n° 20123 | Fiche technique | 20395 caractères | 20395 3632 Temps de lecture estimé : 15 mn |
10/03/21 |
Résumé: Quand une petite piqûre mal, ou trop bien, placée conduit à des montées de désirs qu'il convient de satisfaire. | ||||
Critères: #épistolaire #lesbienne ff inconnu forêt voir exhib nudisme odeurs cunnilingu anulingus | ||||
Auteur : Dyonisia (Rêves et autofictions... Ou souvenirs et confidences ?) Envoi mini-message |
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Résumé du chapitre 1 :
Chantal n’envisageait qu’une promenade, Colette une simple balade, histoire de prendre un peu d’exercice en ce jour férié. Leur rencontre fut cocasse, mais leur permit au moins de jeter toute pudibonderie aux orties (façon de parler) et de se proposer de faire un bout de chemin ensemble.
Promenade au bois
Mais qu’est-ce qu’il m’a pris ?! Autant lui dire tout de go « je vais te lécher » ! Ce n’est pas un lapsus, c’est une déclaration. Je ne me reconnais plus. Bien sûr que j’en ai lapé des minettes, mais de là à vouloir bouffer une chatte inconnue… Pourtant, Colette n’a pas l’air d’être choquée ; surprise, oui, mais pas scandalisée. D’ailleurs, sa boutade montre qu’elle partage sans doute cette envie… Allez, chiche !
Trop tard, l’instant est passé. Je me sens frustrée, preuve que ce n’était pas qu’une impulsion irraisonnée. Même la perspective des sucs divers et acres de sa moule ne me répugnaient pas. Et ne me répugnent toujours pas. Au contraire : les imaginer sur ma langue et sous mon nez me fait mouiller davantage. Je pousse un soupir déçu avant de répondre à sa question.
Je récupère ma culotte, Colette ramasse son short et son chemisier et je la guide vers « ma » clairière. Je pousse un petit cri, j’ai marché sur une ronce. Je m’appuie sur son épaule pendant qu’elle la retire gentiment. Je me laisse faire, ravie, le talon du pied blessé posé sur le genou de la jambe valide. Ma fourche ouverte lui expose sans retenue mes lèvres écloses, gonflées, luisantes et exhalantes.
Ses mains sont douces, ses gestes sont précis. La tête à hauteur de mes cuisses, elle cherche consciencieusement toutes les petites épines crochues fichées dans la peau. Lorsqu’elle en débusque une, elle la retire avec ses ongles et me la montre d’un air triomphant. À chaque fois, je sens son souffle qui effleure mes poils, j’entends la grande inspiration qu’elle prend au milieu de mes effluves sexuels. Elle me sourit, un bout de langue rose pointé entre les lèvres.
Colette me taquine, sans lâcher mon pied. Elle le caresse délicatement, époussette les brindilles et la terre collées sous la plante. Je joue à étendre et agiter mes orteils. Elle les referme et les tient serrés, puis dépose de petits bisous un peu partout, surtout sur les bouts. Elle s’amuse même à en mordiller la pulpe. Doux chatouillis ! Dommage qu’elle s’arrête.
C’est à mon tour de la soutenir. Je l’entoure étroitement, il ne faudrait pas qu’elle perde l’équilibre ! J’ai passé un bras dans son dos, la main refermée sur un sein. Que c’est bon de sentir son téton dur rouler sous ma paume ! Que c’est bon de la serrer contre moi ! Que c’est bon d’avoir ses doigts cramponnés autour d’un mamelon ! Chacune de nos étreintes qui mêlent nos sueurs et nos parfums accroît mon désir.
Ses pieds glissent l’un après l’autre à l’air libre. Ils sont fins, cambrés, les orteils allongés, le deuxième dépasse. Cette fille a des pieds de statue grecque, le teint hâlé de la peau mis à part. Les ongles sont soignés, leur vernis sombre est bien plus élégant que mon rouge banal. Je l’en complimente tandis qu’elle se redresse, nous forçant à nous séparer. Mais c’est pour mieux m’enlacer en reprenant notre marche.
