n° 20181 | Fiche technique | 25631 caractères | 25631Temps de lecture estimé : 15 mn | 05/04/21 |
Résumé: Quelles vacances à Venise ! Mathilde y découvre tous les plaisirs liés à l'histoire de la ville... | ||||
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Auteur : JeffTrois Envoi mini-message |
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Résumé :
En vacances à Venise, après le premier confinement, je découvre sur les marches de la gare une jeune beauté brune abandonnée, esseulée et bafouée par son petit copain qui lui a préféré un garçon. Dans un élan de générosité, je lui propose de partager mes vacances et décide de lui offrir des vacances inoubliables. Un peu hésitante, elle a accepté ma proposition. Enchantée par le cadre, elle a joué le jeu que je lui proposais. La première nuit a été torride en turpitudes la suite me fait découvrir une vraie partenaire à la hauteur de mes espérances. Mathilde est ouverte à toutes mes propositions et semble les apprécier, voire y prendre un très grand plaisir.
Oui, je sais, amis lecteurs ce que vous êtes exactement en train de penser, le bougre ne nous épargnera rien, avec un romantisme à deux balles il nous entraîne naïvement dans une histoire à l’eau de rose, mièvre de platitudes et remplie de tous les clichés romantiques sur Venise… Et alors ? N’avez-vous jamais désiré ou rêvé de vivre ce genre d’aventure ? Moi, je peux me le permettre. J’en ai enfin l’occasion, l’opportunité, les raisons et les circonstances sont avec moi, dois-je m’en priver ? Alors, oui, je saute à pieds joints dans cette histoire, je m’y vautre pour décupler mon plaisir et n’avoir plus tard, aucun regret… Toutefois je ne suis pas totalement égoïste, puisque je la partage avec vous.
Depuis la brume de mon cerveau, le son semble persistant, lancinant, strident, insupportable au point de me forcer à ouvrir un, puis deux yeux avant de les refermer avec vivacité, tant la lumière du soleil qui éclaire directement le lit, m’est intolérable. Il me faut encore quelques secondes pour revenir à la réalité, trouver une douce et chaude épaule collée à la mienne, me souvenir que je suis à… Venise, en superbe compagnie, celle de… Mathilde ! Et encore une ou deux secondes pour comprendre que c’est la sonnerie du téléphone de l’hôtel qui étrille mes oreilles…
Mathilde, elle aussi sort d’un très profond sommeil…
Et en quelques minutes nous sommes douchés et sur le quai…
Devant nous, le bateau, enfin le yacht de Carlo et Amanda… Carlo est le mari de la belle Vénitienne, homme d’affaires avisé, multimillionnaire, à l’esprit ouvert, libertin, porté aussi bien sur les jeunes femmes que les hommes et ami de très longue date. Vénitien de souche, sa famille compte au moins trois doges dans ses aïeuls et dispose, en plus de l’île sur laquelle nous venons de passer la soirée de la veille, plusieurs résidences, dont un magnifique palais sur le Canale Grande, avec vue imprenable sur le pont du Rialto.
Le yacht est amarré au pied de l’hôtel. C’est un yacht blanc de près de 25 mètres de long, ancien, dont toutes les superstructures sont en bois verni. À l’arrière, un immense Sun Deck est organisé autour d’un jacuzzi. Amanda nous attend en haut de l’échelle de coupée, au pied, un marin – tout de blanc vêtu, à la carrure impressionnante et au bronzage parfait – s’active déjà pour défaire les amarres. Pour y arriver, il nous faut fendre une foule de touristes qui s’est amassée, Smartphone en main, attendant de voir descendre ou monter quelques stars connues… Mais ce n’est que nous…
Et j’ajoute :
Et en disant ces mots, elle passe une main câline sur la figure de Mathilde qui devient rouge comme une… pivoine, peu habituée aux compliments distillés par une femme.
