n° 20087 | Fiche technique | 40282 caractères | 40282Temps de lecture estimé : 24 mn | 25/02/21 |
Résumé: Le narrateur a préparé un week-end pour ses deux amantes, mais il ne va pas se dérouler comme prévu ! | ||||
Critères: fh ffh 2couples fplusag jeunes poilu(e)s boitenuit caresses intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo partouze -consoler | ||||
Auteur : Franckosaurus Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Àté 95, je découvre le sexe avec une copine d’enfance. Une nouvelle amante, expérimentée, a jeté certains troubles, certaines jalousies, que je pense gommés. J’ai mon vendredi après-midi, ça va le faire !
Ce jeudi matin est une journée calme au boulot, quasiment pas de monde. J’en profite pour demander à aller finir mon rangement au stock. J’ai déjà fini ma tâche initiale, mais j’ai pris goût à ça, autant être utile ! À midi je peux prendre une vraie pause déj’, et mon boss me signale, avec un petit sourire en coin, que la sœur de ma copine est passée pour « voir si la commande était arrivée ». Un simple coup de fil lui aurait évité cette visite…
Le soir après dîner, j’appelle chez Fabienne, et tombe sur sa sœur.
Toujours sympa de moucher cette bêcheuse. On convient avec Fafa de se donner rendez-vous en ville le lendemain midi. Il me tarde de passer l’après-midi avec mes deux partenaires. Très bonne séance branlette.
Ce vendredi midi il fait beau et chaud. Elle est en petite jupe beige, top blanc, sandales à talons et créoles, son maquillage est léger. Elle sent son parfum floral quand je l’embrasse.
On déjeune en ville d’un plat du jour en brasserie, puis on descend au Jardin des Plantes s’allonger pour une sieste, que je tente de crapuler, mais la miss repousse toutes mes tentatives « t’avais qu’à mieux m’occuper de moi mercredi soir ». Bon, la sieste sage c’est pas mal aussi, hein.
On va attendre Marie-France à la sortie de son boulot, en centre-ville. Elle sort dans une tenue similaire à celle de Fabienne, à croire qu’elles se sont concertées entre elles, hum hum hum.
On s’installe prendre un café en terrasse, Marie-France l’accepte, car, là, je suis accompagné, ça suggère beaucoup moins un couple adultère. C’est marrant de constater cette analogie vestimentaire, même si elles sont physiquement très différentes. Je le leur dis, et aussi qu’elles sont superbes toutes les deux, c’est un fait. Y’a un Interflora à 100 m, je cours vite fait prendre deux roses jaunes, que je leur offre. Évidemment, elles sont ravies, c’est un vrai plaisir de voir deux beautés pareilles qui vous sourient. Les fleurs, les mecs, LES FLEURS !
Mais Marie-France m’indique qu’elle va me prendre Fabienne…
Tu parles, bien sûr que je suis fâché, je vais passer cet aprèm chez moi, seul, alors que mes deux amantes sont ensemble, à croire qu’elles me punissent. Comme souvent dans des cas pareils, je passe mes nerfs sur mon vélo en rentrant. Habiter sur les hauteurs a cet avantage, rien de tel qu’une bonne montée pour évacuer la rage.
Je passe un bon après-midi, à la piscine, imaginant ce que mes deux amantes font ensemble, et surtout ce qu’elles pourront ME faire ensemble ce soir. J’en profite pour bien me raser partout en bas, me faire tout beau pour elles, et vers 19 h 30, je me cale dans une chaise longue dehors.
Fafa débarque un peu plus tard dans sa voiture, seule, sapée pareil.
Ça sera du reggae, de l’acid jazz, et de la house. Je tente de la caresser sur la route, elle me chasse. Grrr ça commence à bien me gonfler ces frustrations répétées.
On arrive au Lac du Tordre, emprunte un chemin caillouteux, ah, il y a l’Austin Mini rouge. On se gare à côté, marche parmi les hautes herbes jusqu’à trouver une aire dégagée qui donne sur l’eau. Une large nappe en coton a été installée, avec deux glacières et Marie-France dans la même tenue que tout à l’heure, qui sort une bouteille de champagne.
