n° 20095 | Fiche technique | 23770 caractères | 23770Temps de lecture estimé : 14 mn | 01/03/21 |
Résumé: Dimanche, avec Fabienne, dans la belle maison de notre nouvelle amante. Certaines frustrations, mais d'autres façons de se faire plaisir ! | ||||
Critères: fplusag jeunes piscine douche pied fellation cunnilingu anulingus hdanus -initiat | ||||
Auteur : Franckosaurus Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Fabienne, après avoir été la meilleure amie de ma sœur, est devenue ma sexfriend. La veille à été l’occasion d’une petite orgie avec un copain et notre amante commune. Ce dimanche, j’ai deux filles pour moi tout seul…
Réveil, le soleil est déjà haut, il a l’air de faire déjà bien chaud. Marie-France n’est plus au lit, seule Fabienne y flemmarde encore. Je lui fais un petit bisou sur le front, elle ronchonne, j’insiste, elle râle. Cette fille n’est décidément pas du matin ! Il y a sur une chaise un short de bain (de son cocu d’époux sûrement) et un bikini blanc pour ma partenaire : la maison n’est pas totalement isolée des regards, impossible d’y faire du naturisme comme chez mes parents. Le salon est déjà nickel chrome, plus aucune trace de la petite orgie d’hier soir, la maîtresse de maison aime l’ordre ! Dans la cuisine je la vois de dos, en bikini noir et tablier, affairée à tailler grossièrement des légumes. Très tentant, irrésistible ! Comme elle ne m’a pas repéré, je me faufile et l’enserre par surprise par-derrière. Elle rigole, ça lui plaît de sentir un gourdin du matin frotter contre son dos, des mains sur sa poitrine, et des petits bisous sur sa nuque.
Haleine rafraîchie, je reviens la voir, c’est dommage, elle a fini sa petite cuisine, et lit dehors le journal du dimanche dans une chaise longue. Je me penche pour l’embrasser, elle me repousse.
Décidément, c’est une joueuse un peu sadique, elle adore frustrer. Je lance le feu, pendant que je fais soufflet avec un vieux journal, ma Fafa vient m’enlacer par-derrière. Je sens ses seins contre mon dos. Je tourne ma tête et goûte sa bouche, fraîche, elle est top, sa peau bronzée sous son bikini blanc…
Marie-France m’apporte un plat de légumes coupés et des brochettes de bœuf, et me confisque Fafa pour mettre la table. Je les regarde, elles chuchotent en se marrant, se caressent et s’embrassent à la volée. Elles vont ensuite main dans la main au salon, à l’abri des regards indiscrets, le mien y compris. C’est vrai qu’elles ne se sont pas fait l’amour hier soir, autant qu’elles satisfassent cette envie !
Je me dépêche à obtenir un bon feu pour mettre à cuire ces légumes. Une fois en place, je vais aux nouvelles. Elles sont assises dans le canapé, langues liées, et chacune une main dans la culotte de l’autre. Déjà que je bandais avant, maintenant je suis en acier. Je m’approche, excité, mais Marie-France me fait un signe d’arrêt.
Je retourne m’occuper de mon feu, en passant prendre à boire au frigo. C’est cool, il y a de la vraie bière de trappiste, non pasteurisée, le mari remonte immédiatement dans mon estime. De temps en temps, je vais les voir. Elles sont en 69, toujours en bikini, mais culotte de côté et sexes à l’air, j’observe comment elles font pour se donner du plaisir. Une ficelle sort de la chatte de Marie-France, OK j’ai compris. En fait, elles y vont beaucoup moins fort que moi, légères et très actives à la fois, et sont très portées sur le clitoris. C’est nettement plus intéressant qu’une scène lesbienne de film de cul, si on ajoute avec cela le bruit, et l’odeur. Ce qui est vraiment sympa, c’est que quand elles remarquent ma présence, elles me sourient. C’est cool, aujourd’hui je ne suis pas ignoré. Et dans ma tête, je me jure de me « venger ». Néanmoins je vais couper des fleurs de laurier rose, roses, pour décorer leurs assiettes.
