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Temps de lecture estimé : 35 mn
03/09/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Assurément, j'ai eu plutôt de la chance en épousant Karl, l'avenant frère de notre lugubre Empereur. Néanmoins, mon mari a vite révélé sa nature perverse en m'initiant à des choses dont on ne parle pas du tout dans les couvents !
Critères:  #historique #couple fh fhh fhhh fellation pénétratio sandwich fsodo partouze yeuxbandés
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message

Série : Belle-sœur de l'Empereur

Chapitre 02 / 03
Belle-sœur de l'Empereur - 2


Je ne déteste pas le thème du mariage arrangé entre deux personnes qui ne se connaissent pas, ainsi que l’histoire avec un grand H.

Voici la suite d’un récit (n°19706) qui conjugue les deux, celui-ci est un texte articulatoire vers le troisième et dernier épisode.

Bonne lecture… :)





Résumé




Assurément, moi Wilhelmine, j’ai eu plutôt de la chance en épousant Karl, l’avenant et affable frère de notre lugubre et austère Empereur. Néanmoins, mon mari a vite révélé sa nature perverse en m’initiant à des choses dont on ne parle pas du tout dans les couvents. Et parfois, j’ai l’impression que l’élève (moi) dépasse le maître (lui)…


Depuis, nous avons eu quatre enfants bien portants et plein de vie, deux filles et deux garçons, sur lesquels je veille jalousement au grand dépit du pesant protocole impérial. Je n’en oublie pas pour autant mon cher Karl, j’adore toujours explorer certaines contrées avec lui, sachant être à la fois une mère, une épouse et aussi une amante.




Quatre enfants moins deux



Alors que nous sommes plusieurs personnes réunies en petit comité dans un salon annexe, le Grand Chambellan nous annonce (à mon mari et à moi) d’un ton pompeux et suranné :



À la grande stupeur des autres personnes présentes, devançant mon mari, je réagis vivement :



Karl sourit. Avec son appui implicite, je monte d’un crantage :



Mon mari intervient :



J’ajoute mon grain de sel :



Assez effaré par la tournure des événements, le Grand Chambellan bredouille :



Mon mari réprime difficilement un sourire. Rouge écarlate, le Grand Chambellan répond :



Resté muet depuis le début, le docteur attitré de l’Empereur s’avance :



Intrigué, mon mari demande :



Karl soupire en grand coup :



Avec un grand sourire, mon mari se penche vers moi :



Sous les yeux offusqués du Grand Chambellan, il dépose un furtif baiser sur mes lèvres et sort de la pièce d’un pas impérieux. C’est vrai que mon Karl aurait fait un bel et bon empereur…




Un pas en avant



Mon mari a réussi à faire en sorte que l’idée soit abandonnée, mais lui et moi pensons que ce n’est que partie remise. Tant que l’Empereur n’aura pas d’héritier, Karl reste en seconde position, surtout ses garçons, car mon mari n’est pas du tout chaud pour s’asseoir sur le trône, même s’il en a les capacités. Cette absence d’ambition lui facilite la vie auprès de son grand frère, qui ne le voit pas comme un potentiel rival.


Entretemps, j’avais eu une petite conversation étrange avec Karl :



Mon mari part dans un grand rire sonore. Puis quand il se calme un peu :



Il me capture dans ses bras, je ne résiste pas. Il murmure :



Comme mon mari sait être crapuleux à ses heures, il me prouve, séance tenante, que je vaux cent fois, mille fois sa belle-sœur. Et j’adore quand il me le démontre lentement, longuement et puissamment.


Quelques jours après cette fameuse proposition de métamorphoser mes enfants en héritiers impériaux, je parle en tête à tête avec mon mari d’un sujet qui me turlupine :



À ces mots, je proteste :



Devant ma mine attentive, Karl sourit :



Intrigué, mon mari attend la suite :



À son petit sourire en coin, je sens que Karl ne va pas me faciliter la tâche :



Puis lui tournant prestement le dos, je quitte aussitôt la pièce pour aller m’occuper de mes enfants, en dandinant ostensiblement du bassin !


