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n° 20109Fiche technique42389 caractères42389
Temps de lecture estimé : 25 mn
06/03/21
corrigé 30/05/21
Résumé:  Ça y est, après avoir fait les fous avec d'autres partenaires, on se retrouve ensemble, pour voir si l'on a fait des progrès ...
Critères:  fh jeunes voir miroir lingerie fetiche fmast caresses intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo hdanus coprolalie -initiatiq
Auteur : Franckosaurus      Envoi mini-message

Série : Fabienne, à jamais la première

Chapitre 14
Maturations.

Résumé des épisodes précédents :

Fabienne, après avoir été la meilleure amie de ma sœur, est devenue ma sexfriend. Ce lundi de repos, après un week-end très… collectif, je suis enfin seul avec elle. Et il paraît qu’il y a une surprise…







Temps mitigé ce lundi, l’été tire à sa fin. J’ai envie d’en profiter le plus possible, Fabienne peut partir au loin d’un jour à l’autre. C’est pourquoi je l’ai appelée la veille au soir pour qu’on déjeune ensemble, de façon à avoir plus de temps. Je lui ferai des pâtes, un oncle nous a ramené du lonzo et de la vuletta (filet mignon et joue de porc séchés et salés) de Corse, l’occasion de faire des vraies carbonara. Je mets un blanc sec au frais, et les laïcs à l’air libre. Vite fait, je vais cueillir des pois de senteur violets qui ont éclos partout dans les fossés, et bricoler un beau bouquet, pour mon adorée.


… qui arrive vers 11 h, mamma mia, ma que bella ragazza. Pour une surprise, c’est une sacrée surprise : sandales noires à talons hauts et fins, mollets masqués par du lycra chair et couturé, jupe plissée mi-longue bleu marine, chemisier sans manches blanc, mais plus rempli que d’habitude, des créoles blanches mises en valeur par ses cheveux attachés avec une jolie pince. Elle s’est juste fait les yeux dans les noirs et marron sombre, du gloss sur ses lèvres. Un très joli look un peu années 40. Elle est belle, elle me plaît, elle le sait.


Mes fleurs mauves font leur office : son visage s’illumine (les fleurs, messieurs, les fleurs !). En fait je suis super impressionné, dissuadé par cette beauté, ce bon goût qui fait qu’une meuf plutôt banale peut se transformer en avion de chasse. C’est peut-être aussi un contrecoup des cochonneries de la veille qui me revient en pleine gueule (cf. épisode précédent) : comment avoir osé dégrader une fille pareille ? Adorer et souiller à la fois, ça n’est pas simple à gérer ! Ladite demoiselle est surprise par ma réaction :



Elle prend la pose, fléchie, jambe en avant.



Et c’est elle qui m’embrasse, toujours ce même parfum floral, désormais imprimé dans mon cerveau. Consciente de son avantage, de son emprise, elle commence à m’attaquer tous azimuts : sa longue langue prend ma bouche, elle colle son bassin et relève une jambe, je la sens – au sens propre comme au figuré – chaude comme la braise, car un autre parfum, intime et familier, monte d’en bas. Je suis pas contre lui faire l’amour tout de suite, hein, mais je veux profiter d’elle encore, si bien habillée, je ne veux plus passer pour un jeune loup mort de faim. Je la repousse gentiment, son regard est équivoque : celui d’une lionne en chasse. J’ouvre le vin, coupe un peu de lonzo pour nous accompagner. Elle s’assoit sur une chaise haute dans la cuisine pendant que je fais la cuisine, et lève son verre.



Et elle finit son verre en deux gorgées, je la ressers. On a beau avoir pensé à cette éventualité du départ, c’est compliqué comme sentiment : à la fois soulagé du poids de cette incertitude, et déçu, forcément. Ma belle s’envole pour les Bouches-du-Rhône, à six heures d’autoroute.



La regarder faire m’excite et me rend triste à la fois : elle est aussi appliquée que quand elle fait l’amour. C’est trop tentant : je saisis sa poitrine par derrière en lui embrassant le cou, je bande dur contre ses fesses, que ses talons mettent à bonne hauteur.



