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n° 20436Fiche technique18774 caractères18774
Temps de lecture estimé : 11 mn
20/08/21
Résumé:  L’évêque se déchaîne et dégaine son 22 Long-Rifle, calibre 50 à faible répétition. Ildéfonse vient à son secours. Je m’excuse un peu à l’avance du côté un peu graveleux.
Critères:  fh fhh hagé fagée religion campagne soubrette hmast fellation cunnilingu préservati pénétratio fsodo hsodo conte -totalsexe
Auteur : Vopicek      Envoi mini-message

Série : Ildéfonse

Chapitre 02 / 03
La visite de son Éminence

Résumé de l’épisode précédent :

La paroisse de Gnancucu reçoit un nouveau curé, Ildéfonse, à la suite de la retraite du précédent. Il a de la peine à recevoir une servante pour l’aider à tenir sa cure et il profite du décès du maire, mort dans des circonstances obscures, pour engager sa veuve qui vient d’atteindre l’âge canonique. Après une résistance acharnée des deux, ils finissent par se plonger dans le stupre et la fornication, à leurs grandes satisfactions. L’évêque se pointe dans une tournée d’inspection de son diocèse.







Une fois, ma servante partie, l’Évêque remarque :



— Voilà, pour pénitence, tu me la prêteras pour cette nuit, cela fait longtemps que je fais également pénitence et j’ai besoin d’une bonne cruche⁽¹⁾.





OOOO0000OOOO





Sur ce, les convives font honneur à la fricassée de porc et aux épinards en branche, liés par une mince tranche de lard que le boucher met toujours de côté pour la rémission de ses péchés. Le tout est arrosé d’un vin de messe bien tempéré, comme le clavier de J.-S. Bach⁽²⁾.

Louise, avec le vin de messe, commence à être un peu pompette et se demande comment cela va se continuer. Si elle a baisé avec un curé, avec un Évêque, c’est une autre paire de manches, surtout que celui-ci a l’air spécialement averti de la chose. Son minou est en pleine transpiration et elle est excitée comme un pou sur un pubis bien garni.


Ildéfonse, dans le respect de la hiérarchie doit faire bonne figure à sa mésaventure et espérer qu’il en tirera quelque chose, mais il ne voit pas quoi, à part des désagréments.

Bâillant ostensiblement, le Vicaire du Christ, le Priape en état de réveil, se lève, pour aller dormir.



Devant la complicité naissante de l’évêque et de sa servante, Ildéfonse ne défonce plus grand-chose, il a la mine triste et le jonc pendant.



C’est ainsi que, se morfondant dans la chambre de Louise, rageant contre l’impudence de l’évêque qui applique son droit de cuissage, Ildéfonse se défonce la bite à 5 contre 1. Mais brusquement il arrête en se disant : « l’évêque est déjà pas mal âgé, il déchargera une fois, mais il ne remettra pas le service, il ne faut pas rêver. Je vais garder ma puissance pour Louise, car avec un peu de chance, il n’arrivera pas à la faire décoller et ce sera une belle revanche. »


Et pendant ce temps-là (pas la Méditerranée qui ne se trouve pas à deux pas), mais les deux autres protagonistes, s’apprêtent à consommer les plaisirs de la chair.



Sans attendre plus longtemps, il plonge sa tête entre les cuisses musclées de Louise et atteint sa corolle et avec sa longue barbe. Il se rassasie de ce jus fécond, si délicieux. Il prend entre ses lèvres, le minuscule bijou qui orne cette fente ou cette sente délicieuse.



Tant à pomper qu’à la fin, le brave évêque sens le jus remonter des couilles à la prostate pour finir par arriver à pointer au bout de la bite.


Acharnée, Louise aspire cette bite en se disant : « je vais le vider et après j’aurai la paix avec lui et je pourrais inviter Ildéfonse pour la défonce ». Voilà, cela vient et un gros moqueux⁽³⁾ est extrait de la pine épiscopale.


Louise :



Elle remonte le long du corps de son amant du soir et lui colle un gros patin et lui enfile entre les dents le produit de ses couilles.



Ildéfonse, n’entendant que son bon cœur faire contre sa mauvaise fortune se félicite d’avoir épargné sa substance, il se précipite dans son vrai lit, pousse un peu son Excellence qui est un peu confuse de sa piètre performance.



Ildéfonse, la lippe avantageuse, avance ses pratiques linguistiques, il n’y a pas que le latin qu’il parle aisément, la langue fourrée fait partie de ses meilleures connaissances linguistiques, sans parler qu’il donne souvent sa langue au chat.

Son verbe fait merveille, Louise décolle enfin pour se diriger vers son premier orgasme de la soirée. Suite au broutage de son amande, la voilà qui part dans un deuxième, tout aussi violent que le premier. Quand, royal, l’étendard flottant au vent, ou plus simplement le dard au gland retroussé, Ildéfonse fonce et défonce la moule qui attend avec impatience ce goupillon que son con doit satisfaire.



C’est ainsi, qu’à chaque coup de bite d’Ildéfonse, l’évêque en remettait un en contretemps créant une sorte de partition musicale faite de « oups », « haaaaha », « pfuifuif », « han » de bûcheron, « ham » de soubrette et ce, jusqu’à ce que d’un coup de reins puissant, l’évêque vide sa burette sacrée dans le fion de son fidèle curé, qui à son tour, sentant le flot brûlant arroser sa prostate, ne put retenir sa jouissance plus longtemps, il inonde la cavité de sa bien-aimée.


Devant la puissance du flot, créé par une frustration effective et préalable, l’artifice du Vatican ne remplit pas son office et une armée de spermatozoïdes, se sentant des ailes, envahit les trompes de Fallope de cette salope de Louise qui à son tour part dans un orgasme sans fin.

Ceci confirme que la capote, le pape avait bien dit qu’il fallait la mettre à l’index, où les manquements éventuels du matos n’auraient pas de conséquence.


Enfin, après cet épisode de surconsommation de stupre, le brave évêque, les roustons de père François à plat, demande grâce et se dirige vers la chambre de la bonne pour pouvoir récupérer d’un sommeil réparateur et surtout se soustraire aux questions gênantes sur les performances de son matériel diocésain.



Le lendemain matin, l’évêque se lève un peu péniblement, son 22 long rifle étant étiré au maximum, du coup, il retourne dans la chambre d’Ildéfonse pour faire une nouvelle purge de ses coucougnettes  ; mais il voit ces deux tendrement enlacés. Il n’a pas le courage de les séparer et retourne dans son lit pour calmer son excitation de manière très naturelle, à 5 contre 1.

Enfin, après avoir essuyé les résidus de son excitation dans les draps de cette salope de Louise, il se lève, cette fois dans son costume de voyage et se présente à la cuisine.



Une fois Louise partie pour se préparer à recevoir la porno-onction dans le vasistas⁽⁴⁾, l’évêque confie à Ildéfonse :



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Notes de fin :


⁽¹⁾ Bouilloire en caoutchouc ou expression méprisante pour une femme.

⁽²⁾ prononcer Bar et non pas Bak, pour avoir l’air un peu moins inculte. C’est un compositeur allemand et pas le certificat de fin des études secondaires.

⁽³⁾ Moqueux, mot romand signifiant un crachat épais.

⁽⁴⁾ Vasistas : déformation de l’allemand d’Alsace, Was ist das  ? Qu’est-ce que c’est ? Petite lucarne dans la porte pour observer qui est derrière, mais dans le vasistas, cela voudrait dire dans quelque chose ou dans le machin.