Curieusement, Karl n’a pas essayé de m’approcher du reste de la journée. Je suppose qu’il attend ce soir, quand nous serons au lit pour régler ses comptes. Je le connais assez pour penser ce genre de chose. Quand les enfants se sont endormis, je me dirige calmement vers notre chambre. À ma grande surprise, Karl n’y est pas. Intriguée, je m’avance vers le lit, quand soudain, je suis ceinturée par deux bras puissants. Je pousse un petit cri, puis je lance une réprimande :



Une voix déformée retentit à mon oreille :



Aucune réponse, mais les deux bras me gardent toujours captive. Quelques instants plus tard, Karl, qui a repris sa voix normale, me dit :



Karl me libère. Comme convenu, je ne bouge pas, il bande aussitôt mes yeux. Sans doute un nouveau jeu, mon époux est très imaginatif dans pareil cas. Je me laisse faire. J’entends quelques pas me contourner, puis la voix de mon mari résonne devant moi, sans doute est-il assis sur le lit :



Amusée, les yeux toujours bandés, je m’exécute lentement. Quelques instants plus tard, me voici nue ou presque, sous les yeux avides de mon mari. Avec dans la voix la pointe de désir que je reconnais entre mille, Karl ordonne :



On dirait que mon cher mari a envie de s’amuser. Je ne dis pas non. Et puis, ça change un peu. Alors je tourne lentement sur moi-même afin qu’il puisse me contempler. J’aime quand il m’admire, même s’il connaît parfaitement les paysages de mon corps depuis quelques années.



Une première main me frôle, suivant mes courbes, puis une seconde main s’invite. Peu après, elles s’attardent sur mes seins devenus plus lourds depuis mes grossesses. Des lèvres se posent sur mon ventre, ce qui me fait frémir, les yeux bandés décuplant les sensations. Puis les lèvres embrassent mes fesses, d’abord délicatement pour devenir plus brûlantes. Je raffole de cette adoration de ma petite personne.


L’instant d’après, un de mes tétons est capturé par une bouche avide. Je sursaute, car mes fesses sont toujours l’objet de baisers fougueux. Ébahie, je m’exclame :



Le ton est impératif, mon Karl dans ses grands jours ! Ce petit vicieux, pardon, ce gros vicieux a finalement accédé à ma demande. Je tremble d’excitation ! Un nouveau jour, ou plutôt un nouveau soir est arrivé. Les caresses, les baisers se poursuivent, béatement, je me laisse faire.


Mon mari a le souci du détail, je ne sens pas d’autre odeur particulière, les deux hommes semblent être vêtus de la même façon si j’en crois les tissus qui me frôlent. L’autre semble être plus petit, mais je n’en ai pas la certitude. Peut-être est-il plus grand que Karl et qu’il agit en étant penché… Je ne sais pas grand-chose, exception faite qu’ils sont deux à me désirer et que j’aime ça !


Bien vite, je me retrouve allongée sur le lit, c’est nettement plus confortable, surtout quand quatre mains vous caressent voluptueusement. Je me sens un peu comme une déesse des temps antiques, j’adore être adorée ! Je comprends mieux certains cultes d’Aphrodite dont j’avais lu des détails cités à mots couverts.


Quasi extatique, je soupire :



Après quelques agaceries, c’est avec un grand naturel que je suce une première verge que je reconnais comme étant celle de mon mari. Quelque temps après, je déguste un autre vit dont le goût est un peu différent. Je constate aussi que l’arrondi du gland est un peu plus pointu. Je suppose que les phallus ne se ressemblent pas tous, tout comme les mains ou surtout les visages. Karl m’avait plusieurs fois confirmé qu’il en existait des courts, des longs, des menus, des gros. Sucer une nouvelle verge sous l’œil de mon légitime époux, c’est quelque chose à la fois pervers et stimulant !


Comme cet homme perle légèrement, je constate aussi que le goût du sperme peut changer d’un homme à un autre. Je lèche, je suce, tandis que des mains et des lèvres caressent et brûlent mon corps devenu si sensible !


J’ose aventurer mes mains sur l’autre corps, ce qui me procure des frissons inédits. Je donnerais cher pour contempler le regard de Karl ! Mais à bien y réfléchir, je préfère l’imaginer, et finalement, ne pas savoir qui est notre troisième membre du couple me permet de mieux en profiter sans m’arrêter à certains détails : c’est juste un corps masculin avec qui jouer, avec qui jouir.