Chacun on a une joue, que l’on couvre de bisous, elle rigole. (Avec le temps, je pense que Fafa, bien qu’elle ne sera jamais un génie pour les études, a cette intelligence de jouer à l’idiote). On trinque sur du Aswad, et pique-nique à base de taboulé et de charcuteries. Les nanas n’arrêtent pas de se reluquer entre elles, sans moi, c’est un peu bizarre, limite même malaise. La deuxième bouteille de champ’ est vite exécutée. On imagine des scénarios débiles de retrouvailles pour ce vieux couple marié qui va renaître, c’est marrant. Surtout je sens qu’enfin je vais baiser ces deux femelles par tous les trous, j’en bande déjà.
Je mets le dernier album d’incognito, nettement plus dansant, pendant que je fume une clope, les filles se mettent à danser pieds nus, elles s’observent et se caressent. Je reste assis, me faisant des films dans la tête. Elles fument en dansant et se fixant avec envie : je connais leurs deux regards.
De temps en temps, les leurs croisent furtivement le mien, genre « pff, il est encore là, lui » (c’est du moins ainsi que je l’interprète). Elles ne font aucun geste vers moi, ça n’est qu’entre elles. Je suis fatigué, je laisse faire, pas envie de lutter. Fabienne me fixe, avec son air sexy, mais soucieux qui trahit son malaise : elle sait que son mec n’est pas dans ses baskets. Elle a raison : je me lève, l’embrasse tendrement, prends ses mains, pour les remettre dans celles de Marie-France.
Je les embrasse en souriant de façon diplomatique, elles sont un peu surprises, mais se tiennent toujours la main, ce que j’interprète comme un gros doigt d’honneur. Je m’en vais sans me retourner.
Je suis frustré, jaloux, dégoûté. Me suis défoncé le cul toute la semaine pour cet après-midi et cette soirée, pour que dalle, niveau sexe. Deux fois, je me suis fait avoir aujourd’hui. Mais marcher calme les nerfs et permet de réfléchir, notamment sur cette nouvelle accoutumance. Besoin d’un break, fuck Fabienne, fuck Marie-France, fuck le cul, demain j’appelle des potes pour sortir sur Toulouse. Et je me dis aussi que je me suis monté la mayonnaise tout seul dans ma tête toute la semaine, quel couillon, ça m’apprendra. Je m’endors comme un bébé.
Heureusement, le samedi est une journée de fou au magasin, les affaires reprennent en cette fin août. Pas le temps de penser, plein de monde, c’est une bonne anti-déprime.
J’appelle vite fait mon pote de fac et camarade de soirée préféré Akim qui est enfin rentré de vacances. Il est montalbanais comme moi, on se donne rendez-vous chez lui après dîner.
Milieu de matinée, tiens, je vois Sandrine au comptoir. Sandales à talons compensés, jupe portefeuille longue bleu marine, tee-shirt large noué à la taille. Putain quel canon quand même ! Il y a du monde, je sers plusieurs personnes, une demi-heure plus tard, elle est toujours là alors qu’elle aurait pu déjà être servie par un collègue. En fait, elle veut me parler en privé.
J’indique à mon boss que je prends ma pause clope, vu qu’il n’y a plus de clients en attente. On va à l’arrière du magasin, où il y a des carreaux extérieurs en expo, et des lots indivisibles sur de hautes palettes : on peut s’isoler facile. Je lui en propose une qu’elle accepte et que j’allume. Elle s’appuie contre une palette et plie sa jambe. Elle sait vraiment se mettre en valeur, la jupe portefeuille c’est très sympa. Mais là, je suis sur MON territoire, et en mode boulot. Exprès je force le trait en fronçant les sourcils.
Et elle fait un tour sur elle-même, se cambrant au passage, mon Dieu quelle beauté ! Pas besoin de soulever sa jupe, j’ai déjà un barreau d’enfer.
… Et j’ai juste fini ma cigarette, ça a à peine duré cinq minutes, putain. Ça vient à point nommé avec ce qui s’est passé hier soir, une façon de se venger de la gent féminine. Je suis étonné de m’être permis de traiter une nana de cette façon, très brutalement, mon mythe de la princesse vient d’en prendre un sacré coup. Et surtout, j’apprends que faire le mauvais garçon, ça peut marcher aussi !
