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n° 20033Fiche technique18651 caractères18651
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Temps de lecture estimé : 13 mn
27/01/21
Résumé:  Les reliefs de la dînette épongés, on se prépare pour l'exécution du gage de Sophie. Sa démonstration convaincante suscite l'envie de Marion. D'autre part, la relation entre épistolières continue d'évoluer.
Critères:  #épistolaire #lesbienne fff jeunes amour voir exhib intermast cunnilingu anulingus fdanus lavement
Auteur : Dyonisia  (Rêves et autofictions... souvenirs et confidences...)      Envoi mini-message

Série : Les conséquences d'un essayage inopiné

Chapitre 06 / 07
Plaisir d'offrir, joie de recevoir

Résumé des épisodes précédents :

Au début de ce « cadavre exquis », le hasard d’un shopping amène Chantal et Sophie à se découvrir des affinités réciproques. Ayant approfondi leur connaissance mutuelle et partagé diverses fantaisies érotiques, elles se rendent chez Chantal qui présente à sa charmante vendeuse les jeunes filles qu’elle héberge. La rencontre avec Babette et Marion s’ouvre sur un concours de masturbation. Marion gagne, Sophie perd. Avant l’exécution des gages mérités, les quatre complices s’octroient une légère collation, aussi gourmande que coquine, dont les débordements doivent être assumés.






Sophie


Oui, j’étais inquiète quand tu m’as assigné la vérification de la température du thé. Des images furtives de gouttes de cire sur un téton m’ont fait frémir. Mais l’expérience s’est avérée plus douce qu’éprouvante. Les lèvres et la langue de Babette ont réveillé les frémissements de mes mamelons. En tétant le liquide qui les recouvrait, elle a mis fin à mes craintes.



Pas la peine de me répondre, la façon dont tu te tiens est une confirmation évidente ! Ta pose érotique tourne à l’obscénité. Je suis sûre que c’est exprès, pour m’exciter encore plus. Tu me défies. Tu veux me montrer jusqu’où tu es capable d’entraîner tes protégées dans la luxure. Eh bien, je vais la remplir de thé, ta grosse chatte ! Je vais la remplir jusqu’à ce qu’elle déborde. Ça la nettoiera pour de bon.


J’ai cependant une hésitation en versant la théière. Quel effet va avoir le liquide sur tes muqueuses internes ? Je suis rassurée par ta réaction satisfaite. Trop satisfaite, même !


Du coup, j’ai la tentation de fourrer ma main dans cette cramouille grande ouverte. Un bon fistage qui ferait tout sortir. Mais il faudrait tout recommencer, et il n’y aurait plus assez de thé. Par contre, je peux m’en servir comme d’une tasse, de ta chatte. C’est bien à ça que vous devez penser, toutes les trois, vilaines cochonnes. Je le vois à vos yeux. Bon ! Eh bien, pas la peine non plus de me montrer, je crois que je sais comment faire.


Je colle ma bouche à ton con, le menton dans ton cul. Je tire la langue pour laper le mélange, mais ce n’est pas pratique. Elle n’est pas assez longue. Je ne suis pas une chienne. (Enfin, si, éventuellement, mais pas pour ça.) Tes hanches me serviront d’anses. Je les prends à deux mains et je te force à basculer le bassin vers moi. Là, c’est bon, je peux boire à même ton vagin.


Drôle de goût, drôle de consistance, l’âcreté du thé se marie au douceâtre de la mouille. Les arômes des deux se mêlent étonnamment bien. Il y a peut-être une mode à lancer. Tout en buvant j’imagine un dialogue dans un bistro branché, au Bar des Chattes disons : « qu’est-ce que je vous sers, Madame ? », « un thé cyprine, Mademoiselle ». L’idée me fait rire et je manque m’étrangler. Je l’évite, heureusement, et j’avale tout jusqu’à la dernière goutte de ce nectar nouvelle recette.


J’ai le bas du visage tout barbouillé de CyprinoLipton quand je repose ma tasse vide. Je veux dire quand je remets ta chatte à l’horizontale. Elle n’est pas si bien nettoyée, après tout : je vois des filets gluants qui tapissent encore les petites lèvres. Je reprends la théière pour vider le reste dessus, et je les lèche soigneusement ensuite, histoire d’être certaine de leur propreté.





Chantal


J’ai envie de te répondre qu’il ne faut pas confondre mon cul avec de la vaisselle sale, mais non.