Soudain la voix de mon époux retentit, ferme, impérative, voire impérieuse :



Avoir les yeux bandés n’aide pas beaucoup, même si les sensations sont magnifiées. Je suis en train de me placer tant bien que mal sur le corps de l’un des hommes qui est allongé sur le lit, lui tournant vraisemblablement le dos. Aucun de mes deux partenaires ne parle, sans doute pour que je n’arrive pas à deviner qui est qui. J’ignore donc qui des deux hommes est sous moi, car en plus, celui-ci est resté habillé, seul son vit est à nu, je l’ai vite compris, puisque je le frôle parfois tandis que je m’installe. Des bras m’aident à me bien positionner. Déjà une verge impatiente s’insinue dans mon sillon. Elle est visiblement lubrifiée, ce qui m’arrange.


Pour le tester et vérifier si tout est d’appoint, je m’appuie un peu sur ce gland inquisiteur :



Aucune réponse, sauf une pression sur mes bras pour me dire de me laisser aller et de m’empaler. Peut-être saurais-je qui va s’enfoncer en moi, je suppose que les hommes n’ont pas tous le même engin et que je distinguerais mon mari de la sorte. À moins qu’il ait poussé le vice à trouver un autre homme monté de la même façon !


Lentement, je me laisse sombrer sur ce pieu de chair. Il me semble reconnaître le sexe qui entre en moi, qui me comble. J’oscille légèrement pour faciliter cette sodomie faite dans un contexte nouveau. Car pour la première fois de ma vie, il y a un spectateur à mes turpitudes, un spectateur autre que mon époux. Ou bien cet autre homme me regarde m’empaler sur mon mari. Ou bien c’est mon mari qui me regarde me faire prendre par cet autre homme que je ne connais pas.



Non, je n’ai pas mal, je suis habituée à ce que mon mari passe par là afin de limiter certains risques. Mais le fait de se sentir observée tout en étant aveugle décuple le désir d’être prise !


Deux mains m’intiment d’écarter mieux encore mes jambes, afin que le second homme puisse venir se placer entre mes cuisses et me pénétrer de la sorte. Bien sûr, j’obéis, m’offrant à cette prochaine verge qui viendra accompagner celle qui farfouille déjà mon fondement !


Quand cette nouvelle verge est plantée en moi, un grand frisson m’envahit ! Je songe à ce nouveau grand pas que je viens de faire, au fait que je suis devenue une putain, comme le diraient certains, et ce n’est pas faux, car une femme qui s’offre à deux hommes en même temps n’est point une sainte.



Finalement, être une putain, c’est bien ! J’adore me faire entreprendre par deux hommes qui me veulent, qui me désirent, qui me comblent et qui exploseront bientôt en moi. Je me demande alors pourquoi n’ai-je pas découvert ce nouveau double plaisir plus tôt !


En attendant, je me laisse aller, je me laisse faire, je découvre et j’apprécie !



Je goûte à présent le plaisir incomparable d’être prise par deux hommes, et c’est franchement extatique ! Le paradis sur terre, on peut finalement facilement se le créer, il suffit finalement de peu de choses. Sous l’action simultanée de mes deux amants, je décolle irrémédiablement vers d’autres cieux, subissant avec délice une jouissance incomparable, un feu d’artifice de sensations extraordinaires, quelque chose d’incroyable et pourtant de si vrai !


J’ai hâte de recommencer, une fois mon corps apaisé !