Je relève lentement sa jupe. Tiens ! elle ne m’en empêche pas, au contraire, elle soupire. Hé hé ne sont pas des mi-bas… ni des collants non plus : c’est un magnifique porte-jarretelles au style rétro gainant, et un string, tous deux satinés, couleur chair. En plus cette coquine fait exprès de se cambrer. Direct je sors mon sexe et commence à me masturber entre ses fesses. Elle m’accompagne en bougeant son bassin.



J’éteins le feu sous la poêle. Elle est toujours penchée en avant, jupe relevée, mains sur la table, l’air coquin. Elle frémit lorsque j’écarte le string, et gémit lorsque je caresse sa chatte bien lisse avec ma queue. On est désormais très excités tous les deux. Je découvre sa poitrine (et découvre par la même occasion que les chemisiers sont boutonnés à l’envers des chemises d’homme), elle a un soutien-gorge bustier assorti, super pratique pour faire sortir ses seins, que j’empoigne, fermement et doucement. Elle craque, tourne sa tête et m’offre sa bouche. On se roule une grosse pelle pendant de longues minutes. Je me branle sur son clitoris, mimant l’accouplement (comme j’ai si souvent vu le grand Christophe Clark le faire dans ses films), je sens qu’elle mouille bien ma queue. J’abandonne – à regret – ses seins pour ce que je veux lui faire. Elle pousse une grande inspiration de surprise lorsque mon gland force – sans grande résistance – son cul. Mes deux mains sur sa taille l’empêchent de s’échapper.



Immobile, je me contente juste de lubrifier ma queue et le pourtour de son anus avec sa mouille, puis je reviens sur ces seins, que je plaque fort sur sa poitrine. On est toujours debout, désormais je n’arrête plus d’embrasser sa nuque et ses oreilles. Après quelques mouvements-tests, elle s’enquille très lentement dans un long soupir. Elle me serre, elle aussi, très fort, de partout. Heureusement que je bande comme un taureau, sinon elle m’éjecterait direct.



Vu que j’arrête pas de l’insulter à son oreille pour maintenir mon érection, car on bouge pas, elle se branle fort. Quand je lui dis qu’un quart d’heure à peine après être arrivée, elle a déjà ma queue au fond de son trou du cul, elle part en tremblant. Tout à son plaisir, j’en oublie le mien, du moins sur le plan physique : dans ma tête, je jouis intensément de voir cette beauté à ma botte, jupe relevée, string de côté, enculée par surprise, et qui aime ça en plus. Ces étreintes rapides, brutales, ça aussi c’est super !


On se désaccouple rapidement, toujours ce petit moment douloureux et passager, plus que d’habitude parce qu’on n’a pas bougé. Je m’occupe de la nettoyer consciencieusement avec du Sopalin, heureusement qu’on n’a pas bougé, ça aurait sinon été un carnage, couleur café. Moi aussi j’essuie vite fait ma queue, et enfin je peux l’embrasser. Elle est heureuse, reconnaissante, belle. Puis après avoir bu un coup d’eau, on reprend la cuisine direct, même pas une clope ! On se marre d’ailleurs de ce retour si rapide à la normalité.

Faut pas longtemps pour préparer les pâtes.


Fafa, habituée à la lardons-crème-emmental apprécie cette version-ci. Et le blanc passe bien dessus. Elle me parle de son job, qu’elle va d’abord résider dans un foyer de la boîte, et qu’ensuite, elle verra. Le vin la rend loquace, on a ouvert une deuxième bouteille. À un moment, je l’interromps :



Elle a compris. Elle se prépare une bouchée de pâtes dans son assiette, me fixe avec silence de ses grands yeux noirs et me dit d’une voix posée :



Et elle enfourne sa fourchette dans sa bouche en continuant à me fixer de ses grands yeux noirs. C’est tellement fort que, croyez-le ou non, je manque de défaillir. Elle se marre.