Ce n’est pas vraiment vrai car, en me levant, je sens du liquide qui me coule entre les cuisses. Comme je ne suis pas une femme fontaine, que je sache, et que je suis sûre de ne pas avoir laissé échapper un pipi involontaire, c’est donc parce que tu n’as pas vidé complètement ta tasse, comme tu dis. Ce n’est pas grave, je ne te punirai pas pour ça. Quoique…


J’avoue que l’idée m’en est venue, et que si nous n’avions pas à nous occuper de ton gage et de celui de Marion, j’aurais eu probablement envie de te donner une fessée. Ou plus, si la chose t’avait plu. Je me contente d’une petite tape, un peu appuyée c’est vrai, sur tes jolies fesses, en te léchant les lèvres et le menton pour récupérer à mon usage les gouttes de thé-cyprine qui s’y sont égarées.


(NB - hors scénario : bonne idée, au fait, de créer une marque. Je ne sais pas si les gens de Lipton accepteraient l’appellation « CyprinoLipton », mais un établissement branché très spécialisé, ton Bar des Chattes, avec une collection de demoiselles et de dames, d’âges divers, comme serveuses, pourquoi pas ? Les clientes pourraient choisir en commandant leur thé-cyprine : aromatisé à la blonde, à la brune, à la rousse… On pourrait même organiser des soirées dégustations, pour gourmandes averties !)


Bon, revenons à notre préoccupation du moment. Pendant que les filles débarrassent le lit des tasses, théière et plateau, j’étale l’éventail de godemichés parmi lesquels Marion choisira celui qui te sera destiné. Je n’oublie pas d’y joindre le gel qui traînait dans le tiroir – tu vois que je pense à ton confort – et j’ajoute sans crier gare l’énorme gode noir que je t’avais présenté tout à l’heure. Celui qui t’avait tant inquiétée.


Je vois tes sourcils qui s’arrondissent d’une nouvelle surprise angoissée que je fais mine d’ignorer en manipulant avec attention cet instrument de terreur. Quand j’enclenche le bouton que je cherchais, la partie supérieure, le gland pour être précise, se met à tourner en ronronnant et c’est ta bouche qui s’ouvre comme un O d’anxiété muette. Je te laisse languir un moment entre étonnement et crainte avant de pousser le second bouton qui allume la guirlande de lumières multicolores entourant la tête d’éclats successifs.


Ton soupir de soulagement est plus que perceptible, mais il se transforme en rire lorsque tu vois le faux méat lancer des flashs par intermittences.



Marion hésite pour sélectionner celui qu’elle te destine. Elle m’observe du coin de l’œil en les manipulant un à un, dans l’espoir que je la conseille, du regard au moins. De mon côté, je surveille tes réactions chaque fois qu’elle joue avec un des modèles pour essayer de deviner celui qui te conviendrait.




Sophie


Je m’étais promis de rester stoïque et courageuse, quel que soit le choix de Marion. Pourtant, je ne peux empêcher mon visage de tressaillir lorsqu’une circonférence ou une forme me paraît difficile à recevoir dans mon petit trou. Heureusement, elle arrête sa décision sur un gode nacré d’une douzaine de centimètres. Son diamètre est raisonnable : environ deux doigts. Je te remercie d’un battement de cils reconnaissant.



À mon tour, je fourrage dans le reste de ta collection. Il y en a un superbe, gros, courbe et couvert d’aspérités arrondies. Je le mettrais bien tout de suite dans ma chatte, à défaut d’autre poche sur moi. J’y pense avec regret en l’inspectant, mais le regard affolé de Marion me venge de ma frustration. En le reposant, je repère un petit gode rose de dix centimètres et pas plus gros qu’un pouce.



Tu nous présentes à chacune une poire à lavement dont Marion ne semble pas savoir que faire. Je la prends par la main.



Il nous faut moins de temps pour arriver à la salle de bain que pour trouver le fameux flacon. C’est Marion qui le repère, derrière une boîte de tampons. Après tout, c’est logique. Il y a un dosage de prévu, que je respecte plus ou moins en estimant les volumes. (Que ne me fais-tu pas faire !) J’équilibre les proportions au mieux pour chaque poire et par souci d’équité, je laisse Marion choisir la sienne. Ensuite, j’improvise.



Une savonnette parfumée convient assez bien pour graisser le bout de la canule que j’introduis délicatement dans son anus. Je commente mes gestes au fur et à mesure. J’espère qu’elle s’en souviendra quand ce sera mon tour…



Un grognement d’assentiment me répond. Je commence lentement puis je vide la poire d’un coup.