Le reste de la journée se passe forcément super bien, la foule est dopant naturel. En partant, 50 m après le portail, je vois Marie-France et son Austin garée. Envie de passer outre en passant devant, mais pas de passer pour un goujat non plus. Je m’arrête, lui tape une bise franche, mais sans tendresse, elle sent le musc léger. Soucieuse, elle me propose un verre, je la suis. On s’arrête au premier café sur la route. Elle brise la glace façon conseil de famille.
On se quitte avec une embrassade, et le sentiment d’avoir recollé certains morceaux. C’est bon pour l’ego. Et aussi donc Marie-France sortait aussi avec des filles avant de se marier, ce qui peut expliquer cet épisode avec Fabienne : revivre ses jeunes années ?
Après dîner, je descends donc à vélo chez poto Akim, un beau métis reubeu, beau et bâti comme un dieu, sauf qu’il ne fait que 1,65 m. Bref, il me rend près de 20 cm. Encore heureux : on ne peut pas tout avoir dans la vie ! C’est un bon fêtard, mais sérieux, le genre qui roule doucement en faisant gaffe quand il est bourré, ne démarre jamais une bagarre, mais est présent si besoin, et qui ne profite pas d’une fille bourrée. Le plus marrant, c’est qu’il a grandi dans la rue, fait quelques bêtises, et maintenant il fait son Droit, et y réussit. La conséquence, c’est qu’en public, il parle super châtié, cite des grands auteurs, mais dans l’intimité, le lascar à casquette est de retour !
Il crèche chez sa mère divorcée dans un grand, beau et décrépit appart du centre. Il s’est acheté une paire de Technics et une table. On passe en fait tout le début de soirée en apéro mix, je pige assez vite la technique de calage, c’est le kif, alors le temps passe vite.
Vers minuit et demi, on bouge avec la voiture de sa mère, on sera au club vers 1 h 30, un peu en avance, mais bon. Sur la route, il me conte ses ébats sur les plages du Roussillon. En fait il a squatté avec une grande, brune, et bouclée hollandaise très exhib’, mais à part ça, c’était plutôt classique : bonne partenaire, mais juste des coïts simples. Je lui parle de mes récentes aventures sexuelles. Akim hallucine de nos diverses expérimentations : de puceau à gros niqueur en un mois à peine, il me demande s’il y a moyen de moyenner un truc avec mes amantes ! Il m’assure être ultra clean niveau HIV/MST, alors je le chauffe avec Marie-France. Il me répond que si elle ne ressemble pas au tableau que j’en fais, il me (sic) « marrave ma race » ! C’est une belle nuit d’été, chaude, mais agréable.
Le club est assez vide, on sent bien que c’est encore les vacances. Pas grand monde au rez-de-chaussée, deux brunes de (jolis) dos boivent un coup avec des mecs au fond du salon. Pas besoin de monter au vestiaire. Direct on descend au sous-sol, là où ça se passe. Pas le DJ titulaire, c’est Fab’, un copain, qui le remplace, il joue une house orientale planante et minimale.
Le dancefloor est assez plein : c’est une petite cave voûtée basse de plafond. Akim fait son baragouineur, on réussit à rentrer dans la cabine, spacieuse, sombre et avec un extracteur d’air. J’ai compris la taxe dont il faut s’acquitter : je roule un trois feuilles et le tend à Fab’, qui nous offre en retour un verre sur sa bouteille. On observe la piste, c’est bigarré, il y a de tout, ça bouge bien, car il y a la place.
Consommations finies, on va sur la piste au fond, près des enceintes. C’est sombre, ça sent la clope, la sueur, les parfums variés et le poppers. Le son est bon et puissant, on kiffe bien. Tellement que j’ai pas remarqué une grande brune en créoles, top à bretelles noir corsaire gris que je crois connaître et sandales à talons, qui me tourne le dos avec sa petite copine en créoles aussi, en petite robe noire et spartiates compensées. Elle bouge vraiment super bien, avec des mouvements, des routines que je reconnais.