Et elle part d’un grand éclat de rire…
À toute petite vitesse, le grand yacht s’éloigne du quai, sous le regard de la foule de touristes, et se fraye un chemin au travers de la circulation maritime, totalement démente… pour rejoindre la sortie du Canale Grande, puis suivre le balisage de sortie de la Lagune… Tandis que l’équipage vaque à ses tâches quotidiennes, Amanda nous invite à visiter le bateau, ces cabines, spacieuses, richement décorées, la salle à manger, le salon et le bar où une jeune et très belle barmaid attend les ordres pour nous servir un café…
Une bonne demi-heure plus tard, la houle de mer fait un peu plus bouger le yacht, signal pour tout le monde de pleine mer et de liberté. Amanda nous propose de rejoindre une cabine pour nous dévêtir et venir la rejoindre au bord du jacuzzi.
Mathilde, toujours curieuse de nouvelles expériences et de nouvelles sensations, s’accoude sur le lit, jambes repliées et écartées et attend mon bon vouloir… Moi, planté en face, je me nourris de la vision de son sexe, toujours bombé, presque hermétiquement fermé, ne laissant qu’une fine et légère bande de chair brillante séparant les deux lèvres extérieures charnues. Avec douceur, car je la sais sensible naturellement, j’approche ma bouche de son sexe pour aller ouvrir avec ma langue son sexe et ses fesses. Mon but, le faire suffisamment mouiller pour lui introduire dans le sexe les boules de Geisha, même si les amatrices les préfèrent dans l’anus.
Et ma perversité naturelle me pousse à vouloir lui enfiler un plug anal en plus des boules de Geisha pour compléter son plaisir…
Mathilde, sous les premiers coups de langue sur son sexe, empoigne mes cheveux et en écartant un peu plus les jambes entame une série de mouvements du bassin et ahane, tellement cette zone reste encore sensible de ses exploits de la veille. En quelques coups de langue, elle mouille abondamment, son sexe s’ouvre et bave largement, suffisamment pour que je puisse introduire les deux boules de Geisha et du bout des doigts, les faire remonter le plus loin et le plus profond possible… Puis, sans attendre ses premières réactions, ma langue descend vers son petit trou, lui aussi s’ouvre à l’unisson du sexe, lui aussi est déjà humide du plaisir de Mathilde, et après en avoir fait largement le tour avec ma langue, tandis que Mathilde l’écarte avec ses mains pour m’inciter à aller plus loin, je lui introduis le plug, mis à la disposition des visiteurs.
Mathilde se tortille sous le plaisir qui agite son ventre et ses fesses. Elle est déjà au bord de l’explosion.
Quand c’est demandé ainsi, je ne peux résister et sans précipitation, avec une infinie tendresse et mille précautions, je glisse mon sexe en érection dans la mince fente de Mathilde. Une cavité humide, chaude, coulante, mais encore serrée de ses turpitudes de la veille et occupée dans son fond par les boules à masselottes qui à chaque progression de mon sexe, envoient de larges ondes d’excitation dans toutes les directions. Mathilde, les deux mains sur mes fesses, les jambes en compas, en apnée, mordant mon épaule pour ne pas hurler… feule de plaisir
Dès lors, Mathilde se laisse aller et crie son plaisir. Dans son sexe, je sens le plug anal contre la muqueuse extérieure, légèrement striée, et son bout arrondi. Plus haut, je bute contre les boules de Geisha qui limitent et intensifient ma pénétration. Mes allers et retours ne sont pas nécessairement nombreux pour parfaire la jouissance de Mathilde qui éclate sous moi, en même temps que moi.