On se fait des mystères en dessert. À la vanille. J’apporte les cafés au salon. J’en profite pour mettre la cassette qu’Akim m’a prêtée la veille, c’est le dernier concert de Peter Gabriel, la télé Panasonic parentale a d’excellents haut-parleurs notamment dans les basses. On se fait happer tellement c’est bon, tellement qu’on en oublie de fumer. On s’installe dans le canapé, enlacés.


Le concert est captivant. Belles chansons, scénographie géniale, musiciens au top. C’est le grand kif, de temps en temps on se fait un bisou, juste pour partager ça ensemble.


Une fois terminé, on pousse tous les deux un grand soupir, et on s’embrasse très tendrement. On est très câlins, très amoureux. Fatalement on se déshabille bouches liées, évidemment qu’elle garde bas, porte-jarretelles et talons, elle est si belle, je suis pas du tout dans un mood de baise, mais de plutôt lui faire l’amour. C’est marrant, mais sa lingerie me dissuade…


Quand elle décide enfin de m’accueillir en me chevauchant, elle sourit, les yeux fermés, soulagée. Je suis en pâmoison totale, fasciné, super passif et bien excité. Elle s’en satisfait, un peu déçue, en se baisant comme elle l’entend. Il n’y a que sur sa demande que je l’accompagne avec de grands coups. Comme je sais que son cul n’est pas propre, je me concentre sur sa poitrine. Mais au bout d’un moment, elle s’arrête, contrariée, limite en colère :



Et là elle me donne une gifle. Pas forte, mais bien humiliante, puis une autre. Elle va pour m’en mettre une troisième, mais je l’arrête au vol. Je ramène ses pieds, la fais s’accroupir sur ma queue, puis prends ses fesses par dessous et commence à la baiser bien fort. Elle est ravie de ma réaction. Malgré que son cul claque bien sous mes coups, je surjoue, car le cœur n’y est pas en fait. Je la balance sur le canapé, relève son cul, et commence à la baiser bien fort, en enclume pour m’aider dans mon excitation. Sentir ses bas contre mes hanches m’aide bien, et en même temps, ça me met la pression, c’est paradoxal ! On ahane tous les deux comme des bêtes.



Elle s’est rapprochée, sa tête contre mon cou, et me met son majeur dans le cul, avec la sueur c’est entré tout seul. Ça me déplaît pas !



En fait tout comme je la prends, elle me prend aussi, profond, cette sensation inédite et perverse est très agréable et réussit à me stimuler. Elle aussi jouit, mais plus par soulagement qu’autre chose, je la sens plutôt contente, satisfaite d’être mon réceptacle. Elle rit contre mon oreille alors que j’en mène pas large, on sait tous les deux que j’ai galéré. Moi-même ris aussi de cela : on peut pas être raide tout le temps, faut l’accepter ! Elle me demande de me retirer :



C’est dingue comme le sexe c’est une histoire de feeling. À midi, j’étais un bouc en rut, maintenant un nounours tout mou, alors que mon amante est en mode cul et équipée pour. Je me rhabille, me sers un verre. Enfin elle arrive au bout d’un moment, et constatant que je suis pas vraiment d’attaque, un poil déçue, elle se rhabille et se sert aussi. J’en roule un, pour me rebooster un peu.



À l’époque, j’enregistrais le film de cul de Canal+, et avant y’avait le journal du hard. Et si le film était naze, le journal l’était jamais, ce qui fait que parfois j’en avais plusieurs à la suite.


C’est assez bizarre de regarder ça, non plus seul la bite à l’air, mais habillé, accompagné de son amante, surtout qu’en plus, on n’est pas lovés, mais avancés sur le canapé, comme deux supporters de foot, manque plus que les bières et les cacahuètes, putain. Le plus étonnant, c’est sa réaction face à des trucs super hardcore. Elle est vachement détachée, et ça ne la choque pas du tout. Finalement on tombe sur l’étalon italien, notamment la séquence où il se fait sucer par une journaliste.