Je me rapproche, je reconnaîtrais cette odeur entre mille : celle de… « chez moi ». Je pose mes mains sur ses hanches, pas de refus, et danse en miroir, calquant des mouvements. J’invite Akim à faire de même avec l’autre « fille », qui joue elle aussi le jeu, de dos. Mon pote la trouve à son goût, cool ! Au bout d’un moment la mienne se retourne, OK c’est bien ma Fafa, fardée gothique. Elle sourit légèrement, tête penchée, mais dans ses yeux, c’est plus franc, c’est intense. Je prends ses mains dans les miennes, et on se met à danser. Akim et Marie-France font de même, c’est cool, ils sont assortis et manifestement se plaisent puisqu’ils se collent direct avec un grand sourire partagé. En passant, mon pote me fait un pouce en l’air et un clin d’œil. Je reste sobre, à dessein avec la mienne, très gentleman. J’ai aussi envie de la faire languir un peu, petite et douce vengeance !
Ça fait longtemps qu’on n’a pas dansé ensemble, et j’ai envie de voir bouger ce corps que j’ai et que je vais encore, je pense, posséder. Elle sue, ses tétons pointent, ses yeux noirs sont mi-radieux-soucieux. Mon Dieu qu’elle est sexy ! Quelle charmante torture pour moi aussi de se retenir. Akim est en rut, il veut embrasser Marie-France, qui le repousse sans le rejeter, en rigolant. C’est marrant à voir : un jeune lion avec sa dompteuse !
Au bout d’un long moment, on remonte au rez-de-chaussée pour boire un coup, Marie-France commande direct une bouteille de champagne. C’est chouette de faire la teuf avec une épouse aisée ! Akim n’arrête pas de lui faire des bisous sur sa main, qu’elle lui a cédée pour être tranquille, elle est morte de rire. J’en ai assez. Je me retourne vers ma Fafa, sexy-anxieuse. Elle me plaît trop. Je prends son visage dans mes mains, m’approche très lentement pour en profiter au maximum et l’embrasse tendrement, on se roule une pelle ultra tendre.
Du coup, Marie-France cède aux avances de l’autre mort de faim elle aussi et fait de même avec Akim, tout en le forçant à rester sage. Vu qu’on est seuls au salon du rez-de-chaussée, Dominique le/la barmaid/barman qui nous connaît bien nous lance un « GET A ROOOM ! ». Avec mon pote, anglophone lui aussi, on s’écroule de rire, d’autant plus que les nanas, elles, n’ont rien compris !
Une fois la bouteille finie, d’un commun accord on décide de bouger. On fait sonner le seau à pourboire de Dom « super vanne, chéri(e) ! » . Avec Fafa on se tient la main, dignes, alors qu’Akim est scotché sur Marie-France. Sur la place Saint-Georges, Akim roule un bédo, l’allume puis le passe à sa conquête en lui faisant plein de bisous. Du coup elle nous le passe, prend la main d’Akim et nous demande de patienter « cinq minutes, pas plus » avec un clin d’œil. On les voit disparaître derrière une porte cochère. Avec Fafa, on fume en ne se quittant pas des yeux une seule seconde, assis sur un muret. On se pardonne tout sans avoir besoin de se dire quoi que ce soit, et ça, c’est chouette. On s’embrasse très tendrement, ventres collés. Il y a de l’amour dans l’air.
En effet, peu de temps après, Marie-France revient avec son étalon, manifestement bien calmé, sourire jusqu’aux oreilles, comme s’il avait gobé un extasy. On décide de repartir en couples mixtes, chacun avec sa chacune. Fafa a pris sa voiture, elles ne sont pas garées au même endroit. Mais on s’attend au péage d’autoroute. Je pique un roupillon dans la caisse, j’ai eu une longue journée, moi. Je sens sa main sur mon front, c’est bon.
Un bisou sur l’œil me réveille. On est arrivés chez Marie-France. Celle-ci sort une bouteille de champagne du frigo, on trinque encore, ça me fait du bien. Akim a eu la bonne idée de prendre une cassette de R’n’B US. Chacun enlace sa partenaire, c’est chaud, très vite on s’est déshabillés. Akim est surpris de l’absence de sein gauche de sa partenaire, mais passe outre très vite en lui rendant hommage : il la tète comme un bébé, c’est très mignon. Je savais qu’il allait bien réagir.