Quand je lance les brochettes, je les préviens, car il faudra quelques minutes à peine. Les deux se mettent alors à faire des vocalises très chouettes à entendre. C’est prêt à servir, je n’entends plus rien, dans le salon elles se câlinent encore, complices. Du coup j’attrape Marie-France et la fous à l’eau. Fafa, pas folle, y va d’elle-même. Moi aussi, du coup. On se trempe juste pour se rafraîchir (gaffe au tampon), et c’est à peine séchés qu’on se met à table. Les dames remarquent leurs assiettes garnies, et viennent me faire un beau bisou : le visage d’une femme à laquelle on offre des fleurs, c’est trop beau, et là, j’en ai deux ! Je reste à la bière (trop bonne) et les filles sont au rosé. La maîtresse de maison joue ensuite au critique culinaire, pour de rire. Ouf, elle est plutôt satisfaite.
Je leur raconte notre petite discussion à mon boulot, sauf la fin bien sûr, mais les filles ne sont pas dupes. Ce coup-ci, je fais attention à ne pas m’emballer, guette leurs réactions, et ajuste en fonction. Marie-France se marre, Fabienne tique un peu, insulte directement sa sœur, mais se fait tancer par la maîtresse de maison, qui lui demande de lui faire un portrait de sa sœur aînée. Elle aussi a vécu une fratrie heureuse, et a comme moi du mal à comprendre une telle haine.
Eh bien, le tableau n’est vraiment pas ragoûtant pour l’absente, elle a vraiment été une putain de peste pour sa cadette pendant des années. Brimades, mauvaises blagues, sévices… Mais avec Marie-France, on est tous les deux conscients de ne connaître qu’une seule version de cette histoire…
Du coup, on complote pour d’une part la punir, et qu’elle fiche définitivement la paix à sa cadette. S’il est d’accord, on met Akim dans le coup. Fafa milite à fond pour que ce soit lui qui s’occupe d’elle : elle ne veut pas de ma queue dans le joli petit cul de sa grande sœur « Pasque je sais comment tu t’y prends, et elle va adorer ça, c’est sûr et certain, hein Marie ? »
Marie-France acquiesce de la tête avec un clin d’œil en rigolant. Aux cafés, j’essaie d’argumenter dans une longue diatribe que si je fais prendre son pied à Sandrine, ça la décoincera sur le plan sexuel, son fiancé sera comblé, du coup fini la jalousie, l’amour arrangera tout, et qu’elle deviendra super gentille dans le monde enchanté des Bisounours. Ça ne loupe pas : je me ramasse plein de boulettes de pain dans la tronche. Fabienne vient même me faire mine de m’étrangler en rigolant. Je m’enfuis en plongeant dans la piscine.
Quand je ressors, elles vont se baigner, on se croise à l’échelle dans un regard qui traîne. C’est dommage, mais pas grave, je me répète ce mantra dans ma tête :
Et je vais bronzer sur une chaise longue à l’ombre. Avec la digestion, je m’endors, sur le dos.
Je suis réveillé par une bouche qui m’embrasse, puis une autre, puis les deux ensemble. Je veux ouvrir les yeux, on me l’interdit gentiment, puis définitivement puisqu’on me les bande avec un foulard. Je suis partagé entre la satisfaction et l’appréhension, surtout quand on me fait tomber mon short de bain à quatre mains. Je sens une bouche me gober, une autre tenter de le lécher l’anus. Je l’aide en relevant mes jambes pour mieux m’offrir. À sa longueur de langue, je sais que c’est Fabienne qui s’en occupe pendant que Marie-France me suce.
J’ai envie de les caresser, mais Marie-France me l’interdit :
Je l’écoute donc, même si ça me frustre, ça aussi. Et je comprends que ça fait partie du jeu, de mon apprentissage d’amant, de parfois rester totalement passif.