Lugdiwina



Dans le vaste parc, au détour d’une allée, je croise incidemment Lugdiwina, la très terne épouse de notre Empereur. J’ai toujours beaucoup de mal à la considérer comme mon Impératrice, d’ailleurs, je ne suis pas la seule. Je songe fugacement que Karl aurait pu être à l’image de son grand frère. Je plains silencieusement cette pauvre créature effacée, me disant que j’aurais pu devenir comme elle, comme quoi que nos vies ne tiennent parfois qu’à peu de choses…


Je la salue comme il se doit, elle me répond gentiment, mais je sens bien que mon interlocutrice n’est pas au mieux de sa forme. Faisant fi du protocole puisque je sais que je peux me permettre de le faire, car personne n’est autour de nous, je m’approche plus près d’elle pour lui demander sans détour :



Ah zut, j’ai encore oublié d’énoncer son titre ! En retour, elle m’adresse un pauvre sourire :



Elle vient de me répondre sans méchanceté. Je réponds calmement, mais fermement :



Elle me regarde tristement, elle s’approche d’un banc de pierre et s’assied. Elle me fait signe de faire la même chose. Nous voici assises l’une à côté de l’autre, à l’abri des regards et des oreilles indiscrètes. Quelques secondes plus tard, Lugdiwina avoue :



Assez surprise de cet aveu sans détour, je marque une légère pause, puis je ris franchement :



Étonnée par ma confession, elle rougit. Un certain silence s’installe entre nous, je me demande si je n’ai pas été trop loin. Alors que je cherche un moyen de relancer la conversation, mon interlocutrice me demande :



Elle rougit un peu, mais semble être attentive à la suite que je vais donner :



Lugdiwina soupire :



Elle me confirme ce que je pensais déjà :



Un peu impudente, je demande spontanément :



Elle répond avec un petit sourire crispé :



Mains sur les genoux, mon interlocutrice devient songeuse :



Puis, rougissante, elle me demande :



Surprise par cette soudaine demande, je bafouille un peu :



Encore plus surprise, j’abonde dans son sens :



L’instant d’après, tout en restant assez prude, je lui raconte le début de notre mariage, à partir du « bon appétit » prononcé à l’adresse de mon futur mari, puis la lente progression de notre couple dans les joies de l’entente sexuelle. J’omets néanmoins d’évoquer nos dernières turpitudes à plusieurs, je ne sens pas mon interlocutrice capable de comprendre, déjà qu’elle est rouge comme une pivoine, tiraillée entre le fait de s’enfuir pour sauvegarder les convenances et une claire et nette curiosité.


À ce propos, j’ignore toujours qui est le second homme qui s’invite dans nos turpitudes, car Karl exige que je garde mon bandeau sur les yeux. Mais j’ai la certitude que c’est le même : mêmes caresses, même façon de faire, et aussi même forme de verge et même goût.


Quand j’achève mon récit que j’ai pourtant allègrement censuré, Lugdiwina murmure :



Je souris :



Elle soupire abondamment :



Bouche bée, elle me regarde avec des grands yeux ronds. J’ai incontestablement réussi mon effet. Je poursuis, tout en souriant :



Elle reste muette quelques instants, puis elle parle comme pour elle-même :



Intriguée, elle se tourne vers moi :



Je reprends à mon compte un ancien argument de mon mari :



Elle ne répond rien. Je sens que des questions lui brûlent les lèvres, mais qu’elle ne les posera pas. Et je n’ai pas trop envie de m’aventurer dans un domaine que je ne connais pas. Du moins, pas encore. Donc ça me convient bien. Nous bavardons encore un peu, puis nous nous séparons.




Eins, zwei, drei



Karl est ébahi par mes propos :



Il me prend dans ses bras :



Puis il m’embrasse. Quand nos lèvres se décollent, je demande :



Avec un grand sourire, Karl m’explique calmement :



Une fois de plus, nous faisons l’amour. Je ne me lasse pas de ce genre d’activité, surtout quand mon partenaire est doué et que je sais qu’il me désire ! Il est dommage qu’on n’enseigne pas sérieusement ce genre de chose, ni aux hommes et ni aux femmes. Puis deux jours s’écoulent.


Le soir étant tombé, nous sommes dans notre chambre en train de commencer à batifoler.



Aussitôt, Karl me bande les yeux. Je frémis de plaisir, mais je ne m’emballe pas, car avant-hier, mon mari m’avait aussi bandé les yeux, mais nous ne sommes restés qu’à deux. C’était un peu méchant de sa part de m’avoir laissé croire, bien que j’avoue avoir fortement joui sous ses jeux coquins et vicieux.