Je ne demande pas mieux.
Balade en forêt
Il n’y a que quelques pas entre notre point de rencontre et l’endroit où s’était installée Chantal. Mais en prolongeant nos haltes, nous avons pris notre temps pour les parcourir. Voilà enfin le petit nid qu’elle s’est aménagé. Le tee-shirt étendu sur les aiguilles de pin est un peu étroit pour deux paires de fesses, même si mon cul est plus menu que le sien. Je jette mon chemisier à côté et m’assois avec délices pendant qu’elle tire ladite carte de son petit sac.
Je regarde autour de moi. Le lieu n’est pas mal choisi, mi-ombre, mi-soleil, bien protégé par un rideau d’arbustes que traverse un unique sentier tortueux. Pas de risque d’être surprises sans entendre arriver de loin. Son jean en travers d’un buisson (mon short l’y a rejoint), sa culotte accrochée à une branche, son soutien-gorge traînant à terre près de nos tennis… on dirait une chambre d’adolescente !
Chantal s’approche, je me déplace pour qu’elle pose son popotin. Nous partageons le reste de sa gourde, juste deux gorgées en effet. C’est peu, j’aurais pu en prendre une moi aussi. Elle déplie sa carte, je me pousse un peu plus… Aïe !! Je me lève d’un bond.
Cette fois, c’est moi qui éclate de rire en m’exécutant, les genoux au bord du tee-shirt.
Je m’installe comme elle le désire, la tête sur les mains, le haut du buste collé au sol. Le mélange d’aiguille de pin et de feuilles de kermès me picote les bouts de seins. Pas vraiment douloureux, plutôt excitant. Elle s’agenouille derrière moi. Je lui expose mon cul dans sa totalité. Elle l’ouvre sans ménagement.
Chantal poursuit son exploration. Ses doigts palpent avec application le long du sillon, jusqu’au bord de l’anus. Trouver la petite pointe qui se cache entre peau et poils va être ardu. Comme trouver une aiguille dans une botte de foin… noir ! Je pouffe de rire à cette idée.
Pendant qu’elle réfléchit, je ne résiste pas à la tentation de glisser une main sous moi pour me tripoter. Ça fait trop longtemps que j’en ai envie! Je me branle sous ses yeux, et alors ? Puisqu’elle ne déteste pas mes fragrances musquées, je vais en renouveler les plus fortes. Humm ! Je me sens tellement couler que ça doit déborder du con. Elle rit.
Son ton sérieux en prononçant la dernière phrase déclenche un nouveau rire. Cette fille me plaît de plus en plus. Je décide d’en rajouter.
Elle me demande de mettre les doigts en éventail sur ma fesse droite, le pouce en bas de la chatte, et de l’écarter. Je tire aussi fort que je peux, bien consciente de tout ce que je lui montre, et des remugles qui doivent s’exhaler. D’autant qu’elle tient toujours fermement ma fesse gauche pour ouvrir largement ma raie.
Elle part du coccyx en pressant le bout du doigt sur chaque centimètre carré le long du sillon. Je me retiens d’exprimer mon plaisir – il faut rester sérieuse –, mais qu’est-ce que c’est bon cette succession de petits attouchements qui se rapprochent de mon œillet… Quand tout à coup,
Chantal appuie une seconde fois (par acquit de conscience ?), re-hiii !
Elle s’applique, s’y reprend à plusieurs fois. C’est vrai que ça fait mal, c’est fragile là, la peau. Mais c’est aussi très excitant. Je frémis de la rosette et palpite de la minette, sans honte. Et sans succès probant, du moins pour l’épine.
Oh que non ! m’entends-je penser.