Avec Fafa on est très love, très doux, on se redécouvre avec grand plaisir. Alors que pour les deux autres, c’est vite passé en mode bestial. Marie-France apprécie les manières rustres de son amant, elle s’accroupit et se met à le sucer bien fort, ravie de son calibre. Mon pote est nettement mieux monté que moi, beaucoup plus épais et doit faire dans les 20 cm, il est très poilu aussi. Fafa l’imite, mais plus lentement en m’aspirant bien fort, j’adore. Avec mon pote, on se regarde, sentant qu’on partage un truc unique, qu’on va peut-être devenir de vrais amis. Les nanas nous sucent en se matant elles aussi, comme des copines au salon de thé dégustant leurs éclairs au chocolat.
Akim avec son culot habituel, demande à Fafa de le sucer ensemble avec Marie-France. Comme elle n’arrête pas de mater sa queue. Bien sûr, je suis d’accord, et je lui fais oui de la tête : d’ailleurs c’est inutile : je n’ai aucun droit sur mon amante ! Deux meufs à genoux qui vous rendent hommage, ça doit être super, en tout cas c’est chouette à voir pour de vrai ! Perso ça m’arrange : à choisir je préfère bouffer un cul que de me faire sucer. J’en profite de mon côté pour les doigter et les lécher à tour de rôle. Marie-France est poilue, dodue, forte. Fabienne est glabre, délicate, sensible. C’est super intéressant de leur faire la même chose à chacune et voir leurs réactions, même si elles sont occupées. Mon pote, lui, est aux anges, avec les techniques différentes des deux. Je suis un petit peu jaloux, mais c’est pas grave.
Dans le même canapé en cuir, je prends Fafa en missionnaire, mes yeux dans les siens, toujours très love, très tendre. On est très isolés, je veux lui faire l’amour du mieux que je peux, très appliqué. Fabienne me laisse faire, très contente de mon attention. Tout à côté Marie-France est en levrette avec Akim, qui bourre directement bien fort, même si sa partenaire lui demande d’y aller certes puissamment, mais lentement. Ce beau cul poilu de mec qui bouge, se contracte, excite Fafa, qui commence à le caresser. Il se retourne, surpris, elle lui sourit en relevant son bassin pour mieux que je la remplisse. Il se retourne, je la sens très humide, très excitée par nos deux présences de mâles, je pense : elle ne voit pas Marie-France.
On se met en levrette, dans le même sens qu’eux, comme un petit train. J’y vais tranquille, ravi de la vue (son cul en poire avec ce si bel anus…), surtout pour ne pas la gêner dans ses manipulations. Elle commence à embrasser ses fesses poilues. Ce coup-ci, Akim se retourne carrément, visiblement choqué.
Fafa s’appuie donc sur ses fesses et commence à le fouiller de sa longue langue. Akim ne bouge plus, il est trop marrant à voir, surpris par la technique de ma meuf, parfois outré comme une pucelle, trop drôle ! Le seul son vient de Marie-France qui s’active et savoure enfin sa grosse queue, et ça s’entend ! Comme mes propres mouvements gênent mon amante dans son entreprise de forage, je sors et me place devant Marie-France, ravie d’avoir une queue à sucer.
Je regarde mon pote, finalement ça ne lui déplaît pas d’avoir les fesses écartées, et une langue dans ses fesses, il me fait un clin d’œil et se met à baiser très fort notre partenaire. Du coup, moi aussi je me mets à baiser cette bouche qui m’accepte toujours. Marie-France est à moitié étouffée, mais garde sa position, gémit de plus en plus fort, et je vois ses yeux se crisper. De la sueur coule de ses cheveux, ses si beaux yeux fermés, sa soumission m’excite trop. Je la préviens, mais elle me maintient avec une main sur ma fesse. Alors, si c’est ce qu’elle veut, je lui lâche tout dans sa gorge de grosse cochonne. Elle aussi jouit en vibrant comme une folle quelques secondes après. Nom de Dieu, elle est magnifique !
La belle se désaccouple, et vient m’embrasser, puis file boire un verre d’eau et de quoi s’essuyer. Akim se calme, mais il a encore faim, il n’a pas joui, et bande fort. Fabienne le serre dans ses bras par-derrière, lui embrasse le cou, en caressant ses beaux pecs poilus. Les deux me regardent, inquiets et excités à la fois, attendant mon accord. Mais contrairement à vendredi soir, je ne suis plus jaloux, j’acquiesce avec un mouvement de tête, c’est une nouvelle étape intime qui est franchie. Fafa me lance un magnifique regard amoureux d’ailleurs.