En revanche, il nous faut de longues minutes pour retrouver un souffle normal, reprendre pied dans la réalité…
Tandis que nous arrivons sur le pont, Amanda est déjà dans le jacuzzi, la jeune barmaid lui sert un mojito. Toutes deux sont nues. Mathilde, nue, elle aussi, avance à petits pas, à la fois gênée dans sa démarche par le plug et les boules de Geisha. Le sexe en constante éruption, elle s’est déjà arrêtée deux fois, entre la cabine et le pont, pour porter sa main à son entrejambe et frotter vigoureusement son clitoris afin de se soulager par un très rapide plaisir…
La jeune barmaid, qui répond au nom de Freya, est magnifique… Une grande blonde au sourire ravageur qui montre des dents régulières et d’une blancheur éclatante. Un visage d’un bel ovale régulier, des yeux bleu presque turquoise. Elle ne dispose pas d’une poitrine volumineuse, mais ses seins naturels avec leurs pointes, haut placées, sont en érection. Les hanches un peu larges se referment sur un sexe nu, à la fente assez basse et aux lèvres fines, un peu comme celles de Mathilde, peut-être un peu moins charnues.
L’eau est à une température idéale pour requinquer un jeune couple. Amanda fait asseoir Mathilde à sa gauche.
Sur ces entrefaites, la belle et jeune Freya arrive en portant un plateau avec les deux boissons…
Dégoulinante d’eau, en mesurant ses pas, Mathilde sort du jacuzzi et se dirige vers le matelas où elle s’agenouille avant de poser ses mains devant elle, montrant à tous sa rosette couronnée du bouchon du plug et en dessous, son sexe qui coule non pas d’eau, mais de son plaisir…
Freya commence par passer une main légère sur le dos puis les cuisses de Mathilde avant de les porter vers ses fesses. Du bout des doigts elle s’empare du cabochon et doucement, sans tirer, le fait pivoter sur lui-même déclenchant ainsi une série de spasmes dans le ventre de Mathilde qui creuse ses reins pour écarter ses fesses. Avec une lenteur un tantinet sadique, la jeune barmaid joue avec la rosette de Mathilde, attrape le bord du cabochon pour commencer à le retirer avant de le faire replonger… et cette manœuvre a pour effet d’échauffer Mathilde qui se trémousse, et cherche à se débarrasser de l’encombrant objet qui lui perce l’anus, mais lui procure aussi tellement de plaisir. D’autant que, ce que Freya ne sait pas, c’est qu’à chaque replongée, le bout va buter contre les boules de Geisha qui répercutent dans tout son ventre des ondes de plaisir. Pour parfaire l’excitation de la jeune passagère – qu’elle trouve très à son goût – la jeune barmaid positionne son autre main directement sur le clitoris de Mathilde et du bout de ses doigts va-et-vient, irradiant le ventre de Mathilde d’ondes de plaisir, directes et puissantes.
Il ne faut pas longtemps à Mathilde pour ondoyer des fesses, creuser ses reins, écarter ses cuisses et secouer la tête dans tous les sens et crier son plaisir au vent du large.
Dans le jacuzzi, Amanda et moi restons spectateurs et nous délectant de la scène. Pour pimenter un peu plus ce moment, Amanda s’est emparée de mon sexe, dur et excité qu’elle caresse d’une main nonchalante. Connaissant les travers de la belle Italienne, moi, d’un doigt indiscret aussi bien que familier, je lui cajole son bouton d’amour que je sais particulièrement sensible au voyeurisme. Je regrette que Carlo, son mari, ne soit pas avec nous.
Freya ne se contente plus de manipuler le plug dans les fesses de Mathilde. Elle approche sa bouche de ses lèvres intimes et à petits coups de langues vient essuyer les coulures de plaisirs qui sourdent, forçant la fente à s’ouvrir pour lui livrer ses intimes secrets et sécrétions. Freya s’en délecte, astique de plus belle la tige du clitoris et continue à jouer avec le bouchon du plug. Mathilde a largement écarté ses cuisses et se tenant sur une seule main, elle emprisonne un sein qu’elle triture jusqu’à la pointe qu’elle pince, tire, tourne dans tous les sens jusqu’à ne plus rien pouvoir supporter. Dans un cri sourd, elle éclate. Elle arrose le corps de son amante du moment d’un long jet de plaisir et s’écroule, le corps tétanisé par des spasmes de sa jouissance, les mains crispées sur le matelas de plage, les jambes tendues à l’extrême, elle roule sur elle-même en cherchant à s’éloigner de celle qui cherche encore à prolonger son plaisir.