Mais très vite, je comprends que nous sommes partis pour un trio, avec la venue de nouvelles mains et d’une nouvelle bouche que je crois reconnaître. Ravie, je glousse :



Personne ne répond, mais je m’en moque un peu, je me laisse aller à toutes ces mains. Soudain, je me dis qu’il y a quelque chose d’anormal, mais sans arriver à mettre le doigt dessus. Je me concentre un peu, puis après quelques instants, je réalise :



Quand il y en a pour deux, il y en a aussi pour trois. Je me suis très vite habituée à être l’objet de désir de deux hommes, et je m’aperçois qu’un de plus, ça ne change pas grand-chose. Oui, il suffit de franchir le pont et tout de suite, c’est nettement simple, facile et évident, à tel point qu’on se demande pourquoi ne pas l’avoir fait plus tôt.


Pour l’instant, ça se déroule comme pour le début d’un trio. Je me demande ce qui se passera lors du grand moment critique. Je suppose que chacun des hommes voudra que je l’accueille en moi, et il n’est pas bien difficile de comprendre où chacun ira se loger. À moins que… à moins qu’il ne se passe autre chose, mais quoi ?


Le grand moment arrive, sans heurt, naturellement. Je suis à présent en train de m’asseoir sur un homme allongé en dessous de moi. Avec facilité, sa verge entre en moi, un assez gros morceau, je dois l’avouer, il s’agit sans aucun doute d’un nouveau comparse. Je sais, je sens que les deux autres hommes m’observent, dont mon mari, et ça me fait quelque chose. Pas seulement ce gros mandrin sur lequel je m’empale, mais cette trouble sensation d’être scrutée en train de jouer les catins sur la verge d’un inconnu.


J’arrive enfin au bout du chemin :



Deux mains ferment s’agrippent à mes hanches, tandis qu’un bâton bien dur s’immisce dans mon sillon fessier. Je constate que ce dernier est déjà bien humide. Lubrifiant ? Sperme ? Mélange des deux ?



Je sens distinctement la verge qui s’enfonce profondément en moi. Comme cette sortie devenue entrée depuis des années est devenue très passante, ce mâle n’a aucun mal à s’introduire en moi. Une fois de plus, j’ai le grand plaisir d’accueillir deux phallus en moi, deux mandrins qui voisinent l’un l’autre, séparés par une mince cloison. Déjà, les deux hommes coulissent en moi, ce qui me fait plein de choses partout dans le corps et particulièrement dans le ventre !



Mais ce sont les derniers mots que je dis, car le troisième homme exige que je l’accueille dans ma bouche, son gland sur mes lèvres est significatif de ce qu’il souhaite. Peu après, ce sont bien trois hommes qui sont à présent en moi.


En ce qui concerne les hommes, je ne sais pas si le nombre de partenaires sur une même femme les émule, mais j’ai l’impression qu’ils sont encore plus déchaînés étant à trois plutôt qu’à deux. Mes fesses subissent un va-et-vient d’enfer, tandis que mon connil est farfouillé à fond ! Durant ce temps, je réserve une belle fellation à celui qui est dans ma bouche.


Si mes lèvres n’étaient pas si occupées, je crierais de joie et de plaisir. C’est franchement quelque chose que d’être le jouet d’hommes qui vous baisent, je ne vois pas d’autre mot. Oui, ils me baisent, enfoncés dans mes trois trous bien comblés. Je suis dans l’attente qu’ils y déversent leur sperme, des litres de foutre pour me faire déborder !



Un premier râle monte dans mon dos, un homme se déverse sans retenue dans les profondeurs de mon anus bien élargi. J’adore quand une verge jaillit en moi, la preuve indéniable d’un désir qui s’assouvit !



Sans doute stimulé par ce premier mâle qui s’est laissé aller, l’homme que je suce remplit ma bouche d’un sperme assez épais. Je viens de reconnaître Karl au son de sa voix. Une bouffée de chaleur monte en moi, irrésistible ! Avec application, j’avale tout ce flot qui tapisse ma langue, mon palais et mes dents.



Le troisième homme cède ! Sa production de foutre sera-t-elle à l’image de la grosseur de son mandrin ? Je le saurais dans quelques instants. En attendant, lui aussi, il m’inonde en dedans, participant à mon remplissage de toutes parts ! Cette simple pensée d’être triplement pleine attise mon plaisir, ouvrant la porte à une jouissance qui ne demande qu’à me submerger !