Promenade au bois
Ça m’est venu tout seul. Il y a dix minutes que je me régale de la vue du troufignon et du corail de Colette, dix minutes que je m’enivre des parfums de sa sueur, de sa pisse, de sa cyprine, et de ce quelque chose d’autre, indéfinissable, qui émane de son intime intimité. Dix minutes aussi que je me retiens de fourrer mes doigts et ma langue dans son con, de sucer ses nymphes baveuses, de boire son jus qui dégorge du trou, et dix minutes toujours que je m’empêche de triturer ma cramouille pour libérer la tension qui gonfle mes lèvres et durcit mes seins.
Je pose ma bouche tout près de son étoile. Je sens les petits frémissements qui la parcourent, j’ai déjà l’impression de communier avec son plus profond (non, mais, qu’est-ce que je raconte !). Je me concentre sur ma tâche d’infirmière bénévole… intéressée… et complice.
D’abord localiser la coupable. Je tâte doucement de la pointe de la langue. Du coup, je goûte à la saveur de son cul, âcre bien sûr, mais aussi curieusement, un peu sucrée. Pas désagréable. Je parcours la zone du plat de la langue, la sensation est plus intense. Je repère le petit bout d’épine au léger accroc sur mes papilles. J’approche mes incisives, délicatement.
Je dois faire plusieurs tentatives (le dois-je vraiment ?) qui font chacune frémir un peu plus fort ma patiente consentante. En jouant de la langue et des dents, j’arrive enfin à extirper le problème. Quand je relève la tête pour l’examiner, j’entends un gros soupir, mi-soulagé, mi-désappointé.
Il y a une gouttelette rouge à l’endroit de la piqûre. Je repasse ma langue dessus. J’appuie bien, j’ai le bord de son petit trou sous ma bouche. Il semble qu’il n’y ait plus rien… Par précaution (on n’est jamais trop prudente), je colle mes lèvres et j’aspire. Il vient une infime perle de sang, mais surtout je retrouve tous les arômes de son cul sous mon palais. Je le lèche.
Je lèche, je lèche, je lèche, je n’arrête pas de lécher. Je lèche les festons de son œillet. Je lèche la transpiration de la raie. Je lèche les poils qui parsèment le tour du cratère. Je lèche le périnée distendu. Je lèche les muqueuses offertes. Je lèche le trou à pipi. Je lèche le bouton qui pointe, dur, sensible.
J’ai le nez dans le cul de Colette, je me remplis les narines de son parfum secret. Je lèche. Je mêle ma salive à sa cyprine. J’en tapisse le périnée, j’en étale sur la rosette. Je lèche. Je titille ma langue sur l’anus. Je lèche. Je vrille ma langue dans l’anus. Il l’accueille. Je lèche. Mon nez remplace ma langue. Ma langue pénètre le vagin. Je bois, je lèche, j’aspire, je suce.
Les fesses se crispent sous mes mains. J’agite le bout de mon nez dans un coussin doux et tiède. Je roule ma langue dans une source inépuisable, onctueuse, salée, citronnée… tout se mêle. Mes lèvres ne suffisent plus à tenir leurs proies. Je mordille les nymphes. J’alterne plongée de langue et succions, caresses des lèvres et caresses des dents. Le corps sursaute, un cri rauque jaillit, je reçois dans ma bouche l’orgasme de Colette.
Elle s’affaisse à plat ventre. Elle frissonne encore, alterne soupirs et halètements. Je suis heureuse, fière. J’ai oublié le plaisir que réclame mon propre corps. Je ne pense qu’à celui que je viens de lui offrir. Je remonte doucement ses hanches vers moi. J’écarte à nouveau ses fesses sans résistance. Je nettoie scrupuleusement sa raie et son périnée. Les coulées poisseuses disparaissent sous ma langue.
Je l’aide à se retourner sur le dos. Elle s’abandonne sans force, bras et jambes étendus. Je glisse mes bras sous ses cuisses. Je caresse sa chatte du bout des doigts. Elle sursaute et gémit. Une mousse crémeuse sourd d’entre les lèvres. Je pose ma bouche avec infiniment de prudence sur cette chair fragile. Lentement, tendrement, très délicatement, j’achève ma tâche de soubrette dévouée.