Freya, doucement, obéit et remonte au-dessus du corps de Mathilde. Avec une tendresse exquise et émouvante, elle arrange les cheveux noirs de la jeune femme, la regarde droit dans les yeux et approche sa bouche des lèvres entrouvertes qui cherchent encore de l’air et l’embrasse tendrement, puis avec de plus en plus de passion.
Mathilde prend le temps de retrouver son souffle, allongée sur le dos, Freya au-dessus d’elle, elle a envoyé sa main sur sa nuque et lui rend son baiser. C’est à cet instant que Freya s’arrache des bras de Mathilde et revient vers le jacuzzi. Amanda, mon sexe toujours entre ses mains, continue à me caresser, m’incite à m’asseoir sur le bord et tandis que Freya entre dans le bac d’eau, elle lui tend ma queue, puis se lève et se dirige, en deux grandes enjambées, vers Mathilde toujours allongée, jambes écartées, le plug toujours entre ses fesses et les boules de Geisha dans le ventre, interloquée par le départ de Freya…
Une langue chaude et humide vient avantageusement remplacer les doigts d’Amanda, autour de ma queue… Freya n’est pas seulement lesbienne, comme la scène que je viens de contempler aurait pu me laisser croire, non, Freya est hétéro et elle semble particulièrement très douée avec la langue.
Une fois encore, je ne sais quoi regarder… Freya qui commence à sucer mon sexe et me fixe droit dans les yeux avec son regard bleu, sa frange blonde, sa bouche largement ouverte autour de mon dard… Ou regarder le spectacle qui continue sur le matelas, en face de moi, où Mathilde rejointe par Amanda continue à se donner du plaisir…
Excité par ce que je viens de voir, de vivre. Exacerbé par la bouche de Freya, son regard de jeune femme soumise qui aime à s’amuser avec les membres des hôtes de ses patrons, allumé par le couple Mathilde/Amanda qui prennent le temps de se sentir, se lécher, s’embrasser, se toucher avant de s’aimer… Mon esprit n’arrive plus à rien contrôler… Freya le comprend vite et, futée, elle sort de l’eau et vient m’enjamber. Rejeté sur le dos, la queue droite, elle s’empale dessus, jambes bien écartées, pieds bien à plat.
Son sexe, aussi charnu que celui de Mathilde, m’enveloppe tandis que les petites lèvres, gorgées de plaisir s’ouvrent et laissent couler son désir. Elle s’abaisse de toute la hauteur de son buste et je bute au fond de sa chatte, étroite. Elle ne bouge plus. Elle ferme les yeux. Sa respiration s’accélère. Elle empaume ses seins par en dessous et va en faire rouler les pointes rosâtres entre ses doigts. Cela a pour immédiate conséquence de déclencher une série de convulsions dans son ventre qui viennent masser naturellement mon sexe qui y est enfourné jusqu’à la garde. Et Freya continue sa manœuvre. Adoptant juste un petit balancier d’avant en arrière, question de bien écraser ses nymphes charnues et lustrées sur mon ventre. Par des torsions et des extensions prodiguées sur ses tétons, elle continue à me masser avec ses muscles internes qui se crispent et se relâchent selon son plaisir qui monte… Puis, elle entame une série rapide de va-et-vient qui lui creusent le ventre avant de s’affaisser sur ma poitrine en criant son plaisir… Nous restons emboîtés durant quelques secondes, le temps de reprendre notre souffle et elle me susurre à l’oreille :
Mais Freya se dégage de moi, positionne sa vulve à hauteur de ma bouche et plonge, derechef avec la bouche ouverte sur mon sexe toujours droit et excité. Par petits coups de langue, elle maintien mon excitation, mais évite de m’avaler. Elle remue ses fesses de façon à placer sa rondelle au niveau de ma bouche, dans une attente incitative de mes coups de langue. Si je sais résister à beaucoup de choses, je dois avouer humblement que ce genre d’invitation me met la tête en feu et je cède facilement à l’appel d’une feuille de rose.