Oui, je suis à la fois une vulgaire putain entreprise par trois mâles, et en même temps une femme si puissante, remplie du désir avide des hommes, et ravagée par ma propre jouissance.


Affranchie de toute contrainte, je décolle au lointain, par-dessus les nuages, enveloppée dans la moiteur de mon paradis sur terre, mon corps zébré d’éclairs de bien-être et de béatitude.


Tout est blanc, cotonneux, moutonneux…


Je suis si bien… loin… si loin…


Ailleurs…


Je suis repue, fourbue, mais heureuse. Comme s’il était de l’eau, tout mon corps se détend, se répand. Des lèvres s’aventurent sur mon ventre, puis descendent plus bas, toujours plus bas. Ça me chatouille, ça me gratouille, je résiste, mais ça me titille de plus en plus. Je proteste mollement :



Mais je parle dans le vide, les lèvres continuent de plus belle ! Je résiste encore un peu, mais c’est peine perdue. N’en pouvant plus, je me redresse vivement de mon oreiller, tentant maladroitement de repousser cette tête qui me donne des démangeaisons.



Soudain le bandeau glisse. Je suis tellement surprise que je ne fais rien pour le retenir. C’est avec un grand étonnement que je reconnais l’un des deux autres hommes :



Tout s’arrête, le temps semble suspendu. Karl intervient :



Mon mari tique un peu :



Je désigne le troisième homme :



C’est Randolph von Soulzbach qui répond :



Je regarde tour à tour les trois hommes, puis délibérément provocante, je dis calmement :



La suite me prouve assurément que non ! Oui, leurs ardeurs sont très ardentes !


Ne rien voir augmente les sensations, c’est certain. On est dans l’attente, les sens en éveil. Mais voir le pur désir dans les yeux de trois hommes est très excitant ! Sans parler de voir tout ce qui arrive, ce qui est très cochon, triplement très cochon…




Trois plus quatre



Depuis que nous avons discuté dans le parc, l’Impératrice et moi, nous nous côtoyons souvent. C’est étrange quand même, j’habite au palais depuis quelques années et c’est seulement maintenant que je commence à découvrir réellement ma belle-sœur.


Quand la première fois, je lui ai proposé de faire un petit tour, elle avec ses trois filles et moi avec mes quatre enfants, c’est tout juste si elle n’a pas trépigné de joie ! Plus je fréquente Lugdiwina, plus je me dis que je l’ai échappé belle ! Elle est peut-être mariée à notre Empereur, une alliance entre deux grandes familles très puissantes, mais elle n’est finalement qu’un pauvre pion, dont le réel rôle est de donner un héritier mâle. Juste un ventre.


Mais pour des raisons mystérieuses, les garçons décèdent vite, et de surcroît, son mari n’est pas porté sur la bagatelle. Alors elle compense autrement. Même les femmes les plus bigotes ont une inclination pour les histoires soit sordides ou soit sexuelles. C’est encore mieux si les deux sont mélangées. Lugdiwina aime que je lui raconte certaines choses de notre couple, ou certains potins croustillants. En ce qui me concerne, je m’en tiens pour l’instant à la dualité mari et femme. Inutile de lui dire pour l’instant que Karl et moi allons plus loin.


Il est quand même étrange de savoir que je suis devenue une sorte de coin de ciel bleu pour l’Impératrice, l’une des femmes théoriquement des plus puissantes de notre vaste bas-monde ! Aujourd’hui, je raconte diverses croustilleries que je tiens de mon époux. Lugdiwina demande confirmation :



Je fais un petit geste de la main :



Je souris de l’expression à demi-horrifiée de la voisine :



Lugdiwina devient songeuse :



À ce souvenir désagréable, je m’agite :



Tous en regardant les enfants s’ébattent, nous continuons à deviser de tout et de rien. Soudain, ma voisine me demande :



Lugdiwina en reste bouche bée. La regardant avec amusement, je continue :



Je hausse un sourcil :



Je vois bien qu’elle cogite. Puis elle finit par lâcher :