Les yeux levés vers son visage, je guette le retour à la vie de Colette.
Balade en forêt
Les arbres clignotent ?!…
Il me faut un moment pour comprendre que c’est le scintillement du soleil à travers les feuilles. J’étais si bien dans les nuages ! Tout mon corps est las, j’ai du mal à ouvrir les paupières, l’esprit vide. Je frissonne. La tiédeur m’enveloppe et j’ai des frissons… Ma respiration se calme, je soulève avec peine ma tête. Des yeux bleus au ras de mon ventre… Chantal !
Mon amante m’observe. Je lui souris. Mon Dieu que c’est bon de ne pas entendre de questions stupides ! Son regard épanoui, mon sourire ravi, cela suffit pour unir nos pensées.
Ma poitrine palpite toujours. De petites brindilles se détachent de mes seins. Ma peau est constellée des minuscules marques rouges qu’elles y ont laissées ; certaines y collent encore, preuves du maelstrom qui m’a plaquée au sol dans ma jouissance. Chantal les enlève affectueusement une à une. Je lui souris.
Elle baise chaque empreinte, si minime soit-elle. Oh, la douceur de ses lèvres ! Elle lèche mes mamelons pour décoller les brindilles rebelles. Oh, la douceur de sa langue sur mes aréoles ! Elle aspire le bout d’un sein pour mieux le purifier. Oh, la douceur de sa bouche sur mon téton ! Il faut qu’elle arrête, sinon je vais m’envoler à nouveau.
Je l’entoure de mes bras, j’attire son visage sur le mien, nous nous embrassons amoureusement. Je retrouve mes odeurs sur ses joues. Elle est toute barbouillée de mon jus. Je le lape avec bonheur. Ses seins lourds moulent les miens. Je croise mes jambes autour de sa taille. Ma chatte épouse son pubis. Une mouille chaude coule sur mon enfourchure… Je me sens égoïste.
Ma main glisse sur ses reins (son petit râble de lapin), jusqu’à ses fesses. Mon majeur trouve le haut de son sillon, s’immobilise un instant. Elle se love plus étroitement contre moi. Mon doigt reprend sa descente. La raie est moite. Je fais quelques allers-retours sur le bout des vertèbres, mais ma cuisse m’empêche d’aller plus loin. Je retire mon doigt et le passe sous mes narines, juste entre nos nez.
Chantal rit, fait mine de le mordre. J’esquive ses dents, deux fois, trois fois. Je le lui abandonne. Elle le lèche, moi aussi. Il est légèrement salé. Nous rions. Je décroise mes jambes. Avec d’infinies précautions, entrecoupées de rires – ne pas se planter une autre écharde – nous échangeons nos places. Elle allongée, moi au-dessus, nous nous regardons, soudain sérieuses.
Je m’accroupis entre ses chevilles. J’aime lui montrer ma chatte ouverte. Elle soulève ses hanches, m’exhibe la sienne écartée à deux mains, comme pour un défi, comme dans une prière… Je tombe à genoux entre ses cuisses pour baiser avec dévotion cette coupe offerte. Elle brille d’un jus dont l’odeur m’affole. Je suis impatiente de m’en repaître enfin.
Mes mains remplacent les siennes. Je peux détailler à loisir cette chatte tant désirée. J’y plonge. Je m’y noie. Je la fourre de ma langue… Ah ! Que c’est bon de mêler l’odeur et la saveur de cette moule juteuse. Du miel marin, une crème légère au goût iodé, et même un peu plus, un relent de crevette, mais c’est encore meilleur ! Je le déguste, je m’en tartine les papilles, j’en redemande. C’est si facile de rouler ma langue dans cette source de mouille ! J’y puise sans relâche, sans me rassasier, sans l’assécher. Plus je bois son jus, plus elle m’en offre, mieux j’en découvre le bouquet. Je suis une œnologue de la cramouille !
