plus à l’aise sur le matelas, sans que Sabrina ne cesse de le sucer.



Jean n’entendait presque pas Ève, torturé par un horrible mélange de sentiment où se bousculaient la colère, la jalousie et une peur terrible mêlée de tristesse. Ève renonça à lui parler, s’approcha de lui et posa sa main sur son visage avant de l’embrasser. Petit à petit, ce contact chaleureux occulta la vision de son amie et Jean se détendit, lui rendant son baiser.

Ève, satisfaite, se recula, le regarda en souriant, lui prit les mains avec douceur et le fit se lever. Elle sourit à nouveau lorsqu’elle vit une larme perler au coin de l’œil du jeune homme. Elle l’embrassa cette fois plus passionnément, toujours très excitée qu’elle était de voir son mari qui avait désormais renversé Sabrina, pour lui aussi pouvoir goûter son sexe.

Ève et Jean se rendirent près du lit où elle le déshabilla avant de saisir son sexe qu’elle caressa quelques instants avant de le prendre à son tour dans sa bouche.

Elle fit allonger Jean sur le lit pour mieux pouvoir le sucer tandis que Jean sentait une énorme érection le gagner alors qu’il observait Sabrina gémir de plaisir sous les coups de langue de Pascal qui lui dévorait le sexe.

Comme chaque fois qu’elle avait fait l’amour à une femme, Ève avait désormais très envie de sentir une queue en elle. Elle s’appliqua donc à faire durcir le sexe de Jean qui désormais gémissait sous ses caresses. Pascal se releva vers Sabrina, déchira l’emballage d’un préservatif qu’il enfila avant de se coucher sur elle. Sabrina se tordait de désir et l’accueillit. Elle gémit lorsqu’il la pénétra.


Voir la jeune fille accepter en elle un autre partenaire fit une seconde perdre ses moyens à Jean dont le sexe perdit un instant sa fermeté. Mais Ève mettait tant d’enthousiasme à ses caresses que cela ne dura que quelques secondes. Elle se coucha sur le corps de Jean avant de s’empaler sur lui avec un soupir de satisfaction. Elle se mit à se soulever et se baisser en rythme, faisant coulisser la queue de Jean en elle. Elle était si excitée qu’elle eut sur le champ un premier orgasme tandis que Sabrina gémissait sous les coups de rein de Pascal qui la prenait avec vigueur.

Voir Ève jouir et Sabrina gémir ainsi près de lui redonna à Jean le désir de partager ce plaisir. Il se mit à caresser Ève, la prenant cette fois activement. Les deux couples haletèrent ensemble, gémissant leurs plaisirs partagés.


Pascal fit se mettre Sabrina à quatre pattes avant de la pénétrer de nouveau. Ève la regarda et sourit, tout en gémissant sous les coups de rein soutenus de son partenaire. Sabrina gémissait de plus en plus, sentant le sexe de plus en plus dur de Pascal qui se déchaînait en elle.

Elle sentit les doigts de ce dernier caresser doucement sa fente qu’il pénétrait, avant de remonter lentement ses doigts vers le petit orifice serré de ses fesses. Elle comprit où il voulait en venir lorsque ces doigts se firent humide et essayèrent une première fois de s’insinuer vers cet endroit qu’elle n’avait jamais encore offert à aucun homme. Elle se retourna vers son partenaire.



Pascal, légèrement déçu, continua de la pénétrer et se mit à la prendre avec force, lui arrachant des gémissements de plus en plus soutenus.

Ève sourit et s’allongea sur Jean, de plus en plus excitée, sur le point de jouir. Ce dernier la prenait avec vigueur et était désormais lui aussi proche de l’orgasme, bien qu’il fit le maximum pour se retenir.



Jean se doutait qu’Ève avait compris quelque chose. Il avait le sentiment que la suivre rendrait tout plus limpide, quelle que soit la façon dont cela se produirait. Il prit alors Ève par les hanches et la baisa de toutes ses forces pour lui donner ce qu’elle désirait. Ils furent tous deux foudroyés par un orgasme commun, synchrone, comme lors de la première fois que Jean l’avait prise dans ses bras.

Cette vision enflamma Sabrina qui se rapprocha de Jean, prenant appui sur son épaule avant de jouir bruyamment à son tour tandis que Pascal éjaculait, s’enfonçant profondément dans le sexe de la jeune femme. Ève chuchota à nouveau à l’oreille de Jean :



Sabrina releva la tête quelques secondes plus tard, se redressa et vint se blottir contre Jean qu’elle embrassa alors qu’Ève avait toujours la tête enfouie dans le creux de son cou. Elle le regarda, les yeux plus brillants que jamais.



Jean lui rendit son baiser, heureux de la sentir contre lui, si submergé qu’il ne put cette fois empêcher ses larmes de couler.