Je la sens dominatrice. Elle fait coucher son amant et s’enfiche dessus. Elle ressent le changement de calibre entre lui et moi, ça lui fait plutôt drôle !
Je leur laisse le canapé, leur petite intimité, et viens m’asseoir sur un fauteuil, très confortable. Marie-France vient dans mes bras, me tournant le dos. On les regarde en se caressant mutuellement, et machinalement. Ils sont beaux tous les deux. Akim est allongé, passif, et Fafa commence à savourer en profondeur cette belle queue. De temps en temps elle nous regarde. Elle roule tellement bien son cul que vite je rebande de la voir. J’en profite pour aller chercher la bouche de Marie-France, qui me la donne bien volontiers. Même si c’est inconfortable, j’adore embrasser par-derrière. Et naturellement elle profite de mon érection pour mettre mon sexe dans le sien, sans rien rater du spectacle des deux autres. Je ne suis absolument pas gêné qu’un autre soit passé avant moi dans sa chatte !
Mais il y a un problème technique. Son torse à la verticale, ça marche bien, mais dès qu’elle s’allonge sur moi, ce qu’elle veut au final, ma queue ressort : j’ai pas la longueur nécessaire. Qu’à cela ne tienne, tout en embrassant son oreille, je lubrifie doucement son anus et son rectum avec nos salives, teste sa propreté, nickel. Je lui fais un clin d’œil en lui montrant mon doigt tout propre. Elle me sourit et me fait un oui de la tête, et rigole de cet effet sur ma bite, qui vibre. Je suis très excité, et sans bouger, elle s’empale à son rythme, très lentement. C’est parfait, elle peut s’allonger, je reste en elle. On bouge très lentement, c’est juste pour être ensemble, mater l’autre couple. Je prends bien soin de bien nous lubrifier souvent. Elle est beaucoup moins serrée que ma Fafa, l’impression d’être dans un gant chaud, sur mesure. On se chauffe en gémissant de concert. Enfin rassurée, elle tourne sa tête pour m’offrir de nouveau aussi sa bouche. Elle me congratule que je l’encule.
Akim n’a rien calculé de nos ébats, ses beaux yeux noirs sont écarquillés par sa cavalière. Ma Fafa le fascine, notamment ses seins qu’il n’arrête pas de lécher et masser. C’est vrai qu’elle est ultra sexy quand elle baise : elle danse littéralement avec ses hanches, très concentrée, les yeux dans ceux de son amant, elle se livre vraiment à 100%, son rimmel coule avec la sueur, c’est beau. Quand elle remarque au final notre accouplement dans le fauteuil, elle nous jette un regard fâché, mais pour de rire, puis se tourne vers son amant, et lui demande de la défoncer.
Akim se déchaîne alors à grands coups. Waouh, il est vachement plus athlétique que moi ! Ma chérie, ferrée par les mains de son amant sur sa taille, ferme les yeux, se met à crier en rythme et manifestement prend un pied monstrueux. Je peux pas m’empêcher de commencer à bouger dans le fondement de ma partenaire, qui se caresse en même temps. Fabienne est la reine.
Elle met du temps à se calmer, et embrasse enfin son amant. Je suis toujours dans le cul de Marie-France, qui commence à se branler fort. Je tiens bien, car je ne vois rien : je suis très visuel. Ainsi je l’observe jouir elle aussi. Je suis aux premières loges, c’est super !
C’est à regret que je quitte ce si bon petit cul. Mon amante me remercie avec sa bouche.
Akim lui n’a toujours pas joui, à mon avis l’évocation d’une sodomie garantit son endurance. Fafa veut m’embrasser pour me remercier, mais je l’invite à boire un coup pour se rincer la bouche : je suis pas prêt encore à partager la salive de mon pote. Du coup, je l’accompagne à la table où il y a le champagne. On trinque ensemble, puis on se roule enfin une belle galoche très gour, pendant que les deux autres sont en missionnaire. On sent qu’on a passé une nouvelle étape de notre relation, on se serre fort dans nos bras, nos ventres se touchent, nos la vues se nouent, nos yeux se disent je t’aime.