À peine suis-je en position qu’elle enfourne mon cul sans précaution. Elle a oublié de savonner l’extrémité, la coquine ! J’ai beau être détendue et pas douillette, ce n’est pas agréable. Pas plus que de recevoir sans attendre la totalité du contenu dans les boyaux. J’évite de justesse la catastrophe lorsqu’elle enlève trop vite la canule. Ouf !



(PS - hors scénario : à propos de ta suggestion de soirées dégustation dans mon Bar des Chattes, je propose que les invitées averties déterminent la saveur particulière de chaque serveuse. Par exemple, vanille pour la brune, pêche pour la blonde ; ou le contraire… L’arôme de chacune serait mis sous le prénom sur l’étiquette, pour guider le choix des clientes. C’est juste une idée.)




Chantal


Nous avons fini de remettre de l’ordre dans la chambre quand vous revenez, toutes proprettes, Marion et toi. J’ai étendu mon peignoir de bain sur le lit, à défaut de la grande serviette que j’avais pensé utiliser. Aller la chercher dans la salle de bain aurait dérangé votre intimité…


C’est maintenant que tu vas devoir donner de ta personne, ma chérie. Il faut te mettre à quatre pattes, pour que Marion puisse bien suivre le déroulement de la préparation et de l’introduction. Mais rassure-toi, Babette s’allongera sous toi, tête-bêche, et je poserai un petit coussin sous sa nuque pour qu’elle s’occupe de ta chatte sans se fatiguer. Tu auras la sienne juste à portée de ta bouche si l’envie te prend de la gougnotter pendant que j’enfoncerai le gode dans ton cratère épanoui.



Ces raisons objectives te donnent à sourire et tu prends place gaiement en chantonnant à mi-voix s’ils sont chiffonnés, c’est de nos prouesses, en sont-ils moins beaux… Ma foi, ce vieux refrain est assez pertinent pour que Babette et Marion le croient de ton invention et s’en réjouissent. Sois tranquille, je ne les détromperai pas ! Je préfère apprécier le joli tableau de ton derrière au-dessus de la bouche de Babette. Elle tire déjà la langue pour essayer de titiller ta fente, la coquine ! Je n’ai pas le cœur de l’en empêcher, d’autant que je suppose sans grand risque que tu n’auras pas attendu pour cajoler son minou, non ?


Ce sont tes belles fesses qui m’attirent. Avant de te beurrer la raie (passer le gel, quoi !), je les flatte du bout des doigts, caresse le sillon, les empaume, les masse. Tu ronronnes de plaisir pendant que je les couvre de petits bisous, de léchouilles, du bas des reins à la fossette du haut des cuisses, de l’arrondi de la hanche au bord étroit de l’hémisphère, au hasard d’abord, puis en cercles concentriques de plus en plus près du centre des délices.


Babette et Marion suivent les circonvolutions de ma bouche avec attention, l’une de bas en haut, l’autre la joue contre mon épaule. Là, j’y suis ! Je fends la lune en deux, à parts égales, les plus éloignées que je peux pour tendre la peau fine de la vallée secrète, pour étirer le cratère rose brun de ce petit trou qui palpite déjà. Je le laisse frémir tout son saoul, me charmant de tes grognements d’impatience. Je désapprouve un doigt curieux qui voudrait en éprouver la souplesse. Il est à moi, à moi seule !


J’approche mon nez de ton coccyx, le fais glisser lentement vers l’œillet, le lui fais à peine effleurer, par de légers mouvements circulaires. Mes lèvres frôlent les narines de Babette qui suce consciencieusement tes nymphes. Elle les quitte pour me tendre sa langue. Je la refuse, je ne veux pas que la mienne soit troublée par ta cyprine. Je veux que mes papilles soient vierges (ne ris pas !) pour découvrir ton goût le plus intime. C’est fait ! J’ai fiché la pointe de mon appendice, roulé comme une toute petite bite, au centre de la cible frissonnante.