Mais je m’égare, j’oublie de profiter aussi de ses tremblements et de ses soupirs. Voyons, si je suce ces petites lèvres si douces… ah, ça lui plaît ! Et si je tire un peu, que je mordille ? Hum, elle se cambre ! Et si j’aspirais à même l’entaille, là, ce petit trou que son jet arrondissait ? Eh oui ! Chantal me le colle à la bouche d’elle-même, encore plus fort ! Mais oui, ma chérie, je vais te toiletter le trou à pipi, je vais en extraire les dernières traces salées… Sa motte tressaute sur mon nez, elle marmonne, elle adore. Oh oui ! Qu’elle me donne encore quelques gouttes !
Non, dommage, cette source est temporairement à sec. Heureusement, elle a laissé un reste de fragrance sur les rives de ses voisines, comme un souvenir d’odeur qui renforce le précieux de ses succulences. Je m’adonne sans retenue à cette dégustation qui comble mon désir autant que le sien. Du coup, je veux mêler aussi le goût de son cul à ceux de sa moune. J’ai toujours été une adepte des mélanges ! Ma langue va chercher la rosette, la titille, la caresse. Les épices sont plus fruitées, la vieille sueur les rehausse. Cette fois, c’est son trou du cul qu’elle veut plaquer à mes lèvres, la coquine ! Je la satisfais de mon mieux, le bout de la langue sur son étoile secrète… Je ne peux aller plus profond, hélas ! J’essaie pourtant, j’essaie tant que mon nez s’enfouit dans sa grotte. J’inhale le jus que je soutire…
De l’air ! Vite, de l’air ! Mourir noyée au creux d’une belle inconnue, pourquoi pas ? Mais je veux encore en profiter d’abord ! Je relève ma tête, la chérie ne s’est aperçue de rien, sauf de l’absence soudaine de gougnottage, et Chantal grogne de frustration, les mains cramponnées aux seins. Je reprends mon œuvre charitable. Mais cette fois en léchant à petits coups le petit trou, jusqu’à ce que les soupirs de satisfaction reviennent.
Ma langue à plat, je passe lentement sur le périnée pour revenir à la source. Elle est là, déjà entrouverte, prête à ma caresse. Que dis-je prête ? Non, impatiente de la recevoir, je sens ses palpitations et sa liqueur redoublée sur mes papilles. Quelle mouilleuse, cette fille ! Tant pis, je néglige de savourer, je fouille la grotte, j’écrase mes lèvres dans l’entaille, j’épouse son corail, je tends loin, aussi loin que possible, une pointe dure et charnue que je tourne sept fois et plus dans cette bouche d’amour.
Les soupirs se précipitent, montent dans l’aigu, se muent en plaintes courtes. Les cuisses se referment sur mes tempes, le bassin se cambre et s’agite, le ventre veut m’échapper. Je suis aveugle et sourde, obligée d’agripper les fesses pour rester collée à la vulve, pour m’y enfouir plus profond. Mon nez frotte et écrase le clitoris, l’agace de plus en plus à chaque remuement contraire de ma tête et de son pubis. Je ne compte plus les flots de sucs qui m’abreuvent et me barbouillent. La stridence d’un gémissement continu parvient à mes oreilles, un sursaut ultime secoue les hanches, deux mains repoussent mon front… Tout s’arrête.
Ma joue repose sur sa cuisse, ma bouche sur une douce peau humide. Ses doigts cajolent son minou au ras de mes yeux. Je caresse son genou, elle lisse mes cheveux… Vide, silence… Nous nous abandonnons l’une et l’autre… l’une à l’autre… Un souffle passe, Artémise nous bénit, sans doute ! Je me soulève avec effort, Chantal lève la tête et sourit. Je viens me lover contre elle, elle m’enlace tendrement. Nos jambes se marient et nos bouches s’embrassent. Nos corps s’apaisent.
À suivre