Entre les fesses de Freya, la peau plus sombre et légèrement grenée se révulse à chacun de mes coups de langue et sa rondelle s’ouvre. Le jeune anneau, entouré de ses plis semble se défroisser au contact de ma langue, la cuvette se creuse, les parois deviennent lisses et l’entrée s’ouvre. Il ne me faut pas plus d’une dizaine de coups de langue pour sentir les premières contractions annonciatrices de plaisir. Ce qu’elle attendait. Avant de jouir, Freya délaisse ma queue et vient s’empaler les fesses. Les deux pieds bien à plat sur le bois du pont, elle écarte son anus, le distend et sans précipitation, avec dextérité, s’empale sur moi.
J’entre dans une zone douce, étroite, chaude et humide. Freya entame une série de montées et de descentes, de plus en plus profondes. Elle se recale sur ses pieds, assure sa stabilité, écarte ses fesses qui frottent sur mon ventre et recommence sa danse érotique, avec souplesse, puissance, grâce et efficacité pour atteindre son nirvana et m’entraîner avec elle. Niché au creux de ses reins, je ne peux plus résister à expulser ma jouissance en râlant mon plaisir. Par une nouvelle série de contractions de ses muscles internes, elle parachève de traire ma queue, jusqu’à la dernière goutte de sperme. Elle me laisse épuisé, des étoiles plein la tête, la gorge sèche, allongé à la dure sur le pont de bois. Je l’aperçois s’éloigner vers l’intérieur du bateau.
Avec quelques contorsions sur le dos, j’arrive à caler ma tête contre le bas du bastingage pour mieux me repaître du spectacle de Mathilde et Amanda en train de s’aimer… mais les deux filles ne sont plus là… Elles sont allées trouver refuge dans une cabine, plus confortable, plus propice aux étreintes… Avec un effort surhumain, je me dirige vers la cabine d’Amanda, à l’avant du yacht – oui, je la connais et l’ai déjà souvent occupée, avec Amanda – seule – ou en compagnie d’Amanda et Carlo, avec Carlo et d’autres invitées… Ici, on ne frappe pas, on entrouvre la porte, on peut rester là, à regarder le spectacle, ou bien entrer et s’asseoir sur l’immense lit juste pour se nourrir de la vision des corps qui s’exhibent ou encore, participer…
Là, au milieu de l’immense lit, Amanda, Mathilde et deux personnels magnifiquement bien membrés forment une partie carrée… Amanda, en levrette, se fait prendre par-derrière. Elle broute le minou de Mathilde qui, assise, jambes écartées, monte et descend sur un énorme dard qui la sodomise… Alors que je me sentais vidé, exténué par Freya, mon sexe reprend vite forme. Je l’approche de la bouche de Mathilde qui, au milieu de son extase, me sourit, ouvre la bouche et avale ma queue… Quand elle descend sur la hampe qui la transperce, ses lèvres viennent cercler mon gland… Quand elle remonte, donc quand son cavalier ressort de ses fesses, mais pas en totalité, elle avale tout mon pénis… En quelques mouvements nous arrivons tous à nous synchroniser, pour nos plus grands plaisirs et celui de nos cavalières dont nous attendons tous qu’elles commencent à jouir avant de prendre le temps de jouir nous-mêmes.
C’est l’intrusion de Freya, toujours à poil, qui sonne la fin de la récréation, précipitant la jouissance des uns et le plaisir des autres par un solennel et claironnant « Madame est servie… »
Ah ! Pour être servie, Madame est bien servie… Le repas, pris dans la salle à manger est simple et exquis. Après un rapide café italien, nous nous allongeons sur des transats et nous faisons, tous, une sieste d’enfer… La fin de l’après-midi est beaucoup plus calme que la matinée. Le retour à Venise, tout aussi folklorique que notre départ du matin, une foule de touristes s’agglutine sur le quai au moment où le yacht accoste, espérant toujours apercevoir descendre ou monter quelques stars… Les stars ? Ce n’est que Mathilde et moi…
(À suivre)