Je lèche les plis de l’étoile, les pétales de la rosette s’étalent presque aussitôt… Hum… c’est bon ! C’est un peu poivré, avec un rien de… gingembre, peut-être. Je ne retrouve pas le souvenir de fleur d’oranger auquel je m’attendais. Par contre, ce n’est pas que ma salive qui les imprègne… Tu mouilles du cul, ma chérie ! Je n’aurai pas besoin de mon pouce pour attendrir ton anus, encore moins de l’index. C’est quasiment dommage d’y mettre du gel…


J’en dépose une grosse goutte, quand même, par sollicitude affectueuse. Je l’étale sur le pourtour de la rosace qui révèle son centre rose, je l’y pousse d’un doigt décidé. Tu tortilles des hanches, tu es prête, si prête que tu es à la limite de me reprocher de te faire languir. Ton cul se rehausse, tu as replongé entre les cuisses de Babette pour tromper ton attente. Le gémissement qui lui échappe prouve que tu as réussi.


Je pose le bout du gode en place. Marion ouvre grand les yeux. Je joue du poignet pour imprimer de lentes rotations à l’objet qui pénètre peu à peu dans le conduit, passe en douceur le sphincter décontracté, s’enfonce plus franchement. Le soupir d’aise dont tu nous gratifies m’autorise à poursuivre. Je retire à moitié la partie absorbée, la renvoie derechef, plus loin, plus profond. Je recommence, j’insiste, je répète… Seule la base dépasse de ton trou, maintenant. J’enclenche la molette, le gode vibre, tu geins.


Ma main va-et-vient, guidant la direction et la profondeur des enculages, lentement, sans hâte. Je prends tout mon temps pour faire monter le plaisir, accroître ton impatience… Là ! Tu viens de grogner de dépit. J’accélère, mes à-coups sont plus rudes. Je ramone, je lime, mes doigts butent sur la corolle, s’engluent de la mousse crémeuse qui la couvre. Tu noies tes plaintes dans le con de Babette. Tu le bouffes si bien pour les étouffer que la bienheureuse en abandonne ta cramouille baveuse. Je l’invite à reprendre ses succions, je lui intime de te téter le bouton. Je ne ralentis pas le rythme ni la vigueur de mes enfournements. Au contraire. Si vite, si fort que j’en ai mal au bras…


Un gargouillis, ta tête qui se relève, un feulement, une dernière contraction de la fleur qui enserre la dernière intrusion du mandrin. Ton corps se cambre, tes reins se creusent, tes fesses se dressent, tes cuisses se tétanisent. La tête rejetée en arrière, tu glapis.


Un spasme encore t’agite, ou deux, ou trois, chacun sanctionné d’un cri de jouissance… Tu t’amollis, tu retombes, tu roules sur le côté, échappant à mes mains, bousculant Marion, entraînant Babette toujours rivée à ta moule.


Tu reposes sur le flanc, les yeux clos, les mains sur tes genoux ramenés sur ton ventre, les orteils parcourus de frémissements. Le gode luisant sort paresseusement de ton cul et vibre dans le vide…


(PS - hors scénario : ton idée de badge pour les arômes de ces dames est géniale, j’achète ! À quand l’inauguration du Bar des Chattes ?)




Sophie


(NB - hors scénario : quand tu veux, si on l’ouvre ensemble ! Qu’en dis-tu ? Tu pourrais assurer l’animation avec tes protégées…)


Hou lala ! J’ai des frissons du bout des orteils aux lobes des oreilles. J’ai l’impression d’avoir encore les vibrations du gode dans le rectum et l’anus qui rechigne à se rétrécir. Mon esprit est vide et mon corps ne répond plus. Pourtant, il me semble flotter au-dessus du lit, déconnectée du monde, envahie par un sentiment de plénitude sereine. C’est bien mieux que la plus coûteuse séance de sophrologie !


Il me faut me secouer pour sortir de ma léthargie. Je vous vois autour de moi, chacune pensive et m’observant. Babette, satisfaite, qui passe sa langue sur ses lèvres pour ne rien perdre des liqueurs qu’elle m’a dérobées. Toi, mutine, qui me regarde avec fierté en léchant le gode. Marion, les yeux émoustillés, qui hâterait bien volontiers mon retour à la vie. Je lui souris, je sais ce qu’elle attend de moi. Mais d’abord, ma chérie, je dois te remercier.





Chantal


Je t’embrasse bien volontiers, même si Marion trouve que c’est du temps perdu avant de satisfaire son impatience. D’ailleurs, je suis flattée de tes éloges et j’estime avoir le droit de les apprécier ! Tu en mérites aussi, je dois le reconnaître, mais par taquinerie, je fais mine de devoir être discrète.



(PS - hors scénario : je vais étudier très sérieusement ta proposition. Qui sait ?)




À suivre