Tout ça me requinque bien, je commence à être bien excité : j’observe cette fille si bien habillée fumer en regardant des reportages de cul, qu’elle commente, posée, tranquille. C’est vraiment bizarre, ça n’a pas l’air de l’exciter plus que ça. Ma queue commence à se sentir à l’étroit, je la sors, me cale au fond du canapé et commence à me toucher. Quand elle se tourne pour me passer le tarpé et le cendrier, elle sourit :



Elle se lève, me fait face, jambes écartées, et remonte sa jupe. Sa chatte est gonflée, et il y a une petite auréole en bas de son string.



Ce qu’elle fait, en gardant son chemisier sur elle. Mes mains sont prises par le joint et le cendrier, mais elle fixe mon sexe bien raide, des fois je contracte exprès pour le faire bouger et lui montrer mon désir. Désormais, la télé n’existe plus, je l’éteins d’ailleurs. Elle seule m’inspire grave, je suis ébloui.



Je suis pas assez dominateur, pas assez viril, pour qu’elle s’exécute comme je veux, une leçon encore. Mais bon, sa nuque, son dos recouvert, le satin, les attaches, les bas, ses fesses, sa raie du cul avec le string, les talons…



Le placard coulissant de l’entrée a une porte miroir. Je l’enlève pour la placer contre la cheminée, face à elle.



Elle prend des poses, la danse, ça aide.



Ça suffit cette rébellion. Vu qu’elle est restée debout sur la table et qu’elle est grande et en talons, je choppe ses cheveux et l’oblige de se pencher en avant. Je lui donne un baiser rempli d’adoration, pas béate cette fois-ci, mais bien mâle, pour son bien. Je la débarrasse de son chemisier et fais sortir ses seins de son soutif. Je suis brutal, ça lui plaît. Ses nichons sont plus gros dans cette position, ils balancent, obligé d’aller les téter. Elle me regarde jouer avec, se les presse, tire ses tétons, joue à la louve qui nourrit son louveteau. Comme elle commence à rouler ses hanches et souffler, j’enlève son string – l’auréole a grandi –, et m’allonge sur la table. La vision en contre-plongée est magique : son entrejambe, ses seins maintenant pointus, et son sourire excité.



Elle s’accroupit sur ma bouche, et immobile je la déguste lentement, en gourmet. En fait c’est elle qui dirige la manœuvre, se plaçant là où elle veut que ma bouche et ma langue agissent. Je la vois se mater dans la glace, sa chatte est chaude et déjà complètement ouverte, je me régale de sa mouille. C’est marrant, elle évite que je m’attarde sur son clito. Elle sent le savon derrière.



Je me recule un peu pour être parfaitement placé. Vu qu’elle est positionnée comme dans des toilettes à la turque, et qu’elle tire sur ses fesses, son anus est déjà bien ouvert. Je darde ma langue le plus fort possible et l’attends. Si elle pète, asphyxie directe ! Elle est super propre. Je la sens se détendre quand elle s’assoit, et elle va chercher loin : cette salope a vraiment envie que je la fouille en profondeur. Ma langue frétille à m’en faire mal.



Elle bouge comme une folle sur ma langue ; des fois elle frotte, des fois elle monte et descend. J’arrive parfois à voir son visage dans le miroir, elle est en feu. Elle coule sur mon nez, j’ai du mal à respirer. J’ai envie de la tuer : je pose mes mains sur ses cuisses, et la maintiens brutalement en place. Je dévore son trou du cul comme un mort de faim. Elle a compris, se branle fort le clito, et jouit vite en m’écrasant dans une longue plainte. J’en ai plein le visage, et ne peux plus respirer. Je la laisse profiter le plus possible, puis je tape sur ses fesses pour la réveiller.



Elle se relève brusquement et vient s’agenouiller à mes côtés pendant que je reprends mon souffle, avec ce visage tout rouge, fatigué, tellement magnifique. Elle me caresse tendrement, puis enfin me roule une pelle intense en me caressant mon outil.



Bien que je sois pas ultra-fan de la fellation, je sais que c’est important pour elle de me rendre la pareille, de me faire jouir. Toujours sur la table basse, elle prend un coussin pour ses genoux, et commence à me branler. Elle s’y prend super bien désormais.


La petite formation de la veille de Marie-France porte ses fruits : elle m’aspire à fond puis me lèche, tout en me regardant et me branlant. Je la regarde faire, directement et au travers du miroir, et elle aussi.