Oui, c’est délicieux, mais j’ai vraiment envie de voir mes deux amoureuses, j’enlève le bandeau. Elles sont un peu déçues, mais je garde cette idée dans la tête : être aveuglée, c’est sans doute un kif de meuf. Le spectacle est magnifique, un vrai plan de cinéma : elles sont toujours en bikini, de haut en bas je vois le visage fermé de Marie-France qui me pompe, et les yeux de Fafa qui me fixent. Son doigt pénètre lentement mon cul. Huhuhu c’est bon, la vache !
Je suis chaud comme la braise, trop envie de les prendre. Je me relève, embrasse Marie-France :
Je les regarde donc s’activer sur mon sexe et mon anus, notamment Marie-France qui, elle aussi, goûte mon trou. J’ai beau résister, quatre mains et deux bouches, c’est trop pour une seule queue. Et je découvre la jouissance sans avoir fait un seul effort. Ça fait un beau petit geyser entre leurs deux beaux visages. C’est extrêmement bon cette impression de vide, de ne plus sentir du tout son propre sexe ! Elles me nettoient, se bagarrent pour récupérer ma semence, c’est marrant.
Cet orgasme m’a filé la pêche. J’ai envie d’honorer notre hôtesse. Je relève le dossier, y installe Marie-France. Elle veut toujours me pomper, donc j’enjambe la chaise longue, en plus elle me branle juste parfaitement. À un moment, elle me mord sans faire exprès : Fafa s’est attaqué par surprise à sa chatte (par chance, Marie-France n’a pas de règles abondantes, et sent très peu). Pour me venger (l’excuse à deux balles), je tire son téton et j’essaie d’aller au plus profond de sa gorge. Dès qu’elle peine, je m’arrête, mais elle me fait « oui, vas-y, t’inquiète pas, c’est bon » de la tête en me regardant et m’encourage en posant des mains sur mes fesses. Elle sue, elle suffoque, elle subit, c’est beau. Il est temps de la faire mourir.
Encore un peu en forme, j’y vais super lentement, mais bien profond en bloquant virilement ses bras avec mes mains, pendant que j’entends ma meuf la dévorer littéralement. Soumise, entravée, Marie-France rend les armes peu de temps après, je la maintiens plaquée pour pas ameuter le quartier.
Elle est radieuse et bien calmée, je lui caresse son visage avec mon gland puis mes lèvres. Fafa vient lui baiser le cou, puis je lui cède ma place dans sa bouche. L’embrassée pleure un peu, mais avec Fafa on sait désormais qu’elle est comme ça des fois.
J’aime bien mon rôle de maître de céré-orgie. Je remets mon short, choppe ma Fafa par les cheveux, mais gentiment et sans lui faire mal, et la mets à quatre pattes sur la chaise. Elle est surprise de cette petite brutalité, mais consentante !
Elle répond en écartant sa culotte, et ses fesses des deux mains. En effet, son anus est un peu gonflé, mais ses lèvres sont déjà blanches de mouille, et son vagin ouvert ; comme moi, ça l’excite à fond de donner du plaisir !
On commence chacun avec un pied, qu’on lèche en détail, juste pour la faire languir. D’ailleurs elle couine comme une petite souris en remuant son derrière de bas en haut. Enfin on remonte chacun nos langues via ses deux jambes pour se rencontrer sur son entrejambe.
Et là, c’est parti son kiki, on se livre alors de concert à une attaque de sa chatte et son trou du cul, comme des bombardiers en piqué sur un cuirassé. Ma chérie se mange des attaques-surprises, des assauts frontaux, de flanc, groupés partout où c’est possible. C’est très instructif pour moi, car j’observe en très gros plan ma partenaire expérimentée faire, et copie ensuite ses gestes. Fafa n’arrête plus de gémir : elle ne peut pas prévoir nos prochaines actions, c’est trop complexe, ça la rend folle. Ça aussi, la surprise, et en jouer, c’est un truc à retenir. Je comprends aussi que des orgies de femmes, vu le nombre de possibilités, ça doit être un sacré truc à vivre !