Je le souris perversement :



Aussitôt, elle blêmit. Conciliante, je calme aussitôt le jeu :



Je me remémore mon impérial beau-frère :



Lugdiwina s’exclame :



Ma voisine me regarde d’un air étrange. Je me demande si je n’y vais pas un peu fort. En d’autres temps et en d’autres lieux, ce genre de pensée m’aurait menée directement dans les mains de l’Inquisition, avec la quasi-assurance de mourir sur un bûcher. Je précise :



Heureuses les simples d’esprits, c’est la phrase qui me vient aussitôt à l’esprit, mais que je ne dis pas à voix haute. Tout ceci me lasse, la théologie et moi, ça fait nettement deux. Alors je décide de changer de sujet :



Je commente à ma façon :



L’Impératrice s’est exclamée tellement fortement que les enfants qui s’amusent non loin de nous la regardent intrigués. Avec un large sourire, je leur fais signe de continuer à jouer, puis quelques instants plus tard, j’explique :



Elle rougit un peu :



Elle devient écarlate :



À mots couverts, elle me raconte qu’elle a ressenti quelque chose d’étrange, mais très plaisant, et qu’elle ignorait ce que ça pouvait être. Visiblement, mon interlocutrice ne s’est jamais offert du plaisir avec ses doigts ou autrement. Je la rassure en lui disant que c’est tout à fait normal, surtout dans un couple, et que ça devrait être la norme : la jouissance.



Je suis embêtée, qu’est-ce que je lui réponds ? Après avoir pesé le pour et le contre de diverses possibilités, je décide de lui donner le choix :



Je n’aurais pas dû lui donner le choix. Tant pis, je me lance :



Je montre ma main que je plaque ensuite sur le bas de mon ventre :



Lugdiwina ne répond rien, elle attend visiblement la suite. Pour ma part, inutile de se lancer dans les détails. Je poursuis :



Posément, je capture ses mains dans les miennes, Lugdiwina frissonne. Mes yeux dans les siens, je réponds en souriant :



Puis nous nous mettons à parler d’autre chose, tout en regardant les enfants jouer. Fugacement, je me demande pourquoi je joue les initiatrices auprès de mon Impératrice. Je comprends alors le plaisir diffus qu’a eu Karl avec moi en jouant les professeurs particuliers.


Oui, je comprends très bien…




Apocalypse



La mine ennuyée, de retour auprès de moi après une convocation de premier ordre, mon mari se prépare visiblement à sortir :



Face au grand miroir, il ajuste sa tenue :



Il part dans un grand éclat de rire. Je souris. Karl se penche sur moi :



Nous nous embrassons. Karl passe dans la pièce suivante pour dire au revoir aux enfants qui sont sous la surveillance de deux gouvernantes. Puis il s’en va accomplir son devoir. Comme il fait beau, je décide d’emmener tout mon petit monde faire une promenade autour du lac artificiel, celui qui me rappelle certains souvenirs…


Les enfants s’amusent bien, ce qui est l’essentiel. Néanmoins, il faut faire attention, ils sont souvent inconscients du danger, même si l’eau est peu profonde. Puis, quand je constate les premières traces de fatigue, je reviens lentement avec eux vers le palais. Même la plus grande s’effondre sur son lit en un rien de temps.


Livre en main, je décide d’attendre le retour de mon mari. À peine six heures ont sonné à l’horloge que je vois arriver, dans la pièce où je suis, Randolph von Soulzbach, accompagné de trois autres personnes. Qu’il est étrange de savoir que c’est avec lui que j’ai pu franchir le pas…


Posant mon livre, je me lève pour venir vers lui :



Randolph se précipite sur moi, me repoussant carrément dans le fauteuil dans lequel je dois m’asseoir à nouveau. Je fronce des sourcils, face à moi, ce n’est plus le Randolph que je connais si bien. Devant les autres personnes présentes, à ma grande stupéfaction, s’agenouillant à moitié, il capture mes mains dans les siennes, comme s’il voulait me demander en mariage :



Pressant mes mains encore plus fortement, Randolph annonce d’une traite :



Le choc est si rude que je m’évanouis instantanément !