Elle gobe mes couilles (lisses), puis en lèche la base, c’est excellent. Cette salope profite de la salive qu’elle a déposée à cet endroit pour glisser un majeur doucement dans mon cul par surprise. Je me trahis avec ma queue qui remue seule dans sa main.



Je l’encourage de ma main sur sa tête, elle y va bien fort, son doigt reste bien immobile dans mon fion comme j’aime. La voir à l’œuvre sans que moi je bouge me déclenche, ça monte, et je sens que ça va être fort. Je la préviens, mais en bon petit soldat, par surprise elle maintient sa position. J’explose plein de fois. Je hurle, elle gémit sous l’effort. Elle est crispée, limite en panique vu ce que je lui envoie, recrache ma queue, mais en gardant tout mon sperme. Elle déglutit, et me sourit, super fière. Je prends son visage dans mes mains, et lui roule une belle galoche de reconnaissance-adoration, sans doute avec le même genre de visage qu’elle avait dix minutes avant …


On fait une pause, on finit la bouteille qu’on avait laissée dehors. C’est chambré, mais pas si grave. Pause stonge.



Je file dans ma chambre, et choisis le second album de Jamiroquai, très cool. Direct elle s’est mise à danser en fumant, érection immédiate. C’est atavique, comme rituel avant l’accouplement, on n’a pas fait mieux depuis le paléolithique. Je viens derrière, et tente de dégrafer son soutien-gorge. Vu que j’ai zéro expérience, je galère, elle pouffe de rire. Va falloir que je m’entraîne ! Une fois ceci enfin fait, je tente de les toucher, elle me chasse, et me rend le joint. Vengeance. Je le tourne, le mets dans la bouche, saisis son visage et lui fait une soufflette, prends ça, petite salope. Elle est surprise et calmée, bieeen. On danse comme avant, elle est belle comme ça, habillée comme une putain de film, mais qui bouge avec classe, pas comme ces actrices hongroises.


Mais j’ai pas envie de danser trop longtemps. Le joint fini, je l’écrase dans le cendrier en la regardant, elle est clairement def’, mais encore en contrôle. Je l’embrasse en caressant sa poitrine désormais libre. Elle me colle, pose un pied sur la table basse pour mieux se faire doigter, et me branle la queue par en dessous. Je suis en face du miroir, je la vois essayer de m’enfourcher. Je l’aide en lubrifiant et en me baissant un peu. Je me décale aussi un peu pour qu’elle puisse voir quand elle s’empale, elle est bien bien humide. Mieux : j’écarte ses fesses pour bien la prendre. Excitée elle aussi par cette vision, cette petite cochonne se met un majeur dans l’anus, j’y joins le mien en lui disant « bonjour », elle rigole. On se caresse nos doigts très tendrement dans son fion, pendant qu’on se roule une pelle bien baveuse. Elle est prise de partout et commence à monter, surtout que je la baise assez vite maintenant.


Mais comme je commence à fatiguer (je suis constamment fléchi), je m’assois dans le canapé, et elle sur ma queue, face à moi. Elle se baise à fond, et moi je me perds dans sa poitrine. Je la sens très très ouverte : son vagin est une caverne, des fois, ça fait des pets quand j’y replonge. Son cul avec ses bas, son porte-jarretelles, ses talons et ma bite dans sa chatte, c’est trop beau dans la glace. Je mouille deux doigts, elle me stoppe, pour sortir un pot de vaseline de sous un coussin (j’ai rien calculé), évidemment que ça m’excite :



Je me trempe mes doigts, elle tourne la tête pour observer comment je vais travailler son derrière. J’y vais hyper lentement, très attentif sur son regard, dès que ça force je sors et je masse, c’est assez compliqué, car ça glisse beaucoup, on risque d’aller plus profond que prévu ! Je m’interdis de lui faire mal, et donc y vais comme si je conduisais sur la neige sans chaînes : très doucement. Finalement elle m’accepte complètement dans un grand soupir satisfait, je retire tout pour lui montrer qu’elle est totalement propre.