La miss, une fois bien chauffée, jouit plusieurs fois à la suite en vibrant et feulant doucement. Elle rigole comme toujours quand elle prend son pied. Du coup, ben nous aussi on en rigole avec Marie-France, du genre « Vas-y, chéri(e) c’est ton tour », des « t’as vu comment j’ai fait ». Franchement, c’est trop, trop bon. Fabienne, notre jouet-à-jouir n’en peut plus au bout d’un moment, et se barre en plongeant dans la piscine !
Je rejoins ma chérie dans l’eau, qui me fait un gros bisou de remerciement, ses yeux ont pris une grosse claque. Marie-France vient elle aussi chercher sa récompense. Elles sont belles toutes les deux, c’est quand même un crève-cœur de ne pas pouvoir les prendre. On chahute un peu, les filles se liguant contre moi. Marie-France me demande ensuite de m’asseoir sur la margelle, et de faire le cobaye immobile, passif encore une fois, bon. Vengeance : je viens caresser leurs poitrines et leurs visages avec mes orteils, mais c’est dur de garder son équilibre ! Heureusement les deux s’en saisissent et me sucent les doigts de pieds. Cette image de domination me fait bander très dur, surtout quand deux mains différentes viennent me masturber au travers du short. Je les préviens que je suis limite-limite, alors elles s’arrêtent.
Les deux viennent à hauteur de teub, et font sortir mon outil. En fait, l’aînée montre à la cadette sa propre technique pour bien me branler, notamment comment gérer le prépuce. Les voir aussi scolaires sur un truc sexuel m’excite beaucoup – toujours ce détachement si féminin – je me remets à bander très dur. Les deux me sucent alors à tour de rôle, alternant ma queue et mes couilles. Le top c’est quand une me pompe juste le gland pendant que l’autre me lèche la base des testicules. En même temps, leurs mains disparaissent pour se branler leurs chattes, parfois seules, parfois entre elles.
J’ai envie cette fois-ci de jouir sur leurs visages, elles sont d’accord, mais pas dans la piscine, ni dehors, Marie-France a l’air vraiment très maniaque question propreté. Une idée bien cochonne me vient : pourquoi pas dans la douche ? Fafa a compris DIRECT et me fait un clin d’œil.
Une fois sur place, elle s’accroupit contre le mur et commence à se branler la chatte, elle a l’air drôlement excitée, et n’arrête pas de se lécher les babines, bouche ouverte. On dirait un chien tout fou quand il sait qu’il va partir en balade. Marie-France l’imite à côté, surprise du drôle d’état de sa comparse. Je commence à me branler debout devant elles. C’est très excitant de se mater sans se toucher, j’ai l’impression de me retrouver à l’intérieur d’un magazine Private. Alors je me lâche total : j’insulte ces deux grosses putes, jurant la prochaine fois de les défoncer comme des chiennes par tous les trous, elles me traitent de gros cochon, qu’elles sont mes soumises, que je pourrais les bourrer où et quand je voudrais. J’éjacule vite en plusieurs jets bien forts, mais je suis trop excité et trop peu expérimenté pour vraiment bien viser, heureusement, Marie-France se ramasse un trait sur sa joue. Ses magnifiques yeux bleus et ce foutre qui coule juste à côté, waouh, inoubliable.
Elle se relève, mais pas Fabienne qui me fixe avec un regard de grosse chienne. Je continue de me masturber. Marie-France se relève.
Elle réfléchit quelques secondes, comprend, et en me regarde me fait un gros :
Elle empoigne ma demi-molle, et me roule une pelle bien baveuse pendant que Fafa attend sa douche. Mais c’est dur de provoquer cette action pas naturelle, alors je lui demande d’arrêter et de se tenir prête.