Ce sont les cris de Marie-France qui nous ramènent sur terre : Akim essaie désormais de la sodomiser en levrette, mais il est trop brutal, et malgré que j’y sois passé avant, elle se crispe. Elle se met alors en mode maman pas contente, se redresse, plaque son amant d’autorité sur le canapé, et lui interdit de bouger et de la toucher, limite elle va lui coller une taloche s’il objecte. Elle se lève et va chercher un tube de vaseline.
Avec Fafa on rit, mais en silence pour ne pas trop les déconcentrer. On la voit ensuite préparer le sexe de son amant, puis monter en croupe, branler son anus avec cette grosse queue, puis se la rentrer en plusieurs lentes tentatives. Enfin, elle s’assoit complètement dessus, satisfaite, et désormais invite son amant à bouger « doucement, sinon t’en prends une ! »
On est toujours enlacés, on les regarde. Fafa sent mon érection, je récupère le tube, enduis ses fesses et mes doigts « pour tester comment ça fait ». Je lui doigte son anus directement avec trois doigts, doucement, juste l’entrée comme elle aime. Je lui ouvre le cul très lentement en lui roulant une belle pelle. Ça lui plaît, ses tétons sont en acier, elle aussi m’a vaseliné le sexe, et commence à me branler.
Désormais Marie-France commence à y aller de plus en plus fort. Fabienne commence à me branler vite, ça glisse super avec ce lubrifiant ! Je lui demande de me serrer le plus fort qu’elle peut, je sens que son anus se relâche, hop, j’insère un quatrième doigt, ce qui la surprend et la ravit à la fois, et sans bouger les doigts, je fais rouler son cul. Je ne l’ai jamais senti aussi ouverte par-derrière, c’est très excitant : elle pourrait se prendre Rocco sans problème dans son fion. Elle se tourne face à moi, et se frotte contre ma queue, on se bouffe la bouche.
En plus de son rectum, je plante trois doigts dans sa chatte, brûlante, et la branle, mais que par-devant, je veux pas blesser son cul, j’ai vraiment peur avec quatre doigts à fond dedans. Ça m’excite trop, je jouis sur son ventre. Ça lui plaît, ses yeux paniquent, elle tétanise sur mes doigts, puis on s’embrasse, heureux. On n’a fait que se branler debout, et c’était méga bon !
On sort de notre douce torpeur par les grands coups de queue d’Akim et les cris de Marie-France en écho. Ça y est, ils ont accordé leurs violons, et c’est beau à voir. Akim la bourre fort, elle pousse des cris de joie et des « ah oui, vas-y c’est bon ! ». Fafa est impressionnée.
On rigole en se faisant des bisous pendant que les deux autres finissent. Néanmoins, vu comment Fafa frotte ses fesses sur mon pelvis, je ressens physiquement son reproche de ne pas les avoir honorées. Mais on se marre quand même lorsqu’Akim éjacule entre les fesses de sa partenaire en hurlant des « SALOPE ! SALOPE ! SALOPE ! »
Pendant que les nanas vont laver-évacuer ce qu’on leur a mis, je roule viteuf un bédo avec mon frère d’armes. C’est comme à la guerre, ou un match de rugby épique dans le froid et la boue : avoir vécu ensemble une bataille de ce genre, ça soude !
Désormais, on le sent, on est liés. On s’invente même un check. Les filles reviennent. Elles finissent le beuz.
On va se doucher tous les quatre ensemble, vu que c’est une grande douche à l’italienne. C’est l’occasion de faire une petite bataille de mousse. Ça ne dégénère pas : on a tous eu notre compte, et chacun s’occupe de sa chacune, et inversement.
Akim se rhabille seul, embrasse Fabienne, fait un énorme long câlin à Marie-France, qui prend son numéro. C’est triste de le voir partir.
On va faire dodo tous les trois, dans la chambre d’amis. Au début, je suis au milieu avec mes deux amantes sur la poitrine pour faire mon mâle alpha avec ses deux femelles. C’est marrant un temps, mais en fin de compte, je préfère être seul à droite, en leur tournant le dos. Les filles se calent vite ensemble, en chien de fusil. Huuum, c’est pas leur première fois manifestement. Mais je sens leurs pieds toucher le mien, et me le caressent ensemble.
Comme en plus ils ne sont pas froids, alors ça va.
À suivre…