Cette cochonne sourit, alors j’ajoute mon annulaire, et la force brutalement à m’embrasser devant pendant que j’élargis l’arrière. D’ailleurs, elle ne décolle plus et garde ma queue au fond de sa chatte en remuant son bassin. Ses yeux s’illuminent et je la sens se détendre à fond. Mais à peine remise, tout en gardant mes doigts, je la baise très très fort. Elle veut bouger, se libérer, profiter, mais je la plaque sur ma queue. Elle n’a plus qu’à accepter son sort : jouir, dans une longue plainte. Cette sensation de la sentir se détendre totalement, avec ces serrages par vagues, trop bon. Elle coule sur mes couilles. Je domine, je maîtrise, j’anticipe, trop bon.



Je sors lentement mes doigts, que je remplace immédiatement par ma queue. Direct elle se la prend jusqu’au fond. Je sens zéro résistance.



Pendant que je récupère de mes efforts pour l’avoir fait jouir, je la regarde s’activer. C’est simple, elle y va aussi fort que par-devant. J’évite de trop regarder dans le miroir, la vision de ce cul qui coulisse est trop sexe. Je caresse ses seins tout durs, elle prend mes doigts et les suce. Elle commence à suer, elle bouge trop bien, putain cette meuf c’est la déesse du cul. En à peine une minute, c’est déjà trop, le claquement de ses fesses sur mes cuisses ! Impressionnant comme cette pratique est radicale niveau excitation !



Je prends un bon appui avec mes pieds, écarte bien ses fesses, et la baise bien fort. Elle n’arrête plus de jurer comme une charretière. Je sais plus si elle jouit ou pas, en tout cas elle n’est pas rassasiée, elle sue, elle est en feu, c’est un démon, limite ça fait peur. Pareil qu’au premier assaut, je suis très très vite en surcharge. Alors je me recule en position assise contre le dossier, je ramène ses pieds contre mes hanches, et soulève son cul avec mes mains. Accroupie sur ma queue, elle peut se sodomiser à fond, ça claque à chaque coup. Elle sue, elle sourit, elle est détendue.



Elle tourne sa tête, et s’observe dans la glace.



Elle est là, en sueur, détendue, souriante, jambes gainées, pliées, écartées, chatte imberbe, ouverte, qui perle, et ma queue au fond de son cul dilaté qui va-et-vient doucement. Pince-moi je rêve, c’est Buttman à domicile. La pression monte, je ferme les yeux !



Il lui suffit de deux allers-retours de son derrière pour que j’envoie tout, que je livre tout, sans tabou, sans peur d’en avoir honte. Je tressaute, hurle, en fixant ses yeux, c’est formidable de s’offrir comme ça ! Elle est clairement hyper heureuse de me faire grossir, puis me faire exploser tout au fond d’elle-même, et de me voir jouir. Elle, ne jouit pas, mais prend quand même quelque part un pied monstrueux. Elle se redresse, et vient m’embrasser.



On se marre, je profite encore d’elle et de mon reste d’érection en elle pour l’embrasser partout, comme un fou. Je reprends ses fesses dans mes mains, et la fais monter et descendre à nouveau. Comme je vois tout avec la glace, je suis de nouveau en forme ! Elle s’en aperçoit, ravie, s’installe à genoux, et profite. On baise un temps comme ça, mais au final elle me demande de changer de position.


J’essaie alors de faire comme dans les films : la porter en restant accouplés, mais je manque de tomber, elle rigole, et se laisse tomber sur le canapé. Elle enlève ses sandales « ouf j’en pouvais plus ». Je l’observe, goûtant ma chance, l’outil bien dur à la main, et toujours propre, conquérant. Se sachant matée des yeux, et bientôt matée par ma queue, elle s’installe, relève ses jambes et écarte ses fesses en souriant, c’est limite obscène, elle le sait. On sait qu’on passe un nouveau cap : on s’offre l’un à l’autre, sans honte, sans censure. Son entrejambe, c’est portes ouvertes, notamment son anus, désormais parfaitement dilaté, ouvert, mais un peu gonflé. Ça m’inquiète un peu, pas elle :



Je viens goûter son minou, par pure gourmandise, tout en regraissant son anus. J’ai envie de sa chatte, je commence donc par-là, trop bon de baiser ce trou fondant, dur en fait, comparé à son rectum désormais tout en velours. Mais pas longtemps, juste pour bien lubrifier ma queue, c’est même elle qui accélère le mouvement en avançant son bassin d’un coup sec.