Ça y est, ça sort. Grâce aux bières c’est pas concentré, c’est très dilué et ça sent pas fort. Je laisse Marie-France orienter le jet. Elle commence sur sa chatte – Fafa se branle très, très fort – puis remonte sur ses seins pour finir sur sa bouche ouverte. J’ai de la réserve, alors Fafa recrache au fur et à mesure, et jouit rageusement sous mes jets. Marie-France se branle aussi très fort, surprise par cette perversité, et se penche pour timidement goûter avec juste la langue. C’est ultra bon de se soulager comme ça. Fafa a trop la pêche, elle nous demande de nous accroupir pour nous honorer. Marie-France n’en mène pas large, mais je suis avec elle, l’accompagne dans l’épreuve. On se roule une bonne gamelle sous l’ondée.
À regret ça s’arrête, on se relève et on finit tous les trois sous la douche. Marie-France réussit même à se soulager debout devant nous sous le jet d’eau. Fafa s’accroupit direct pour se faire baptiser la bouche. C’est vraiment une petite dévergondée. Pour la maîtresse de maison, c’est pas son truc, mais bon « j’aurais fait ça une fois dans ma vie. »
Cinq heures passées. Une fois rincés, lavés, habillés, on boit un jus de fruits. Marie-France est vraiment très étonnée par notre quasi-absence de tabous. Je lui réponds qu’étant encore des quasi-novices, on n’a pas d’a priori sur telle ou telle pratique, et qu’en fait c’est plus une question socio-culturelle qu’autre chose. En tout cas, elle adore qu’on se lâche totalement avec elle, elle trouve ça très, très sexy. Fabienne est tout à fait d’accord avec ça : une fois qu’on se connaît assez bien, faut pas hésiter à se livrer, à se lâcher !
On se quitte avec une petite soupe de langues tous les trois ensemble, juste parce que c’est bon, et il n’y a plus aucun nuage dans notre relation triangulaire. On s’est découvert, on se connaît mieux, on s’apprécie. Évidemment qu’on s’appelle.
On arrive en ville devant chez Akim, j’ai le code d’en bas, mais je sonne chez lui, il descend avec une cassette vidéo du dernier concert de Peter Gabriel.
Il va lui faire la bise, c’est marrant, lui si culotté d’habitude, il est tout timide là, penaud, le macho ultra viril s’est mué en petit garçon. Il lui dit qu’il est désolé pour son vagin (j’apprécie cette attention, c’est vraiment un mec bien), elle lui répond que c’est pas grave, vu que « tu as été très, très bien ». Elle lui demande s’il est dispo demain : non. « Dommage » lui répond-elle en souriant. Akim me regarde, je lui fais un clin d’œil.
Évidemment que Fabienne me ramène, chaque minute passée ensemble est un bonus. Je ne peux pas m’empêcher de la regarder conduire, elle est concentrée, un peu gênée, sourit parfois en grand, elle est trop belle.
Arrivés chez moi, elle salue ma famille. Ma sœur Steph est avec Nabil, son mec du soir du méchoui, qui a l’air vraiment très bien. Mon père propose de rester dîner, elle décline, arguant qu’elle doit faire quand même acte de présence chez elle. Papa est surpris :
Personne n’est dupe, mais tout le monde joue le jeu. Ça fait des années que mes parents la connaissent : c’est une amie très proche de toute ma famille !
De retour à sa voiture, à l’abri des regards, on rigole cette jolie petite étourderie, j’en jubile particulièrement, après mes grosses gaffes de la semaine dernière. Elle fait sa mauvaise joueuse, mais c’est juste pour de rire, puis me fixe, trop longtemps pour que ça soit anodin. Je la sens prête à craquer et m’avouer ces sentiments, mais non en fait. Et je m’empêche de lui déclarer les miens. Ai-je bien fait ?
On se dit à demain après-midi. Et on se roule une pelle d’enfer parce qu’on a hâte d’être enfin seuls ! J’ai encore, j’ai tout le temps, j’ai de plus en plus envie d’elle, et le lui fais sentir, ça lui plaît, forcément ! Elle me dit qu’il y aura une surprise, et que j’ai intérêt à bien m’occuper de sa personne, en plaquant ma main sur ses fesses, tout en haussant ses beaux sourcils.
Comme dirait Akim :
À suivre…