Désormais, finie la tendresse. Je baise son cul directement très fort, elle est très active aussi, elle jure encore plus hard (« défonce-moi », « bourre-moi », « encule-moi plus fort », j’en passe et des meilleures) heureusement que je peux faire taire cette grosse truie avec ma bouche ou mes doigts. De nouveau elle écarte ses fesses avec ses mains et relève son bassin pour mieux se faire enfiler profond. C’est un démon, et moi aussi, on fornique très fort.


J’y vais comme jamais, la tête dans son cou. Zéro limites, à fond, lâchage complet, et tant pis si je la blesse puisque c’est ça qu’elle veut. Elle ne fait plus que gémir en écho, et pas de douleur. Mais j’ai vraiment envie de reprendre sa chatte. Elle est surprise, mais l’accepte du moment qu’elle se fait bourrer, d’ailleurs je sens ses doigts dans son anus pendant qu’elle se baratte le clitoris. On y va tellement brutalement qu’elle remonte dans le canapé au fur et à mesure. Enfin je jouis ultra fort tout au fond, très brutalement, en la traitant de salope je ne sais pas combien de fois. Elle crie tellement fort j’ai mal aux oreilles, puis éclate de rire ! Et vu l’état ses yeux, elle a côtoyé les étoiles de près, ouf !

On met du temps pour reprendre nos souffles, on est en nage, enfin rassasiés, heureux.



Et LÀ, je vois son visage s’éclairer littéralement : c’est ce qu’elle voulait dès le départ, je pense : remplacer dans mon cerveau toutes ces actrices, posséder mon esprit : c’est réussi !



Évidemment, grosse gamelle, câlins, caresses, et tant pis si ça coule de partout pendant ce temps. D’ailleurs tout peut s’écrouler autour, on s’en contrebranle. C’est du cuir noir, un coup d’éponge et ça ira.


Il se fait tard, on a été longs. Après avoir rangé et bien nettoyé, je file à la douche, elle aux toilettes.

Je suis déjà rhabillé quand elle reparaît pour sa douche. Pas de délires uros cette fois, tous les deux on est kaput niveau libido, et puis il n’y a pas que la baise qui soit bonne. Je m’occupe d’elle avec beaucoup de tendresse et d’attention. Sentiment de culpabilité pour l’avoir salie ainsi, même si je sais qu’elle le voulait.


Les filles sont des grosses cochonnes, elles aussi, limite plus peut-être. Je la laisse faire pour son intimité, qu’elle reconquiert. Puis je l’assiste dans son rhabillage, comme un valet, à genoux et tout. Elle redevient ma reine, j’adore m’occuper d’elle. Ça l’amuse de me voir si prévenant. Un bas a filé en haut, je promets de le lui rembourser. « Pas question », me répond-elle, pendant qu’elle se remaquille vite fait.

On prend un thé ensemble. Je lui fais part de ma petite inquiétude :



On continue de discuter de choses et d’autres, pour revenir dans une certaine normalité. J’évite de débriefer nos ébats, de lui dire comment elle m’a impressionné, que je l’adore comme une déesse, qu’elle est ma Vénus à moi. Peur de tout gâcher, de paraître relou, juste je ne lui fais pas oublier son bouquet. Elle perçoit ma passion, elle est un peu troublée, mais avec intelligence, je pense, l’ignore.


Mais je suis quand même récompensé lorsqu’elle prend ma main quand je la raccompagne à sa voiture. Et m’embrasse très tendrement. Comme je suis un peu emprunté, c’est elle qui vient coller nos deux ventres. Je prie pour que ça ne soit pas uniquement par désir, ou bonté. Que ça soit AUSSI autre chose.



À suivre…